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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 636

  • Votre avis les intéresse, profitez-en !

    Un cabinet d'étude réalise actuellement une enquête sur les besoins en services publics sur le territoire de la 2C2A.

    Après s'être adressé aux élus et à différents organismes locaux, le cabinet d'étude interroge actuellement les habitants du secteur .

    Cet état des lieux et des besoins doit déboucher à "un schéma des services, qui esquissera un maillageSchema-services-enquete-540px.jpg du territoire cohérent et efficace". Il reste à savoir de quels moyens disposera la communauté de communes pour mettre en application les préconisations de cette étude.

    Le cabinet d'étude va aller au devant d'un échantillon de la population, mais il est aussi possible de répondre de manière spontannée. Le site de la 2C2A nous y invite :

    La 2C2A et le cabinet IAD réalisent actuellement un état des lieux des services publics et au public, afin de proposer un schéma d'organisation des services.

    Du 4 au 15 mars, une enquête est organisée auprès de la population. L'objectif est de faire participer au moins 300 habitants de l'Argonne Ardennaise. Il est donc possible que des enquêteurs vous sollicitent sur des lieux publics.

    Vous pouvez aussi répondre à l'enquête par vous-même, et la renvoyer par email ou la déposer aux services de la 2C2A
    Télécharger le fichier (Word - 180 Ko)

    Plus d'informations 

    Ce travail tombe au moment où des petits collèges sont menacés et où le GHSA se débat dans des difficultés financières qui font craindre de nouvelles disparitions de services.

    Il est difficile de lister tous les services disparus ces dernières années (gare SNCF, tribunal, bureaux EDF et GDF, lycée professionnel,...) mais il y a beaucoup à écrire sur cette évolution qui enlève petit à petit des forces vives au territoire.

    Alors à vos plumes, que chacun s'exprime et fasse connaître ses besoins en services publics.

  • Fukushima : le temps ne fait rien à l’affaire…

    Communiqué de la FNE

    Deux ans après, la contamination générée par la catastrophe de Fukushima suit son cours. On voudrait croire qu’une période de deux ans, c’est suffisant pour effacer les traces d’une catastrophe. Quand celle-ci est nucléaire, deux années équivalent à deux heures…


    Les conséquences de Fukushima, passées sous silence

    Deux ans après Fukushima, on n'entend plus beaucoup parler de la vie au quotidien de tous ceux qui ont dû quitter pour toujours leurs maisons, de ceux qui ont choisi d'y rester en tentant désespérément de nettoyer tous les jours une contamination qui revient régulièrement car les forêts toutes proches sont contaminées et qu'on ne sait pas décontaminer une forêt. On ne parle pas non plus de tous les agriculteurs qui se sont suicidés devant l'impossibilité de poursuivre leur métier. Sous la pression forcenée du gouvernement central, deux réacteurs ont été remis en route. Le coût total de cette catastrophe n'est pas encore connu, mais de toute façon, elle sera intégralement à la charge des citoyens.

    La transition énergétique ne passe pas par le nucléaire

    Alors que nous menons en France un débat sur la transition énergétique, alors que l'IRSN vient d'évaluer ce que nous coûterait un accident majeur avec fusion du cœur et alors que l'EPR n'en finit pas de faire exploser la facture et d’accumuler les retards, certains tentent encore de nous faire croire que l'énergie nucléaire est une énergie d'avenir. Pour FNE, il est urgent d’anticiper la fin de la production nucléaire.

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    Une chaîne humaine pour encercler les lieux de pouvoir

    Pour toutes ces raisons, FNE apporte son soutien à la réalisation d’une chaîne humaine, le 9 mars prochain en région parisienne, pour y encercler les lieux de pouvoir. Bien sûr, le siège de la société AREVA sera concerné par cette manifestation. Rappelons qu’AREVA, qui avait osé dire, au moment de la catastrophe, qu'il n'y aurait pas eu de problème si les japonais avaient construit un EPR, prépare aujourd’hui un convoi de MOX pour le japon, probablement celui-là même qu'elle comptait lui envoyer quelques jours après le 11 mars 2011. Il semblerait que l’éthique soit un concept inconnu du monde nucléaire.

