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culture - Page 5

  • La dernière heure du sonneur ?

    Le sonneur à ventre jaune a acquis le statut de marqueur de la biodiversité en Argonne, et particulièrement dans le massif de La-Croix-aux-Bois. Ce petit crapaud est étudié par les chercheurs du CERFE de Boult-aux-Bois, afin d’estimer l’évolution de la population et de mettre en œuvre des mesures de protection. Le grand public est sollicité pour participer à cette recherche, à travers un programme participatif ( https://sonnette.univ-reims.fr/ ).

    sonneur à ventre jaune,théatre,vouziers,demain il fera jour,écologie,biodiversitéC'est dans cet esprit qu'une commande de spectacle a été faite par l'université de Reims (dont dépend le CERFE), afin d'alerter et de diffuser l'information sur le sonneur à ventre jaune. Après un travail de recueil de témoignages sur le terrain, le spectacle a été créé par : Texte et jeu : Vincent Clergironnet Musique : Eléonore Zielinski Mise en scène : Mickaël Monnin.

    Un public nombreux a pu assister à une représentation donnée à la salle Bellevue de Vouziers jeudi dernier, le 23 mai.

    La forme est originale, le public étant disposé en arc se cercle autour de la scène. Le comédien interprète tous les rôles, passant très rapidement dusonneur à ventre jaune,théatre,vouziers,demain il fera jour,écologie,biodiversité personnage du scientifique à celui du juge, de l'exploitant forestier au vététiste, du chasseur au promeneur, avec peu de moyens techniques, mais avec une grande virtuosité.

    L'accompagnement musical permettait de créer une ambiance sonore, ou de souligner un trait de mise en scène. Grace aux deux artistes, le sujet a pu captiver le public présent, et expliquer les tenants et aboutissants de cette étude scientifique d'une manière très accessible et distrayante.

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  • Renverser les planisphères

    Extraits de l'éditorial de  Renaud Lambert pour Le Monde Diplomatique.

    Qu’est-ce que le Sud ? Une moitié de planisphère ? La direction que fuit l’aiguille des boussoles occidentales ? Un repère d’estivants ? Pas uniquement. Dans les décennies qui ont suivi la seconde guerre mondiale, le Sud a constitué un projet politique : celui de l’émancipation de populations qui se trouvaient jusque-là sous le joug du centre de l’économie mondiale, c’est-à-dire du Nord. Un projet reposant d’une part sur l’ambition de s’affranchir du conflit opposant Washington à Moscou et, de l’autre, sur l’espoir d’atteindre deux objectifs principaux : souveraineté et développement.

    Dès les années 1950, les capitales qui viennent d’accéder à l’indépendance comprennent qu’elles ne sont pas encore libres : « Je vous assure que le colonialisme est bien vivant, proclame le président indonésien Sukarno dans son discours d’ouverture de la conférence de Bandung, qui, en 1955, rassemble plusieurs dizaines de pays issus de la décolonisation ainsi que diverses organisations de libération nationale. Le colonialisme moderne se présente aussi sous la forme du contrôle économique. (…) C’est un ennemi habile et décidé qui se manifeste sous divers déguisements ; il ne lâche pas facilement son butin. »

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  • Le Roi-Soleil, Vauban, et les demi-lunes

    A l'initiative de l'ASPV, Bruno Squevin est venu à Vouziers le 19 mars dernier pour une conférence sur Vauban. Vaste sujet, tant la vie et l’œuvre du maréchal de Louis XIV sont riches, et ont marqué le règne du roi.

    Le conférencier s'est donc limité aux traces laissées par Vauban dans les Ardennes, en sélectionnant plusieurs villes : Rocroi, Mézières, Sedan, Givet et Bouillon. Pour chaque site, Bruno Squevin avait mis en avant un élément caractéristique des ouvrages créés par Vauban.

    En préambule, le conférencier avait fait un rappel synthétique de la vie de Sébastien Le Prestre, le nom de naissance de Vauban. Il a vécu 73 ans, ce qui est remarquable pour l'époque, en particulier pour un militaire présent sur les champs de bataille. Il a eu une activité civile très importante, mais assez méconnue.

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    Bien entendu, son activité militaire est également considérable. Il a travaillé aux quatre coins de la France, parcourant des milliers de kilomètres pour étudier les sites à fortifier, puis pour suivre les travaux. Il avait pris en compte les progrès de l'artillerie, qui devenait capable de détruire des murailles. Il a donc cherché à faire reculer les canons, en ajoutant des demi-lunes ou des ouvrages à cornes.

    Mais il a aussi créé des bâtiments de soutien, comme des casernement ou des poudrières. Il donnait une importance majeure aux portes des villes fortifiées, l'exemple de Mézières est typique de cette préoccupation.

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  • Conférence de Bruno Squevin : Vauban dans les Ardennes

    Communiqué de l'ASPV
     Bruno Squevin nous a captivés avec les églises fortifiées des Ardennes et nous l’avons convié à nouveau pour nous parler cette fois de Vauban dans les Ardennes. Cette conférence se tiendra le vendredi 19 avril à 20 heures précises au CPR , rue de l’agriculture à Vouziers.

