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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 11

  • Jour de la Nuit : allons vers la sobriété lumineuse !

    Une nuit pour rallumer les étoiles...

    Le Jour De La Nuit est un évènement de sensibilisation à la pollution lumineuse, à la protection de la biodiversité nocturne et d'émerveillement à la magie du ciel étoilé. Et cela dans toute la France... et au Québec depuis 2023 !

    Porté par Agir pour l'environnement depuis notre création en 2008, nous rassemblons chaque année des centaines d'acteurs ! Que ce soient des communes aux associations, en passant par les parcs régionaux ou des passionnés, tous se mobilisent pour éteindre les lumières et proposer des animations accessibles à tous !

    Car la nuit abrite la vie, car elle se vit sans lumière, car le ciel est un patrimoine à protéger.
    Parce que la pollution lumineuse bouleverse les écosystèmes, gaspille de l'énergie, nous éloigne des étoiles.
    Le Jour De La Nuit, c'est l'occasion de changer de regard sur les lumières artificielles et de se retrouver dans le monde de la nuit.

    Pourquoi lutter contre la pollution lumineuse ?

    La pollution lumineuse est un sujet qui prend de l’ampleur en France, les études scientifiques sur l’impact de l’éclairage artificiel démontrant les impacts de l’excès d’éclairage sur la biodiversité et sur la santé humaine se multiplient. L’excès de lumière artificielle peut provenir d’un éclairage public mal-adapté, ou bien d’éclairages publicitaires et privés la nuit.

    Notons que parmi toutes les pollutions existantes, la pollution lumineuse est facilement réversible : en éteignant les lumières et en mettant en place de véritables mesures d’encadrement des nuisances lumineuses, la pression sur les milieux disparaîtrait.

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  • #ÇaNeTientPlus ! LES ASSOCIATIONS SE MOBILISENT LE 11 OCTOBRE

    Les associations, c’est 20 millions de bénévoles, 1,8 million de salarié-es et 67 millions de Françaises et de Français concernés par leurs actions.

    Elles agissent dans tous les territoires, dans toutes les sphères de la vie quotidienne. Solidarités, éducation populaire, culture, sport, santé, environnement, accompagnement des plus fragiles, les associations sont au cœur de nos vies, au cœur de notre société, en France et à l’international.

    Elles donnent une voix à celles et ceux qui n’en ont pas, elles créent du lien, elles permettent l’engagement citoyen, elles rendent possible l’impossible.

    Pourtant, elles traversent une crise sans précédent : alors que la précarité s’accroit en même temps que les besoins, la baisse de leurs financements fragilise les associations dans leur fonctionnement quotidien et elles sont menacées dans leur capacité à maintenir leurs activités et leurs emplois…

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  • Toujours trop de faux produits « verts », selon la répression des fraudes

    Article publié dans Reporterre le premier octobre 2025

    Du « parpaing vert », des tee-shirts « upcyclés » mais neufs, une production de chocolat décarbonée qui ne l’était pas encore… Voici quelques exemples de fausses allégations environnementales débusquées par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) au cours des enquêtes qu’elle a menées en 2023 et 2024 auprès de plus de 3 000 établissements, notamment dans les secteurs du textile, de l’ameublement, des cosmétiques et des produits alimentaires.

    Le bilan publié le 1er octobre n’est guère reluisant : l’utilisation d’allégations environnementales imprécises, injustifiées ou totalement interdites est récurrente, constate la DGCCRF.

    Plus de 15 % des professionnels contrôlés ont présenté des manquements graves et ont été sanctionnés.

    « Les infractions les plus graves ont donné lieu à plus de 430 injonctions de mise en conformité et plus de 70 amendes administratives et procès-verbaux pénaux, principalement pour des pratiques commerciales trompeuses ou la présence de mentions interdites », détaille la DGCCRF. Les enquêteurs ont également adressé plus de 500 avertissements pour rappeler aux professionnels leurs obligations et leur permettre de mieux maîtriser la règlementation.