    Bruno Genty, président de FNE : « faut-il rappeler que la France est la dernière des quatre nations les plus nucléarisées au monde à ne pas avoir connu de catastrophe majeure ? Pourquoi la France attend-t-elle cette catastrophe pour changer son fusil d’épaule ? Non seulement, l’énergie nucléaire fait peser une lourde menace sur les populations mais en plus, elle ne permet pas, contrairement à ce que crient ses plus farouches partisans, de proposer une électricité à bas coût. De manière plus probante que le discours d’un écologiste, l’augmentation régulière de la facture devrait finir de convaincre les citoyens les plus sceptiques que la seule solution réside dans les économies d’énergie. »

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  • Taxation du diesel : enterrée avant d’avoir été discutée ?

    Communiqué de la FNE

    Les déclarations tenues hier au salon de l’automobile par le Ministre du redressement productif, selon lesquelles « aucune décision ne serait prise en 2013 » sur une éventuelle prime à la reconversion, ajoutant que la question de la taxation du diesel n’était « pas à l’ordre du jour» sont inacceptables pour les associations de protection de l’environnement.


    Quand l’industrie décide pour Bercy

    Ce sujet figure pourtant en première place de l’ordre du jour du Comité pour la fiscalité écologique, mis en place à la suite de la conférence environnementale. Les conclusions de ce comité sont attendues pour mi-juin. Conclusions, qui, selon le mandat de ce comité, devront être examinées par le Gouvernement et alimenter le projet de loi de finances pour 2014.

    La suppression progressive des avantages fiscaux du diesel serait un premier pas pour converger vers la moyenne européenne en matière de fiscalité écologique, conformément à l’engagement du Premier ministre lors de la conférence environnementale.

    Pour Lorelei Limousin du RAC-France « est-il encore nécessaire de rappeler que cet avantage fiscal, qui chaque année grève pour près de 7 milliards le budget de l’Etat, n’est justifié ni d’un point de vue environnemental, ni d’un point de vue de la santé et encore moins d’un point de vue économique ? ». 1

    Financer l’alternative et engager la transition

    L’argent issu de la suppression progressive de cette niche fiscale permettrait de financer des alternatives à la voiture individuelle et de compenser, pour partie, le surcoût pesant sur le budget des ménages les plus modestes. Pour les associations, « la fiscalité n'est pas nécessairement confiscatoire. Elle peut être redistributive et ainsi permettre d'être socialement juste et écologiquement efficace, alors qu’aujourd’hui l'incitation fiscale au diesel est payée directement par les contribuables (y compris celles et ceux qui n'ont pas de voitures) et par l'assurance maladie. »

    Pour Michel Dubromel de FNE « le relèvement du taux de taxe sur le diesel constitue une des réponses aupollution_sergiyserdyuk_fotolia_cp.jpg grave problème de santé publique auquel la France est confrontée et qu’aucune mesure existante n’a véritablement tenté de résorber à ce jour. Refuser d’en discuter avant même que le débat sur la transition énergétique ne soit clos et que le comité sur la fiscalité écologique n’ait rendu ses conclusions représente tout simplement un pied de nez au processus de concertation annoncé par le Président de la République ».

    Nos associations appellent le Premier Ministre à clarifier au plus vite la positiondu Gouvernement sur ce sujet, à se montrer cohérent et fermeet à laisser la porte ouverte aux débats. La France est toujours située à l’avant-dernier rang au niveau européen en matière de fiscalité écologique.Repousser en fin de mandat l’adoption des mesures fortes qui s’imposent aujourd’hui pour rattraper ce retard n’est pas une option.


    1
    Les particules fines qui émanent notamment des véhicules diesel causent la mort prématurée de 42000 personnes par an. Sur le plan économique, cet avantage fiscal n’est favorable ni à la compétitivité des raffineries, ni à la résorption du déficit commercial.

