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culture - Page 22

  • La hulotte n°109

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  • L'Harmonie municipale en grande forme.

    Laurent Bacquenois pouvait se montrer satisfait du concert donné cet après-midi par la formation musicale dont il assure la présidence depuis plusieurs années. Les voyants sont au vert pour l’association, qui anime également une école de musique. Celle-ci propose des cours de plusieurs instruments : clarinette, flûte, saxophone, trompette, trombone, tuba, percussions.

    Les jeunes (ou les moins jeunes) ainsi formés intègrent rapidement le "petit orchestre", puis deviennent le plus souvent membres de l'Harmonie. Celle-ci est présente aux manifestations patriotiques et officielles de la ville de Vouziers, et elle organise plusieurs concerts dans l'année, celui de ce jour étant donné à l'occasion de la Sainte-Cécile.  Des répétitions ont lieu tous les samedis après-midi, afin d'obtenir un ensemble cohérent et de bon niveau.

    Laurent Bacquenois a souligné l'implication des musiciens, présents nombreux aux différentes cérémonies, et dont le nombre dépassait la cinquantaine pour ce concert.

    Il pouvait également se réjouir de voir une salle des fêtes bien remplie : plus de 300 personnes avaient fait le déplacement ce samedi. Le président a souligné la présence de têtes nouvelles dans la salle, preuve que le bouche à oreille ( et les réseaux sociaux) avaient un impact positif.

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  • Paris la blanche

    Lidia Leber Terki met beaucoup d'elle-même dans ce premier long-métrage qui nous fait traverser la Méditerranée, comme tous ces immigrés qui passent d'Algérie en France. Le film relate le voyage de Rekia qui quitte sa Kabylie pour tenter de retrouver son mari. Celui-ci est parti depuis de très longues années en France pour travailler dans le bâtiment. Mais depuis sa retraite, il ne donne plus de nouvelles. Et Rekia veut le revoir pour le convaincre de revenir au pays.

    La réalisatrice explique dans "Allocine" son parcours personnel qui résonne avec celui de ces migrants de générations successives. "Je venais de perdre mon père et, même si ces pages ne racontaient pas son histoire, cela m'a renvoyée à ses origines, et donc aux miennes. Algérien, né en Kabylie, sous la colonisation, mon père a épousé ma mère française à la fin des années 50. Elle a vécu en Algérie durant dix ans par amour. Je suis née là-bas. Nous sommes venus en France quand j'avais trois ans. Je suis sûrement le parfait produit de ce qu'on appelle une intégration réussie, celle de mon père, jusqu’à en oublier mes propres origines. Ma grand-mère kabyle, que j’ai peu connue, se prénommait Rekia, et c’est terrible, car je l’ai appris très récemment ; alors j’ai donné son prénom au personnage principal du film."

     

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    Lidia Leber Terki ajoute a propos de son film :  "L’amour est assez rare dans les films qui traitent de l’immigration algérienne en France. Quand j’ai lu ces pages, cela a été évident pour moi qu’il fallait que je développe et m’approprie cette histoire. On ne parlait pas encore autant des Syriens. Les arrivées en Italie commençaient à peine. Je me suis dit : "C’est la même histoire qui se répète". J'ai toujours voulu faire un film qui englobe toutes les immigrations."

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  • L’ardoise à Rimogne, paroles d'ardoisiers par Guy Pleutin le 15 novembre au CPR de Vouziers

    L'ASPV vous invite à une conférence le 15 novembre au CPR, rue de l'Agriculture à Vouziers à 20 h précises

    L’ardoise à Rimogne, paroles d'ardoisiers par Guy Pleutin

    Attachée à son patrimoine, Rimogne milite pour conserver l’héritage de son passé ardoisier tout en s’ouvrant aux nouvelles technologies. Cette vitalité se caractérise notamment par la création et la dynamisation de la Maison de l’Ardoise.

    A partir d’une approche pragmatique en géologie, de la lecture des traces encore lisibles en surface, d’images souterraines de lieux l’extraction, de témoignages humains, nous irons à la recherche de cette histoire.

    Nous essaierons d’illustrer comment ces mines d’ardoise ont marqué les scailleteux, leur santé, l’habitat, l’organisation sociale, l’architecture et les techniques d’extraction. Guy Pleutin façonne la rigueur de son exposé à la manière d’un conteur ce qui le rend passionnant. À ne pas manquer !

