Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 542

  • Malala Yousafzai et Kailash Satyarthi Prix Nobel de la Paix 2014

    Lla lycéenne pakistanaise Malala Yousafzai, qui défend le droit à l'éducation, et à Kailash Satyarthi, militant indien des droits des enfants ont reçu le prix Nobel de la paix. Un signal fort pour la défense des droits des enfants.

     

    UNE INCARNATION DE LA DÉFENSE DES DROITS DES ENFANTS DANS LE MONDE

    Le travail que mènent Kailash Satyarthi et Malala Yousafzai incarne le combat  pour la défense de millions d'enfants dans le monde. C'est une récompense pour les militants des droits humains qui se consacrent entièrement à la défense de l'éducation et des droits des enfants les plus vulnérables du monde.

    Le comité Nobel a reconnu l'importance fondamentale des droits de l'enfant pour l'avenir de notre monde. Le choix des lauréats montre que c'est un sujet qui compte pour nous tous, quels que soient notre âge, notre genre, notre pays ou notre religion.

    BzmLObfCMAAFYRc.png

    DEUX PERSONNALITÉS ENGAGÉES DE LONGUE DATE

    Malala donne un exemple fort qui inspire dans le monde entier, et qui a été reconnu à juste titre par le comité Nobel. Le courage dont elle a fait preuve face à une telle adversité est une grande source d'inspiration. Ses actions symbolisent ce que signifie défendre ses droits, par une demande simple qui est le respect du droit fondamental à l'éducation.

    Kailash Satyarthi a consacré sa vie à aider les millions d'enfants en Inde qui sont réduits en esclavage et travaillent dans des conditions extrêmement difficiles. Sa distinction constitue une reconnaissance du travail de campagne mené sans relâche depuis plusieurs décennies par les militants de la société civile sur la traite et le travail des enfants en Inde.

  • Des membres d'une secte font du prosélytisme à la sortie du lycée de Vouziers

    Cet après-midi, les élèves qui sortaient du lycée Masaryk devaient passer devant de bien étranges personnages.

    Postés à droite et à gauche de la sortie, à une dizaine de mètres de l'emprise de l'établissement scolaire, ils tentaient d'aborder les lycéens pour leur porter la "bonne parole". Bien entendu, en tant que secte bien rigide, ils détiennent la vérité, toute la vérité. Et ceux qui ne pensent pas comme eux sont au mieux des ignorants à convaincre, au pire des ennemies à combattre. Le dialogue, la confrontation des idées et des pensées, ce n'est pas leur habitude. Sauf éventuellement pour aborder une personne en souffrance, prête à écouter quiconque  semble lui apporte un réconfort.

    Le succès ne semblait pas évident pour nos prédicateurs, auprès de jeunes pressés de quitter le lycée pour rejoindre un bus, un copain, une famille ...

    Mais pour ces gens, la patience est une arme efficace : ils doivent consacrer un temps très important de leur vie à cette tâche obligatoire, et une étude citée par Wikipedia estime qu'une  conversion demande en moyenne plusieurs milliers d'heures de prosélytisme. Quand on compte 100.000 membres en France, il est possible de recruter pas mal de nouveaux adeptes par ce moyen.

    En France, la liberté de pensée est reconnue, mais comme toute liberté, elle s'arrête à celle des autres. Les sectes font entrer leurs membres dans un monde binaire, fait de gentils et de méchants. Et les grands chefs définissent qui est gentil et sur quels critères. En dehors de cela, les liens familiaux, amicaux n'ont plus d'importance, il s'agit de sauver le monde !

    Et oui, la fin du monde, c'est pour bientôt, c'est même tellement vrai que cela fait plusieurs que la date en a été fixée, puis dépassée et remise à plus tard.

    On pourrait en sourire, mais un tel message peut être vécu comme rassurant  pour un certain nombre de personnes en recherche de protection et de certitudes.