  • Encore deux ou trois accidents, et tout ira bien...

    En matière de sûreté nucléaire, on a entendu pendant des dizaines d'années un discours lénifiant qui pouvait se résumer en "ne craignez rien, on contrôle tout".

    Depuis les accidents de Tchernobyl et Fukushima, il est devenu très difficile d'affirmer qu'un accident nucléaire est fortement improbable. Les pro-nucléaires adaptent donc leur argumentation en affirmant qu'ils tirent toutes les conséquences des accidents passés pour prendre les mesures nécessaires.

    logoV2.gifAprès Fukushima, l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) a préconisé de renforcer la sécurité sur les centrales nucléaires en France. Des travaux très importants ont été rendus obligatoires, comme par exemple le renforcement du radier sous la centrale de Fessenheim. La vision optimiste est que l'on progresse dans le domaine de la sécurité, la vision réaliste est que l'on ne pourra jamais arriver au risque zéro.

    Dans son rapport publié ce jour , l'IRSN confirme la vulnérabilité des installations, utilisant des "technologies par nature faillibles" et pouvant être " affectées par des perturbations venues de leur environnement". Partant de ce postulat, même si le risque est faible, un accident est inévitable sur un grand nombre d'installations et sur une durée prolongée. Il s'agit d'une loi statistique, et d'un constat historique.

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    Photo de la centrale de Fukushima après l'accident

    Voici un extrait de l'avant-propos du rapport de l'IRSN, qui en dit long sur la confiance que l'on peut accorder aux installations nucléaires en général.

     

    "En matière de sûreté nucléaire, comme dans bien d’autres domaines faisant appel
    à des technologies complexes, le diable est souvent dans les détails,et un accident
    sérieux peut résulter d’un enchaînement malheureux d’évènements sans gravité
    particulière pris individuellement.
    Ces technologies sont par nature faillibles, et elles peuvent aussi être affectées
    par des perturbations venues de leur environnement. La sûreté des installations
    repose donc sur l’anticipation correcte des dispositions nécessaires pour faire
    en sorte que ces défaillances ou agressions externes restent sans conséquence
    majeure.
    Dispositions dont l’efficacité repose essentiellement sur la disponibilité effective
    des équipementsimportants pour la sûreté redondants ou de secours, sur la
    qualité des procédures de conduite, automatiques ou manuelles, et sur la
    compétence et l’entraînement des opérateurs.
    La qualité de la maintenance, l’exhaustivité des études des nombreux scénarios
    possibles d’incidents et de traitement de leurs conséquences possibles,
    l ’appréciation correcte des incertitudes et des marges disponibles, la recherche
    systématique des enseignements à tirer des incidents, même mineurs, qui surviennent
    réellement dans les centrales nucléaires et de leur gestion par les opérateurs, sont
    donc des paramètres essentiels pour la sûreté."
    (...)
  • 8 mars : femmes, égalité !

    Communiqué LDH
    Le principe d’égalité entre les femmes et les hommes est né des luttes politiques des femmes. Le 8 mars, nous commémorons en un jour l’importance de ces luttes quotidiennes.


    Si le principe est garanti par la Constitution, son application pleine et entière reste à conquérir. Et même si cette année 2013 voit la France disposer, comme nous le réclamions, d’une ministre chargée des Droits des femmes, l’action pour les droits ne doit pas baisser d’intensité. Car si la loi proclame l’égalité, ce que nous n’avons pas, c’est l’égalité réelle.

    La Ligue des droits des l’Homme, avec ses militantes et ses militants, s’engage fortement pour faireChereau_Randstad_Egalite_professionnelle_femmes_hommes.jpg avancer cette marche vers l’égalité des droits. La crise financière, économique et sociale nous en éloigne encore plus, avec la précarité accrue de l’emploi, son train d’austérité, ses restrictions budgétaires, les remises en cause de la protection sociale, la dégradation des services publics de santé et d’accueil de la petite enfance… Dans une société encore marquée par le patriarcat, la croissance des inégalités et la dégradation de l’emploi touchent massivement les femmes.

