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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 336

  • Lettre ouverte à Mme Nicole Belloubet, garde des Sceaux, ministre de la Justice

    La décision de la direction de l’administration pénitentiaire de ne pas renouveler la convention la liant au Genepi met cette association étudiante en péril. Considérant que « le rôle du Genepi est essentiel pour le respect de la dignité (des personnes détenues) comme pour notre démocratie » de nombreuses associations et personnalités demandent à la garde des Sceaux de rétablir cette convention.

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    Le Genepi est une association étudiante œuvrant auprès des personnes incarcérées depuis 42 ans. Le 20 septembre 2018, la direction de l’administration pénitentiaire (DAP) a annoncé de manière brutale au Genepi le non-renouvellement de la convention qui les liait. Suite à cette décision, ses bénévoles se sont déjà vu refuser l’accès à de nombreux établissements pénitentiaires dans toute la France entraînant un arrêt des activités auprès des personnes incarcérées. Cette décision menace aujourd’hui la raison d’être, le décloisonnement du monde carcéral, et l’existence même du Genepi en remettant en cause son fonctionnement, sa liberté d’expression et son indépendance.

    Cette volonté de faire taire une association qui compte plus de 800 jeunes bénévoles nous choque. Elle constitue un très mauvais signal pour encourager l’engagement de la jeunesse dans les associations.

    Il apparaît que le Genepi est la cible d’une sanction politique visant à empêcher les étudiants du Genepi d’entrer dans les établissements pénitentiaires, de témoigner de ce qu’ils y voient et d’alerter sur les conditions de détention des personnes qu’ils y rencontrent.

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  • Commémoration de l'armistice de 1918 à Vouziers

    Huit jours après le temps fort du 03 novembre, c'est dans un format réduit que se sont déroulées les cérémonies du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale. L'Harmonie municipale a été laissée au repos, et aucune délégation étrangère n'était présente.

    Après avoir parcouru les étapes habituelles (Blaise, Condé, Chestres et Terron) les officiels se sont réunis sur la place Carnot. Devant le Monument aux Morts, une foule assez modeste était rassemblée. Le dépôt de gerbe et le ravivage de la Flamme ont précédé l'appel aux Morts, toujours aussi impressionnant par le nombre de victimes originaires de la commune.

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  • Tribune : « Politiques publiques des drogues : sortons de l’impasse »

    A l’heure où le Canada choisit de légaliser le marché du cannabis, un nombre croissant de pays amorce aujourd’hui des réformes majeures issues d’un constat partagé : l’échec des politiques publiques en matière de drogues fondées sur une logique de répression.

    Cette prise de conscience s’observe au niveau international. En effet, le 27 juin 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) invitaient l’ensemble des Etats membres à mettre un terme à la pénalisation de l’usage de drogues, favorisant ainsi la mise en œuvre cohérente des conventions internationales sur le sujet.

    Pourtant, face à ce grand mouvement mondial, le gouvernement français s’entête à nager à contre-courant pour maintenir et renforcer un arsenal pénal qui a montré toutes ses limites. De fait, le projet de réforme de la justice pénale qui entend pénaliser tout citoyen majeur pris en flagrant délit d’usage de drogues d’une amende de 300 euros témoigne d’une vision de notre société déconnectée de la réalité et d’une incompréhension de la problématique.

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  • Le calvaire sans fin d'Asia Bibi au Pakistan

    Omar Waraich est directeur adjoint du programme Asie du Sud à Amnesty International. Il revient sur la difficile libération de cette chrétienne accusée de "blasphème".

    La vie d'Asia Bibi est toujours en danger. Acquittée le 31 octobre par la Cour suprême du Pakistan, qui a annulé sa condamnation à mort pour blasphème, cette ouvrière agricole chrétienne ne peut pas quitter le pays. Après le verdict, des foules violentes ont laissé éclater leur colère, proférant des menaces et se livrant à des destructions. Elles ont assiégé les grandes villes. Bloqué des axes principaux. Incendié des voitures, des bus et des bâtiments, et même menacé la vie du Premier ministre, du président de la Cour suprême et du chef des armées. Pourtant, au lieu de dire haut et fort que ces violences n'auront pas d'incidence sur l'affaire d'Asia Bibi, les autorités ont cédé aux pressions.

