Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Journées européennes de la migration les 3 et 4 octobre 2020

    En famille, avec des amis, pour la journée ou la demi-journée, passionnés de nature ou simples amateurs, laissez-vous guider par nos ornithologues pour apprendre les bases de la reconnaissance des oiseaux en vol.

    Découvrez les multiples stratégies migratoires

    Savez-vous que certains oiseaux des jardins migrent la nuit ? C’est le cas notamment de la Fauvette à tête noire qui comme les autres est capable d’interpréter le ciel nocturne en observant la rotation céleste afin de s’orienter !

    Apprenez à reconnaître les oiseaux et leurs techniques de vol

    Lors de ces journées d’observation, il sera possible d’identifier les techniques de vol : le vol planeur (rapaces, cigognes) exploitant les courants d’air chaud pour s’élever sans effort et se laissant glisser jusqu’à l’ascendance thermique suivante ;  le vol battu des passereaux privilégiant parfois la migration nocturne pour bénéficier de conditions plus favorables (air frais, faibles turbulences) ; ou encore le vol en V générant des économies d’énergie (oies, grues, cormorans, canards).

    Quelques animations locales :

    Découverte des oiseaux sur la Réserve naturelle des étangs de Belval-en-Argonne

    Durant cette journée, vous pourrez observer aux côtés d’animateurs naturalistes de la LPO Champagne-Ardenne certains oiseaux migrateurs en stationnement, tels que des Anatidés (Oies cendrées, Fuligules morillons et milouins) mais aussi des oiseaux en migration active passant au-dessus de nos têtes. Rendez-vous sur le parking situé à la sortie de Belval-en-Argonne (direction Givry-en-Argonne) le long de la route D354 - 51330 Belval-en-Argonne. Réservation obligatoire au 06.88.32.74.84 ou sur remi.hanotel@lpo.fr

    Lire la suite

  • PAC : n’ayons pas peur du débat citoyen !

    La Confédération paysanne a toujours ouvert le débat sur l'agriculture et la PAC* aux citoyen.nes, concerné.es au premier chef pour leur alimentation et en tant que contribuables. D'ailleurs la plateforme Pour Une Autre PAC*, regroupant 43 organisations dont la nôtre, s'inscrit pleinement dans cette démarche.

    Pour la première fois, un débat public est organisé, via la CNDP, sur les orientations à donner à la PAC*. Les propositions de l'Assemblée citoyenne sur l'agriculture, réunie ce week-end, confirment globalement les objectifs et les leviers pour aller vers un modèle agricole plus social et plus écologique.

    Après les expertises des États généraux de l'alimentation, après les rapports d'institutions comme France stratégie et le CESE, après la Convention citoyenne pour le climat, encore une fois, il est proposé de placer au cœur de la réforme de la PAC* l'amélioration du revenu paysan, une distribution plus équitable des aides PAC* et leur ciblage sur les pratiques agro-écologiques. Des propositions qui font largement écho à notre projet pour une Politique agricole et alimentaire commune : sortie des aides à l'hectare, soutien aux petites fermes, relocalisation, circuits courts…

    42607806_255987021775920_6821271345884561408_n.jpg?_nc_cat=102&_nc_sid=730e14&_nc_ohc=0ivc6btVSe4AX8C26RQ&_nc_ht=scontent-cdg2-1.xx&oh=1ccb86bd385397bc8ed86b1196ca917c&oe=5F9967D9

    Lire la suite

  • Les riches ont aussi des problèmes

    pauvres 09.2020.jpg

    Dessin de Foolz pour Charlie-Hebdo

  • Twitter en 2020 : toujours toxique pour les femmes

    Harcèlement, humiliations, violences… Twitter n’en fait toujours pas assez pour protéger les femmes contre les abus en ligne, malgré de multiples promesses.

    Notre programme Twitter Scorecard évalue le bilan de ce réseau social s’agissant de mettre en œuvre une série de recommandations pour éradiquer les violences ciblant les femmes sur la plateforme.

    Malgré certaines améliorations notables, Twitter doit faire beaucoup plus pour résoudre le problème. L’entreprise n’a pleinement appliqué qu’une seule des 10 recommandations concrètes formulées et n’a guère progressé sur la question d’améliorer la transparence sur la manière dont elle gère les signalements d’abus.

    L’inaction de Twitter

    Twitter n’agit pas suffisamment pour faire barrage au déluge de violence que subissent les femmes sur la plateforme. Notre analyse montre que malgré certaines avancées, Twitter ne se mobilise pas assez pour protéger ses utilisatrices, ce qui amène un grand nombre de femmes à se taire ou à s’autocensurer sur la plateforme.

    En 2018, nous avons publié une enquête dénonçant l’ampleur des violences que les femmes subissent sur Twitter. Nous avions défini des recommandations claires et simples que l’entreprise pouvait mettre en place pour rendre sa plateforme plus sûre et permettre aux femmes d’exprimer leurs opinions. Pourtant, les femmes ont continué de faire l’objet d’abus et elles ont dénoncé l’inaction de l’entreprise face à ce fléau.

