Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 41

  • C'est à Vouziers, mais avez-vous réussi à le localiser ?

    Si besoin, voici les légendes  qui correspondent aux clichés proposés.

    4849398555_42bd59d2a8_k.jpg

    Le  soldat du monument tchécoslovaque de Bobo.

     

    4907796594_c7525fdd89_k.jpg

    L'escalier de la rue Bondon

     

    4946056950_727edc7fb9_k.jpg

    Décor sur la façade de l'ancien cinéma, rue du Chemin Salé

     

    5047829376_b7423d6f23_k.jpg

    Plaque sur la maison Scheuer, rue Taine

     

    5067774497_75063b0c49_k.jpg

    L'entrée du quartier Savary, rue de Condé.

     

    5270884417_0652ac199f_k.jpg

    La ruelle de la Place, qui débouche rue Bournizet

     

    5299807865_f028e57f52_k.jpg

    L'arbre est planté au parc Bellevue.

     

    5652915151_4ced6bcb8b_k.jpg

    Le mur de soutènement, le long de l'ancienne voie de chemin de fer, au port de Vouziers.

     

    5653482230_c49dadd76b_k.jpg

    Maison à l'angle de la rue Taine et de la rue Gaignère

     

    5773395968_bd8d762bec_k.jpg

    Les bâtiments de la ferme Caquot, rue Gambetta.

     

    5829605848_a3cdfb0744_k.jpg

    Une ruine, rue Gaignère.

     

    5995030624_72f5d47f40_k.jpg

    Cheminées de l'ancienne gare de Vouziers

     

    6017824904_fe0ee7e016_k.jpg

    Ancien bunker, rue Gambetta.

     

    6180607979_507d4f591c_k.jpg

    Ancienne boulangerie,rue Bournizet.

     

    6302154571_ad02a9f585_k.jpg

    L'usine électrique,rue Désiré Guelliot.

     

    6318182696_5da82b5bb7_k.jpg

    Le ginkgo biloba, devant l'église de Condé lès Vouziers.

     

    7157586410_9072e58b8c_k.jpg

    Au milieu du bâtiment du CPR, rue de l’Agriculture.

     

    7227929642_8dee79cf43_b.jpg

    Petit montre souriant, sur l'église Saint-Maurille.

     

    7274984206_55a237cf4d_k.jpg

    La tour de la caserne des pompiers, rue Albert Caquot.

     

    7945518544_615108609b_k.jpg

    La sous-préfecture rue Gambetta (vue du jardin).

     

    8688582063_fb961bca6c_k.jpg

    Un coin de campagne,vers Syrienne.

     

    9103343850_6c88ea3cb6_k.jpg

    Dans la cour de l'ancienne école Dodeman.

     

    10103119464_90d12c4cba_k.jpg

    Un ange au cimetière communal.

     

    12972346304_2c6d56e1c9_k.jpg

    Le ruisseau de la Muette à Condé lès Vouziers.

     

    20597911263_c4791c66f6_k.jpg

    Apparition miraculeuse à l'hôpital de Vouziers, rue Henrionnet.

     

    24525110137_13b8162958_k.jpg

    Un escalier, dans le bois du Nan.

     

    28338633879_1675270b5c_k.jpg

    Stèle pour les combattants tchécoslovaques, à la nécropole nationale de Chestres

     

    37636284415_4a87ef0f0e_k.jpg

    Fresque sous le pont de Vouziers.

     

    38523733941_891f43f7d8_k.jpg

    L'entrée du cimetière allemand,rue de Syrienne.

     

    44858737914_f3d610334a_k.jpg

    Monument dans le cimetière allemand, rue de Syrienne.

  • Apiculture : un plan de soutien insuffisant !

    Suite à la première réunion de travail sur les aides conjoncturelles du plan apicole, convoquée par le ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ; la Confédération paysanne, la FFAP, le SNA et l’UNAF déplorent une analyse de la crise apicole niant les réels enjeux économiques et environnementaux d'une activité pourtant indispensable à la souveraineté alimentaire.

