Les travaux de la place Carnot avancent, et devraient se terminer en octobre prochain. Les Vouzinois pourront alors se faire une idée précise de l'aspect de leur centre-ville rénové. Un chantier pavé de bonnes intentions, puisqu'on nous annonce une place plus verte et plus arborée qu'auparavant. Il faudra cependant patienter quelque temps pour profiter des ombrages au pied des arbres dont l'implantation est annoncée pour cette modernisation.
Rappelons en effet que l'objectif de la municipalité est " remettre les piétons au cœur de la ville à travers des espaces sécurisés et ramener du végétal en centre-bourg."
Les automobilistes profitent déjà du demi-parking du côté ouest de la place, avec un revêtement bitumé, qui leur permet de retrouver leur chaude ambiance antérieure.
Certains s'inquiètent du devenir des statues qui ornaient le bas de la place. On peut les rassurer, leur rapatriement est prévu. L'emplacement a été terrassé et compacté récemment, il semble donc que ce retour approche.
Une question se pose malgré tout, verra-t-on de nouveau le buste de Taine ? L’interrogation se pose au vu de la pancarte apposée devant la mairie ; si la sculpture en hommage à Drouot reprend bien sa place côté ouest, elle apparaît de manière symétrique du côté est.
Le poète vouzinois est connu pour son œuvre principale "Eurydice deux fois perdue", le voici célébré par "Paul Drouot deux fois retrouvé", ceci compensant peut-être cela.

Dans l'attente d'une confirmation, ou d'une infirmation, de cette double implantation, nous vous offrons quelques lignes, tirées de cet ouvrage trop peu connu : Eurydice deux fois perdue
sont à vifs dans ce drame où Victor Hugo fait s’enchaîner complots, amours et vengeances dans un rythme effréné, et non sans humour.
Avec l'équipe du Grivy Loisy Astronomie Club (GLAC) qui interviendra tout au long de la soirée : conférence + observation du ciel profond à l'aide de télescopes (nébuleuses, amas d'étoiles, galaxies...) si la météo le permet.
une ballade inattendue et langoureuse, une mélodie folk où la guitare est accompagnée de cornemuse et de violoncelle. Et elle enchante. Son traitement des Chansons de mai est tout aussi créatif et délicieusement déroutant. Enfin, surtout, il donne à connaître l’auteur-compositeur de sa région d’origine, Amadeu Ferreira, dont il reprend les chants en dialecte, consacrés à la vie quotidienne des paysans de Trás-os-Montes, à leur rapport au sacré et au profane, et proposés dans des arrangements de guitare classique, contrebasse, accordéon, clavier et batterie. Outre sa maîtrise du jazz et du blues, Sou s’est aussi formé au chant lyrique. Et l’alliage de sa voix et du jeu de ses compagnons instrumentistes crée un univers singulier, qui semble réinventer la poésie et la musicalité de la langue portugaise.
Les fabuleuses aventures de la petite Chauve-souris fer-à-cheval (alias Petit Rhinolophe) continuent de plus belle :