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écologie

  • A la découverte des champignons

    L'automne,c'est la saison des champignons. Plusieurs animations sont proposées sur ce thème par la maison de la nature de Boult aux Bois

    Téléphone : 03 24 30 24 98

    maisonnatureboult@gmail.com

     

    Sortie "initiation", le "bé à ba" des champignons

    Mercredi 04 octobre : 14h-17h

    Mercredi 11 octobre après-midi : 14h-17h

    Mercredi 18 octobre en matinée : 9h00-12h00

    Pour les enfants et les débutants !

    Qu'est-ce qu'un champignon, les différentes familles, reconnaissance et collecte des principaux champignons comestibles.

     

    Soirée conférence "les champignons"

    Vendredi 06 octobre

    Les champignons sont essentiels au fonctionnement des écosystèmes. Indispensables à la plupart des plantes, ils ont un rôle dans la répartition des espèces végétales en milieu forestier ainsi que dans les prairies, participent à la formation des sols, qui sont en grand danger actuellement, et stockent du carbone. Venez assister à cette conférence-débat, que viendra animer le mycologue Lionel Ferry.

    Entrée gratuite et ouverte à tous, possibilité de participation libre.

     

    Les champignons de la forêt de Boult-aux-Bois

    le dimanche 8 octobre

    Une journée conviviale complète pour découvrir et apprendre à reconnaître les champignons avec les mycologues de la SHNA et de nature et avenir.De 9h à 17h.

    Tenue adaptée aux conditions météorologiques (bottes, bouteille d'eau, chapeau...), inscription obligatoire, 10€/personne, à partir de 5ans. 

    Exposition "champignons à la Maison de la Nature"

    Lundi 09, mardi 10 toute la journée et mercredi 11 octobre jusque 12h

    Exposition « champignons à la Maison de la Nature »Prévoyez de rester 30 à 60 minutes pour découvrir les champignons de la forêt domaniale de la Croix aux Bois, regarder les photographies de Mme Béatrice Bourga et échanger avec les animateurs de la Maison de la Nature.

    Prévoir entre 30 et 60 minutes Entrée gratuite et ouverte à tous avec possibilité de participation libre. 

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  • Les haies, un enjeu majeur de la biodiversité de nos campagnes

    Communiqué de la LPO du 29 septembre 2023

    La France perd tous les ans plus de 20 000 km de haies selon un rapport du Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) publié le 24 avril 2023. Ce rythme a doublé au cours des 10 dernières années en dépit des nouvelles plantations effectuées. Depuis 1950, près de 70% des haies ont ainsi disparu des bocages français. En cause : le remembrement des parcelles agricoles, la mécanisation de l’agriculture, l’expansion urbaine, le non entretien des haies et le déclin de l’élevage extensif.

    Pourquoi tant de haies ?

    Habitats indispensables à la survie de nombreuses espèces sauvages, les haies limitent également l’érosion des sols, participent au stockage du carbone, régulent la ressource en eau, fournissent de l’ombre pour le bétail, tout en ayant un effet coupe-vent.

    Suite aux annonces faites ce jour par le Ministre de l’Agriculture, nos organisations de protection de la nature saluent l’objectif de replantation visant un gain net total de 50.000 km de haies d’ici 2030. Elles se réjouissent également de la mobilisation d’une enveloppe de 100 millions d’euros en accompagnement de cet objectif dès 2024, mais insistent sur la nécessité que celle-ci soit reconduite chaque année jusqu’à 2030.

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  • Propositions pour un renouvellement forestier adapté au changement climatique

    Dans un contexte de réécriture des politiques forestières pour faire face aux crises conjointes du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité, le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire publie un rapport intitulé “Objectif Forêt” aux contours flous et à la destination inconnue. En lieu et place d’une stratégie, le ministère livre ici un document incomplet et trompeur sur l’état des dissensus entre la filière, la société civile et le Gouvernement. France Nature Environnement, la LPO, le Comité Français de l’UICN, les Réserves Naturelles de France, le WWF et Canopée livrent leur analyse et leurs recommandations pour une véritable stratégie de renouvellement des forêts.