    Vauban, personnage célèbre du XVIIème siècle est encore méconnu, car on ne retient de lui que son génie d’architecte en fortifications. De plus, on lui attribue souvent à tort des fortifications et on en oublie d’autres dont il est bien le concepteur. Pour faire le point à la fois sur ce génial ingénieur et sur ses travaux dans les Ardennes, Bruno Squevin est le spécialiste adéquat. Architecte, historien, archéologue, il connaît parfaitement le rôle qu’a joué Vauban dans les fortifications des places-fortes ardennaises. Pédagogue averti, il illustrera ses propos par des images parlantes qui aident à bien comprendre. Je crois que vous passerez d’agréables et instructifs moments en ce vendredi 19 avril. Nous vous attendons.

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  • Conférence : Les araignées, en finir avec les idées reçues

    Christine ROLLARD, enseignante chercheuse, aranéologue au Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris et marraine du Parcours Expérimental d’Éducation au Développement Durable du Collège de l’Argonne, vient donner une conférence au Parc Argonne Découverte sur les idées reçues que nous pouvons avoir sur les araignées et plus globalement sur la biodiversité. 

    Voici une présentation de la conférencière, tirée de Wikipédia :

    Christine Rollard s'intéresse particulièrement au lien entre les araignées et leur milieu et cherche autant que possible à transmettre ses connaissances. Ses activités scientifiques se sont orientées en systématique, bioécologie et faunistique dans260px-Christine_Rollard.jpg différentes zones géographiques avec participation à une quinzaine de programme d'études sur la biodiversité, en France métropolitaine (Brenne, Auvergne, Normandie, Mercantour, Corse), Outre-Mer (Guadeloupe, Martinique et La Réunion), Afrique (Guinée et Comores) et Vanuatu (Santo).

    Elle participe aux autres missions statutaires du Muséum : enseignement, expertise en tant qu'aranéologue (douanes), chargée de conservation de la collection d'araignées du Muséum qui est la troisième plus importante au monde, diffusion des connaissances vers les scolaires et le tout public  sous forme de conférences, d'interventions à travers divers médias, d'articles de vulgarisation ou d'ouvrages. Sa passion pour les araignées lui vaut les surnoms de « Madame araignée » et « Spiderwoman »

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  • C'est à Vouziers, mais avez-vous réussi à le localiser ?

    Si besoin, voici les légendes  qui correspondent aux clichés proposés.

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    Le  soldat du monument tchécoslovaque de Bobo.

     

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    L'escalier de la rue Bondon

     

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    Décor sur la façade de l'ancien cinéma, rue du Chemin Salé

     

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    Plaque sur la maison Scheuer, rue Taine

     

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    L'entrée du quartier Savary, rue de Condé.

     

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    La ruelle de la Place, qui débouche rue Bournizet

     

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    L'arbre est planté au parc Bellevue.

     

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    Le mur de soutènement, le long de l'ancienne voie de chemin de fer, au port de Vouziers.

     

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    Maison à l'angle de la rue Taine et de la rue Gaignère

     

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    Les bâtiments de la ferme Caquot, rue Gambetta.

     

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    Une ruine, rue Gaignère.

     

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    Cheminées de l'ancienne gare de Vouziers

     

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    Ancien bunker, rue Gambetta.

     

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    Ancienne boulangerie,rue Bournizet.

     

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    L'usine électrique,rue Désiré Guelliot.

     

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    Le ginkgo biloba, devant l'église de Condé lès Vouziers.

     

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    Au milieu du bâtiment du CPR, rue de l’Agriculture.

     

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    Petit montre souriant, sur l'église Saint-Maurille.

     

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    La tour de la caserne des pompiers, rue Albert Caquot.

     

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    La sous-préfecture rue Gambetta (vue du jardin).

     

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    Un coin de campagne,vers Syrienne.

     

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    Dans la cour de l'ancienne école Dodeman.

     

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    Un ange au cimetière communal.

     

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    Le ruisseau de la Muette à Condé lès Vouziers.

     

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    Apparition miraculeuse à l'hôpital de Vouziers, rue Henrionnet.

     

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    Un escalier, dans le bois du Nan.

     

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    Stèle pour les combattants tchécoslovaques, à la nécropole nationale de Chestres

     

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    Fresque sous le pont de Vouziers.

     

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    L'entrée du cimetière allemand,rue de Syrienne.

     

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    Monument dans le cimetière allemand, rue de Syrienne.

  • Ciné-rencontre "Le dernier des juifs" le mardi 12 mars Cinéma les Tourelles

    Réalisé avant le massacre du 7 octobre, ce premier film drôle et subtil raconte l’histoire d’une mère et son fils qui sont les derniers de leur communauté juive dans leur cité de banlieue. Un sujet qui résonne dans la terrible actualité du Proche-Orient… La section vouzinoise de la LDH vous propose d’en débattre après la projection avec Fabienne MESSICA Membre du Comité National LDH Sociologue, spécialiste des questions d’immigration, des quartiers populaires et de l’éducation, auteure de nombreux ouvrages

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    Bellisha, « enfant poule » qui couve sa mère malade

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