    Et quand ces adultes viennent à la sortie du lycée tenter de convaincre des jeunes de 15 à 18 ans de rejoindre la secte, on ne rit plus du tout.

    18803393.jpg

  • Fête de l’énergie ce week-end dans les Ardennes.

    Deux animations proposées par l'Agence Locale de l'Energie 08 ce week-end

    Dans le cadre de la fête de l’énergie, l’ALE 08 vous propose de découvrir l’habitat sain et écologique en reliant différents sites de visite...à vélo

     Le samedi 11 octobre 2014, départ à 14h00 à l’église de Thilay (parcours de 10km A/R)

     Les objectifs de cette journée :

     - présenter des maisons rénovées, ou construites à l’aide d’éco-matériaux

     - rencontrer des professionnels et des particuliers qui vous feront part de leurs expérience

     - donner des clés pour économiser l’énergie

     Afin de rester dans la logique de cette journée et de réduire notre impact environnemental, le trajet entre chaque habitat se fera en vélo (prévoir des vêtements de pluie si la météo est défavorable).

     Renseignements et inscriptions auprès de l’ALE 08 (places limitées à 20 pers) 03 24 32 12 29

     Pour information :

     - pensez au covoiturage !

     - la gare la plus proche de Thilay se situe à Monthermé

     - location de vélos à Bogny sur Meuse : 03 24 32 10 97, à Hautes Rivières : 03 24 53 45 80,

     à Nouzonville : 03 24 53 77 89, à Revin : 03 24 22 14 80

    img_20140626_105744-ea194.jpg

     

     

    l’ALE 08 organise la visite d’un ancien corps de ferme transformé en maison passive par l’architecte Quentin Goulard.

     Le Dimanche 12 octobre à Sévigny-la-Forêt, à partir de 14h

     Au programme de cette journée :

    Visites, stands et conférences

     3 conférences :

    - 17h00 : Qu’est-ce qu’une maison passive ?

    - 17h45 : Vivre dans une maison passive

    - 18h30 : Traiter les eaux usées par lagunage

     Une maison passive présente de nombreux avantages : confort, qualité de vie, qualité de l’air, plus besoins de chauffage, performances énergétiques, préservation des ressources énergétiques,...

    Toutes les techniques de mise en œuvre seront apparentes lors de la visite.

    Les + de la maison : isolation très performante en matériaux bio-sourcés, puits canadien, ventilation double flux, chauffe-eau thermodynamique, traitement des eaux usées par phytoépuration, enduit décoratif à l’argile sur torchis ancien.

  • Abandon de l'Ecotaxe: une ardoise de 3 milliards pour les Français

    Communiqué de la FNE

    Face aux menaces répétées des transporteurs routiers, l'Etat a abandonné définitivement l’Ecotaxe.

    Depuis 2009, plusieurs cadeaux fiscaux ont été distribués pour anticiper l'éco redevance (réduction sur la taxe à l'essieu, généralisation du 44 tonnes…) pour un total de près 800 millions d’euros. Ajoutons 1,2 milliard de manque à gagner et les 800 millions à payer au prestataire en cas de dédit ! En cette période critique pour l'équilibre de nos finances publiques, la facture, de près de 3 milliards, est lourde…

    Des ressources financières qui s’envolent

    Les recettes de l'Ecotaxe devaient financer des transports collectifs, mais aussi l'entretien du réseau routier qui est à la charge des collectivités. Les collectivités doivent déjà prendre en charge 400 millions d'euros suite à la généralisation des 44 tonnes. Ce sont encore les citoyens qui vont payer l'addition.

    Un système qui fonctionne outre-Rhin

    Si la France connaît quelques difficultés, il peut être utile d'aller voir la santé du transport routier de marchandises dans d'autres pays. Regardons la situation économique du secteur en Allemagne, en République Tchèque ou en Suisse : florissant ! Un point commun entre tous ces pays : la mise en place d'un péage poids lourds dont le montant est nettement plus important que l'Ecotaxe. Cherchez l'erreur !

