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économie et finances - Page 78

  • Grève nationale: la Belgique tournera au ralenti mercredi 13 février

    Informations tirées de la RTBF

    Les administrations, les transports en commun, le service postal, les écoles, la collecte des déchets mais aussi les entreprises et centres commerciaux risquent d'être fortement perturbés mercredi 13 février. Des mouvements de grève et des actions syndicales sont prévus dans tous les secteurs et à travers tout le pays à l'appel du front commun syndical.

    (...)

    CPAS, polices, hôpitaux

    Les administrations locales et régionales - parmi lesquelles les CPAS, les provinces, les pompiers, les polices locales et fédérale, les hôpitaux et les intercommunales - ne seront pas en reste et prendront également part au mouvement. La distribution du courrier sera, elle aussi, perturbée, tout comme la collecte des déchets.

    Des piquets de grève devraient par ailleurs être installés devant de nombreuses entreprises, magasins et centres commerciaux, paralysant un peu plus le pays. Enfin, la grève sera aussi couverte dans l'enseignement, même si aucun appel à la grève n'a été officiellement lancé.

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  • Chiffres du chômage en légère baisse

    Pour le dernier trimestre 2018, 5 915 700 personnes sont inscrites à Pôle emploi pour les catégories A, B et C. La baisse est de 0,8 % par rapport au trimestre précédent. S on ne tient compte que de la catégories A, les 3 676 500 inscrits sont en diminution de 1,1 %. On ne peut que se réjouir de voir ces chiffres baisser, même si des décennies seront nécessaires à ce rythme pour retrouver une situation saine.

    On peut par contre s’inquiéter des motifs de sortie des tablettes de Pôle emploi. Les "cessations d'inscription pour défaut d'actualisation" et les "radiations administratives" représentent 52 % des cas. Les "reprises d'emploi déclarées" ne regroupent que 20,6 % du total des motifs de sortie. On est donc loin d'une création massive d'emplois, on serait plutôt devant une gestion politico-administrative des statistiques.

    Voici les chiffres officiels de la DARES :

    En moyenne au quatrième trimestre 2018, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s’établit à 5 605 000. Parmi elles, 3 418 600 personnes sont sans emploi (catégorie A) et
    2 186 400 exercent une activité réduite (catégories B, C).

    En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A baisse de 1,1 % (–38 200) ce trimestre et de 1,5 % sur un an. Le nombre de personnes exerçant une activité réduite courte (catégorie B) diminue de 2,8 % par rapport au trimestre précédent et celui des personnes en activité réduite longue (catégorie C) croît de 1,1 %. Au total, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C diminue de 0,8 % sur ce trimestre (–44 600) et de 0,3 % sur un an.

    Au quatrième trimestre, 632 100 personnes inscrites à Pôle emploi ne sont pas tenues de rechercher un emploi. Elles sont soit non immédiatement disponibles et sans emploi (catégorie D, par exemple : formation, contrat de sécurisation professionnelle, maladie), soit pourvues d’un emploi (catégorie E, par exemple : création d’entreprise, contrat aidé). Sur ce trimestre, le nombre d’inscrits en catégorie D augmente de 5,4 % et celui des inscrits en catégorie E diminue de 1,6 %.

    En France (y compris départements-régions d’outre-mer, hors Mayotte), le nombre de demandeurs d’emploi s’élève à 3 676 500 pour la catégorie A. Il diminue de 1,1 % sur le trimestre ( –1,4 % sur un an). Pour les catégories A, B, C, ce nombre s’établit à 5 915 700. Il diminue de 0,8 % sur ce trimestre et recule de 0,2 % sur un an.

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  • Stocamine : l’Etat renonce à assurer la sécurité sanitaire et environnementale de l’Alsace

    En 1999, la fin de l’exploitation des mines de potasse d’Alsace et la nécessité de gérer les déchets dangereux ont conduit l’Etat à ouvrir Stocamine, un centre de stockage de déchets dangereux dans ces anciennes mines, situées en dessous de l’une des plus grandes nappes phréatiques d’Europe : ceci en dépit de toutes les oppositions locales. Aujourd'hui, le choix du gouvernement pour des raisons économiques d’enterrer purement et simplement les déchets à défaut de savoir les gérer est lourd de conséquences et inquiète France Nature Environnement, FNE Grand Est et Alsace Nature.

    Stocamine, un échec annoncé

    A l’origine, Stocamine devait contenir des déchets industriels dangereux pendant 30 ans, avec pour maître mot « réversibilité ». Pour ce faire, l’Etat avait écarté d’un revers de main les craintes des associations locales (environnementales et de consommateurs) : ni incendie, ni affaissement ni inondation ne seraient possibles, le site serait sous contrôle, et sa réversibilité garantie. Or, en moins de cinq ans d’exploitation, un incendie s’est déclaré, des déchets non autorisés ont été stockés et les galeries s’affaissent lentement sur les déchets. La décision de l'Etat en 2017 de prolonger l’autorisation de stockage pour une durée illimitée a attesté de la difficulté de l’Etat à cacher sa réelle intention : que ce site de stockage temporaire devienne définitif.

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  • Pas d'huile de palme dans nos réservoirs

    C'est impensable ! 75 % de l'huile de palme consommée en France est sous forme de carburant !
    Nous la chassons de notre assiette, elle nous revient à la pompe, à cause de la réglementation européenne.
    Heureusement, cela pourrait changer bientôt, grâce à notre mobilisation !