    Depuis l'automne les apicultrices et apiculteurs alertent sur les difficultés de production en raison d'aléas climatiques ainsi que sur les problèmes d'un marché du miel perturbé. Un contexte qui met en péril de nombreuses fermes apicoles. Le gouvernement ose annoncer que les problématiques de commercialisation se résolvent. C'est faux, il reste des stocks inhabituels dans les mielleries et le déstockage partiel a été vendu à des prix inférieurs aux coûts de production.

    Les aides conjoncturelles présentées en réunion hier matin se résument ainsi à : une avance de trésorerie et une prise en charge des pertes économiques uniquement pour celles et ceux ayant subi des pertes de productions ! De plus, nous n'avons obtenu aucune réponse concernant les maigres aides PAC* habituelles, attendues avec plusieurs mois de retard de paiement. Nous demandons que les soutiens conjoncturels prennent en charge une aide pour le stockage et qu'elle s'applique à la baisse de chiffre d'affaires de l'ensemble des apiculteurs et apicultrices.

    Les problématiques de commercialisation et l'accumulation des stocks s'expliquent par l'importation massive de miels à très bas prix (moins de 1.80€/kg en 2023) et sans traçabilité. Le gouvernement annonce vouloir encourager des partenariats entre producteurs et conditionneurs, dans ce but il doit prendre les mesures permettant de garantir une juste rémunération des apicultrices et apiculteurs.

    Lire la suite

  • We are Civilians : réaction d'Amnesty International France sur la polémique suivant l'annulation de la soirée au Théâtre du Châtelet

    Communiqué d'Amnesty International du 14.03.2024

    Face aux récentes publications nous mettant ouvertement en cause après l’annulation de notre soirée We are Civilians au Théâtre du Châtelet, nous souhaitons revenir sur les faits.

     

    Pleinement conscients de l’émotion générée par la situation, nous tenons tout d’abord à exprimer notre compréhension vis-à-vis de toutes les personnes qui partagent notre combat en faveur de la défense des droits humains et de la liberté d’expression. 

    Un certain nombre de contre-vérités ont été diffusées ces derniers jours, mettant directement en cause les fondements mêmes de notre raison d’être : nous rappelons que nous ne faisons aucune discrimination entre les victimes et que notre cadre de référence est le respect du droit international. C’est la raison pour laquelle nous souhaitons revenir aux faits concernant l’annulation de cette soirée au Théâtre du Châtelet. 

    Rassembler pour la protection des populations civiles

    L'objectif de cette soirée,  co-organisée avec le Théâtre du Châtelet, était de rassembler des personnalités artistiques d’horizons et univers différents, voire divergents, mais toutes unies par le souhait de proposer une performance artistique permettant d’évoquer le sort de toutes les populations civiles victimes du conflit en cours, qu’elles soient Israéliennes ou Palestiniennes. Toutes ces populations civiles, qu’elles soient sous les bombes ou retenues en otage à Gaza, sous la menace de la violence des colons et de l’armée en Cisjordanie ou sous celle des roquettes en Israël, injustement détenues dans les prisons israéliennes, ont en commun d’être victimes de violations gravissimes du droit international ; nous voulions avant tout mettre en avant le besoin de protection et de justice pour toutes et tous. 

    L'organisation d’une telle soirée a été très difficile, à l’image de la situation dont elle entendait traiter et de l’extrême polarisation du débat en France sur ce sujet. Nous le savions et c’était aussi notre ambition dans un contexte de quasi-absence de dialogue : réunir le temps d’une soirée un panel diversifié dans un objectif de contribuer à un débat apaisé. 