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  • Concert Naguine Swing Quartett

    Deux guitares, un violon, une contrebasse. La formule est un classique du swing gipsy , mais le répertoire explore le blues, le swing, la musique latine, les arrangements sont riches et les improvisations virevoltent. Une musique énergique, virtuose et dansante qui fait la part belle au jazz traditionnel.Réservation conseillée (place limitée) – 12 €  3€ par billet seront reversés à l’association Octobre Rose

    .Org. : Les Amis de l’Abbaye de Chéhéry 

    Samedi 11 octobre à 18h00
     Abbaye de Chéhéry
    Tarif : 12 €
     3 € seront reversés à Octobre Rose

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  • Les protestations au Népal sont le résultat d’une révolution avortée

    Article publié le 30 septembre, écrit par  par Sushovan Dhar pour le CADTM (extraits)

    Au cours du mois dernier, le Népal, pays enclavé de l’Himalaya, a connu les manifestations les plus violentes depuis près de deux décennies. Si le déclencheur immédiat a été l’interdiction des réseaux sociaux par le gouvernement, le soulèvement s’est rapidement transformé en une révolte nationale contre des problèmes socio-économiques plus larges tels que la corruption, le chômage et la dérive autoritaire du pays.

    Des dizaines de milliers de jeunes, pour la plupart adolescents ou âgés d’une vingtaine d’années, ont envahi les rues de Katmandou, Pokhara et Biratnagar. Ils ont démoli des barricades, affronté les forces de sécurité et rempli la capitale de chants de défi.

    La réponse de l’État a été rapide et brutale : balles en caoutchouc, canons à eau, gaz lacrymogènes et tirs à balles réelles. À la mi-septembre, au moins 72 personnes avaient trouvé la mort et plus de 2 000 avaient été blessées.

    Vague de révolte

    Le « mouvement de la génération Z », comme on l’appelle, s’inscrit dans une vague de révolte régionale plus large. De Colombo en 2022, où les Sri-Lankais ont contraint leur président à fuir, à Dhaka en 2024-2025, où des manifestations généralisées ont conduit au renversement du gouvernement de Sheikh Hasina, les populations de toute l’Asie du Sud se soulèvent. Elles s’attaquent aux élites dont les politiques les privent de l’accès même aux produits de première nécessité.

     

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  • DNC : l’État doit trouver une véritable solution pour les animaux coincés en zone réglementée !

    Communiqué de la Confédération Paysanne le 29.09.2025

    Alors que le nombre d'animaux à héberger et les énergies déployées par les paysan·nes pour trouver des solutions sont énormes, le Ministère n'a annoncé que l'ouverture des lycées agricoles et une maigre incitation financière. L'Etat propose de fausses solutions et persiste à justifier les mesures prises, alors qu'elles se révèlent inefficaces sur le terrain. Ces réponses inadaptées n'apportent pas de véritable perspective aux éleveur·euses qui se trouvent dans l'impasse : plus de 2.000 génisses et vaches en estive ont commencé à vêler ou s'en approchent, sous la neige, sans herbe. Plusieurs milliers de veaux et de broutards coincés dans les fermes, qui auraient dû partir dans des fermes d'engraissement en zone indemne, génèrent une charge de travail devenue insupportable pour les éleveur·euses déjà épuisé·es par la gestion de la Dermatose nodulaire contagieuse (DNC) cet été.

    Encore une fois, la stratégie de l'Etat vis-à-vis de la DNC a montré ses failles. C'était déjà le cas tout au long de l'été, la peur de l'abattage total ayant conduit plusieurs éleveur·euses à transporter des animaux à l'abri des regards, prenant le risque de propager la maladie. L'apparition d'un nouveau cas dans le Rhône, à 100 km des autres foyers, montre que les règles drastiques génèrent des stratégies de contournement aux interdictions imposées.

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  • Affaire Sarkozy : respecter les juridictions pour respecter l’Etat de droit

    Communiqué commun du  1er octobre 2025

    Les juges appliquent la loi votée par le Parlement et l’article 64 de la Constitution fait du président de la République le garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire.

    Il est particulièrement choquant que N. Sarkozy, ancien président de la République, attaque des magistrats. En les ciblant, il les expose. Ainsi, la présidente du tribunal l’ayant jugé, au sein d’une formation collégiale, a reçu des menaces de mort et est désormais placée sous protection policière.

    Sarkozy, ainsi que d’autres responsables politiques, s’indigne de l’exécution provisoire de sa peine, étant présumé innocent tant que le jugement n’est pas irrévocable. Il s’agit pourtant de l’application de dispositions légales, qu’il est certes possible de critiquer mais qui ont été votées par le Parlement et qu’il n’a jamais remis en cause lorsqu’il était ministre de l’Intérieur ou président de la République, et qu’il tançait le supposé laxisme des juges.

    Une fois de plus, un responsable politique demande à bénéficier de privilèges, et à échapper aux rigueurs de la loi.

    Comment, quelqu’un qui a été aux plus hautes responsabilités peut-il pointer des juges qui prennent des décisions conformément aux lois en vigueur ?

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