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  • Lumières de femmes : Un hommage aux réalisatrices de cinéma.

    Les femmes aussi sont derrière la caméra et nous offrent un cinéma souvent singulier que « Les Rimbaud du Cinéma » ont souhaité mettre à l’honneur, via la première édition de « Lumières de Femmes ».
    Cette avant-première – qui annonce un hommage plus conséquent le 8 mars prochain, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes- aura lieu :

    Le vendredi 8 novembre à 20h, au Centre culturel Les Tourelles, 6 rue Henrionnet à Vouziers (tél : 03 24 71 64 77)
    Le samedi 9 novembre à 14h, au cinéma Turenne, 17 avenue de Verdun à Sedan (tél : 03 24 27 05 30)
    Le dimanche 10 novembre à 15H, au Centre culturel, 6 boulevard Jean-Baptiste Clément à Nouzonville (tél : 03 24 37 37 49)

    Au programme :

    Projection du film « Paris la Blanche », en présence de la réalisatrice Lidia Terki et de son actrice principale Tassadit Mandi : sans nouvelles de son mari, parti travailler en France depuis 48 ans, Rekia, 70 ans, quitte sa Kabylie natale pour le retrouver à Paris. Epuisée, elle échoue à Pigalle où Tara va l’aider dans sa quête…
    Le public aura l’occasion de débattre avec les deux protagonistes du film, avec une pensée particulière pour Tassadit Mandi, qui retrouve les Ardennes où une partie de sa famille a émigré…
    Lidia Terki a obtenu pour « Paris la Blanche » le prix Alice Guy 2018 qui, à l’initiative de Ciné-Woman, récompense chaque année un film réalisé par une femme et pallie au manque de reconnaissance des réalisatrices, à leur audace et leur contribution au 7éme art.

    voir la bande-annonce (cliquer ici)


    Invisibilisée par l’histoire du cinéma, ignorée du grand public, Alice Guy est une pionnière parmi les pionniers, puisqu’elle est la première cinéaste de fiction, qu’elle a fondé sa société de production -la Sofax- en 1896 et produit quelque 200 films entre 1896 et 1920 !

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  • Attac 08 fait son cinéma, la 10e édition en 2019

    Le festival "Attac08 fait son cinéma" revient pour sa 10ème édition. On vous donne rendez-vous le vendredi 08, le samedi 09 et le vendredi 10 novembre au cinéma Métropolis de Charleville-Mézières.
    Cette année : 3 jours, 3 thèmes, 3 films, 3 débats !
    Une formule, certes plus réduite que les années précédentes, mais qui n'en sera sûrement pas moins intéressante.
    Et on a la chance et le plaisir de vous proposer le tout dernier Ken Loach et, à notre connaissance, la toute première projection dans les Ardennes se fera dans le cadre de ce festival !

    Tarif : 1 film 6€, 3 films 15€

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  • Les Rimbaud du cinéma : une première à Charleville.

    L'Oscar d'Hollywood, la Palme d'or de Cannes, l'Ours d'or de Berlin sont parmi les plus connues desRimb_01.jpg récompenses cinématographiques. Il faudra peut-être y ajouter bientôt le Rimbaud de Charleville, car c'est ce nom et ce symbole qui ont été choisis pour le festival du film indépendant qui s'est déroulé ce samedi.

    Les lauréats recevaient un bronze du sculpteur Paul Maulpoix, Ardennais d'adoption, dont l’œuvre représente bien évidemment le poète.

    Ce festival se veut différent par le choix de films indépendants (même si la définition de cette catégorie n'est pas évidente) et par la manière de sélectionner et de récompenser les productions. Les organisateurs expliquent leur principe de la récompense pour ce festival :

    " Les termes meilleur, étranger, féminin, masculin, n'apparaîtront dans aucun des choix des Rimbaud du Cinéma…

    …parce qu'un tableau de Pablo Picasso n'est pas meilleur qu'un tableau de Frida Kahlo, qu'un film de Paolo Pasolini n'est pas meilleur qu'un film de Liliana Cavani et qu'aucune des œuvres de ces cinéastes ou peintres ne peut être qualifiées d'étrangères, masculines ou féminines. Les peintures rupestres des grottes de Lascaux ne sont pas françaises parce qu'elles ont été produites sur le territoire français, mais universelles parce qu'elles ont été conçues par des artistes anonymes dont on ignore le sexe et dont la seule patrie était l'humanité. "

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