    Mercredi soir, des informations ont annoncé qu'elle avait finalement quitté le pays. De hauts responsables de l'Union européenne et son avocat, qui a dû se réfugier temporairement aux Pays-Bas, ont déclaré qu'elle se trouvait à bord d'un avion quittant le Pakistan. Par la suite, le gouvernement a affirmé qu'elle avait été transférée d'une prison où il ne pouvait garantir sa sécurité et conduite en lieu sûr à Islamabad. L'agitation déclenchée par son possible départ n'a fait que renforcer la détermination des extrémistes religieux, qui se préparent à organiser de grandes manifestations après la prière du vendredi cette semaine.

    Pour Khadim Hussain Rizvi, leader de Tehreek-e-Labbaik (Mouvement de dévotion au prophète), son exécution est la seule issue possible.

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  • Le Curieux Vouzinois hors-série n°XVII est disponible

     

    Une armée pour un état.

    «Des Tchèques et des Slovaques, citoyens autrichiens et hongrois, ont tout fait, dès le mois d'août 1914, pour rejoindre la France et se battre aux côtés des Alliés contre leur patrie et contre l'Allemagne. Ils vont réussir, en se mobilisant par dizaines de  milliers, à  constituer une armée indépendante et à s'engager dans la Grande Guerre avec l'espoir, en cas de victoire, d'obtenir la création d'un État indépendant : la Tchécoslovaquie.

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    Michel Coistia raconte l'épopée incroyable et méconnue de ces valeureux légionnaires qui se sont battus sur tous les fronts.

    Ils ont livré leurs ultimes combats, en octobre 1918, à Vouziers et dans la proche vallée de l'Aisne, en libérant Terron-sur-Aisne, Vandy et Chestres. Ce livre vous fera découvrir une facette ignorée de la guerre de 1914 à 1918.»

    Extrait du Curieux Vouzinois n°XVII

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  • Festival cinéma Attac 08 du 16 au 18 novembre à Charleville

    images?q=tbn:ANd9GcTrTpok5cAQbn-Y-TSt2aJqsftXwG5yzXCRoS9DiRVFQeAvscgxbAL'association Attac08 organise la 9ème édition de son festival-ciné.
    Comme d'habitude, nous vous donnons rendez-vous au cinéma Métropolis de Charleville-Mézières.
    Tarif 1 film: 6 € Tarif 3 films: 15 € Tarif 5 films: 23 €
    Venez découvrir ou redécouvrir les 5 films au programme:

    - Le temps des forêts : http://www.atelier-documentaire.fr/films/le-temps-des-forets


    - Dirty gold war : http://ritaproductions.com/dirty-gold-war


    - Woman at war : https://www.lemonde.fr/cinema/article/2018/07/03/woman-at-war-une-saga-ecologique-dans-les-hautes-terres-d-islande_5324863_3476.html


    - Des lois et des hommes : https://desloisetdeshommes.com


    - Nouveau monde : http://www.nouveaumonde-lefilm.com


    Téléphone :
    03 24 59 14 18
    Lieu :
    6, Rue Longueville - Cinéma Métropolis
    08000 CHARLEVILLE MEZIERES

    Veuillez trouver le programme complet ci-dessous. (faire un clic droit sur l'image pour l'agrandir)

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  • Océan Antarctique : échec des négociations

    Communiqué de Greenpeace le 6 novembre 2018.

    Ces deux dernières semaines, la communauté internationale était réunie en Australie pour négocier la création d’une vaste réserve marine dans l’océan Antarctique. Ces négociations ont échoué. Malgré notre mobilisation, l’océan Antarctique et sa biodiversité exceptionnelle vont donc continuer à subir les pressions de la pêche industrielle, de la pollution et des changements climatiques. Mais le combat n’est pas terminé, et des victoires d’étape ont été acquises…

    Trois pays ont fait couler les négociations

    Sur les 25 États membres de la Convention sur la conservation de la faune et de la flore marines de l’Antarctique (CCAMLR), 22 soutenaient la création du plus grand sanctuaire marin de la planète dans l’océan Antarctique (dont la France)… Mais étant donné que les décisions sont prises au consensus (tous les membres doivent être d’accord), il a suffit que trois pays s’y opposent pour que ce projet de protection tombe à l’eau…

    Les délégations chinoise, norvégienne et russe ont ainsi réussi à faire couler le processus de négociation, notamment en jouant la montre afin de ne pas avoir à négocier les arguments scientifiques.

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