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écologie - Page 33

  • Nous voulons des Coquelicots

    Un message pour le rassemblement du 3 mai 2019, repris du site national

    En mai, faisons vraiment ce qu’il nous plaît. Après un hiver diablement actif, la sève de ce printemps a monté dans notre beau mouvement. Nous avons fleuri la France et nos couleurs se déploieront bientôt partout. Le 18 mai, vous irez peut-être marcher contre Monsanto. Ou sur votre mairie, pour demander à vos élus de signer l’Appel des coquelicots et de le faire signer, puisqu’il est si important…

    De grandes villes nous soutiennent désormais. Toulouse, qui est de droite. Paris et Brest, marquées à gauche. Ou encore Grenoble, avec son maire écologiste. Vous avez peut-être vu des images faites dans la capitale, où l’on a semé des coquelicots au Trocadéro et devant l’Hôtel de Ville. Eh bien, on a fait pareil sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, et dans 1000 lieux encore. Et ceux qui reçoivent le merveilleux journal La Hulotte ont pu voir que le soutien à notre mouvement explose. Même dans les terriers! Bravo à tous!

    Et après? Pour le rendez-vous de juin, nous avons une proposition à vous faire. A vous de voir et de juger, commelogo-les-coquelicots.svg d’habitude… Nous vous proposons… un mariage. De raison, de passion et d’aventures communes. Vous le savez, un puissant mouvement contre la crise climatique est en cours. Avec, et c’est neuf, des milliers de jeunes engagés enfin dans l’action. Nous souhaitons que vous, les centaines de groupes locaux partout en France, organisiez dans la fête, et pour juin, des épousailles symboliques entre nos deux envolées.
    Un ou une Coquelicot et un ou une du Climat.

    La forme, vous la trouverez bien. On peut imaginer un orchestre et des flonflons, des bagues végétales, le discours du marieur, les confettis et les grains de riz bio, les embrassades.

    Pourquoi unir? N’est-ce pas évident? Un monde qui parviendrait à juguler la crise climatique, mais qui se retrouverait sans oiseaux, sans abeilles ni papillons, vous en voulez? Une Terre débarrassée des pesticides, mais dévastée par de folles températures et des ouragans, cela vous tente?
    Nous ne souhaitons aucunement fusionner. Mais nous appuyer l’un sur l’autre, mais nous renforcer l’un l’autre, oui, cent fois oui. C’est un mariage pour le meilleur… et pour éviter le pire.

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  • Découvrez la faune et la flore argonnaise avec des spécialistes

    logo_2c2a_signature.pngLa 2C2A, en collaboration avec le Regroupement des Naturalistes Ardennais, le Conservatoire d’Espaces Naturels de Champagne Ardenne et la Maison de la Nature de Boult-aux-Bois, organise du 5 mai au 30 août prochains, 8 sorties découverte des sites Natura 2000 de son territoire.
    Ces sorties sont l’occasion pour les novices, de découvrir la nature qui les entoure et pour les passionnés, de parfaire leurs connaissances, grâce aux spécialistes de terrain.
    Au total, 201 personnes ont participé à ces sorties en 2018, dont 43% de personnes habitant le territoire de la 2C2A.

    Contact : Aurélien MUSU (03 24 71 59 93)

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  • Équateur : ces femmes qui risquent leur vie

    Communiqué d'Amnesty International le 30.04.2019

    Malgré les promesses du gouvernement du président Moreno, les Femmes amazoniennes, défenseures des droits humains, sont toujours en danger.

    La vie des militantes écologistes du collectif des Femmes amazoniennes, comme celle des autres défenseurs de l'Amazonie contre des intérêts politiques et économiques liés à des projets d'extraction sur des territoires indigènes, est mise en danger par l’incapacité et l’absence de volonté politique des autorités équatoriennes d'assurer leur protection et de conduire des enquêtes pénales sur les attaques et les menaces qui les visent.
    Une série d’attaques et de menaces

    Les Femmes amazoniennes est un collectif de dizaines de femmes équatoriennes qui défendent l’environnement amazonien et les droits des peuples indigènes

    En 2018, trois membres de ce collectif, Nema Grefa, Salomé Aranda et Margoth Escobar, ont signalé une série d’attaques et de menaces de mort qui ont mis en lumière les manquements des services du procureur général de l’Équateur.

    Les activités des défenseurs de l’environnement, comme le collectif des Femmes amazoniennes et d’autres organisations des peuples indigènes, ont un caractère d’urgence et sont indispensables en Équateur comme dans le reste du monde, au regard des impacts de plus en plus évidents de la crise environnementale mondiale sur les droits fondamentaux de toutes les personnes.