    En réunissant les représentant·es de la filière et de la société civile au printemps 2023, le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire promettait une stratégie de renouvellement des forêts adaptée aux crises du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité, tout en assurant un soutien économique à la filière forêt-bois. Malgré de nombreux dissensus exprimés lors des réunions de consultation, le ministère a fait le choix de publier un rapport monolithique, ne faisant l’exposé que de certaines positions – potentiellement dévastatrices d’un point de vue écologique – en occultant les divergences d’opinion et les avis scientifiques contraires.

     

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  • Planification écologique : des avancées mais...

    Communiqué de presse de FNE du 26.09.2023.

    France Nature Environnement, à l’instar d’autres associations, a participé à la présentation du 18 septembre à Matignon de la première version de la planification écologique. Nous faisons le constat de l’avancée considérable de la place de l’environnement dans les politiques publiques : l’environnement est enfin reconnu comme un sujet global et transversal au-dessus des arbitrages interministériels traditionnels. 

    Nous sommes aussi heureux de constater que l’ampleur des enjeux, les objectifs et la réalité des efforts soient enfin partagés par l’ensemble des acteurs. Il s’agit là de l’apport le plus tangible du travail de la planification écologique. 

    Cependant, le plan tel qu’il a été proposé n’est pas à la hauteur d’une transition réussie pour la France, dans ses mobilités, son habitat, son alimentation, la façon de travailler, ses solidarités. Il s’agit plutôt d’une première « programmation » présentée comme susceptible de répondre à l’objectif de -55 % de GES (gaz à effets de serre, calculé en équivalents CO2) en 2030, en décidant d’une répartition des efforts à fournir par ailleurs très discutable.  

     Plusieurs éléments indispensables font défaut : 

    • une déclinaison territoriale encadrée par un Etat stratège qui donnerait des droits et des devoirs garantissant l’intérêt général, 
    • un budget dédié, qui permettrait de financer les objectifs fixés  : seuls 7 milliards sont annoncés, sur les 60 milliards d’investissements annuels qu’impose une réelle transition écologique, 
    • une conditionnalité écologique des investissements publics et privés (les banques sont absentes du document). 

     La majorité des trajectoires reposent sur des fortes ruptures de pente dès 2024, et des hypothèses très optimistes. 

    Une méthode qui interroge 

    Le processus démocratique à partir duquel cette planification a été élaborée nous laisse interrogatifs. La démocratie participative en matière d’environnement est pourtant inscrite dans l’article 7 de la Charte de l’Environnement adossée à la Constitution. Or si l’on voit bien comment les principaux acteurs industriels, économiques, ou agricoles ont pesé dans l’orientation de la répartition des efforts, les grandes associations de protection de l’environnement en ont été absentes. 

    Les mesures présentées n’ont fait l’objet d’aucune consultation des associations de protection de l’environnement (citée seulement trois fois dans le document de 78 pages !), ni de procédure de démocratie participative. Sa place auprès des autres instruments devant assurer la « transition écologique » (Stratégie Française pour l’Energie et le Climat SFEC, la programmation pluri-annuelle de l’énergie PPE, la stratégie nationale biodiversité SNB, le plan national d’adaptation au changement climatique PNACC, non mentionnés dans le document), tout comme le rôle du Conseil National de la Transition Ecologique (CNTE), du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE), de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) ou plus globalement la participation du public dans sa construction, n’est pas précisée. 

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  • Agrivoltaïsme : plus de 200 organisations disent non !

     

    Sans%20titre-1.pngPeu disert sur l’agriculture lors de la présentation de la planification écologique, le Président E. Macron a fait le choix de mauvaises pistes pour le monde agricole. Pour le Président, il faut « travailler avec les agriculteurs pour leur permettre d’avoir, par l’écologie, une réponse à la baisse des rendements : par l’agrivoltaïsme, la biomasse, les carburants durables ».

