Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 623

  • Un monde plus dangereux pour les réfugiés et les migrants

     

    carrousel_0.jpg


    Le rapport annuel d’Amnesty International offre sur 400 pages un large panorama des violations des droits humains perpétrées en 2012 dans 159 pays et territoires.

    Les droits de millions de personnes qui ont fui les conflits et les persécutions, ou qui ont quitté leur pays en quête de travail et d'une vie meilleure sont bafoués. Partout dans le monde, les États se montrent davantage désireux de protéger leurs frontières nationales que les droits de leurs citoyens et ceux des hommes et des femmes qui viennent chercher refuge ou de meilleures chances chez eux.

    La communauté internationale a été le témoin en 2012 de toute une série de crises des droits 2-7467-3034-2.jpghumains qui a contraint nombre de personnes à quitter leur foyer pour chercher refuge ailleurs, sur le territoire de leur pays ou au-delà des frontières. De la Corée du Nord au Mali, du Soudan à la République démocratique du Congo, des hommes, des femmes et des enfants sont partis de chez eux dans l'espoir de trouver la sécurité.

    Pour le peuple syrien, 2012 a été une nouvelle année de perdue, une année où la situation n'a guère changé – à l'exception du nombre sans cesse croissant de vies perdues ou brisées par un conflit qui a déjà jeté des millions de personnes hors de chez elles. Le monde est resté les bras croisés alors que l'armée et les forces de sécurité syriennes continuaient de mener des attaques aveugles ou ciblées contre les civils, et de soumettre à des disparitions forcées, d'arrêter arbitrairement, de torturer et d'exécuter sommairement les opposants supposés, tandis que des groupes armés poursuivaient de leur côté les prises d'otages et, dans une moindre mesure, les exécutions sommaires et les actes de torture.

    Pour bloquer toute initiative internationale sur des crises telles que la situation en Syrie, certains ont brandi le prétexte que les droits humains relèvent des « affaires intérieures » d'un pays. Le Conseil de sécurité des Nations unies, chargé de la sécurité et de la gouvernance mondiale, ne produit toujours pas d’action politique concertée et unifiée.

    Les réfugiés qui réussissent à gagner un autre pays pour y chercher asile se retrouvent souvent – au propre et au figuré – dans le même bateau que des migrants qui quittent leur pays en quête d'une vie meilleure pour eux et pour leur famille. Laissés-pour-compte des politiques et des lois inefficaces, beaucoup se retrouvent contraints de vivre en marge de la société et sont directement visés par les discours populistes et nationalistes qui attisent la xénophobie et accentuent le risque de violences à leur encontre. Les droits fondamentaux d'un grand nombre des 214 millions de migrants de par le monde ne sont pas protégés, ni par leur pays d'origine ni par leur pays d'accueil.

  • Assemblée Générale de l'Office Municipal des Sports

    L'OMS regroupe les clubs sportifs de la ville, en coordonnant leur fonctionnement et en proposant des actions fédératrices.

    L'assemblée générale est le moment  où chacun peut participer au bilan des douze mois de l'année précédente.

    oms, vouziers,assemblée générale

    Une très courte AG extraordinaire a permis de repousser le renouvellement du conseil d'administration de un an, pour le faire coïncider avec la mise en place de la nouvelle équipe municipale.

    Le rapport moral, ainsi que les rapports d'activité et financiers ont été approuvés à l'unanimité. Le président a annoncé que les critères d'attribution des aides seraient revus l'an prochain.

    Parmi les projets, on retiendra celui de l'acquisition d'un minibus qui serait financée par la publicité.

    Le représentant des OMS départementaux a insisté sur l'importance de l'information et de son partage à tous les niveaux, il a mis l'accent sur le développement du sport en tant qu'outil pour la santé et il a mis en avant les changements liés à la montée en puissance des intercommunalités.

