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  • La GTA (Grande Traversée de l’Argonne)

    Informations reprises du site d'Argonne-PNR

    Le 6 Mai 2017, Romain Sophys, traileur argonnais, s’est lancé le défi de traverser l’Argonne du sud au nord d’une seule traite : 121 km en 13 h ! Tout au long du parcours il fut rejoint par de nombreux coureurs à pieds ou vététistes. Le départ avait été donné à l’étang du Grand Morinval, près de Laheycourt jusqu’à la base de loisirs du lac de Bairon.

    sous-bois-printemps-cr%C3%A9dit-Mich%C3%A8le-Moreau-300x225.jpgArgonne-PNR souhaite pérenniser cet évènement sportif autour du GR 14 : une « Grande Traversée de l’Argonne » sera proposée sous une forme un peu différente entre le 27 mai et le 3 juin : à chacun selon ses possibilités, véritable défi autonome de Traversée de l’Argonne via des moyens de mobilité douce (Randonnée pédestre, course à pied, VTT…) Pour valider le défi, chaque participant se verra remettre lors de son inscription un carnet de route qu’il conviendra de faire viser en différents points du parcours. L’arrivée devra se faire à Givry-en-Argonne le dimanche 3 juin entre 18h et 20 h et donnera lieu à un moment festif.

    Une invitation sera lancée aux associations, villages, clubs sportifs du territoire pour participer à l’évènement et faire connaitre leurs activités.

     Un comité de pilotage composé de bénévoles aidera à l’organisation de cet événement.

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  • Pologne : plus de 200 ONG contre le projet de loi anti-avortement

    Tribune signée par 200 ONG, voir la liste sur le site d'Amnesty International

    Le 19 mars, la commission Justice et droits humains du parlement polonais a donné son aval à un projet de loi qui rendrait dans la pratique l’avortement quasi-interdit en Pologne. 200 ONG se mobilisent partout dans le monde.

    Nous sommes scandalisé.e.s par les tentatives incessantes pour faire reculer les droits reproductifs des femmes en Pologne.

    Cette semaine, le Parlement Polonais débat d’un nouveau projet de loi intitulé «Stop à l'avortement». S'il est adopté, ce projet de loi limitera encore davantage les motifs déjà très restreints qui permettent aux femmes d’accéder légalement à l'avortement en Pologne. Il mettra en danger la santé et la vie des femmes et violera les obligations internationales de la Pologne en matière de droits humains.

    Nous appelons les membres du Parlement polonais à écouter les voix des femmes qui s’élèvent dans toute la Pologne et à rejeter cette proposition législative régressive, pour protéger la santé des femmes et les droits humains.

    La loi Polonaise est déjà l’une des plus restrictives en Europe sur l'avortement. L'avortement n’est légal que dans trois cas : s’il y a danger pour la vie ou la santé des femmes, dans des situations de malformation fœtale grave ou lorsque la grossesse résulte d'un viol ou d'un inceste. Cependant, même dans les situations où l'avortement est légal, les femmes doivent faire face en pratique à de multiples obstacles. La dernière proposition de loi «Stop à l’avortement» vise à interdire l'avortement en cas de grave anomalie fœtale.

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  • Les 3 mesures les plus dangereuses du projet de loi Asile et immigration

    Communiqué d'Amnesty International le 22.03.2018

    A son tour, le nouveau gouvernement souhaite réviser la loi sur le droit d’asile et le droit des étrangers. Or, cette nouvelle réforme met en danger des droits des réfugiés et des migrants. Retour sur les trois mesures les plus dangereuses de cette réforme.

    Rendre plus difficile la possibilité de faire appel

    Faire appel d’une première décision négative est la toute dernière chance pour une personne de démontrer qu’elle craint des persécutions en cas de retour dans son pays. Si ce projet de loi est adopté en l’état, elle n’aura plus que 15 jours pour constituer son dossier, pour comprendre et répondre aux raisonnements de la première décision. Le plus souvent, les personnes font cela sans appui et dans une langue qu’elles ne maîtrisent pas.

    15 jours est un délai extrêmement court. Le risque est que des personnes ne parviennent pas à déposer leur recours dans ce délai et surtout qu’un plus grand nombre de recours soient rejetés en raison de leur qualité insuffisante, faute pour les personnes d’avoir pu préparer correctement leur « défense » dans un délai aussi court.

    En 2016, 17% (6 446 personnes) des personnes qui ont obtenu une protection en France l’ont eue après un recours sur un rejet initial de leur demande.

    Cette mesure du projet de loi met donc en péril la possibilité de faire appel d’une première décision négative et risque de permettre le renvoi de milliers de personnes dans leur pays alors qu’elles craignent réellement pour leur vie.

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  • Déclaration unitaire : Défendons tous les services publics ! Solidarité avec les cheminots et les cheminotes !

    Une réunion unitaire s’est tenue dans les locaux du NPA la semaine dernière. Elle a aboutit à un appel unitaire large, d’une grande partie des organisations politique du mouvement ouvrier, en soutien aux mobilisations à la SNCF et dans les services publics. Une conférence de presse se tiendra également jeudi.

    Voilà des années que les gouvernements successifs ont fait le choix de la privatisation des transports contre le climat, l'égalité et le social : sous-investissent dans le rail et  investissement massif  vers autoroutes et autocars, privatisés qui favorisent notamment l’explosion du trafic de marchandises par poids lourds.

    Depuis 1997 et la création de RFF, la SNCF est toujours plus segmentée, pour casser le corps social cheminot et poursuivre les privatisations préconisées par les « directives » européennes. Aujourd’hui Macron pousse au bout la logique, de l’éclatement de la SNCF. Partout en Europe, les recettes qu’il veut appliquer produisent la disparition de  lignes, l’explosion des prix, la vétusté des installations et des trains, la disparition du fret. C'est toute la population qui paie triplement l'addition : financièrement, par l'inégalité territoriale induite et par sa santé altérée par la pollution générée.

