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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 342

  • Les mardis de Nature et Avenir : les oiseaux emblématiques des Ardennes

    Mardi 4 décembre à la mairie de Rethel de 18h à 20h. Les oiseaux emblématiques des Ardennes.

    Les principaux habitats abritant ces espèces seront évoqués ainsi que les menaces qui pèsent sur l'avifaune ardennaise. Les protocoles de suivi de certaines espèces pourront également être détaillés.

    Frédéric Pérard, président de Champagne Ardenne Nature Environnement, présentera l'opération Sentinelles de l'environnement qui a pour but de répertorier les dégâts environnementaux dans chaque département. Cette opération est initiée par notre fédération: France Nature Environnement.

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  • Bure, cimetière du progrès

    Extraits de l’article de Nicolas Sersiron pour le CADTM

    Dans une région désertifiée par les grandes cultures céréalières et par l’implantation progressive d’une vingtaine de structures liées au nucléaire dans un rayon de 50 km, Bure est un petit village (82 habitants) perdu au milieu d’une immensité légèrement vallonnée et nue.

    Quasiment rien pour rompre la monotonie de ses immenses monocultures. A 2-3 km les constructions de Cigéo, des champignons cubiques poussés au milieu de nulle part, le lieu de la future descenderie. Des tunnels de 10 mètres de diamètre menant à 500 de profondeur aux 300 km de galeries de stockage qu’il faudra percer et en extraire les marnes avec des dizaines de milliers de camions. A l’opposé, parmi les rares tâches vertes, le Bois Lejuc de Mandres, longtemps occupé par les résistants à l’implantation de Cigéo, repris après une très violente répression. Depuis, la soldatesque et les camions de la gendarmerie le défendent jour et nuit. Des cheminées (11 m de diamètre, 500 m de profondeur) doivent y être implantées pour l’évacuation de l’air pollué, (radio éléments, hydrogène, chaleur) provenant du stockage des déchets.

    A côté du monument aux morts de Bure, sous les lampadaires au design aussi futuriste qu’improbable dans ce village de vieilles pierres, se trouve « la maison de la résistance ». Une ancienne ferme habitée par ceux et celles qui n’acceptent pas que l’on cache les déchets nucléaires à vie longue (1 000 à 100 000 ans) « sous le tapis ». Creuser dans les marnes et autres argiles pour y stocker les déchets les plus dangereux, c’est prendre le risque de ne plus pouvoir les retirer après quelques dizaines, voire une centaine d’années, à cause des mouvements de terrains ou d’un accident grave. Alors que l’on sait très bien qu’il y a de forts risques de fuites d’hydrogène, d’incendies, de mouvements de terrains avec des conséquences totalement ingérables, telles des fuites sans fin de radio éléments, s’il devient nécessaire mais impossible de reprendre les fûts de déchets.

    (...)

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  • La révolte des gilets jaunes n’échappe pas aux critiques

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    Dessin de Vidberg pour "Le Monde"

  • Un projet de territoire Argonne

    En juillet 2017, l’étude de faisabilité du projet de Parc naturel régional en Argonne a été remise à la Région Grand Est. Cette étude qui constitue un état des lieux des connaissances sur l’Argonne est librement consultable sur le site internet de l’association Argonne-PNR www.argonne-pnr.fr
    Au vu de cette étude et de la mobilisation territoriale existante, la Région a souhaité initier une expérimentation en Argonne.


    Face aux nouveaux enjeux territoriaux (renforcement des métropoles, vagues successives de fusions communales et communautaires…) la Région s’interroge sur les nouvelles politiques à développer pour mieux accompagner les territoires ruraux en tenant compte de leurs enjeux spécifiques et souvent singuliers. L’hétérogénéité des espaces ruraux du Grand Est ne permet pas un modèle unique d’accompagnement.

