Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie et finances - Page 126

  • Communauté de communes : la piscine, la nuit.

    Hier soir le conseil de communauté de la 2C2A était réuni pour deux réunions consécutives, le précédent conseil du 15 mai étant  convoqué à nouveau pour cause de quorum non atteint.

    On a donc assisté à la quasi rencontre de deux dossiers, celui de la piscine et celui de Nocturnia. Avec un peu d'imagination, on pouvait visualiser une animation nocturne dans le bassin de natation. Ce qui est étonnant c'est que ce concept sera réellement appliqué lors de la soirée du premier juin, date à laquelle se dérouleront les "nuits de l'eau" à la piscine de Vouziers. La vraisemblance et la ressemblance s'arrêtent là, puisqu'aucun animal nocturne ne sera présenté lors de cette soirée organisée au bénéfice de l'UNICEF.

    La première partie de la soirée était donc principalement consacrée à la piscine, des délibérations devant être prises pour faire avancer le dossier et son financement.

    ccaa 27. 05..2013 003.jpgDans un premier temps, Jean-Luc Warsmann avait été invité à présenter son projet de société d'économie mixte destinée à financer les petites entreprises du département. Le député de la circonscription a fait un descriptif de ce dispositif, dont le but est de renforcer le capital de petites entreprises du secteur qui auraient du mal à réunir une "tête de bilan" suffisante. Il ne s'agirait donc pas d'aider des entreprises en difficulté, ni de ce substituer à un entrepreneur. Lorsqu'elle aura réuni un capital suffisant , la SEM pourra entrer pour un temps donné parmi les actionnaires d'une société dont le dossier aura été validé par une commission indépendante. Ce capital serait constitué de contributions  de communautés de communes volontaires, sur la base de parts de 40.000 €. Dès que la phase fragile initiale serait passée, ce capital serait récupéré pour être réinvesti dans une autre société.

    Jean-Luc Warsmann a reconnu deux points délicats : ce type d'intervention comporte une prise de risque de la part des investisseurs, et sur un autre plan il semble bien que le Conseil Général des Ardennes se fasse tirer l'oreille pour être partenaire de l'opération. On peut en conclure que les relations entre le président du CG et le député sont toujours aussi tendues.

    L'assemblée ne s'est pas prononcée ce soir sur sa participation au projet de SEM.

    Le deuxième point concernait donc la piscine, avec une présentation par l'atelier Po et Po de l'avant-projet définitif. Celui-ci diffère très peu des précédentes présentations et devrait donc constituer la base du permis de construire et du dossier de financement.

    ccaa 27. 05..2013 012.jpg

    En ce qui concerne le bassin, le carrelage traditionnel sera abandonné pour une surface en résine, plus facile d'entretien et moins coûteuse à la pose. Le chauffage sera assuré par une chaudière au gaz. La solution d'une chaudière au bois ne semble pas réaliste pour la structure seule, elle pourra être réalisée ultérieurement en mutualisant les investissements.

    Des panneaux solaires pourraient être installés pour une préchauffe de l'eau sanitaire.

    Un fond mobile pourrait être disposé, afin d'optimiser le bassin selon le type d'activité (option qui sera validé ou non selon le chiffrage du coût).

    Voici le plan de financement validé à ce stade :

    ccaa 27. 05..2013 020.jpg

    Soit un total de plus de 7 Millions d'€, qui a eu du mal a passer pour quelques délégués. Cependant après un débat portant sur quelques points techniques, le vote a été largement positif (1 contre et 6 abstentions).

    Le point suivant portait sur la construction d'une plate-forme de stockage de bois déchiqueté. C'est  Jean-Pierre Corneille, le maire de Landres et Saint-Georges qui a porté la contradiction. Il a rappelé que la ressource en bois de qualité suffisante était limitée, et qu'elle était déjà bien utilisée par des entreprises existantes ou en création. Pour lui, il n'est pas réaliste de se lancer dans un tel projet aux conditions actuelles. Il faudrait mobiliser les ressources de la forêt privée, ce qui difficilement réalisable. Il a été rejoint sur cet argumentaire et pour des raisons plus locales par d'autres délégués Finalement l'adoption de la proposition s'est faite avec 17 voix contre et 1 abstention.

    Cette première partie s'est terminée par quelques points financiers.

    On retiendra que le bâtiment d'entreprise sera modifié, pour les besoins d'un entrepreneur local qui a des projets nouveaux. Pour créer deux nouvelles sociétés il lui faut deux cellules avec un pont roulant. Suite à son engagement la hauteur du bâtiment sera augmentée sur une partie pour permettre cette installation sans modifier le reste du projet.

     

    L'assemblée a enchaîné sans pause pour un deuxième conseil qui reprenait l'ordre du jour de celui du 15 mai (reporté pour raison de quorum non atteint).