    A ce sujet il a été rappelé par une intervenante que la 2C2A demandait au club nautique une participation pour la mise à disposition de la piscine, de 2500 € actuellement mais qui va atteindre 10.000 € par paliers.

    oms, vouziers,assemblée générale

    Françoise Cappelle qui représentait le maire de Vouziers a insisté sur le rôle des associations sportives et a rappelé que la ville faisait fonctionner  sur ses seules finances des équipements utilisés par des personnes qui viennent pour moitié de Vouziers et pour moitié de l'extérieur. Elle a rendu un hommage appuyé à l'action d'Angélique Haudecoeur, mise à disposition de l'OMS par la ville.

    Plusieurs bénévoles associatifs ont été récompensés en fin d'AG, parmi lesquels A Lavialle du karaté club et Yvon Carles qui a joué un rôle important notamment au tennis et au tennis de table.

    oms, vouziers,assemblée générale

    oms, vouziers,assemblée générale

  • Cinq de Roanne : halte aux intimidations

    Communiqué LDH
    Les cinq militants CGT de Roanne ont eu à subir, au petit matin du 23 mai, l’intrusion de la police à leur domicile, suivie d’arrestations et d’une garde à vue dans des conditions de tension accompagnée de brutalités.

    La Ligue des droits de l’Homme condamne avec indignation cet acharnement, qui s’inscrit dans la situation créée par le refus gouvernemental d’une amnistie pour des actions commises dans le cadre de mouvements sociaux.


    Ce qui apparaît de toute évidence comme une mesure d’intimidation policière survient après qu’ils ont refusé de se soumettre au prélèvement ADN, faisant suite à leur condamnation à une peine non exécutoire pour « dégradation légère d’un bien par inscription, signe ou dessin », pour des faits liés à des actions syndicales en plein conflit des retraites en 2010. La Ligue des droits de l’Homme demande au procureur général de Lyon, ainsi qu’au procureur de la République de Roanne, que cessent immédiatement toutes les mesures d’intimidation et de criminalisation. La LDH appelle à participer au rassemblement national de solidarité du 5 novembre prochain.

    Paris, le 23 mai 2013

    2013-05-23roanne.jpg

    Photo "L'Humanité" (voir l'article du journal)

  • Communiqué du collectif contre l’enfouissement des déchets radioactifs

    Déchets nucléaires à Bure : prise en otage depuis 20 ans, la population excédée fait exploser le « débat public » au décollage

    Annoncée à grand renfort de conférences de presse, de pavés publicitaires, d’envois postaux, la commission du « débat public » sur l’enfouissement des déchets radioactifs entamait hier soir sa série de réunions publiques (14 programmées). Cette première, à BURE, n’aura pas fait long feu. Méprisée depuis des années, la population s’est lâchée, dénonçant quantité de vices anti-démocratiques et de risques inacceptables. En quelques minutes, le dit « débat » explosait par jet de l’éponge de son président. Retour sur les causes, les enseignements, les suites.

    Tous étaient prévenus, et depuis longtemps. Dès le 8 février de l’an dernier, à Paris, invité à intervenirrubon4-d19eb.png sur le thème des déchets nucléaires dans un colloque traitant de « la gouvernance du très long terme », le représentant du CEDRA avait vivement réagi aux propos de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire). Présentant le dossier BURE/enfouissement quasi comme un modèle de démocratie (avec un Clis, un débat public en 2005/2006, etc, etc), l’IRSN (organisme chargé entre autre de contrôler l’Andra) s’était vu contredit, devant un parterre d’officiels (ministère, ASN, CNE…). Avec force exemples, le témoin local avait conclu que de par ces lourds et multiples griefs, il ne faudrait pas s’étonner que le « débat public » en 2013 soit accueilli avec des fourches. Depuis février 2012, le message a pu être martelé à de nombreuses occasions, dans le but que la donne démocratique évolue largement. Las, la commission du débat public « enfouissement » a accumulé les faux-pas, jusqu’à un calendrier des plus stupides (cf communiqués antérieurs du Cedra)

