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économie et finances - Page 129

  • Festival ciné d'ATTAC.08 du 15 au 17 Novembre 2013

    Le festival ciné d'attac08, c'est pour bientôt ! Il a lieu le Vendredi 15, Samedi 16 et Dimanche 17 Novembre au cinéma Métropolis de Charleville-Mézières.


    3 jours et 5 films au programme ! (tarifs ---> 1 film : 5 € - 3 films : 13 € - 5 films : 20 €)

    On débutera le festival avec la projection le Vendredi à 20h de "Mémoire d'un saccage. Argentine, le hold-up du siècle".

    Ce documentaire de Pino Solanas porte sur l'histoire récente de l'Argentine. On y démonte les mécanismes qui ont causé la faillite d'un pays prospère, où la population gagnait bien sa vie et bénéficiait de services publics de qualité : la nationalisation de dettes privées et l'explosion d'autres dettes odieuses, les privatisations et la corruption politico-financière qui vient avec, suivies de la détérioration des services, le libre-échange dont le pays sort perdant, la promotion par les médias du rôle du privé au détriment de celui du public, l'impunité, la répression, les plans d'austérité.

    Cela ne vous rappelle pas quelque chose ?

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    A la suite du film, nous aurons l'occasion de débattre avec Chloé Etsi et Yiorgos Vassalos de l’Initiative Grecque à Bruxelles.

    Voici la suite du programme de ces trois journées :

     

    Le Samedi 16 : Transition énergétique

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    A 15 h : projection de “Héritage Fight”. Puis débat avec Eugénie Dumont, la réalisatrice.

    A 20 h : projection de “Promised Land”. Puis débat avec Antoine Guilleux d'Enercoop Ardennes.

     

    - Le Dimanche 17 : Bilan et perspective.

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    A 14h30 : projection de “Le revenu de base”. Puis débat avec Jean-Marc Scattolin, responsable local Meurthe et Moselle du mouvement français pour le revenu de base.

  • Fraude sociale : des préjugés à la réalité

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  • Chômage : toujours pas d'inversion de la courbe

    Les chiffres du nombre de chômeurs publiés ce jour sont à interpréter avec prudence, suite au bug informatique du mois d'août.

     La DARES qui donne ces chiffres estime qu'il faut comparer le mois de septembre au mois de juillet, sans tenir compte de l'anomalie du mois d'août. En faisant cela, on constate que la tendance est toujours à l'augmentation. Et les plans sociaux annoncés ces derniers jours n'incitent pas à un optimisme pour la fin de l'année.

    La vague des licenciements qui touche l'agro-alimentaire en Bretagne démontre de manière exemplaire le fonctionnement de l'économie libérale : l'Allemagne fait tourner ses abattoirs avec des ouvriers payés en dessous du SMIC français, mettant en faillite les filières bretonnes. Il n'y a pas dans ce cas de distorsion de concurrence d'après les critères européens, puisque le social ne compte pas.

    Par contre, il n'est pas possible d'aider un service public (voir le cas des transports vers la Corse par exemple) cela crée un trouble insupportable. Le chemin est bien balisé pour les entreprises : vous pouvez baisser vos coûts en faisant porter la charge sur les salariés, mais ne comptez pas sur un solidarité nationale qui constituerait un crime anti-libéralisme.

    Voici les derniers chiffres officiels :

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 295 700 en France métropolitaine fin septembre 2013. Ce nombre est en hausse de 1,9 % (+60 000), après une baisse de 1,5 % en août (-50 000). Au final, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A a augmenté de 0,3 % (+10 000) entre juillet et septembre 2013. Sur un an, il croît de 8,1 %.