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  • Nous voulons des coquelicots ! Rassemblement ce vendredi 3 mai à Vouziers

    Appel à l'initiative de Michel Coistia
    Nous voulons des coquelicots. Rassemblons-nous, ce vendredi 3 mai devant l'hôtel de ville de Vouziers à 18h30. Ce sera notre premier rassemblement. Nous nous compterons. Aidez-moi à mobiliser toutes celles et tous ceux qui refusent les pesticides. Participons à ce grand mouvement national largement soutenu par une multitude d'association de défense de la Nature et de la Biodiversité. La Hulotte s'engage dans ce mouvement. Nous sommes du pays de la Hulotte, nous ne pouvons pas rester en marge. Mobilisation générale!

     

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    L'appel national :
    Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l’estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles psychomoteurs chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L’exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui a choisi la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers.

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  • Le futur Office français de la biodiversité menacé par les lobbies de la chasse

    Communiqué de FNE le 19.04.2019

    Réunis les 11 et 12 avril 2019, les Sénateurs ont complètement dénaturé le projet de loi consacrant la fusion entre l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) et l’Agence Française de la Biodiversité. Le nombre de cadeaux indécents abandonnés au monde de la chasse, notamment fiscaux, marqueraient un recul historique de la protection de la nature en France et hypothéquerait les chances de succès du futur établissement public. France Nature Environnement et un groupement d’ONG demandent au gouvernement, qui a le dernier mot, d’en revenir au consensus sorti de la première lecture à l’Assemblée nationale.

    En l’état et tel que voté par le Sénat, l’Agence française pour la biodiversité deviendrait l’Office français de la biodiversité et de la chasse. Les chasseurs obtiendraient au moins 10% de sièges au conseil d’administration, de même que les organisations agricoles et forestières.
    L’une des missions de l’Office serait de contribuer à l’exercice de la chasse et de la pêche en eau douce, durables, mission qui ne relevait ni de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, ni de l’Agence française de la biodiversité.
    Les fédérations régionales des chasseurs pourraient se voir confier la gestion des réserves naturelles nationales, et des réserves nationales de la chasse et de la faune sauvage aujourd’hui sous la responsabilité de l’Etat. Au même moment, la superficie minimale des réserves de chasse communales ou intercommunales (censées permettre à la faune de se reconstituer) passerait de 10% à 5% de la superficie du territoire.

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  • Monsieur le Président de la République : entendez l’alerte climatique !

    Une version du discours que le président de la République devait prononcer lundi suite au Grand Débat national a fuité dans la presse, malgré son report du à l’incendie de Notre-Dame. France Nature Environnement, avec d’autres ONG, s’alarme à sa lecture et espère que ce n’est pas la version qui sera finalement prononcée. Est-il vraiment possible que le Président oublie la transition écologique ?

     

    Depuis septembre, le sentiment d’urgence climatique rassemble dans la rue de plusieurs pays une foule de plus en plus nombreuse. Les jeunes, à l’image de Greta Thunberg, appellent à un changement rapide des modes de production et de consommation pour ne pas hypothéquer leurs conditions de vie futures. Les Français perçoivent déjà cette alerte : 62 % des contributeurs à la plateforme du grand débat national estiment que leur vie quotidienne est touchée par le changement climatique. Canicules plus longues accompagnées de pics de pollution de l’air, sécheresses plus fréquentes, tempêtes et pluies plus intenses, érosion des côtes, augmentation des risques pesant sur les productions agricoles, propagation de virus transmis par le moustique tigre, les impacts sont déjà bien réels, en France et dans le reste du monde.

    Certains ont voulu opposer les gilets jaunes aux défenseurs du climat. C’est mal comprendre les femmes et les hommes qui se sont rassemblés sur les ronds-points pour marquer leur ras-le-bol face à un coût de la vie de plus en plus élevé et une hausse du prix des carburants. Utiliser un véhicule polluant, parcourir de plus en plus de kilomètres, est-ce un choix ou une obligation quand les distances augmentent entre le domicile et le travail, quand les services publics se raréfient en milieu rural, quand les centres villes se désertifient, quand les constructeurs automobiles n’ont pas anticipé la sortie des énergies fossiles et vont même jusqu’à utiliser des logiciels truqueurs pour pouvoir polluer davantage ?

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  • Débat sur les déchets nucléaires : le moment de vérité !

    Mercredi 17 avril, un débat public sur les déchets nucléaires doit être lancé dans le cadre du Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs 2019-2021.

    Greenpeace France considère que ce débat, qui donnera lieu à des dizaines de réunions partout en France, doit être l’occasion pour les citoyen.ne.s de se saisir d’un sujet grave dont l’empreinte écologique est largement sous-estimée.

    Avec ses 58 réacteurs et ses 60 ans de programme nucléaire, la France produit des déchets nucléaires en masse, alors qu’elle ne dispose à l’heure actuelle d’aucune solution satisfaisante pour les gérer. Aujourd’hui, environ 1,6 million de m³ de déchets radioactifs s’entassent sur le territoire national, auxquels s’ajoutera inévitablement l’amas de déchets liés au démantèlement de notre parc vieillissant

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