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  • Patrick Kabré en concert le 1er décembre à Boult aux Bois

    Méfiez-vous des apparences ! Derrière ce sourire et cette mine radieuse, c’est une énergie volcanique qui sommeille et se réveille à chaque concert. Patrick Kabré déploie un rock solaire, déchaîné et loin des clichés sur les musiques du monde.
    Solidement enraciné dans les rythmes Mossis du Burkina Faso, il impose un son unique et sans équivalent dans le paysage actuel, entre ballades folk engagées, morceaux funk-rock aux refrains accrocheurs, et grooves electro-rock.
    La voix incroyablement performante de Patrick Kabré le rapproche des grands songwriters du continent et au-delà, et ses textes sans compromis le placent parmi les nouvelles figures qui comptent en Afrique de l’Ouest.
    53fbca_0e5c64c5e04f45eab1cd9b2094a7a234~mv2_d_1772_1772_s_2.jpgLe parcours musical de cet artiste est jalonné par la sculpture, l'écriture, les créations chorégraphiques, les rôles au théâtre et les collaborations.
    A 12 ans, il fabrique lui-même sa propre guitare en sculptant du bois et en utilisant des câbles de vélo pour faire les cordes. Puis il s'inscrit au conservatoire de musique de Ouagadougou où il monte son premier groupe.
    Très engagé pour l’alphabétisation des enfants burkinabè, il fonde l‘Association des Arts Solidaires (2AS) et organise des concerts de solidarité, des ventes artisanales et des recherches de volontaires au cours de ses tournées. En 2015, il crée Atelier Silmandé, structure dédiée au développement des jeunes à travers l'art et la musique.
    Avec les réfugiés du Mali, avec les enfants et les détenus du Burkina Faso, entre Keziah Jones, Fela Kuti et Bombino, Patrick Kabré mène le combat rock de la nouvelle Afrique.

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  • La Réunion : place au dialogue, place à l’égalité

    Communiqué de la LDH

    La Réunion connaît une nouvelle crise sociale aiguë. Les causes en sont connues de longue date : chômage structurel, inégalités croissantes, jeunesse désœuvrée… Les politiques publiques ne sont pas parvenues à réduire la fracture d’une société à deux vitesses, à enrayer le chômage massif frappant en particulier les jeunes, à remédier aux situations de pauvreté et de précarité qui touchent une majorité de Réunionnais. Ce sentiment d’abandon et de colère a conduit à des actes délictueux hautement préjudiciables dans divers quartiers des villes réunionnaises.

    S’ajoutant aux difficultés structurelles, les dernières mesures gouvernementales ont raboté, sans les compenser, différentes dispositions spécifiques destinées à soutenir l’activité et à promouvoir des emplois aidés, avec un effet immédiat ressenti par de nombreux ménages sur leur pouvoir d’achat, compte tenu du coût de la vie dans l’île. La seule diminution des contrats aidés a touché dix-huit mille personnes et, indirectement, quelque quarante mille familles ont vu leur précarité accrue.

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  • Montagne d'or en Guyane : il est encore temps de dire NON !

    Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) vient de rendre un rapport qui confirme que nous nous dirigeons, à grande vitesse, vers une augmentation de 3° de la température moyenne terrestre, contre 1,5° envisagée jusqu’à présent.
    La différence est considérable ; elle implique des catastrophes humaines et environnementales irréversibles. Selon les prévisions scientifiques dans ce scénario : l’océan est partiellement mort, les céréales poussent mal, les canicules sont 5 fois plus fréquentes et l’eau potable devient une ressource limitée pour des centaines de millions de gens.

    Le Collectif Or de Question, conscient de cette réalité et de la valeur de la forêt guyanaise en tant que puits de carbone, s’oppose avec force à la volonté des élus locaux de développer l’industrie aurifère qui minent notre bilan carbone !

    En effet, déforestation et gabegie de carburants fossiles participent activement au développement des gaz à effet de serre (GES), donc au réchauffement climatique.

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