    Une population méprisée et prise en otage

    Dans ce « débat public », la réflexion du CEDRA avait débouché sur une position atypique. Non pas « participer » mais AGIR, se faire entendre, dehors mais aussi et surtout dedans, dans les réunions, par les « cahiers d’acteurs », etc. Se faire entendre, tant le mépris subi par la population depuis vingt ans est lourd, sur les scandaleux mensonges, achat du silence et conscience, processus décisionnel truqué…

    -       le groupe de « réflexion et questions sur les enjeux ETHIQUES » d’un enfouissement, dans son document amplement documenté, a analysé de manière implacable les méthodes usitées 

    -       Médiapart, dans un article tout récent, vient de brosser de manière magistrale le « système », largement méconnu dans son ampleur, mis en place pour imposer (sous couvert de démocratie, de participation) l’enfouissement des pires déchets du nucléaire.

     La réunion de Bure, ses enseignements et une victime

    Pour faire écho à un journaliste qui, hier soir, demandait au CEDRA si l’action à Bure était une victoire, deux enseignements doivent être tirés :

    -       l’exaspération qui, hier soir, a éclaté au grand jour va au moins permettre que le message pénètre les tours d’ivoire qui gouvernent ce pays

    -       quant à la « victoire », elle ne sera que lorsque un véritable processus démocratique guidera nos affaires communes, et que lorsque la folie d’enfouir sera stoppée au profit de la recherche - au niveau international – d’une vraie SOLUTION à la radioactivité de ces déchets

    Une victime ? En effet, de par le message véhiculé par l’annulation de la première réunion, celles et ceux qui dénoncent processus et projet d’enfouissement, ont fait une victime, leur adversaire majeur : la fatalité, la résignation. Déjà, l’engagement contre le projet de poubelle FAVL voici quelques années avait montré que tout était possible si détermination et vérité comme guide il y avait. Voilà nouvelle illustration que l’avenir n’est pas encore écrit

     

    sortons.jpg


    La suite ?

    Prochaine réunion annoncée du « débat public » : jeudi prochain 30 mai, à Saint-Dizier (salle du Palace/quartier de La Noue) . Pour celle-ci aussi beaucoup sont remontés, d’autant que la réunion aurait pour thématique « l’insertion [de la poubelle nucléaire] sur le territoire ». Sur cette « insertion » par une massive vaseline - qui fait tant baver certains - il y aurait à dire, à dénoncer, à demander des comptes (!), à faire stopper. Rendez-vous donc à toutes et tous à Saint-Dizier

    Saint-Dizier, justement. Une information parvenue au CEDRA signale que le maire (également député) de Saint-Dizier, Monsieur François Cornut-Gentille, n’ayant pas réuni le conseil municipal depuis plusieurs mois, a convoqué celui-ci le jeudi…. 30 mai, et, oui… à 18H, percutant de plein fouet la réunion du « débat public » dont en tant qu’élu local et législateur il devrait être l’un des premiers participants ! Une campagne de dénonciation étant menée depuis hier par l’élu municipal JL.Bouzon, la mairie nous confirme ce matin que la réunion du conseil a été avancée… à 17H. A cette occasion, F .Cornut-Gentille s’est vu qualifié d « anguille politique ». Erreur, c’est à une savonnette mouillée que nous avons affaire, vous appuyez dessus et vous ne savez pas où ça part. Le personnage touche de l’argent de Bure à tour de bras, à travers le GIP, pour les projets de la ville mais mutisme complet sur le projet d’enfouir, ses tares démocratiques, ses risques multiples et insensés. Encore un qui mériterait bien un « Fût de la HONTE » 

    A ne pas vouloir écouter les mots des populations de Haute-Marne et de Meuse, de ne pas s’arrêter sur les questions et les risques d’un tel projet, de n’être guidés que par des intérêts financiers, les élus vont devoir entendre et subir le bruit des fourches.

     

     

    le débat public c’est là > www.cigeout.com

  • EHPAD de Vouziers : 2 ans ont passé et pas d'amélioration notée.

    Il y a deux ans, nous vous avons fait part de la notation de l'Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées dépendantes (EHPAD) de Vouziers, anciennement appelé V80, et dénommé désormais "Les Tilleuls".