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories B et C s’établit à 1 547 700 en France métropolitaine fin septembre 2013. En septembre, le nombre de ceux de catégorie B est en hausse de 1,0 %, après une baisse de 2,6 % en août (+6,2 % sur un an), et le nombre de ceux de catégorie C diminue de 1,3 %, après avoir augmenté de 0,5 % en août (+5,2 % sur un an). Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s’établit à 4 843 400 en France métropolitaine fin septembre 2013 (5 141 000 en France y compris Dom). Ce nombre est en hausse de 1,1 % (+54 200) au mois de septembre, après une baisse de 1,3 % en août (-62 700). Au final, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A, B, C a diminué de 0,2 % (-8 500) entre juillet et septembre 2013. Sur un an, il augmente de 7,3 %

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    Et voici les chiffes régionaux, données par la DIRECCTE Champagne-Ardenne :

    Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s'établit à 75 838 en Champagne-Ardenne, fin septembre 2013. Ce nombre augmente de 7,1 % (+ 5056) par rapport à la fin août 2013 (+ 16,6 % sur un an).

    Par département, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A varie de + 2,7 % à + 9,9 % en septembre 2013 par rapport à fin août :
    Ardennes (+ 2,7 %), Aube (+ 7,9 %), Marne (+ 9,9 %), Haute-Marne (+ 4,8 %).


    En Champagne-Ardenne, le nombre des demandeurs d'emploi de catégorie A, B, C s'établit à 107 057 fin septembre 2013. Ce nombre croît de 0,8 % (+ 886) au mois de septembre (+ 7,7 % sur un an).

    Par département, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A, B, C varie de + 0,5% à + 1,5% en septembre 2013 par rapport à fin août :
    Ardennes (+ 0,5 %), Aube (+ 1,5 %), Marne (+ 0,6 %), Haute-Marne (+ 0,9 %)

  • La société Fège de Vouziers reprise par le groupe NSC

    Parmi les quelques entreprises qui poursuivent leur activité à Vouziers, Fège occupe une place particulière.

    Cette PME est particulièrement innovante dans un domaine très pointu : les lignes d'emballage. Elle a des clients prestigieux comme des maisons de champagne, ou de taille internationale comme Nestlé. La société FEGE_batiment.jpgmontre aussi son dynamisme par un nombre de clients à l'export qui atteint 70%. (photo ci-contre : le site actuel de Fège sur la zone économique de Vouziers).

    L'innovation dont elle fait preuve repose sur la créativité de son patron et de l'équipe qui le seconde. Actuellement , l'effectif se compose d'une trentaine de personnes. L'attachement à Vouziers est familial, et jusqu'ici la société s'est développé sur place malgré les difficultés de recrutement de personnel spécialisé.

    Le  journal économique zonebourse.com publie ce jour l'information de l'entrée en négociation exclusive du groupe NSC pour l'acquisition de 100% du capital de la société FEGE. Le média affirme que l'opération devrait être bouclée pour fin 2013, donc à très court terme.

    Le groupe NSC possède une filiale spécialisé dans l'emballage (packaging, qu'ils disent). Dans NSC pakea_ss_logo.jpgPackaging, on trouve Pakea qui est présenté ainsi sur le site du groupe : "Plus qu’un fournisseur d’équipements de production dans le domaine de l’emballage et de la transformation de carton, Pakea, membre de NSC packaging, est depuis de nombreuses années, un partenaire innovant, à l’écoute du marché et propose des solutions industrielles à chaque problème."

    Il s'agit donc d'une activité tout à fait similaire à celle proposée par Fège à Vouziers. Cette absorption par un grand groupe constitue manifestement une évolution majeure . Cette société basée en Alsace est cotée en bourse pour une capitalisation de 33 millions d'€. Alors, quel sens peut-on donner à cette évolution?

    On peut analyser ce rachat de plusieurs façons

    Il y a la version optimiste, qui voit dans cette acquisition une possibilité de synergies et donc de croissance pour l'entreprise.

    Il y a la version pessimiste qui s’appuie sur la fin de la structure familiale et des liens forts avec le territoire.

    Pour aujourd'hui nous privilégierons la version prudente qui nous laisse le temps d'avoir des éclaircissements complémentaires avant de porter un jugement.