    Face à ces remises en cause, la LDH réaffirme la primauté des droits comme facteur de développement pour toutes et tous. Nous voulons non seulement des droits, mais un accès effectif aux droits. Que toutes les femmes – étudiantes, retraitées, seules avec des enfants ou immigrées, avec ou sans papiers – puissent se soigner, se loger, étudier, travailler, recevoir un juste salaire, élever leurs enfants. Nous voulons que soit mise en œuvre une politique d’éducation à l’égalité.

    Nous ne voulons plus des violences faites aux femmes, et ce combat prioritaire ne saurait être remis à plus tard. Nous sommes solidaires des femmes en lutte contre ces violences, dans le monde entier.

    Femmes et hommes de la LDH, nous attendons du gouvernement des mesures effectives en faveur de l’égalité. La LDH appelle à participer aux initiatives et aux manifestations organisées le 8 mars pour rappeler l’ardente obligation de ce combat.

    Paris, le 4 mars.

  • En cas d'urgence médicale, appelez le 15

    Si le numéro à appeler reste identique, la prise en charge des urgences médicales évolue pour notre secteur.

    Depuis le premier janvier 2013, l'ARS a modifié les secteurs de garde médicale. Pour le Vouzinois, unArdennes.jpg premier secteur regroupe les cantons d'Attigny de Tourteron de Vouziers du Chesne et de Machault. Un deuxième secteur comprend les cantons de Monthois, de Buzancy et de Grandpré.

    Les modalités ont également changé, puisque le médecin généraliste de garde ne le sera plus après minuit. Pour la période "nuit profonde" qui va de 24 h à 08 h, c'est le Smur qui sera chargé d'assurer les urgences, que celles-ci soient de gravité moyenne ou importante.

    A moyen terme (2 ou 3 ans ?), une nouvelle évolution est programmée. Il est prévu de ne laisser qu'un seul secteur pour le Vouzinois, qui regrouperait donc les huit cantons. L'ARS justifie ces choix par la nécessité d'avoir des secteurs avec au moins 25 médecins participant au tour de garde, avec une proportion de 55% de moins de 55 ans. Il faut savoir qu'à l'heure actuelle, seuls 23 médecins participent à la garde médicale sur le secteur prévu à moyen terme. Seront-ils encore aussi nombreux dans quelques années : on peut raisonnablement en douter. Faudra-t-il alors agrandir à nouveau le secteur ?

    Les patients qui devront trouver un médecin de garde auront de plus en plus de kilomètres à parcourir, ce qui n'est pas simple pour beaucoup.

  • Le 9 mars contre le nucléaire

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    Voir le site d'organisation(cliquez ici)

     

    La chaîne suivra un axe principal entre la Défense et Bercy, relié à des grandes boucles dans le quartier de St Lazare et rive gauche. Cette chaîne formera des encerclements autour des lieux de pouvoir où se prennent les décisions sur le nucléaire.

     

    Différentes thématiques seront abordées sur les points de rassemblement, pour comprendre le rôle de chacune de ces institutions dans la politique nucléaire. Des animations et interventions auront lieu en lien avec ces thèmes.

     

    Chaque point de rassemblement est pris en charge par une ou plusieurs organisations membres de la plateforme.

     

    Départ en car depuis CHARLEVILLE MÉZIÈRES - 08logo-sdn.gif
    Via : RETHEL


    Lieu du rendez-vous : Place de l’hôtel de ville de Mézières
    Départ le :
    09/03/2013 à 08:00
    Retour le :
    09/03/2013 à 18:00 (arrivée prévue à : 20:30)
    Nombre de car(s) réservé(s) :
    1
    Tarif : 20 euros
    Infos complémentaires : portable communiqué ultérieurement.

    Les horaires et prix sont susceptibles de changer suivant le transporteur.
    Groupe/association : sortir du nucleaire Ardennes
    Contact pour réservation : Muriel MARTIN
    Tel : 0324320187