    Que l’Etat annule les cadeaux fiscaux faits aux transporteurs !

    Puisque les questions de financement peuvent être abordées très rapidement à l'occasion du projet de loi de finances, FNE propose des solutions disponibles et cohérentes qui peuvent compenser une partie du manque à gagner. Il faut récupérer les cadeaux fiscaux faits aux transporteurs, au détriment des autres contribuables, en compensation de la future application de l’écotaxe: le gazole professionnel, la taxe à l'essieu et la taxe d'aménagement du territoire.

    camions-france-liquid-oh-actu-cp.png



    Puisque l'Ecotaxe n'est pas mise en place, nous pouvons revenir au niveau d'origine de la taxe à l'essieu, ce qui rapporterait 150 millions par an. A ces 150 millions s'en ajouteraient d'autres si les camionneurs étaient soumis à la hausse de 2 centimes du diesel qui va impacter les Français. L'ensemble de ces mesures d'urgence peuvent être mises place dans le cadre de la loi de finances et pourraient rapporter 600 millions au budget de l’Etat.

    Denez L'Hostis, président de FNE : « France Nature Environnement souhaite sortir l’Ecotaxe de l’ornière. Nous demandons à participer au groupe de travail qui sera chargé de proposer des solutions pour le transport de marchandises pour qu’une autre voix que celle des seuls lobbies soit entendue et défendue, celle de l’utilité publique. Nous ne sortirons pas de la crise si l’intérêt général ne prime pas sur les intérêts catégoriels.»
  • La loi antiterroriste devant le Sénat : l’urgence est mauvaise conseillère

    Communiqué de l’Observatoire des libertés et du numérique (OLN)

    Jeudi 10 octobre, le Sénat examine le projet de loi antiterroriste. Il s’agira d’une lecture unique, puisque le gouvernement, confondant précipitation et efficacité, a décidé de la procédure d’urgence.

    L’Observatoire des libertés et du numérique (OLN) considère que cette décision prive la représentation nationale d’un débat normal sur les libertés publiques, dans lequel les arguments contraires auraient mérité d’être entendus.

    Si la lutte contre le terrorisme est légitime, elle ne peut justifier de légiférer en urgence sous le coup de la peur et de l’émotion, et d’adopter des lois toujours plus liberticides. Les événements récents posent sans aucune contestation possible la nécessité de procéder à la poursuite, à l’arrestation et au jugement de criminels. Mais sans le respect des principes, la lutte contre le terrorisme se réduit, aux dépens de la justice et des libertés publiques, à une vengeance sans fin. Amender encore une fois l’arsenal déjà lourd de la lutte antiterroriste dans ces circonstances, c’est prendre le risque de dissoudre la délibération démocratique dans une posture évènementielle. A chaque fois qu’en matière législative, on fait vite, on ne fait pas bien. Et c’est exactement le cas avec la future « loi antiterroriste », déjà votée par l’Assemblée nationale et qui va suivre la procédure d’urgence : une seule lecture à l’Assemblée nationale et au Sénat.

    Une fois de plus, au lieu de procéder à une évaluation des lois existantes avant d’en promulguer une nouvelle qui pourrait tenir compte de l’expérience, ce qui tient lieu d’analyse, c’est le recours législatif immédiat et l’illusion est ainsi donnée que l’on a pris en haut lieu la mesure du danger. Aujourd’hui le combat contre le « djihad », comme hier celui contre le terrorisme, fait que, de coups de menton virils en déclarations martiales, la cause est entendue : la patrie est en danger et les atermoiements ne sont plus de mise, même quand il s’agit des libertés publiques. Que les prises de position honteuses de certains à droite, comme celle du député UMP Alain Marsaud, qui invitait à « s’asseoir sur les libertés », ne viennent pas éclipser le fait qu’aujourd’hui encore la balance entre sécurité et libertés va dans le même sens, déséquilibrée qu’elle est vers toujours plus de diminution des droits. Développement sans fin d’un arsenal répressif déjà très lourd, création d’une nouvelle infraction de l’intention, création de pouvoirs exorbitants de l’administration sur les citoyens, leurs déplacements, leur expression, notamment sur le Net, détricotage du droit de la presse, accroissement des pouvoirs de police et de la justice dans des domaines allant bien au-delà du terrorisme : autant de dévoiements de notre droit, que la lutte contre le terrorisme ne saurait légitimer.