    Nous étions parvenus à un programme fort, permettant de couvrir ces sujets d’une atroce réalité, non seulement avec des artistes, mais aussi des organisations humanitaires ou de défense des droits humains. Contrairement à ce qui a pu être écrit, le sort des otages israéliens devait être évoqué par plusieurs intervenants, dont nos collègues d’Amnesty International Israël qui faisaient le voyage depuis Tel-Aviv.  

    Lire la suite

  • Dans les océans, les records de chaleur menacent la vie marine

    Extraits de l'article de Hortense Chauvin pour Reporterre

    Les eaux de surface des océans du globe atteignent sans interruption, depuis mars 2023, des températures jamais enregistrées auparavant.

    Voilà maintenant un an que l’océan global ondule en terrain inconnu. Depuis le 13 mars 2023, la température moyenne à la surface des océans bat quotidiennement des records, selon les données de l’Agence atmosphérique et océanique américaine (NOAA), traduites en courbes sur la plateforme Climate Reanalyzer de l’Université du Maine (États-Unis). Le 10 mars 2024, les eaux de surface mondiales atteignaient, toujours selon le NOAA, 21,2 °C. Du jamais-vu à cette période de l’année.

    Les services météorologiques européens tirent eux aussi la sonnette d’alarme. Dans un communiqué publié jeudi 7 mars, l’observatoire Copernicus constate que la température moyenne de surface des eaux, au mois de février, s’est élevée à 21,06 °C. Un niveau supérieur au précédent record mensuel (20,98 °C), établi en août 2023.

    (...)

    L’Atlantique nord, en particulier, a connu une année hors norme. À la fin du mois d’août, ses eaux de surface dépassaient les 25 °C, avec des anomalies de température supérieures de 1,3 °C à la moyenne 1982-2011. Les eaux irlandaises et britanniques ont été frappées par des canicules marines stupéfiantes, les températures pouvant dépasser de 5 °C les normales estivales.

    Lire la suite

  • Stop à l’Accord d’association UE-Israël

    Déclaration commune de 195 organisations de la société civile

    A la lumière des morts et des souffrances endurées par le peuple palestinien, 195 organisations de la société civile se sont réunies pour rédiger une lettre aux décideurs de l’Union européenne demandant la suspension de l’accord d’association UE-Israël en raison de la violation des clauses relatives aux droits humains de cet accord. Nous espérons que la suspension de l’accord sera un moyen pour l’UE d’exercer son influence afin de réduire l’étendue des souffrances humaines et des violations des droits de l’Homme.

    Mesdames, Messieurs,

    Les organisations soussignées appellent l’UE à suspendre l’accord d’association UE-Israël à la lumière des violations des droits humains commises par l’Etat d’Israël. Ces violations constituent un non-respect des clauses des “éléments essentiels” qui stipulent que l’accord est conditionné au respect des droits humains et des principes démocratiques par les parties. Nous condamnons sans équivoque toutes les violations du droit international, en particulier le meurtre de civils, et nous demandons aux autorités compétentes d’enquêter sans délai.

    La guerre qu’Israël mène actuellement contre Gaza entraîne des pertes civiles énormes, une destruction massive des infrastructures civiles et le déplacement de l’écrasante majorité de la population de Gaza. Le système de santé à Gaza s’est effondré, les hôpitaux ont été bombardés et détruits, le personnel de santé a été tué. La population de Gaza est exposée à un risque imminent de famine et de mort par maladie contagieuse. Cette situation résulte du bombardement de Gaza et du blocage par Israël de l’accès à la nourriture, à l’eau, au carburant, aux médicaments, à l’aide humanitaire et de la perturbation du système d’égouts. Il s’agit là de violations claires et bien établies des droits humains des Palestiniens et Palestiniennes.