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  • Le printemps 2018 s'annonce silencieux dans les campagnes françaises

    Communiqué du Museum d'Histoire Naturelle le 20.03.2018

    Deux nouvelles études démontrent que les oiseaux des campagnes françaises disparaissent à une vitesse vertigineuse.

    Les derniers résultats de deux études de suivi des oiseaux, l'une menée à une échelle nationale, l'autre plus localement, viennent de sortir. Les chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle et du CNRS arrivent au même constat : les oiseaux des campagnes françaises disparaissent à une vitesse vertigineuse. En moyenne, leurs populations se sont réduites d’un tiers en 15 ans. Au vu de l'accélération des pertes ces deux dernières années, cette tendance est loin de s'infléchir…

    Grâce à des ornithologues amateurs et professionnels qui identifient et comptent les oiseaux sur tout le territoire métropolitain, le STOC (Suivi Temporel des Oiseaux Communs, un programme de sciences participatives porté par le Muséum national d’Histoire naturelle au sein du CESCO1), produit des indicateurs annuels sur l'abondance des espèces dans différents habitats (forêt, ville, campagne etc.). Les relevés effectués en milieu rural mettent en évidence une diminution des populations d'oiseaux vivant en milieu agricole depuis les années 1990. Les espèces spécialistes de ces milieux, comme l’alouette des champs, la fauvette grisette ou le bruant ortolan, ont perdu en moyenne un individu sur trois en quinze ans. Et les chiffres montrent que ce déclin s’est encore intensifié en 2016 et 2017.

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  • Quel coût pour la gestion à long terme des déchets radioactifs ?

    Le Conseil d'État se penchera le 19 mars sur le coût de la gestion à long terme des déchets radioactifs. En janvier 2016, Ségolène Royal avait fixé arbitrairement le coût de la gestion à long terme des déchets radioactifs de haute et moyenne activité à vie longue à 25 milliards d’euros, soit un montant inférieur à près d’un tiers à celui évalué par l’Agence nationale de gestion des déchets radioactifs (Andra). Le Réseau “Sortir du nucléaire“, France Nature Environnement, MIRABEL-Lorraine Nature Environnement et BureStop55 ontimages?q=tbn:ANd9GcRMGPqYQ7JPTiWOQs0L4oeeD9Eh-lRRBpVEop-F8TkV4JE-RDZcVw attaqué cet arrêté adopté par complaisance envers les producteurs de déchets. Alors que le Conseil d’État doit examiner l’affaire le 19 mars 2018, les associations exigent que la vérité soit dévoilée sur les coûts réels du projet Cigéo et de la gestion des déchets radioactifs.

    Le mauvais feuilleton des coûts cachés de Cigéo

    Alors que Cigéo constitue l’un des plus gros projets industriels d’Europe, pendant des années, aucune évaluation actualisée de ses coûts n’a été rendue publique par l’Andra ni par l’État. Le débat public de 2013 s’est ainsi déroulé alors que n’était versée au dossier qu’une estimation de 16,5 milliards d’euros que tout le monde savait obsolète. Dans le même temps, des travaux de la Cour des comptes laissaient supposer que le coût réel dépassait les 40 milliards d’euros.

    En janvier 2016, après avoir dû saisir la Commission d’Accès aux Documents Administratifs, le Réseau “Sortir du nucléaire“ a pu obtenir la publication d’un document de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) commentant l’évaluation du coût de la gestion à long terme des déchets radioactifs par l’Andra. Cette dernière chiffrait ce coût à 34,5 milliards d’euro, un montant que l’ASN jugeait bien optimiste

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  • Plus d'habitants grace au PLU ?

    L'ordre du jour du Conseil municipal qui s'est réuni le 13 mars dernier comportait essentiellement un débat sur le Plan d'Aménagement et de Développement Durable. Ce PADD arrête les orientations générales concernant l’habitat, les transports et les déplacements, les communications numériques, les loisirs et le développement économique et commercial retenues pour l’ensemble de l’EPCI ou de la commune.  Ces objectifs seront repris par le Plan Local d'Urbanisme dans ses prescriptions.

    La Communauté de communes possède désormais la compétence en ce domaine, il faudra donc que la 2C2A intègrent ces données dans son futur PLUI (I pour Intercommunal).

    C'est le cabinet Dumay de Sedan qui a été chargé de ce travail, et qui a présenté aux élus sa première version. La rédactrice de l'étude a insisté sur le fait qu'il s'agissait d'une ébauche qui devait servir à alimenter le débat entre les conseillers.

    Pour son adoption, plusieurs étapes sont effectivement prévues par les textes réglementaires et législatifs ;

    • une première ébauche de PADD écrite par les élus ou tout au moins exprimée avec l’aide du bureau d’études ou du service technique retenu. Ces principes permettent d’orienter et de cadrer le diagnostic en fixant les sujets à approfondir et les questions supplémentaires à se poser…

    • après consolidation des enjeux, une décision politique est esquissée, et une réécriture du PADD peut être affinée avec un professionnel de l’urbanisme. Après le débat en Conseil municipal sur le PADD (au minimum 2 mois avant l’arrêt du projet) et suite aux discussions dans le cadre de la concertation, le PADD peut être complété ou amendé dans certaines proportions.

    • le PADD est ensuite arrêté, avec l'ensemble du dossier de PLU, par l'organe délibérant de l' EPCI ou de la commune.

    • il peut enfin faire l'objet d'une mise au point après l’enquête publique pour prendre en compte les observations du public et du commissaire-enquêteur.

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