    L’argument est d’autant plus efficace que la situation internationale est extrêmement dangereuse. A l’engagement militaire sur un théâtre extérieur correspond une relativisation des libertés fondamentales pour tenter de dominer l’incertitude de la période, ce qui suffirait à dévaloriser, voire annihiler la critique.

    C’est ainsi que dans la loi antiterroriste, ses motifs n’ont que la peur comme conseillère. La Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) tout comme la Commission numérique de l’Assemblée nationale et le Conseil national du numérique se sont d’ailleurs montrés, dans leurs avis, extrêmement critiques sur son contenu. Mais il en adviendra de ce texte comme d’autres : le gouvernement ni ne consulte ni ne sollicite un avis, dont il avait bien pressenti qu’il mettrait à jour l’illégitimité et l’inefficacité de telles atteintes aux droits et libertés.

    Au rebours de cette courte vue, l’Observatoire des libertés et du numérique (OLN) considère que l’expérience de ces lois appliquées dans le monde (en particulier aux Etats-Unis, qui s’en sont faits le parangon avec le Patriot Act), montre que celui-ci n’est pas devenu plus sûr avec ces méthodes. A moins d’être aveugle, il faut bien constater que le terrorisme ne faiblit pas quand tombent les libertés publiques. Dans les pays mêmes qui pratiquent à un degré ou à un autre la suspension des libertés dans ce cadre, les effets sont médiocres voire contre-productifs.

    C’est à l’audition d’une multiplicité de points de vue, constitutionnel, juridique, politique, social, qu’il eût fallu procéder. Mais le débat n’a pas eu lieu puisque les initiateurs de la loi, telle qu’elle est, disent qu’il n’y a pas d’autre politique possible. Les questions ne seront donc pas posées. C’est ce à quoi les organisations qui composent l’OLN ne peuvent pas se résoudre. L’OLN appelle les sénateurs à tenir le débat, et, s’ils ne refusent pas d’adopter la loi, à tout le moins à proposer des amendements propres à apporter des garanties. Il appelle enfin les parlementaires à utiliser en tout état de cause leur possibilité de soumettre la loi au Conseil constitutionnel.

     

    Organisations membres de l’OLN : Cecil, Creis-Terminal, LDH, Quadrature du Net, Saf, SM.
    Contact : contact-oln@ldh-france.org

     

    Paris, le 8 octobre 2014

    terrorisme6.jpg

    (Ce dessin ne fait pas partie du communiqué de l'OLN)

  • Tout le monde l'appelle Boris

    Il est vrai que prononcer le nom de Serwatkiewicz demande une aptitude que les Vouzinois n'ont pas acquise naturellement.

    Alors, depuis 30 ans, c'est Boris que l'on croise à la piscine. Sa silhouette imposante et son accent slave ne peuvent permettre de le confondre avec quelqu’un d'autre. Il en a connu depuis 1983 des générations d'enfants qui ont appris à nager dans le bassin de Vouziers. Arrivé un an après l'ouverture de l'équipement, il a contribué à la naissance du club nautique, avec entre autres les regrettés Bernard Pierret et Claude Sohet.