    40664587_289459725118703_6143467133675241472_n.png?_nc_cat=103&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=71e923fce866091a5998f7e2b9301da0&oe=5CD5AA1DLe 12 janvieri, à la station-service Total de Woinic, 9 citoyen.ne.s des Ardennes ont mené une action pour informer les automobilistes sur la présence d’huile de palme dans les carburants. Comme 7 européens sur 10, nous sommes nombreux à vouloir mettre fin à ce scandale. Ça tombe bien! La Commission Européenne doit rendre son verdict le 1er février. Rejoignez les 400 000 européens qui ont déjà signé la pétition pour dire STOP à l’huile de palme dans les carburants!

    Pour signer la pétition, cliquer ici

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  • Les trois vœux du Préfet des Ardennes.

    Ce vendredi, Yann Dugard a présenté ses vœux devant plusieurs dizaines de personnes réunies à la salle des fêtes. Parmi celles-ci, se trouvaient Pascal Joly, le Préfet du département, ainsi que la conseillère régionale Christine Noiret-Richet, le Sénateur Marc Laménie, le Président d'Argonne Ardennaise Francis Signoret et le Président de la Chambre de Commerce et d'Industrie Géraud Spire.

    Le Maire de Vouziers a présenté un bilan des dossiers en cours et passés, ainsi qu'un aperçu des dossiers en projet.

    Pour le passé, il est revenu sur les cérémonies de commémoration du centenaire de la fin de la Grande Guerre. Le 3 novembre a été une journée mémorielle, marquée par la présence de nombreuses délégations étrangères. Un petit film, réalisé par une chaîne russe, a rappelé les points forts de cette journée.

    Pour le présent, Yann Dugard a présenté l'état du chantier du pôle scolaire. Ce projet est bien avancé, et le Maire a confirmé l'ouverture pour la prochaine rentrée, en septembre 2019. C'est une animation en 3 D qui a permis aux personnes présentes de se faire une idée du bâtiment une fois terminé.

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  • Copieux menu au Conseil de Communauté de décembre.

    Est-ce l'approche des fêtes de fin d'année qui a justifié l'importance de l'ordre du jour du dernier Conseil de Communauté de l'Argonne Ardennaise ? C'est en partie vrai, puisque de nombreuses résolutions devaient être votées avant la fin de l'année. Et la prochaine réunion est programmée au 13 février, c'est-à-dire dans pratiquement deux mois.

    En plus des 9 points inscrits à l'ordre du jour, les délégués ont bénéficié d'une présentation de la part du Capitaine Arbez-Gindre, commandant la compagnie de Vouziers, au sujet de la délinquance dans le secteur qu'il gère.

    Il a dressé un tableau rapide des constats et des résultats 2018 comparés à ceux de l'année précédente.

    Au global, 729 crimes et délits ont été constatés, chiffre stable par rapport à 2017. Le taux de résolution est mesuré à 56 %, en hausse.

    Dans le détail, le Capitaine Arbez-Gindre regroupe les crimes et délits en 3 catégories :

    • Les atteintes aux personnes

    Elles sont en diminution, avec 105 affaires contre 137 l'année passée. Par contre les cambriolages augmentent, avec des équipes spécialisées venant de l'extérieur. Les affaires relevant de la tranquillité publique semblent en diminution.

    • La Police de la route

    On note une diminution des accidents et des tués sur les routes. Les principales causent retrouvées sont l'alcool, les dépassements dangereux et la vitesse excessive.

    • La Police de sécurité au quotidien.

    Le Capitaine Arbez-Gindre a expliqué qu'il souhaitait que ses hommes renouent d'avantage de contacts avec la population, d'autant que l'effectif a été assez largement renouvelé dans l’arrondissement. Il a développé le concept "d’intelligence territoriale", qui permet de mieux connaître le terrain et ses habitants.

    Suite à un questionnement de Benoit Singlit, il a donné quelques éléments de réponse au sujet du trafic de stupéfiants. Celui-ci persiste dans le secteur, étant notamment favorisé par la proximité des frontières. Plusieurs affaires ont eu des résultats positifs, mais les réseaux se reconstituent rapidement.

     

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  • Lettre ouverte à ceux qui détruisent le climat

    Le vendredi 14 décembre 2018 – Alors que plus de 900 activistes menaient une action massive de désobéissance civile devant l’agence centrale de Société Générale à Paris, Société Générale publiait sur son site internet une « Lettre ouverte à ceux qui se mobilisent pour le climat ». Les Amis de la Terre lui répondent.

    Société Générale tourne le dos à l’urgence climatique

    Deux mois après la publication du rapport spécial du GIEC qui conclut qu’il est « nécessaire et même vital » de maintenir le réchauffement climatique global sous la barre des 1,5 °C d’ici à la fin du siècle, cet objectif doit être le seul cap retenu par les responsables économiques et financiers. Alors que les réserves de charbon, pétrole et gaz en cours d’exploitation nous mèneraient déjà au-delà du seuil critique de +1,5 °C et même de +2 °C, tenir cette trajectoire signifie ne plus étendre la frontière des énergies fossiles [1].

    C’est pourtant la direction inverse qu’emprunte Société Générale. Nous répondons par des chiffres. Alors que la première urgence est d’endiguer le développement des industries fossiles les plus destructives pour le climat, la banque française a financé ces secteurs à hauteur de 7,2 milliards de dollars entre 2015 et 2017 [2]. Elle a accordé 2,7 milliards de dollars aux entreprises qui développent des centrales à charbon dans le monde depuis la COP21 [3]. Elle continue à financer les sables bitumineux et le très controversé pipeline Line 3, renouvelant ses soutiens à l’entreprise Enbridge.

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