    Dans cet article de mars 20111, nous vous informions que cet établissement avait reçu la note de 4/10 dans une évaluation nationale, soit un positionnement dans la catégorie la plus mauvaise .

    Deux ans plus tard, France Info renouvelle sa publication, et le résultat est aussi désolant, 4/10. On ne peut pas dire que rien n'a été fait, puisque l'étanchéité du toit terrasse a été refaite et que des cloisons coupe-feu ont été posées. Mais ces travaux n'ont en rien amélioré le confort des personnes hébergées aux Tilleuls.

    Voici l'avis du site :

    Cette unité de soins longue durée est installée au sein de l'hôpital de Vouziers. Son bâtiment est vétuste,usld-vouziers-6476.jpg son décor modeste, désuet et sale. Il accueille quatre-vingts résidents très dépendants. Ses chambres individuelles ou doubles ne sont pas équipées de douche privative. Les repas sont préparés par la cuisine centrale de l'hôpital. Ses animations sont quotidiennes et variées, ses sorties en minibus régulières. Son tarif est raisonnable, mais trop élevé au regard des prestations fournies.

     

    • Le + : "Aucun"
    • Le - : "Décor, confort et hygiène"


    Voici les catégories retenues par ce site :

    4 grandes catégories :

    • Noté de 8 à 10 : Ce sont de très bons ou d'excellents établissements, soit en prestations soit en rapport qualité/prix et quelque fois les deux.

    • Noté 7 ou 7.5 : Ce sont de bons établissements aux normes, sans forcément être luxueux mais toujours avec des prestations complètes.

    • Noté 6 ou 6.5 : Ce sont des établissements moyens au confort sommaire, pas toujours équipés de douches privatives, au standing ordinaire mais dans un cadre digne.

    • Noté 5.5 et en dessous : Ce sont des établissements médiocres, sans confort, plus aux normes, souvent froids, que nous souhaiterions voir rénové ou fermé. Ils sont déjà pour la plupart dans le collimateur des autorités. Déconseillés.

    L'établissement de Vouziers est donc "déconseillé" avec aucun argument positif en sa faveur. Ce classement, comme toute tentative de ce type, est sujet à critique et reste en partie subjectif. Mais se voir en dernière place une fois de plus, cela n'est pas le fait du hasard ou d'un acharnement pour nuire à Vouziers. Pour information, "La Résidence", l'autre EHPAD de Vouziers reçoit une note de 5/10 avec ce commentaire :

    Cet EHPAD est installé au sein de l'hôpital de Vouziers. Son bâtiment est vétuste, son décor modeste, désuet et sale. Il accueille cent six résidents de toutes dépendances, y compris les personnes désorientées mais sans disposer d'unité protégée. Ses chambres individuelles ou doubles ne sont pas équipées de douche privative. Les repas sont préparés par la cuisine centrale de l'hôpital. Ses animations sont quotidiennes, ses sorties en minibus fréquentes. Quatre offices religieux sont célébrés dans l'année. Son tarif raisonnable se situe dans la moyenne locale.

    • Le + : "Aucun"
    • Le - : "Confort et décor"

     

    Il y a deux ans, notre conclusion était :"Faut-il répéter qu'aucun projet réel n'existe pour Vouziers dans ce domaine. Quand on connaît les délais nécessaires entre une décision de construire et la mise à disposition d'un établissement de ce type, on peut être très inquiet pour les résidents actuels et futurs." Nous pouvons malheureusement garder la même conclusion deux ans plus tard.

  • Salut, toi le métèque ...

     

    GEORGES-MOUSTAKI-PRIX-2012-CADET-VINCENOT.jpg

    Avec ma gueule de métèque
    De Juif errant, de pâtre grec
    Et mes cheveux aux quatre vents

    Avec mes yeux tout délavés
    Qui me donnent l'air de rêver
    Moi qui ne rêve plus souvent

    Avec mes mains de maraudeur
    De musicien et de rôdeur
    Qui ont pillé tant de jardins

    Avec ma bouche qui a bu
    Qui a embrassé et mordu
    Sans jamais assouvir sa faim

  • Le Medef prépare déja l'acte II de ... la flexisécurité

    En cherchant, il est possible de trouver des "extrémistes" un peu partout. En pleine campagne électorale interne,  les candidats à la présidence du MEDEF se lâchent.