  • La loi instaurant le repos le dimanche en 1906, issue d'un long conflit social

    Article instructif tiré du blog du Conseil Général 08

    La loi du 13 juillet 1906 instituant le repos dominical en France a mis fin à un long conflit social né d'une catastrophe minière dans le Nord, et ouvert une période d'"apaisement religieux", au lendemain de la séparation des Eglises et de l'Etat.

     

    C'est un radical bon teint, Ferdinand Sarrien, qui devint président du Conseil le 13 mars 1906, quelques jours après le coup de grisou de la mine de Courrières qui a fait 1.099 morts.

     

    Il fallait tout à la fois calmer la colère des mineurs, éviter les incidents lors des "inventaires" des biens du clergé - alors que son prédécesseur, Maurice Rouvier avait voulu faire ouvrir les tabernacles -, préparer l'opinion au procès en cassation d'Alfred Dreyfus, qui déchainait les passions, et se lancer dans la bataille des législatives de juillet.

     

    La vieille revendication du repos dominical, de même que celle de la journée de 8 heures - qui attendit 1919 pour être satisfaite - étaient au cœur des débats et des manifestations.

     

    Pour faire front, Sarrien avait la chance de présider un gouvernement prestigieux comprenant deux futurs présidents de la République, Raymond Poincaré et Gaston Doumergue et trois futurs présidents du Conseil, Aristide Briand, l'homme de "l'apaisement" religieux et de la tentative de paix franco-allemande après-guerre, Georges Clemenceau et Louis Barthou.

     

    Tous voulaient des avancées sociales. Or la loi du 12 juillet 1880, pour des raisons antireligieuses, avait aboli le repos dominical sous prétexte qu'il avait été décrété sous la Restauration (loi du 18 novembre 1814). Le "jour de repos" était dès lors décidé par le patron.

     

    La tragédie de Courrières provoque des émeutes. 45.000 mineurs se mettent en grève le 16 mars. Le 17, Clemenceau, ministre de l'Intérieur, promet de ne pas faire intervenir la force, mais change d'avis quand la mairie de Lens est occupée, le 20. La répression est dure, un policier est tué. 50.000 "gueules noires" défilent à Paris le 1er mai, à l'appel de la CGT.

     

    Le 20 mai, la gauche remporte les élections de façon écrasante.

     

    Pour calmer les esprits, la loi Sarrien est votée, dont l'article 2 dispose que le dimanche est jour de repos hebdomadaire des employés et ouvriers. Employés de maison et travailleurs agricoles en sont provisoirement exclus.

     

    Cette loi, aussi appelée "loi Lemire", nom du député-maire d'Hazebrouck, l'abbé Jules Lemire, un républicain et démocrate ardent, à l'origine des allocations familiales, qui sut convaincre que le choix du dimanche n'était pas une revanche des religieux contre les "laïcs", quelques semaines après la loi de séparation. L'"apaisement" était en route.

     

    La France était en retard sur l'Angleterre et il fallut attendre le Front populaire en 1936 pour voir advenir le samedi férié, et le "week-end".

     

    Le 13 juillet 1906, c'est aussi la réintégration du capitaine Dreyfus à son grade, et le vote du transfert des cendres d'Emile Zola au Panthéon.

     

    Les dispositions de la loi Sarrien sont toujours en vigueur. Mais plus de 180 dérogations sont appliquées, en raison notamment de la réforme votée sous le gouvernement Balladur en 1993. Des secteurs comme la santé, les spectacles, l'hôtellerie, les transports ne sont pas concernés par le repos du dimanche.

     

    Alors le repos du Dimanche se doit de rester tel quel .... il y a déjà suffisamment de dérogations

     

    Oui, des gens ont besoin de travail, d'argent, il faut en être conscient .....mais ce n'est pas suffisant .... demain on pourra aussi leur demander de travailler la nuit, de faire 16 heures par jour ... serait ce normal ...NON !!!!!

