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gaspillage alimentaire

  • Les dates de péremption, une idée dépassée ?

    Communiqué de FNE le 19.02.2019

    Les dates de péremptions seraient responsables à elles seules de 20 % du gaspillage alimentaire des ménages, et d’au moins 50 % au niveau de la distribution. Investie depuis de longues années dans la lutte contre le gaspillage, France Nature Environnement soutient le Livre Blanc porté par Too Good To Go, l’application devenue un incontournable de la lutte « anti gaspi ». Découvrez dans cette publication une série de recommandations de bon sens pour réduire le gaspillage lié aux dates de péremption…

    Gaspillage alimentaire et dates de péremption, quel est le problème?

    10 % du gaspillage alimentaire ! À elles seules, les dates de péremption représentent 10 % du gaspillage alimentaire en Europe : elles jouent donc un rôle clef dans la lutte anti gaspi. Selon la Commission Européenne, elles seraient responsables de 20 % du gaspillage alimentaire dans les foyers et au moins 50 % du gaspillage dans la grande distribution. En tout, le gaspillage alimentaire lié aux dates de péremption, ce serait une valeur comprise en 3 et 6 milliards d’euros tout au long de la chaîne alimentaire1 jetés… à la poubelle.

    Un gaspillage inévitable au vu de l'enjeu sanitaire ? Pas vraiment… Car les règles autour de ces dates sont bien trop obscures.

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  • Il reste encore du pain sur la planche

    En juin 2013, le gouvernement lançait un Pacte dont l’objectif affiché était de réduire de moitié le gaspillage alimentaire en France à l’horizon 2025 mais force est de constater que les moyens mis en œuvre pour atteindre cet engagement sont aujourd’hui insuffisants. À l’occasion de la troisième édition de la Journée nationale « anti-gaspi’ » du 16 octobre, France Nature Environnement dresse un bilan mitigé de la politique menée jusqu’ici tandis que, côté associatif, la mobilisation se poursuit.

    Toujours pas d'état des lieux

    Sur les 11 mesures du Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire et les 36 propositions du rapport de Guillaume Garot, combien d’entre elles ont réellement été appliquées? Malgré les nombreux signaux émis par le gouvernement et les parlementaires pour manifester leur volonté de s’emparer du sujet, les fruits des actions menées jusqu’à présent restent bien modestes. Le consommateur demeure toujours la cible première des campagnes de communication et les acteurs qui gaspillent se voient confortés dans leurs modèles. Les indicateurs de suivi et d’évaluation sont, quant à eux, inexistants et aucun état des lieux des gisements du gaspillage alimentaire à tous les étages n’a été, à ce jour, réalisé. Du côté des professionnels, quelques initiatives tentent de faire bouger les lignes mais la tendance reste globalement au statu quo.

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  • Agriculture : pour nourrir tout le monde, changer de modèle

    Communiqué de Greenpeace

    Ancrée dans l’inconscient collectif : l’idée selon laquelle l’agriculture écologique ne pourrait pas nourrir le monde. Nous pensons au contraire qu’elle est la solution, la seule alternative pour sortir d’un modèle agricole destructeur qui ne répond plus aux besoins d’aujourd’hui. Nous publions un rapport qui démontre en 7 principes-clé que l’agriculture écologique peut nourrir la planète tout en replaçant l’humain au centre du système alimentaire.

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  • Le gaspillage de la nourriture rapporte trop à la grande distribution et à l’agro-alimentaire

    Hier, Guillaume Garot présentait son rapport « Lutte contre le gaspillage alimentaire : propositions pour une politique publique » aux ministres de l’Environnement et de l’Agriculture. Réaction de FNE.

    On progresse sur le don, pas sur la réduction

    Guillaume Garot a annoncé sa mesure phare : obliger les grandes surfaces à ne pas refuser les demandes d’associations d’aide alimentaire en ce qui concerne le don de leurs invendus alimentaires. Si France Nature Environnement estime qu’il est scandaleux de jeter les invendus alimentaires et qu’il est nécessaire de mieux les distribuer, la fédération souhaite également que la politique de lutte contre le gaspillage alimentaire aille au-delà et s’intéresse aux manières de réduire les quantités d’invendus de la fourche à la fourchette c'est-à-dire en traitant les causes du gaspillage et pas uniquement ses effets.

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  • Producteurs, transformateurs, distributeurs gaspillent… oui mais combien ?

