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société - Page 53

  • Café citoyen le 16 mai à Boult aux Bois

    Le 16 mai, la MARS coorganise un café citoyen sur les usages du numérique, et plus particulièrement sur les logiciels libres.

    C'est gratuit et accessible pour tout le monde, que vous y connaissiez quelque chose ou pas du tout !

    Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement1, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus (source Wikipéia)

    Rdv à 18h30 au CERFE/MNB situé 5 rue de la Heronnière à Boult.

    Ce café citoyen sera animé par des pédagogues et spécialistes d'ILArd (Informatique Libre en Ardenne).

     

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  • 3 mai, Journée mondiale de la liberté de la presse : la liberté d’expression, clé de voûte des droits humains

    Éditorial de Cartooning for peace du 03.05.2023

    Pour ce 30e anniversaire de la journée mondiale de la liberté de la presse, l’UNESCO a choisi le siège des Nations unies pour célébrer l’événement, placé cette année sous le signe des droits humains : « Façonner un avenir des droits : la liberté d’expression, clé de voûte des droits humains ».

    Une nouvelle analyse de l’UNESCO, établie à partir de données collectées dans 180 pays, démontre une forte corrélation entre la liberté d’expression et le respect des droits humains : dans les pays où la liberté d’expression est la plus respectée, on observe des niveaux de protection des droits civils, politiques, économiques et sociaux nettement supérieurs. Elle constitue « l’élément essentiel à la jouissance et à la protection de tous les autres droits de l’Homme », indique l’Organisation dans son communiqué.

    Une raison supplémentaire s’il en fallait pour que, comme chaque année, Cartooning for Peace et l’UNESCO s’associent pour l’occasion.

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  • Le Conseil d’Etat enterre définitivement les néonicotinoïdes

    Communiqué de la LPO le 04.05.2023

    La plus haute juridiction administrative française vient d'annuler a posteriori les dérogations qui avaient autorisé en 2021 et 2022 l'usage de ces pesticides dangereux pour la biodiversité dans les cultures de betteraves.

    Après la justice européenne, c’est au tour du Conseil d’État de confirmer, dans une décision rendue le 3 mai 2023, que l’usage dérogatoire de substances néonicotinoïdes accordé aux betteraviers en 2021 et 2022 était bien illégal !

    Strictement identique à ceux de 2021 et 2022, un projet d’arrêté avait été présenté le 3 janvier 2023 afin de renouveler, pour une durée de 120 jours à compter de sa signature, la dérogation permettant l’emploi de semences de betteraves sucrières enrobées de la substance insecticide imidaclopride ou thiamethoxam, qui élimine les pucerons vecteurs de la jaunisse.

    Ce renouvellement correspondait à l’application de la loi du 14 décembre 2020 « relative aux conditions de mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques en cas de danger sanitaire pour les betteraves sucrières », à laquelle la LPO s’était alors opposée (avant d'être débouté par le Conseil d’État !) et dont les dispositions permettaient aux betteraviers de déroger temporairement jusqu’au 1er juillet 2023 à l’interdiction d’utilisation des néonicotinoïdes en vigueur depuis le 1er septembre 2018 suite à la loi biodiversité du 8 août 2016.

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  • La défense des libertés est devenue le sujet le plus brûlant de la période.

    Tribune du président de la LDH, Patrick Baudouin, et de ses présidents et présidente d’honneur : Henri Leclerc, Jean-Pierre Dubois, Pierre Tartakowsky, Françoise Dumont, Malik Salemkour.

    Depuis quelques jours, le procès est instruit, tambour battant. La Ligue des droits de l’Homme (LDH) ne serait plus elle-même, elle aurait changé, basculé du côté obscur des forces ennemies de la République, islamistes et autres « écoterroristes »… Les procureurs se bousculent : un ministre de l’intérieur, une première ministre s’activent aux côtés d’une brochette de polémistes toujours prompts à chasser en meute le « droit-de-l’Hommiste ». L’un propose que l’on examine de près ses ressources, l’autre enfonce le clou.

    Qui a changé ? Certainement pas la LDH. Fondée dans la lutte contre l’antisémitisme et une raison d’Etat prévalant sur les droits de l’Homme et du citoyen, elle n’a jamais renié les principes de défense universelle des droits qui la guident depuis cent vingt-cinq ans. Contre la peine de mort, elle a défendu le droit à la vie ; contre l’arbitraire des tribunaux militaires, elle a obtenu leur dissolution ; contre la torture et les traitements dégradants, elle a défendu le droit à un procès équitable. Elle s’est dressée contre l’intrusion proliférante des fichiers, elle a campé aux côtés des indépendantistes kanaks, joué un rôle dans le processus de paix au Pays basque, combattu les violences policières, quels que soient les gouvernements en place.