    Pour la Confédération paysanne, cette réponse va conduire les paysan·nes à devenir des énergéticiens, faute de revenus issus de leur production agricole et alimentaire. Encore une fois, il n'est pas questionderéguler les marchés pour protéger et garantir le revenu des paysan·nes.

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  • L’opé­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­­tion « Ma haie pour les abeilles » est lancée !

     

     Surveillez votre boîte à lettres cette semaine ! Vous y trou­­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­­rez le livret de présen­­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­­tion et le bon de commande pour parti­­­­­­­­­­ci­­­­­­­­­­per à cette nouvelle opéra­­­­­­­­­­tion (enre­gis­tre­ment des commandes du 2 au 20 octobre 2023).

     Vous pour­­­­­­­­­­rez ainsi obte­­­­­­­­­­nir des plants pour haies, petits frui­­­­­­­­­­tiers, frui­­­­­­­­­­tiers, acces­­­­­­­­­­soires et abris pour la faune sauvage à tarifs préfé­­­­­­­­­­ren­­­­­­­­­­tiels, afin de favo­­­­­­­­­­ri­­­­­­­­­­ser la biodi­­­­­­­­­­ver­­­­­­­­­­sité autour de chez vous.

     Les agri­­­­­­­­­­cul­­­­­­­­­­teurs·­­­­­­­­­­trices, communes et établis­­­­­­­­­­se­­­­­­­­­­ments scolaires, peuvent aussi béné­­­­­­­­­­fi­­­­­­­­­­cier d’une aide spéci­­­­­­­­­­fique pour plan­­­­­­­­­­ter dans certains secteurs, créer des mares et bandes fleu­­­­­­­­­­ries.

    Plus d’in­­­­­­­­­­fos : Ma Haie pour les Abeilles

    Contact : Service Trame Verte et Bleue, Valé­­­­­­­­­­rie GENESSEAUX ou Mona GAREL-YOH, mahaie@ar­­­­­­­­­­gonne-arden­­­­­­­­­­naise.fr 

    Programme piloté par votre Commu­­­­­­­­­­nauté de Communes dans le cadre de l’ap­­­­­­­­­­pel à projets Trame Verte et Bleue Grand Est.

    L’opé­­­­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­­­­­tion s’ins­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­crit dans un vaste programme pluri­an­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­nuel de restau­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­tion et de valo­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ri­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­sa­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­tion de la avec les asso­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­cia­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­tions locales (Regrou­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­pe­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ment des Natu­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­listes Arden­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­nais, Réseau Biodi­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­ver­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­sité pour les Abeilles, Maison de la Nature de Boult-aux-Bois et Conser­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­va­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­toire d’es­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­paces natu­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­rels de Cham­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­pagne-Ardenne), en réponse à l’ap­­­­­­­­­­­­pel à projets Trame Verte et Bleue Grand Est.

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  • Agriculture biologique : la solution n’est pas dans la Tech’ mais dans un réel soutien aux paysan·nes

    Communiqué de la Confédération Paysanne le 20.09.2023

    Alors qu'une crise sans précédent touche toutes les productions en agriculture biologique, le Ministre de l'agriculture se rend au salon Tech&Bio, organisé à Bourg-lès-Valence dans la Drôme les 20 et 21 septembre.

    Le petit refrain de la « bio trop chère » pour les Français·es, accompagné des couplets sur l'aide alimentaire et le panier inflation, sont des attaques frontales aux pratiques agricoles qui protègent l'eau, les sols et l'alimentation. Cela ne dérange, visiblement pas le Gouvernement de faire payer les externalités négatives de l'agro-industrie aux citoyen∙nes. Par exemple, le coût de dépollution de l'eau lié à l'agriculture conventionnelle s'élève à plus milliard d'euros par an.

    Plus que jamais, s'affranchir des pesticides de synthèse avec un accompagnement des politiques publiques est une nécessité. Des politiques publiques structurelles qui permettent aux paysan∙nes de travailler en agriculture biologique, de tirer un revenu de leur activité, en offrant une alimentation de qualité pour tous et toutes, est donc un impératif. Nous ne pouvons plus faire l'impasse sur un soutien massif à l'agriculture biologique.

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