    Voici un article repris du blog de la CGT du Conseil Général des Ardennes :

     Le projet ANI a peine validé par le parlement, les candidats à la présidence du Medef envisagent déjà un acte II de ce qu'ils qualifient de « flexisécurité ». La course au toujours plus de précarité pour les salariés continue !

     La campagne pour l'élection à la tête du Medef bat son plein. le plus prolixe dans les média, est Geoffroy Roux de Bézieux qui vient de présenter son programme, repris par Le Figaro. On y trouve pêle mèle : « (...) un moratoire de trois mois sur les charges sociales (...) la fixation dans l'entreprise de la durée de travail (...) l'allégement du coût du travail, la baisse de la fiscalité des entreprises, la simplification administrative ou la limitation des délais de procédure (...) »

    Sur les retraites et l'indemnisation chômage, pas de quartier puisqu'il propose : « (...) le recul de l'âge de départ à la retraite, l'allongement de la durée de cotisation ou encore la désindexation des pensions (...) » Et en ce qui concerne les chômeurs : « une profonde remise à plat du dispositif d'indemnisation: retour à la dégressivité des allocations, division par trois du plafond, réduction du délai (...)
    Au delà de l'outrance de ces propositions destinées à rallier les patrons/électeurs les plus durs, on notera cette petite phrase : « (...) il faut aller plus loin que ce qui a été décidé dans l'accord national interprofessionnel du 11 janvier »
    Donc, l'accord ANI que Laurence Parisot qualifiait, il y a quelques jours : « d'événement dans l'histoire économique et sociale de notre pays » et ajoutait que le texte donnera aux entreprises des outils pour une « adaptation rapide et sécurisée aux évolutions de leurs carnets de commande et de la conjoncture tout en renforçant la protection des salariés ». serait déja dans l'esprit de ses possibles successeurs, périmé ?
    On est en droit de le penser en lisant le dernier billet publié par Patrick Bernasconi, l'ancien bras droit de Laurence Parisot, et autre candidat à sa succession.
    Qu'écrit-il ?
    « (...) Premièrement, il faut un acte II de la flexisécurité, après l’accord du 11 janvier. Ce nouvel accord devra traiter notamment de trois sujets :

    - le temps de travail, qui doit être fixé dans l’entreprise en faisant disparaître la norme générale des 35 heures ;

    - des accords compétitivité emploi offensifs – pour aller à la conquête d’un nouveau marché par exemple – et pas seulement défensifs ;

    - et l’instauration du « contrat de projet », nouveau contrat dont la durée sera liée à82972007_p.jpg l’accomplissement d’un projet (sur le modèle du « contrat de chantier » dans le BTP)
    .
    (...) Le gouvernement a annoncé son intention de donner toute sa place au dialogue social : je demande au Président de la République de s’engager clairement à laisser les partenaires sociaux prendre la main dans ces trois domaines. Nous aurons, alors, une véritable obligation de résultats »
    Les moins avertis d'entre nous auront remarqué qu'aucune des propositions émises par MM Roux de Bézieux ou Bernasconi ne fait référence à la « sécurité » des salariés prévu dans l'ANI pourtant signé par le Medef.Et compte tenu des dates hypothétiques d'application des droits rechargeables des chômeurs et de la complémentaire santé pour tous les salariés, il est assez probable que c'est la partie « flexibilité » an I et an II que le nouveau boss du Medef essayera d'imposer le plus rapidement possible aux syndicats et au gouvernement !    
    Gesticulations et surenchères de candidats ? Certainement. Néanmoins, ces écrits démontrent, si cela était nécessaire, que la vigilance des salariés ne doit surtout pas se relâcher !