    piscine,vouziers,boris,cnv,club nautique vouzinois,2c2a

    Et nous voilà en ce mois d'octobre 2014 au dernier jour de présence de Boris. Une journée comme les autres, avec la préparation technique du bassin, l'accueil des scolaires en journée puis du public en fin d'après-midi. Le directeur a eu ces dernières années quelques soucis pour maintenir en bon état de marche un équipement vieillissant. Mais la motivation de tous et l'appui financier de la ville et de la 2C2A ont permis de maintenir le bassin utilisable dans des conditions correctes. La piscine propose depuis longtemps des activités variées : bébés nageurs, aquagym, rééducation cardio-vasculaire et bien entendu, le sport et la compétition avec le Club Nautique Vouzinois.

    piscine,vouziers,boris,cnv,club nautique vouzinois,2c2a

    Le presque retraité semble parfaitement heureux de sa carrière, même s'il ne connaîtra pas le nouvel équipement que la 2C2A construit à quelques encablures de l'actuel.

    La nouvelle piscine sera gérée par un privé, en délégation de service public. Ce fonctionnement aurait-il convenu à celui qui fut un directeur rendant compte uniquement à des élus locaux ?

    Jusqu'alors pour ceux-ci l'équilibre financier n'était qu'un des points importants, l'objectif principal restant le service du public.

    D'ailleurs, des inquiétudes sont déjà apparues au sein du club nautique, qui va devoir acquitter une contribution élevée pour pouvoir utiliser le bassin. L'association pourra-t-elle survivre à cette obligation, pourra-t-elle compter sur l'aide des collectivités locales ? La contribution demandée va monter en puissance sur plusieurs années, on verra rapidement si les finances du club sont en mesure de supporter cette charge.

    Quant à Boris, il peut quitter le bassin vouzinois le sourire aux lèvres, sans avoir à rougir de toutes ces années passées. Pendant tout ce temps, il a tissé des liens avec nombre de Vouzinois, et il est certain qu'il gardera beaucoup d'amis dans notre secteur.

    Bonne route, Monsieur le Directeur...

    piscine,vouziers,boris,cnv,club nautique vouzinois,2c2a

    Photos L'An Vert (D.R.)

  • Nucléaire ou transition énergétique, il faut choisir !

    Communiqué du réseau "Sortir du nucléaire"

    Nucléaire ou transition énergétique : un choix s’impose

    Les centrales nucléaires françaises ont été conçues pour fonctionner environ 30 ans. Mais EDF veut prolonger leur fonctionnement à 50, voire 60 ans, au mépris des risques. Pour cela, EDF envisage un énorme programme de travaux qui n’empêcheront pas le vieillissement inéluctable des réacteurs.

    Un choix s’impose aujourd’hui : soit engloutir des milliards d’euros dans ce rafistolage aussi coûteux que dangereux, soit investir ces sommes dès maintenant dans une véritable transition énergétique (économies d’énergie et énergies renouvelables) et commencer par fermer dès maintenant les réacteurs les plus vieux.

    Ne laissons pas l’industrie nucléaire faire la loi sur la transition énergétique !

    Cet été, le gouvernement a présenté un projet de « loi de transition énergétique pour la croissance verte » qui est débattu au Parlement du 1er au 11 octobre 2014.

    Censé permettre une véritable transition et une réduction de la part du nucléaire, ce projet de loi, en l’état actuel, laisse les clefs de la politique énergétique française à EDF, rien n’étant prévu pour l’obliger à fermer ses centrales vieillissantes.

    Ne laissons pas EDF écrire sa loi du nucléaire !

     

    stop-rafistolage-arg.pngCe que nous exigeons :

    • -l’arrêt immédiat des réacteurs qui ont dépassé les 30 ans de fonctionnement
    • -l'arrêt définitif du programme EPR et de tout projet de renouvellement du parc nucléaire
    • -l’adoption d’un objectif impératif de réduction de 20 % de la consommation finale d’électricité à l’horizon 2025
    • - la reprise en main effective, par le Gouvernement et le Parlement, de la politique énergétique du pays et la possibilité, pour l’exécutif, de décider l'arrêt de réacteurs pour des raisons de politique énergétique

     

     

    Comme 32189 personnes, je signe