    C'est Anne Frézard qui a remplacé les membres du cabinet l'Harmatan venus faire la précédente présentation. Elle a réussi à faire un exposé beaucoup plus clair et synthétique des améliorations proposées pour Nocturnia.

    ccaa 27. 05..2013 033.jpg

    Le président Signoret a de nouveau insisté sur l'impossibilité de maintenir la scénographie dans sa présentation actuelle (avec beaucoup de pannes constatées et un mécontentement assez général).

    Cependant la hauteur des investissements prévus a heurté des délégués, certains se souvenant des promesses faites lors de la présentation de la première version de Nocturnia. Avec son directeur, ils ont voulu rassurer l'assemblée : les nouveaux investissements sont inférieurs à ceux faits au départ. Et ils ne s'ajouteront pas à ceux-ci en charge financière, puisque ces premiers travaux sont amortis totalement. A fréquentation égale, le bilan devrait donc s'améliorer, et les responsables tablent en fait sur une fréquentation en hausse, liée à cette nouvelle offre.

    Cet vision optimiste n'a pas été partagée par la vingtaine de délégués qui ont voté contre ce projet (avec 5 abstentions), mais au final la rénovation est validée.

    Il restait deux points techniques à étudier :

    La loi organisant la représentation des communes au sein des communautés a été modifiée. Pour garder la représentation actuelle qui déroge à la nouvelle loi, les communes devront délibérer dans les trois mois.

    Le directeur de la 2c2a était en position de détachement de son établissement d'origine. Pour pouvoir l'intégrer au personnel communautaire un poste sera créé.

  • Le coût de la panne.

    Le projet de loi sur la consommation devra mettre fin à l’obsolescence programmée.(Communiqué FNE)


    Mardi 23 avril, une proposition de loi pour lutter contre l’obsolescence programmée[1], portée par Jean-Vincent Placé, a été débattue au Sénat. Trois textes concernant ce sujet sont actuellement en préparation[2]. Pourtant les changements attendus par France Nature Environnement (FNE), dont la mesure emblématique sur l’allongement de la garantie, pourraient être bloqués par l’action des lobbies.

    ecoconso_obsolescence.gif




    Le modèle perdant-perdant perdure

    Les premiers perdants de l’obsolescence programmée, où la durée de vie des objets est raccourcie à dessein, sont bien sûr les consommateurs qui achètent des produits dont ils ne connaissent pas la durée de vie probable et, qui, confrontés à la moindre panne, vont racheter un produit neuf car faire réparer est devenu sinon mission impossible, du moins mission compliquée. Les autres grands perdants de l’obsolescence programmée sont les fabricants qui, en France ou en Europe, produisent souvent des équipements de qualité. Pourquoi un consommateur paierait un produit plus cher s’il n’est pas assuré que celui-ci va véritablement durer 10 ans et qu’en cas de panne, la pièce détachée sera accessible à un prix raisonnable, qu’un réparateur saura la changer. Sans garantie sur la durabilité des produits, la concurrence s’opère sur les prix grâce au dumping social et environnemental, course au moins-disant social et environnemental que les fabricants européens ne peuvent pas gagner.

    Une mesure simple pour sortir de cette spirale : allonger la durée de garantie des appareils

    Etendre la durée de garantie à 5 ans puis à 10 ans inciterait d’une part le fabricant à proposer à ses clients des produits plus robustes et d’autre part à rendre la réparation plus simple ; les fabricants en assumant eux-mêmes la mise en œuvre et les coûts.

    Ce « gage de confiance » doit être accompagnée d’une série d’actions pour faciliter l’achat de produits de qualité et réparables : création de tests normés pour évaluer la durée de vie prévisible d’un produit ; aide à l’investissement des ménages pour l’acquisition de certains produits à longue durée de vie (comme un crédit gratuit…) ; développement des pièces détachées d’occasion ; accès à l’information sur les pièces fragiles ; création de chèque réparation…

    Pour Pénélope Vincent-Sweet de FNE « La fabrication de produits robustes et le développement de la réparation permettent non seulement de prélever moins de ressources et de produire moins de déchets, mais en plus ils sont créateurs d’emplois locaux. Nos concitoyens expriment de fortes attentes, les débats au Sénat du 23 avril ont montré que nos parlementaires sont également attentifs à ce sujet, nous espérons que le gouvernement saura écouter et agir. »

    Pour Bruno Genty, président de FNE : « On voit bien que ce débat sur la consommation débouche inévitablement sur la question d’un glissement nécessaire de notre économie consumériste, reposant sur la sur-consommation, au détriment de la planète et des consommateurs, vers une économie de la fonctionnalité où les objets doivent durer le plus possible pour servir au plus grand nombre possible de personnes en répondant plus au besoin qu’au sentiment de possession. »

    [1] Le terme même d’obsolescence programmée fait débat, l’ADEME en propose la définition suivante «
    La notion d’« obsolescence programmée » dénonce un stratagème par lequel un bien verrait sa durée normative sciemment réduite dès sa conception, limitant ainsi sa durée d’usage pour des raisons de modèle économique ». A savoir que des définitions plus larges englobent la notion d’obsolescence marketing notamment.

