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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 761

  • OGM : Ouvrir le débat n'est pas déplacé

    Communiqué de la FNE

     

     

    A l'ouverture du salon de l'Agriculture, le chef de l'Etat a commenté la campagne de communication de France Nature Environnement, la qualifiant de "particulièrement déplacée ".

    Bruno Genty, président de FNE : " Est-il possible dans ce pays d'ouvrir le débat sur les questions agricoles sans que l'on nous reproche d'opposer les français les uns aux autres ? Il n'est pas déplacé de demander la mise en œuvre complète des engagements " agriculture " du Grenelle. Les OGM, les pesticides et les algues vertes constituent autant de risques sanitaires et environnementaux qui concernent l’ensemble de nos concitoyens."

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    Provoquer le débat...pas la rupture

    La campagne de France Nature Environnement, quelles que soient les interprétations dont elle peut faire l’objet, ne poursuit pas un objectif de rupture avec le monde agricole Cette campagne s’attaque aux excès de l’agriculture industrielle.
    Au-delà des images choc, les idées affichées ne sont pas nouvelles et sont portées par l’association depuis de nombreuses années. Malgré les crispations que cette campagne peut susciter chez certains agriculteurs, FNE entend poursuivre le dialogue engagé avec les représentants d’une profession qu’elle ne veut pas stigmatiser. La réaction de plusieurs grandes organisations agricoles nous rendent optimistes quant à la poursuite du dialogue.

     

     

     

    De l’oxygène pour le Grenelle de l’agriculture

    S’il y a un fait reconnu, c’est bien notre implication dans la concertation menée à l’occasion du Grenelle de l’environnement. Porteuse de nombreuses propositions, notamment en ce qui concerne l’agriculture, France Nature Environnement n’a jamais renoncé à l’élaboration d’un compromis qui, même en nous obligeant à revoir certaines de nos exigences à la baisse, a permis d’obtenir des avancées pour l’environnement. Mais depuis plus d’un an, la mise en œuvre des engagements " agriculture " est en panne.

     

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    Réinventer le modèle agricole

    France Nature Environnement a parfaitement conscience de la détresse économique à laquelle est confronté un grand nombre d’agriculteurs. La compétitivité de notre modèle agricole doit s’appuyer sur les objectifs du Grenelle de l’environnement. La mise en place de nouvelles pratiques donne aux agriculteurs l’occasion unique de mettre fin à un modèle ne profitant qu’à une minorité d’entre eux et laissant la grande majorité sur le bord de la route.

    A titre d’exemple, l’arrêt des importations d’OGM pour l’alimentation du bétail est une demande qui va dans le sens d’une meilleure défense des produits issus des terroirs et donc des intérêts économiques du pays.

    Jean-Claude Bévillard, responsable du dossier Agriculture : " Il faut s’engager de façon volontaire pour la réduction des pesticides et l’interdiction des plus dangereux, arrêter l’importation des ogm pour l’alimentation animale et étiqueter la viande " sans OGM ". Dans l’immédiat, il ne faut plus autoriser la moindre extension du cheptel dans les zones affectées par les algues vertes et réduire de 40%, les effluents à la mer d’ici 2014. Il faut un redéploiement des aides publiques pour que l’argent aille vers les agriculteurs qui s’orientent concrètement vers des pratiques compatibles avec ces objectifs. "

    " La mise en œuvre des avancées " agriculture " du Grenelle passe par la mobilisation et la responsabilisation du monde agricole, de l’agro-alimentaire, de la grande distribution, des élus locaux, régionaux et nationaux, et des consommateurs. " conclut Bruno Genty.

  • L'An Vert censuré par l'AFP

    Est-ce la rançon du succès ? Notre blog semble représenter une menace pour l'Agence France Presse.

     

    Cette agence  de presse a demandé à notre hébergeur de retirer un certain nombre d'articles de L'An Wilde-eend-verstrikta.jpgVert, dans lesquels nous citions des extraits de dépêches de cette agence.

    Voici le message que nous avons reçu ce jour :

    Votre blog a fait l'objet d'une plainte de l'AFP concernant des articles que vous avez publié sans en avoir l'autorisation et listés ci-dessous. Ces articles ont été retirés de la publication et sont à présent en mode brouillon. Vous ne devez pas remettre en ligne ces contenus faute de quoi nous serons amenés à fermer l'accès à votre blog, conformément aux CGU.


