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  • Le bio, une solution pour l'agriculture ?

    Le rendez-vous de rentrée avec le cinéma d'ATTAC 08.

    Après Béliers, le réalisateur Grímur Hákonarson montre une nouvelle fois des gens vivant dans des zones isolées, dont la vie tourne autour de leur ferme ou de leurs animaux. "Dans Mjolk, je montre la réalité politique d'une région très spécifique à travers le portrait d’une femme, Inga, qui a perdu son mari et, tout en traversant toutes les étapes du deuil, décide de se battre contre une coopérative corrompue qui l’exploite elle et sa communauté. Dans le nord-ouest de l'Islande, il y a une zone appelée Skagafjörður où existe encore la seule coopérative du pays. Au début du 19ème siècle, de nombreuses ont été créées, mais elles ont fait faillite dans les années 90. Sauf celle-ci, qui a réussi à survivre, et qui possède à peu près tout : même le seul journal local ! Cette configuration fait un peu écho à toutes ces sociétés fermées, comme l'Union soviétique par exemple, qui a une emprise sur tous, comme une énorme pieuvre. En même temps, je pense que mon film parle de l’Islande en général. Nous sommes petits, nous avons donc tendance à être très monopolistiques. Il y a peu de gens aux commandes, le reste est exploité."

     

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  • Vent de Bure, ce sera les 28 et 29 septembre

    Fin avril nous vous informions du report de Vent de Bure après avoir pris en compte les remarques de comités de soutien. MERCI de nous avoir fait remonter vos réflexions et vos attentes : déplacer une date n’est jamais une décision facile à prendre, mais cela nous a été rendu plus aisé en ayant le sentiment de répondre à vos demandes, vous qui organisez la décentralisation de la lutte contre le projet Cigéo. Organiser les temps forts en commun et permettre à chacun-e de venir est l’étape qu’il ne faut pas brûler.

    Le contexte n’a pas changé (1) et ce qui avait été dit reste le moteur de Vent de Bure.

    Le temps presse. Les échéances arrivent (2).  Les travaux préparatoires (3) sur place sont suspendus pendant le débat public sur le Plan national de gestion des matières et des déchets radioactifs (PNGMDR). Cela signifie qu’ils pourraient reprendre à la fin de ce moratoire.. qui se termine le 25 septembre avec la fin de ce débat ! Pour rappel, nous avons fait le choix au niveau local accompagné de certaines ONG de ne pas y participer : le maquillage démocratique, le rafistolage technique, nous avons assez donné. Pour refuser l’enfouissement des déchets radioactifs, le dialogue orchestré et la pseudo-concertation, les prochains coups de pelles et de pioches (ou plutôt de bulldozer !), retrouvons nous dès le samedi 28 septembre dans les rues de Nancy, pour le temps fort de notre mobilisation !

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  • Y'a le feu à Sine Mensuel

    Appel à l'aide (financière) du journal Sine Mensuel

    Ils ont tant et tant aidé Notre-Dame… Nous, on ne brûle pas, mais il y a le feu ! Aidez-nous, nous, la presse libre, qui bouffe du curé (entre autres), garantie sans plomb (mais avec un peu de plomb dans l’aile), et qui vous fait marrer. Enfin, on espère…

    Depuis 2008, Siné Mensuel, sans pub ni mécènes, ne vit que grâce à ses lecteurs. Chaque mois, dessinateurs, illustrateurs, chroniqueurs, humoristes, économistes, philosophes, spécialistes de l’environnement, chercheurs, généticiens, sociologues, éducateurs, avocats, cinéastes, journalistes, musiciens, écrivains, gastronomes, j’en passe, et des meilleurs, dessinent, écrivent, sont interviewés. La cinquantaine de collaborateurs du journal, que du beau monde, est rémunérée, c’est la moindre des choses vu les idées que nous défendons ! Mais pas de quoi partir aux Barbades. Les maigres subventions et le tristement célèbre CICE ont permis l’embauche de deux personnes.