    [2] Un projet de loi sur la consommation porté par le ministre Benoît Hamon, un plan national de prévention des déchets que la France doit obligatoirement réalisé pour décembre 2013 comme le prévoit la directive déchets de 2008, la préparation d’un nouveau barème pour les éco-contribution des équipements électriques et électroniques.

  • Quelques nouvelles images de la foire ( 11 mai 2013)

    foire a.JPG

    foire b.JPG

    foire c.JPG

    foire d.JPG

  • Inauguration de la foire de Vouziers

    Ce jeudi est le premier des 4 jours de la foire de Vouziers, qui a donc été inaugurée ce matin en présence de nombreuses personnalités.

    On notait en effet la présence du sous-préfet Jean-Luc Jaeg, du député Jean-Luc Warsmann, du sénateur Marc Laménie, de la vice-présidente du Conseil Régional Joëlle Barrat, du questeur du Conseil Général Dominique Guérin, du vice-président de la 2C2A Michel Colin, du président de la CCI des Ardennes Géraud Spire, du président de la chambre de métier des Ardennes Bernard Detrez et bien entendu du maire de Vouziers Claude Ancelme et du président de l'UCIA Michel Joseph.

     

    Toutes ces personnalités ont pris la parole, nous ne reprendrons pas l'intégralité de leurs propos. Onfoire commerciale,ucia,vouziers,inauguration retiendra le volontarisme du président de l'UCIA qui a annoncé que le niveau exceptionnel d'animations atteint pour le 60 ème anniversaire en 2012 sera maintenu cette année. Les discours des autres personnalités ont tous souligné l'importance de cette foire en particulier en cette période difficile pour le commerce. Le rôle primordial de l'UCIA a été répété à plusieurs reprises, avec un appel aux commerçants locaux à rejoindre cette structure.

    Ensuite le ruban symbolique a été coupé par le Maire et les autres personnaltés.

    foire commerciale,ucia,vouziers,inauguration

    C'est sous la conduite de l'hamonie municipale que tous ont découvert les différents exposants de ce millésime de la foire.

    foire commerciale,ucia,vouziers,inauguration

  • Chômage : un chiffre record...très provisoire !

    Les chiffres officiels du nombre de demandeurs d'emploi  en mars viennent d'êrte publiés.

    La hausse continue à un rythme important et le "record " vient même d'être battu. Il est encore plus inquiétant de constater que la tendance ne connaît aucun fléchissement. L'objectif d'inversion des courbes pour fin 2013 semble de plus en plus un souhait répété qui n'en fait pas une prévision crédible. Le seul moyen  de créer de l'emploi avec la politique menée actuellement est la croissance de l'économie. Celle-ci est au point mort, voire en marche arrière. Comment espérer alors voir les choses évoluer à moyen terme ?

    Voici les chiffres officiels :

    En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits

    en catégorie A augmente de 1,2 % par rapport à fin février 2013

    (+ 11,5 % en un an)

     

     Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C augmente de 0,7 % par rapport à fin février 2013 (+ 9,8 % en un an).

     

    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits

    à Pôle emploi de catégorie A s'établit à 70 811 fin mars 2013.

    Ce nombre augmente de 1,4 % (+ 995) par rapport à la fin février 2013

    (+ 15,4 % sur un an).

     

    Par département, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A

    varie de - 1,1 % à + 2,3 % en mars 2013 par rapport à fin février :

    Ardennes (+ 1,5 %), Aube (+ 1,2 %), Marne (+ 2,3 %), Haute-Marne (- 1,1 %)

     

    chomage-mars-ide.jpg


  • Les méga-camions en embuscade à Bruxelles

    Après la campagne de FNE contre les méga-camions, le dossier semblait oublié. A l'occasion de la révision d'une Directive Européenne (96/53), les méga-camions s'invitent à nouveau et essaient de franchir les frontières entre les Etats membres. Explications.

    Bruxelles cède sous le poids des lobbies routiers

    Michel Dubromel, responsable Transports et Mobilité Durables confirme : "L'Union européenne doit réviser la réglementation en autorisant une longueur supplémentaire de 80 cm pour la cabine de façon à améliorer la sécurité mais la capacité de chargement doit rester identique".
    Une partie de la révision de la directive 96/53 envisage une cabine de camion avec une forme plus aérodynamique. FNE soutient  cette propositon : elle se traduirait par une économie de 3 à 5 % de gazole sur les longues distances, une diminution de l'impact lors des chocs frontaux, une amélioration générale de la sécurité.