    Notre hébergeur a donc obei à cette injonction, sans nous demander nos arguments, donnant satisfaction à l'AFP. Celle-ci n'a pourtant aucun pouvoir judiciaire, et toute mesure de ce genre mérite au moins que tous les points de vues soient entendus.

    Il nous semble important de préciser :

    -Que nos citations sont très généralement indiquées (avec une typographie en italique) et que dans ce cas la source est donnée.

    -Que dans les articles censurés, L'AFP n'apparaît pas toujours, peut-être se trouve-t-elle simplement à la source d'un article cité, ce que nous ne pouvons pas deviner.

    -Que le droit de citation est reconnu, et que tous les journaux en font usage.

    -Que L'An Vert n'abuse pas de ce droit, et produit la plus grande de ce qui est est publié sur ce blog.

    -Que pour 2010, le nombre d'articles mis en cause est de 4, soit environ 1% des publications de l'An Vert.

     

    En conséquence, L'An Vert continuera à vivre et à publier sur son blog, et que l'existence de publications telles que la nôtre est plutôt une chance pour la diffusion de la presse  et pour l'information du public, et pas réellement une menace pour une agence à vocation mondiale.

    Lien permanent Catégories : Blog, société Imprimer 2 commentaires Pin it!
  • Vouziers : le plafond était bas pour les pilotes

    Une rencontre d'aéromodélisme se déroulait ce jour au gymnase  municipal.

     

    A l'extérieur, ce sont les conditions météorologiques qui donnaient un plafond très bas. A l'intérieur, les pilotes des modèles réduits devaient eux aussi s'adapter à la hauteur de la salle. Ces conditions demandent des maquettes  et un pilotage adaptés.

    Pour cette deuxième édition d'aéromodélisme en salle, les Vouzinois recevaient des adeptes de la région. Le public est venu au fil de la journée découvrir cette spécialité méconnue.

    Des jeunes étéient présents parmi les pilotes, ce qui montre l'intérêt de cette pratique : après la phase de construction, la phase de pilotage est également  pédagogique par la concentration et la maîtrise demandées.

    Dans le gymnase , les maquettes virevoltaient, se croisaient et réalisaient des figures. Quelques accidents se sont produits, mais sans trop de dommage pour les avions, et sans aucun blessé à dénombrer.

     

     

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  • Rassemblement le 24 février devant le tribunal de Charleville

     

    Article repris du blog de la CGT du Conseil Général

     

     

    Lors de la manifestation du 28 octobre contre la réforme des retraites, qui réunissait des milliers de personnes à Charleville, des incidents ont éclaté suite à des provocations par les forces de police qui devaient protéger le local de l'UMP. Le procès, initialement prévu le 27 janvier a été repoussé au 24 février.

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    Le Comité de solidarité et de défense des manifestants inculpés qui regroupe des associations (le CRO, la  Ligue des Droits de L'homme, Attac 08, l'association des anciens salariés Lenoir et Mernier- LCAB, l'association des anciens salariés Thomé Génot, la FCPE), des organisations syndicales (Union locale CFDT de Bogny sur Meuse et du canton de Monthermé, UD CFTC métallurgie, Cheminot CGT, CGT-FAPT (Poste et télécommunication), UNSA personnel Mairie de Charleville et CCS, SUD Rail), CGT de la CPAM des Ardennes, des organisations politiques (NPA 08, POI 08, MRC 08, PCF 08, PG 08, PS 08, Europe Écologie Les Verts) appelle à un rassemblement

    Jeudi 24 février à 13 h

    devant le tribunal de Charleville Mézières.

     

    Pour ceux qui ne l'auraient pas encore fait, une pétition est lancée : vous pouvez la signer en ligne http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2011N5508

    Un soutien financier peut être apporté en adressant un chèque à l'ordre de CARPA à l'adresse de la Ligue des Droits de l'Homme, BP 246 - 08103 Charleville Mésières Cedex.

     

    SOYONS NOMBREUX A VENIR SOUTENIR NOS CAMARADES

  • Vouziers : Faits divers et Faits de société.

    Des faits divers récents ont provoqué des réactions nombreuses dans la ville de Vouziers.


    La nouvelle de l'enlèvement d'un enfant de deux ans s'est propagée rapidement chez les habitants de la ville et des environs.