    Les violations des droits humains commises par le gouvernement israélien n’ont toutefois pas commencé en octobre 2023. Le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies a conclu qu’avant cette période, de graves violations des droits humains avaient déjà été commises. L’établissement et l’expansion de colonies illégales en Cisjordanie font partie de ces violations, entraînant notamment l’expropriation de terres privées appartenant à des populations palestiniennes, la discrimination raciale due à l’expulsion forcée de ces populations et à la démolition de leurs biens, un climat d’impunité pour les auteurs de violences commises par les colons et l’implication des forces de sécurité israéliennes dans ces actes, ainsi que des restrictions à la liberté de circulation pour les Palestiniens et Palestiniennes. En outre, le Conseil européen s’est déclaré préoccupé par le blocus de la bande de Gaza (avant octobre 2023) et a demandé que les opérations militaires soient proportionnées et conformes au droit humanitaire international et qu’Israël assouplisse les restrictions imposées à la bande de Gaza.

    Lire la suite

  • Méga-camions : l'Europe s'apprête à leur ouvrir un méga-boulevard

    Communiqué de FNE du 07.03.3024

    En contradiction totale avec les objectifs de report modal du Green Deal, le Parlement européen est sur le point d’adopter, la semaine prochaine, la révision de la directive sur les poids et dimensions des camions en Europe. Ce texte généralise le passage aux frontières des 44 tonnes (la limite est à 40 tonnes aujourd’hui), sous prétexte de favoriser l’électrification des camions en prenant en compte le poids des batteries. Pire, il autoriserait la circulation entre États de méga-camions de plus de 25 m de long (au lieu de 16,75 m actuellement) pouvant transporter jusqu’à 60 tonnes de marchandises. De telles autorisations pénaliseraient lourdement le fret ferroviaire, et engendreraient de multiples impacts sur la sécurité et le trafic routiers, la qualité de l’air et le climat. 

    Méga-impacts pour mini-gain

    Imaginez les dangers de circulation de ces mastodontes sur les routes, qui ne sont autorisés jusqu’à présent que dans une poignée de pays européens ! Le ralentissement dû au doublement de deux poids lourds de gabarit différent sur l’autoroute, les conflits avec des véhicules particuliers en sortie de bretelle autoroutière, avec des usagers vulnérables si les engins s’égarent sur des routes nationales – ou pire, départementales – pour achever leurs livraisons ou parce que l’autoroute est exceptionnellement fermée… 

    À cela s’ajoutent les impacts sur les infrastructures : déformation de la chaussée (orniérage), freinage, agrandissement des surfaces imperméabilisées pour les manœuvres et le stationnement, résistance des ouvrages d’art… Des coûts colossaux, et redondants avec les investissements massifs déjà engagés pour le fret ferroviaire. Et ce, pour un gain anecdotique : électrifier les camions permettrait en effet de réduire de 10% les émissions de GES du secteur, tandis que le report modal vers le combiné et le transport ferroviaire permettrait une réduction de 90% de ces émissions. 

    Lire la suite

  • 8 mars : les droits des femmes, un combat de tous les jours

    Edito de Cartooning for peace du Jeudi 06 mars 2024

    Comme chaque année, le 8 mars marque la journée internationale des droits des femmes. Une date que la France a symboliquement choisi pour la cérémonie de scellement de la Constitution, où vient d’être inscrit le droit à l’avortement, une première mondiale ! Ce droit, qui protège la santé et la liberté des femmes, est un combat universel du féminisme qui n’est pourtant jamais acquis : il est en recul dans plusieurs pays comme aux Etats-Unis ou en Pologne, et encore interdit dans une vingtaine de pays dans le monde. En ce 8 mars, on pense aussi aux femmes iraniennes et afghanes qui, comme dans d’autres dictatures religieuses, sont violemment maintenues au rang de citoyennes de seconde classe. Là où la guerre s’est installée, comme au Proche-Orient, en Ukraine et ailleurs, les femmes sont bien souvent victimes de violences sexuelles, une terrible arme de guerre… La lutte pour les droits des femmes a encore de beaux jours devant elle.

    Lire la suite