    Et pas une seule fake news depuis 2008 ! Qui dit mieux ?

    Du beau papier, de la qualité, tout cela a un prix. Malgré la fidélité des kiosquiers et de nos abonnés, chaque mois, nous sommes en déficit. Et nos réserves s’épuisent.

    Nous devons donc augmenter le nombre de nos lecteurs et faire appel à vous, nos fidèles.

    On continue ? Oui ? Dans ce cas, en un mot comme en cent, nous avons besoin de vos dons qui, bien entendu, seront exonérés aux deux tiers d’impôt. Surtout, ne nous versez rien directement car, pour bénéficier de la réduction d’impôts, vous devez impérativement faire vos dons à Presse et pluralisme.

    Et encore un grand merci ! Banzaï !

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  • 17 ONG demandent l’arrêt immédiat des ventes d’armes françaises à l’Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis

    Communiqué commun

    « Pour être crédible dans ses efforts pour mettre fin aux souffrances du peuple yéménite, la France doit impérativement lever tout soupçon de complicité de crimes de guerre » (ONG)

     

    Une vaste coalition de 17 ONG humanitaires et de défense des droits humains réitère aujourd’hui son appel à l’arrêt immédiat des ventes d’armes françaises à l’Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis, à la lumière de deux événements majeurs qui ont eu lieu cette semaine. La mort dimanche de plus de 100 détenus dans un raid aérien au nord du Yémen et la publication mardi du rapport du Groupe d’éminents experts sur le Yémen de l’ONU ont à nouveau démontré l’ampleur et la violence des attaques contre les populations civiles au Yémen et l’urgente nécessité pour des pays comme la France de cesser d’alimenter le conflit en armes.

    Dhamar : l’une des pires attaques depuis le début de la guerre

    Le 1er septembre, plus de cent personnes ont été tuées dans une série de frappes aériennes de la coalition menée par l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis sur un établissement universitaire utilisé comme centre de détention à Dhamar, en zone contrôlée par les Houthis (Ansar Allah). Cette attaque, l’une des plus meurtrières depuis le début du conflit, illustre le mépris absolu de l’ensemble des parties vis-à-vis des règles qui régissent les conflits. Les frappes de la coalition ont visé des prisonniers, en violation des conventions de Genève et du droit international humanitaire.

    Les organisations signataires soutiennent la demande de l’envoyé spécial des Nations unies pour le Yémen d’ouverture d’une enquête crédible et indépendante sur ce tragique incident, qui n’est que le dernier d’une longue série d’attaques similaires restées impunies.

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  • Les chevaux de Rimbaud ou l'homme aux sabots de vent.

    Dans le cadre des rencontres de la Fontaine qui bruit, Alexandre Blaineau, professeur d’Histoire et Géographie, viendra présenter son dernier ouvrage intitulé « Les chevaux de Rimbaud » publié chez « Actes Sud ».

    Cette rencontre avec l’auteur se déroulera :
    le samedi 14 septembre à 16h30, à Bar lès Buzancy,
    Dans « ce trou de verdure où chante une rivière… »

    Voici la présentation de l'ouvrage par son éditeur :

    Alexandre Blaineau s'est immergé dans les archives de Rimbaud pour découvrir et exhumer cette partie inconnue de sa vie, sa relation aux chevaux.
    Rimbaud en cavalier : cela ne va pas de soi de le concevoir ainsi… En effet, la marche est à l’évidence le prolongement de son être, ses pas marquant les chemins de l’Ardenne, d’Europe et d’ailleurs comme autant d’empreintes construisant par touches impressionnistes cette figure du passant considérable. Et pourtant, il devint cavalier dans la deuxième partie de sa vie, alors qu’il arpentait en tous sens les terres immenses de l’Afrique orientale. Malgré ces promesses de crépuscule, Rimbaud à cheval s’emploie à poursuivre sa route, à la recherche de l’autre, à la recherche de soi, et c’est ce que ce livre tente d’appréhender.