    Lire la suite

  • Action devant ADP en vue des marches sur les aéroports le 3 octobre

    Communiqué d'Alternatiba le jeudi 24 septembre –

    Des activistes d’Alternatiba, d’ANV-COP21 et du collectif Non au Terminal 4 se sont rassemblés devant le siège social d’ADP (Aéroport de Paris) pour exiger l’abandon du projet d’extension de l’aéroport de Roissy, la réduction du trafic aérien et un plan de reconversion du secteur, pensé avec les salariés. Ils appellent à marcher sur les aéroports le samedi 3 octobre, afin de perturber le trafic aérien. Des actions de désobéissance civile sont prévues sur tout le territoire. 

    Ce matin, 25 activistes d’Alternatiba, d’ANV-COP21 et du collectif Non au Terminal 4 ont déroulé une banderole ‘Climat ou aviation, il faut choisir : il est temps d’atterrir’ devant le siège social d’ADP à l’aéroport de Roissy. Ils appellent à rejoindre les mobilisations sur les aéroports annoncées le samedi 3 octobre, partout sur le territoire. A Paris, ils exigent notamment l’abandon définitif du projet d’extension de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle. “Ce projet de construction du Terminal 4 est une bombe climatique : avec 40 millions de voyageurs par an, il ajouterait l’équivalent du trafic aérien de l’aéroport d’Orly au trafic existant !” s’exclame Audrey Boehly, membre du Collectif Non au T4. A pleine capacité, ce projet émettrait l’équivalent des émissions de CO2 de 24 millions de Français pour le chauffage de leur logement. 

     

    Lire la suite

  • Droit à l’avortement : un combat sans fin

    Communiqué LDH

    Au cours des dernières décennies, les femmes ont conquis de nouveaux droits dans différents secteurs, mettant ainsi à mal des siècles de domination patriarcale. Mais, partout dans le monde, le chemin parcouru reste d’une grande fragilité et des retours en arrière sont toujours possibles, parce que tout ce qui touche à l’émancipation des femmes bouleverse un ordre établi par les hommes et pour les hommes. Bien que condition première de cette égalité, le droit de vivre sa sexualité sans procréer, d’être enceinte ou pas, de mener à terme sa grossesse ou non, est aujourd’hui encore loin d’être reconnu comme un droit fondamental pour toutes les femmes.

    Ainsi, 36% des femmes vivent dans un pays où l’avortement est interdit et, à l’échelle planétaire, une femme meurt toutes les neuf minutes à la suite d’un avortement clandestin. En Argentine, par exemple, la loi autorisant l’avortement n’est toujours pas votée, tandis qu’au Brésil le gouvernement en place ne cesse d’en durcir les conditions d’accès. L’Europe n’échappe pas aux tentatives de régressions : en témoigne ce qui se passe en Pologne ou en Slovaquie. Quant à Malte, l’avortement y reste criminalisé, sans exception.

    Lire la suite

  • Un an après Lubrizol, pas d'amélioration dans la gestion des sites industriels

    Communiqué de FNE le 23.09.2020

    Un an après, les conséquences de l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, le 26 septembre 2019, font encore l’objet de nombreux débats. La terrible explosion de Beyrouth cet été a de son côté rappelé à la France la catastrophe d’AZF et l’importance d’une gestion exemplaire des sites industriels et produits dangereux, même dans le domaine agricole. France Nature Environnement milite pour un changement en profondeur de la gestion des sites industriels, comprenant de réels moyens pour appliquer la réglementation, une révision globale des processus de concertation ainsi qu’une meilleure intégration et information des populations. Alors que l’assouplissement des normes suit son cours, le 2nd plan d’action post-Lubrizol du gouvernement répondra-t-il à ces attentes ?

    L’assouplissement des normes suit son cours

    L’accident de Lubrizol est un dossier emblématique car il a, dès les premiers jours, mis en évidence l’opacité grandissante sur les sites « Seveso » et le danger de l’assouplissement des normes qui suit son cours depuis plusieurs années. Il illustre parfaitement une crainte mise en avant par France Nature Environnement depuis de nombreuses années : que la prétendue « simplification » du droit de l’environnement ne mette en péril la sécurité des citoyens et la protection de l’environnement. Car si la France dispose d’un droit suffisant pour assurer la sécurité des sites industriels, ces règles sont régulièrement remises en cause.

    Des sites sont par exemple « sous-classés »[1] : c’est-à-dire soumis à des contraintes sous-évaluées, inadaptées à leur niveau de risque, comme France Nature Environnement l’a montré pour les entrepôts. En permettant plus de souplesse aux industriels, l’Etat se désengage de son devoir de contrôle des installations dangereuses.

    Ces régressions du droit de l’environnement se poursuivent aussi au Parlement. Lundi 28 septembre, l’Assemblée Nationale examinera le projet de loi dit « ASAP », d’accélération et de simplification de l’action publique. Si l’objectif de simplification est a priori louable, ce projet de loi dissimule en réalité de nouvelles atteintes au droit de l’environnement et à la participation du public… ce qui participe malheureusement à réduire les garanties contre les atteintes à l’environnement et la culture du risque.

    Lire la suite