     

    Le problème c'est que justement des personnes soient obligées ..... de le demander pour Aff_Travail_dimanche.jpgvivre ....

    Ne serait ce pas pas simple, de relever les salaires, de créer une allocation plus conséquente pour les étudiants ...... bref d'être dans une vraie société égalitaire ...

     

    Mais pour cela il faudrait que ceux qui détiennent le pouvoir veuillent bien, laisser quelques biftons pour le permettre .... et cela c'est une autre histoire !!!!! .....

     

    Et cette histoire c'est à nous de la créer ... soi en agissant comme des moutons, soit en nous battant pour obtenir une partie du gâteau (qui restera de toute façon bien maigre, vu ce qu'ils possèdent)

    N'avons nous pas autre chose à faire le dimanche, que d'acheter un sac de plâtre, ou une quiche lorraine ? Ou justement ne pouvons nous faire que cela pour avoir une illusion de sortir un peu ? EXIGEONS UN PEU PLUS TOUT DE MÊME

  • Plan d’Exposition au Bruit : encore un argument pour un nouvel aéroport qui tombe !

    Les opposants à un nouvel aéroport à Nantes, prévu sur le site de Notre Dame des Landes, ne se contentent pas de faire de l'obstruction au projet.

    Ils argumentent, étudient les documents officiels et font réaliser des études indépendantes. C'est le cas pour le problème du bruit, qui reste un des arguments soutenus par les défenseurs du projet pour déplacer l'aéroport. Le CéDpa (collectif d'élus doutant de la pertinence de l'aéroport ) a publié le 26 septembre un communiqué sur ce sujet, nous reproduisons ce texte ci-dessous :

    Le CéDpa a fait réaliser une étude de Plans d’exposition au bruit (PEB) prévisionnels sur Nantes Atlantique par un cabinet spécialisé européen indépendant, Adecs Airinfra.

     Le résultat est sans équivoque : l’argument du bruit  qui deviendrait insupportable et empêcherait l’urbanisation sur Nantes est un mensonge. (Un de plus ?)

    Les PEB calculés à 10 et 20 ans  (2022 et de 2032) couvrent une superficie moindre que le PEB en vigueur avion_toit.jpgaujourd’hui. L’Ile de Nantes et la Zac des Iles à Rezé restent  en dehors de la zone C du PEB, celle qui empêche de construire des nouveaux logements. En effet, il faudrait entre 160 000 et 230 000 mouvements d’avions (14 à 19 millions de passagers… contre 3,6 aujourd’hui) pour que cette zone C atteigne l’Ile de Nantes.

    Pour accueillir davantage d’habitants, l’agglomération n’a pas besoin de déménager son aéroport !
     
    Indirectement, l’étude montre que le PEB en vigueur actuellement sur Nantes Atlantique est totalement surestimé : il a été basé sur 110 000 mouvements (!) et a pris en compte des avions déjà anciens pour l’époque, donc bruyants. Dans 20 ans, on estime qu’il y aura plus de mouvements d’avion qu’aujourd’hui mais des avions moins bruyants. Pour ne pas être accusé d’optimisme, le cabinet d’étude a aussi fait les calculs en gardant les mêmes types d’avions qu’en 2012 : les PEB restent inférieurs à celui en vigueur actuellement.

    Les conclusions de cette étude confortent les conclusions relatives au maintien de l’aéroport de Toulouse : des  avions plus gros, mais moins bruyants et mieux remplis ; moins de mouvements que prévu. C’est une tendance générale ; à Nantes, sur les huit premiers mois de 2013, le nombre de mouvements baisse de 1,4 % alors que le nombre de passagers augmente (9%)... A Toulouse, l’Etat conclut à l’inutilité d’un déplacement ; à Nantes, on conclut à l’inverse. Comprenne qui pourra …

    La commission du dialogue avait souhaité une étude complémentaire sur le PEB. Le Ministre des transports a réaffirmé son attachement à une totale transparence. Nous attendons désormais sereinement la confrontation de l’étude Adecs Airinfra avec celle de la DGAC qui a curieusement présenté à Bruxelles un PEB couvrant une grande partie de l’agglomération.