    Et voici un extrait de la critique du blog cheval d'aventure :

    Remarquablement écrit, d’une plume poétique à la frontière du littéraire et de l’historique, l’ouvrage d’Alexandre Blaineau mérite l’attention de tous les cavaliers voyageurs. Et même s’il s’adresse à un public exigeant, point n’est besoin, pour l’apprécier, d’être spécialiste en géographie africaine ou en poésie rimbaldienne…
    Au-delà de son érudition et de son intelligence, ce texte hors du commun offre une réflexion inspirée sur la découverte du monde et sur le voyage - fût-il à pied ou à cheval... Mais aussi un autre regard sur l’auteur des "Illuminations", « cet en-allé, homme de cheval sans frontières, combattant l’horizon afin de ne pas se compromettre, refusant le fixe, vénérant l’instable, s’effrayant de l’ennui. Libre, définitivement ». 

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  • Nous voulons des Coquelicots : rassemblement le 06 septembre

    Et maintenant la grande bataille des SDHI

    Ils sont épandus sur la presque totalité de la surface agricole. Le blé, l’orge, les tomates, les pommes de terre, les arbres fruitiers, les semences, les stades de foot, les terrains de sports sur lesquels s’égayent nos enfants… les SDHI, c’est leur nom, sont des fongicides dont presque personne ne connait l’existence, mais qu’on retrouve dans les urines des deux tiers des femmes enceintes testées.

    Or des scientifiques de réputation mondiale affirment que les SDHI sont une menace pour la santé de tous les êtres vivants. Celle des champignons, celle des vers de terre, celle des baleines, celle des abeilles. Et celle des hommes.

    Car ils s’attaquent à la fonction respiratoire des cellules, la SDH. Chez les humains, les atteintes à la SDH conduisent à des maladies neurologiques graves et au cancer.

    Et personne ne nous protège. Car dument prévenue, l’agence chargée de notre protection, l’Anses, a fait la morte, avant d’innocenter les SDHI par des manœuvres scandaleuses.

    Amis des coquelicots, depuis une année nous exigeons protection. Des maires héroïques s’y essaient avec leurs arrêtés; continuons à les soutenir et à les encourager! Il est plus que temps de démanteler le système criminel des pesticides, à commencer par l’Anses, cette agence sanitaire complice dont nous devons tous réclamer la dissolution, en tous points du territoire.

    Pourvu que vos vacances aient été reposantes. Pourvu, car le mouvement des Coquelicots affirme que l’heure de la désobéissance civile est venue. Première grande action nationale de l’an 2: vous organiser pour couvrir la France de notre saine révolte. Sous forme d’affichettes coups de poing, que nous allons vous envoyer gratuitement par milliers. Surveillez le site pour passer commande et investir les écoles, les panneaux municipaux, les abribus, les marches des institutions, les poteaux télégraphiques, les stations de métro et de tram. Partout.

    Il ne faut pas avoir peur de la révolte.

    L’association « Nous voulons des coquelicots »

    Pour notre secteur, le  rassemblement se tiendra le vendredi 6 septembre à 18h30 au pied de l'hôtel de ville de Vouziers

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  • Contre les féminicides : l’urgence d’une volonté et de moyens

    Communiqué LDH

    A deux jours du Grenelle sur les violences conjugales annoncé par le gouvernement, le 101e féminicide deLOGO-LDH.jpg l’année 2019 vient d’être commis. Grâce à la mobilisation du mouvement féministe, au travail accompli par de nombreuses associations et institutions, ces faits gravissimes sont aujourd’hui médiatisés, et l’opinion publique y est enfin sensibilisée. Ces drames ne sont plus considérés comme de simples faits divers, relevant de la sphère privée, mais bien comme la manifestation la plus violente du système patriarcal. C’est donc une question éminemment politique.

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