    Cependant, la face cachée du projet de révision permettrait la circulation de poids lourds jusqu'à 60visuel-mega-camions-2009.jpg tonnes en itinéraires transfrontaliers ou en itinéraires internationaux, ce qui ne manquera pas d'encourager les Etats à "légaliser " ces méga-camions pour les transports intérieurs. Aujourd'hui, comme hier, nous n'accepterons pas la généralisation des méga-camions aussi bien au niveau européen qu'au niveau français. Au niveau national, notre gouvernement a d'ailleurs été un très mauvais élève en généralisant la circulation des camions de 44 tonnes sur notre territoire.

    Ils détruisent les autres modes de transport

    Ces méga-camions à 60 tonnes consommeraient jusqu'à 20% de fioul en moins. Ce qui semble être une performance environnementale se traduit par un avantage économique supplémentaire : une diminution des coûts de l'ordre de 15 à 20%.

    Moins de carburants et des coûts encore plus compétitifs

    Toutes les études confirment que l'introduction des méga-camions et l'augmentation de la charge des camions conduit à un report modal et à une plus forte demande en transports routiers. Le report serait encore plus important depuis le ferroviaire et le fluvial vers le transport routier. Les impacts environnementaux du transport augmenteraient et chaque citoyen aurait l'obligation de payer ces coûts supplémentaires alors que le transport routier n'acquitte déjà pas son coût sociétal.

    Mobilité et transition énergétique

    En cette période de "Débat National sur la Transition Energétique", le secteur des transports est dans le viseur, au même titre que celui du bâtiment. Alors que de nombreuses solutions pour des mobilités alternatives ou des transports plus doux sont proposées, il serait absurde de promouvoir un nouveau développement du mode le plus polluant.

    Bruno Genty, président de FNE : "Alors que des choix importants doivent être faits pour transporter autrement, la France doit s'opposer fermement à toute mesure permettant un développement incontrôlé du transport routier de marchandises dont notre pays, vue sa situation géographique, serait une des principales victimes. Avec ce dossier, la ministre de l'Ecologie et le ministre délégué aux Transports ont l'occasion de mettre en pratique les déclarations faites à l'occasion du dernier congrès de FNE, consacré à la mobilité."

  • Stopper l'évasion fiscale, juste une question de volonté

     

    Article repris du blog de la CGT du Conseil Général 08

    L’affaire Cahuzac révèle brutalement à tous les citoyens la négligence et même la complaisance de nos dirigeants vis-à-vis de l’évasion fiscale.


    Pourquoi l’administration fiscale a-t-elle perdu 25 000 agents depuis 2002 ? Pourquoi le nombre de vérifications approfondies de situations personnelles a-t-il chuté de 12% entre 2006 et 2011 ? Pourquoi laisse-t-on chaque année 60 à 80 milliards d’euros échapper à l’impôt, tout en prétextant les déficits publics ainsi creusés pour sacrifier les retraites, les allocations sociales, les emplois publics, les investissements écologiques d’avenir ?


    Votre gouvernement peut prendre sans tarder cinq mesures clés pour  en finir avec la complaisance :


    1—embauchez sous 12 mois au moins 1 000 agents de contrôle fiscal pour renforcer les 5 000 vérificateurs actuellement en poste. Chacune des nouvelles recrues rapportera à l’État au moins 2,3 millions d’euros par an grâce aux redressements fiscaux opérés, soit 40 fois le montant de son traitement !


    2—exigez des banques la communication de l’identité de tous les ressortissants français détenteurs de comptes à l’étranger. La loi FATCA oblige depuis début 2013 tous les groupes bancaires opérant aux Etats Unis à communiquer sur demande du fisc américain les données concernant ses ressortissants: il suffit d’une volonté politique !


    3—établissez, en lien avec les associations spécialisées, une liste crédible des paradis fiscaux, ces trous noirs de la finance occulte et de la corruption


    4—donnez 12 mois aux banques opérant en France pour fermer leurs filiales dans ces territoires, sous menace de retrait de la licence bancaire. Les banques françaises ont 527 filiales dans les paradis fiscaux dont 360 pour la seule BNP Paribas !


    5—imposez le « reporting par pays » aux multinationales établies en France : cette transparence sur le chiffre d’affaires, les bénéfices et les impôts payés dans chaque pays permettra au fisc de déjouer les manipulations des prix de transfert entre filiales des multinationales et de pouvoir enfin imposer Total ou Google sur leurs bénéfices.


    PAS SI DIFFICILE NON ? ENCORE FAUT T'IL LE VOULOIR VRAIMENT


    Le changement, c’est maintenant ou jamais !

     

    h-20-2100400-1275668461.jpg