  • Chômage en baisse au mois d'août, mais pour quelle raison?

    La baisse du nombre de demandeurs d'emploi constatée par les statistiques officielles pour le mois dernier est a priori une bonne nouvelle.

    On note cependant une prudence dans les commentaires officiels, qui insistent sur le161629_le-panneau-de-signalisation-d-un-pole-emploi.jpg fait qu'une tendance ne peut être confirmée de manière certaine qu'après plusieurs mois allant dans le même sens.

    La publication de ce mois est accompagnée d'un avertissement pour le moins inhabituel :

    "Avertissement : Les statistiques publiées ce mois-ci peuvent être affectées par une hausse d’une ampleur inhabituelle des sorties enregistrées pour cessations d'inscription pour défaut d'actualisation en août 2013."

    Cette hausse est de 38,8% ! Pôle emploi précise dans son communiqué :

    "À ce jour, aucun incident d’enregistrement dans le système d’information de Pôle emploi ou changement dans les modalités ou règles d’actualisation des demandeurs d’emploi n’a été identifié."

    Il est donc possible que les chiffres à venir le mois prochains subissent un rectificatif.

    "Les Echos" précise cette interrogation :

    "Mais un chiffre interpelle et amène à très fortement relativiser l’ampleur réelle de la baisse : en août, toutes catégories confondues, 277.500 chômeurs ont été désinscrits pour défaut d’actualisation mensuelle de leur situation. C’est 77.500 de plus qu’en juillet dernier et qu’en août 2012. Historiquement, ce nombre évolue chaque mois entre 150.000 et 200.000 et n’avait jusqu’ici jamais dépassé 219.000.

    A ce stade, Pôle Emploi n’avance pas d’explications à l’explosion de ce motif de sorties mais précise qu’il ne s’agit pas d’une erreur informatique. S’agit-il de personnes ayant retrouvé un emploi et ne l’ayant pas signalé à Pôle emploi, ou de simples oublis d’actualisation qu’ils corrigeront en septembre ? Il faudra attendre les chiffres de septembre pour y voir plus clair, mais le risque est très clairement qu’il y ait alors un gros effet balancier avec un boom des réinscriptions."

    Voici les chiffres publiés, au niveau national et au niveau local :

     

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 235 700 en France métropolitaine fin août 2013. Ce nombre est en baisse par rapport à la fin juillet 2013 (-1,5 %, soit -50 000). Sur un an, il croît de 7,3 %.

     

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories B et C s’établit à 1 553 500 en France métropolitaine fin août 2013. En août, le nombre de ceux de catégorie B est en baisse de 2,6 % (+5,6 % sur un an) et le nombre de ceux de catégorie C augmente de 0,5 % (+5,2 % sur un an).

     

    Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s’établit à 4 789 200 en France métropolitaine fin août 2013 (5 085 800 en France y compris Dom). Ce nombre est en baisse de 1,3 % (-62 700) au mois d’août. Sur un an, il augmente de 6,7 %.

     

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    Fin août 2013, dans le département des Ardennes, 16 350 personnes sont inscrites à Pôle emploi en catégorie A. Ce nombre diminue de 1,0 % par rapport à fin juillet 2013 ( - 171). Sur un an, il est en augmentation de 5,9 %.

    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A augmente de 0,6 % par rapport à juillet 2013 ( + 8,0 % en un an).


    Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C s'établit à 23 499 dans le département des Ardennes, fin août 2013. Ce nombre diminue de 1,2 % (- 291). Sur un an, il augmente de 5,5 %.
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C diminue de 1,3 % par rapport à juillet 2013 (+ 6,9 % en un an).