    Quoi de plus choquant qu'une violence faite à un très jeune enfant, acte qui s'est produit en plein jour, en prenant le petit des bras de sa mère, sous la menace d'une arme.

    On a rapidement compris qu'il s'agissait d'un conflit au sein d'une famille déchirée.

    Cela n'excuse pas les faits, mais a-t-on les éléments suffisants pour comprendre ?

    Le père est qualifié de violent, mais ne semble pas avoir été condamné. Il aurait obtenu  du juge la garde des enfants . Sur quels critères cette décision a été prise ? On l'ignore.

    Au dernière nouvelles, le père s'est rendu aux forces de l'ordre, l'enfant est sain et sauf.

    Mais il est impossible de tirer des conclusions générales de cette affaire, dont beaucoup de circonstances nous échappent.

    La situation de cette famille n'est qu'un cas particulier, et comme pour tous les faits divers, aussi tragiques soient-ils, on ne peut pas en tirer des conséquences définitives, encore moins en faire une loi spécifique : le législateur doit être attentif à la répétition de tels faits, et modifier la législation si nécessaire. Mais pas il ne doit pas le faire dans la précipitation et le bouleversement continuel des textes.

     

    photo_15-1024x794.jpgUn deuxième fait divers avait particulièrement choqué les Vouzinois : la mort d'une personne qui discutait sur le trottoir, et qui a été tuée par le chargement d'une remorque qui avait rompu ses attaches.

    Le jugement vient d'être rendu, et seul le chauffeur est condamné (prison avec sursis).

    Il est certain que c'est lui qui a  préparé le chargement, mais son entreprise n'a-t-elle aucune responsabilté ? Avait-il vraiment les moyens de faire son chargement dans les règles de l'art ? Était-il dans des conditions de travail qui lui permettaient de prendre le temps de vérifier son chargement ?

    Aucun supérieur n'était-il chargé de superviser cette opération ?

    Quand on voit le nombre de convois qui traversent notre ville, ces questions semblent importantes à poser. Et peut-être que là, la question de la modification de la réglementation est légitime.

  • Il est temps que la Banque mondiale prenne les droits humains au sérieux

    Communiqué d'Amnesty Internartional

    Les grandes entreprises peuvent avoir un impact négatif considérable sur les droits des personnes et des groupes humains. À travers ses recherches, Amnesty International a montré que ces conséquences peuvent prendre diverses formes, allant de moyens de subsistance menacés ou détruits à des expulsions forcées visant à laisser place à des opérations d’extraction.

    Le Groupe de la Banque mondiale, entre autres fonctions, finance les activités de grandes entreprises dans des pays en développement, par le biais d’une institution appelée Société financière internationale (IFC). L’IFC soutient fréquemment des industries de nature particulièrement invasive telles que le pétrole, le gaz et les projets miniers. Ces industries sont souvent associées à des dommages environnementaux et des atteintes aux droits humains.

     

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    Gazoduc en construction dans la Région d'Ayacucho au Pérou, projet financé par l'IFC. Septembre 2009

     

     

     

     


    L’IFC doit veiller à posséder de solides garanties pour empêcher les atteintes aux droits humains résultant de ses activités.

    Malheureusement, la Banque mondiale refuse de prendre les droits humains au sérieux. En mai 2011, l’IFC adoptera de nouvelles directives de gestion des risques sociaux et environnementaux liés aux activités qu’elle soutient. Cependant, non seulement elle propose d’adopter des garanties qui sont insuffisantes pour empêcher les effets négatifs en termes de droits humains, mais elle REFUSE même de s’engager à respecter ces droits.

    Venant d’une institution qui prétend avoir pour vocation de lutter contre la pauvreté et d’améliorer la vie des populations, et qui est gouvernée par des États membres ayant des obligations internationales en matière de droits humains, cela est totalement inacceptable.

    Les entreprises ne peuvent pas être exonérées de toute responsabilité pour leur impact négatif sur les droits humains. Passez à l’action, en faisant savoir au vice-président exécutif de l’IFC qu’il est maintenant temps de prendre les droits humains au sérieux !

     



    Agissez SIGNEZ la pétition au vice-président exécutif de l’IFC  (sur notre site international)

     

     

     

  • L'An Vert N° 54 : Du nouveau pour le canton

     

     

    Lisez L'An Vert

    Numéro 54

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