    Elle a fait vivre la fraternité aux côtés des migrants et des sans-papiers, elle combat aujourd’hui pour l’effectivité du droit à l’interruption volontaire de grossesse, accompagne les manifestations pacifiques pour une vraie politique face au changement climatique. La LDH, oui, considère, même lorsque cela dérange les pouvoirs en place, que les droits fondamentaux valent pour toutes et tous. Qu’ils valent donc pour des personnes dont elle n’approuve rien des idées ni des actes, qu’il s’agisse des collaborateurs en 1945 ou des djihadistes d’aujourd’hui.

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  • Marché de printemps à Vouziers le 05 mai

    De 13h30 à 17h à la salle des fêtes | Organisé par l'EDPAMS avec le Foyer de vie de Vouziers, la Baraudelle, l'Orme Joyeux, la Communauté de Communes de l'Argonne Ardennaise, l'ensemble scolaire Saint-Louis, la Résidence La Demoiselle, la Mairie de Vouziers et le GEM | Animations : parcours moteur, gym douce, initiation handisport, animation culinaire, vente de réalisations diverses | Entrée libre 

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  • À Paris, des militant·es déploient une banderole géante contre l’extrême-droite à la manifestation du 1er mai

    Communiqué du lundi 1er mai 2023, par Attac France, Jeune Garde Paris, VISA

    Aujourd’hui, 1er mai, fête des travailleuses et des travailleurs, des militant·es d’Attac, de la Jeune Garde Paris et de Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes (VISA) déploient une banderole géante de 24 mètres de longueur et 5 mètres de hauteur "Contre le fascisme et la misère, la lutte sociale est nécessaire. L’extrême-droite est l’ennemie des travailleuses et des travailleurs !" le long du parcours de la manifestation intersyndicale du 1er mai.
    Cette action rappelle que, malgré les tentatives de récupération par l’extrême-droite de ce jalon de l’histoire militante, le 1er mai a toujours été et reste une date symbolique de l’émancipation.

    Le 1er mai est issu d’un mouvement de grève pour la réduction du temps de travail initié aux États-Unis en 1884 et d’une solidarité internationale face à la répression sanglante que ce dernier a subie. Depuis lors, des millions de personnes se mobilisent chaque année dans le monde pour l’émancipation des travailleur·euses et réclamer de nouveaux droits. Cette année ne fait pas exception puisque le 1er mai s’inscrit dans un mouvement social historique contre la réforme des retraites portant l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une durée de cotisation de 43 ans.

    « L’extrême-droite a historiquement toujours essayé de contrer cette date symbolique en tentant de la récupérer. En 1941, le Maréchal Pétain instaure le 1er mai comme « Fête du Travail », transformant donc cette journée en fête de l’exploitation salariale. C’est à ce moment-là que ce jour devient férié pour contrer les mouvements de grève. Le Front National a par la suite essayé de voler le 1er mai sans réussite. » Raphaël Arnault, porte-parole de la Jeune Garde.

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  • Communiqué commun à la mémoire de Brahim Bouarram et de toutes les victimes de crimes racistes

    Le 1er mai 1995, Brahim Bouarram, 29 ans, profitait d’une journée ensoleillée sous le pont du Carrousel. Il ne savait pas qu’on allait le précipiter dans la Seine et mettre fin à ses jours. Les assassins venaient de quitter le défilé du Front National. La haine raciste fomentée par le FN a armé les mains de ses assassins.

    Depuis, d’autres noms se sont ajoutés à la liste sinistre des victimes de crimes racistes.

    C’est à sa mémoire et à celles de toutes les victimes du racisme dans ce pays, en souvenir à la souffrance de leurs proches que nous nous rassemblons ici, sur le lieu du crime innommable, le 1er mai de chaque année.

    Vingt-huit ans plus tard, le racisme a aussi gangréné la société sous d’autres formes : la xénophobie, l’antisémitisme, l’islamophobie, la ségrégation, la relégation, les discriminations aux droits fondamentaux, la systématisation des contrôles au faciès, des violences policières. C’est toujours sous d’autres formes que le racisme s’enracine, avec la montée des extrêmes droites et des droites extrêmes. Avec l’instauration de la nouvelle doctrine du maintien de l’ordre public qui menace tous ceux qui s’opposent aux politiques gouvernementales, en intégrant des mesures d’exception dans le droit commun, les politiques publiques ont mis en cause les libertés fondamentales et les droits économiques et sociaux des plus défavorisés.

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