    Communiqué de la FNE

    La proposition de loi du Député Decool est examinée ce jeudi à l’Assemblée nationale. Portant initialement sur le don alimentaire, elle a été vidée de sa substance après son passage en commission Développement durable du Sénat puisque l’obligation pour les hypermarchés de redistribuer les invendus à l’aide alimentaire a été supprimée. L’occasion pour FNE de rappeler que la route va être longue pour atteindre l’objectif de réduction de 50% du gaspillage alimentaire. Aujourd’hui, les chiffres du gaspillage généré par les acteurs situés en amont du consommateur restent un sujet tabou...


    Un scandale environnemental, social et économique

    24311a.jpgDu champ à l’assiette en passant par l’usine, des denrées alimentaires sont gaspillées pour cause de calibre trop exigeant, d’erreur d’étiquetage, de DLC trop proche ou encore d’oubli dans le frigo. Ce fléau nuit à la planète et à notre porte-monnaie. Outre le scandale social que représente le gaspillage alimentaire, rappelons que son empreinte carbone dans le monde est estimée à 3,3 milliards de tonnes équivalent CO2 rejetées dans l'atmosphère chaque année1 , soit 6,7% de l’ensemble des émissions mondiales de GES2 .

    Eviter la production du gaspillage alimentaire

    Il est essentiel de chercher à réduire ce gaspillage alimentaire en modifiant les procédures et les équipements3 mais également en faisant évoluer nos modèles de production, distribution et consommation pour redonner de la valeur à l’aliment. C’est d’ailleurs ce qu’a rappelé le Député Garot alors qu’il présidait la réunion du comité de pilotage du Pacte « anti-gaspi » le 28 janvier dernier.

    Redistribuer mieux les invendus inévitables

    Si l’évitement du gaspillage est la priorité, il faut en même temps chercher à améliorer la redistribution des invendus alimentaires. Quand bien même nous réduirions en grande partie le gaspillage alimentaire, il resterait encore de grandes quantités à distribuer du fait de la mévente (offre en production et distribution dépassant nos besoins).

    Mais de quelles quantités parle-t-on ?

    Quand on parle de gaspillage alimentaire, on parle avant tout de celui des citoyens. C’est celui que l’on connait le mieux. Pour les autres acteurs tels que les producteurs agricoles, les industriels de l’agro-alimentaire ou encore les distributeurs, les chiffres restent encore confidentiels ! Nombreux sont ceux qui mettent en avant le nombre de repas distribués à l’aide alimentaire chaque année, mais combien assument les quantités de nourriture qu’ils ont jetées ?

    Pour Denez L’Hostis, président de France Nature Environnement : « il est urgent d’avoir des chiffres fiables en ce qui concerne le gaspillage alimentaire généré par filière et par produit pour s’engager réellement dans une démarche de réduction du gaspillage alimentaire de moitié ! Nous espérons que le rapport qui sera rendu en mars par monsieur Garot actera le caractère prioritaire de cette démarche concrétisée par un texte législatif. »

    131021_gaspillage_alimentaire.jpg

  • Réduction du gaspillage alimentaire

    A l'occasion de la semaine européenne de réduction des déchets,  des actions se déroulent sur le territoire de la 2C2A.

    Voici un rappel des objectifs de ces journées de sensibilisation qui s'adressent à tous.

    L’objectif de la Semaine est de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets générée et donner des clés pour agir au quotidien aussi bien à la maison, au bureau ou à l’école, en faisant ses achats ou même en bricolant.

    Le concept de la Semaine est basé sur la prévention des déchets c'est-à-dire avant que ce dernier ne soit produit, car le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas !

    La prévention des déchets c’est donc agir pour ne pas produire les déchets en consommant mieux (consommation de produits peu emballés, écolabellisés), en produisant mieux (production de produits éco-conçus), en prolongeant la durée de vie des produits (réparation et don) et en jetant moins (compost par exemple) !

    La Semaine s'adresse aussi bien aux administrations et collectivités, aux associations, qu'aux scolaires et au grand public. Tout le monde peut agir !

    La Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD), inscrite dans le cadre de la campagne nationale sur la réduction des déchets, est un moment fort de mobilisation. Elle dépasse même nos frontières, la Semaine est également organisée en Europe où près de 12 000 actions ont été organisées dans plus de 23 pays.

    Voici une des actions locales :

    OM-SERD-2014-GA-affiche.jpg

    Atelier gratuit accommoder ses restes avec la 2C2A et le FJEP-CS de Vouziers

     Découvrez et réalisez des recettes que vous pourrez reproduire à la maison !

     Samedi 22 novembre de 9h à 13h
     RDV au FJEP - Centre Social, 15 rue du Champ de Foire à Vouziers
    Inscription obligatoire auprès de la 2C2A : Justine Chardin - 03 24 30 55 71