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election législative

  • Une nouvelle Assemblée nationale pour la France

    Edito du Jeudi 23 juin 2022 de Cartooning for peace

    Le second tour des élections législatives du dimanche 19 juin 2022 plonge la France dans une configuration inédite : la coalition présidentielle « Ensemble! », si elle reste majoritaire (245 sièges), perd sa majorité absolue à l’Assemblée nationale et fragilise Emmanuel Macron, le chef de l’Etat, et son gouvernement à peine nommé. La coalition de gauche NUPES, récemment formée, remporte 131 sièges face à la droite républicaine, qui ne remporte que 61 sièges. Fait historique et inquiétant, le score du parti d’extrême-droite « Rassemblement national » de Marine Le Pen qui rafle 89 sièges.
    Si ces résultats ont le mérite de refléter au plus près la réalité du paysage politique français, ils préoccupent les analystes : comment éviter le blocage politique quand la France, contrairement à ses voisins européens, n’a pas de culture du compromis parlementaire enracinée et que les défis nationaux, européens et planétaires n’attendent pas ?

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  • Résultat du deuxième tour des législatives de juin 2022 à Vouziers

    Inscrits 2727    Votants 1324  (48.5 %)    Abstention 1403

    Blancs et nuls   89

    Exprimés 1235

    Warsmann   861   (69.7 %)

    Lemoine      374   (30.2 %)

     

     

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  • Elections législatives : un vote essentiel pour l’avenir démocratique du pays

    Communiqué LDH

    Dimanche prochain, les citoyennes et les citoyens de notre pays choisiront celles et ceux dont va dépendre l’orientation des politiques dans les prochaines années.

    Favorable au débat démocratique, la LDH (Ligue des droits de l’Homme) se félicite de voir que la future Assemblée sera sans doute moins monolithique que l’Assemblée sortante.

    Cependant, elle constate que le premier tour de ces élections législatives a malheureusement été marqué par une abstention massive, notamment des jeunes, et l’implantation géographique de plus en plus forte d’une extrême droite en mesure de disposer d’un groupe politique à l’Assemblée nationale.

    La LDH rappelle que le Rassemblement national est un parti qui ne porte pas les valeurs républicaines et qu’aucune voix ne doit donc se porter sur les deux cent candidates et candidats de ce parti qualifiés pour le second tour. Elle appelle les électrices et électeurs à se mobiliser pour faire vivre la démocratie dans notre pays.

    Elle souhaite que figurent dans les priorités de la future représentation nationale la protection des libertés et la lutte contre les inégalités.

    Paris, le 15 juin 2022

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  • Tribune libre

    En cette période de campagne électorale, nous publions une tribune libre que nous a fait parvenir un lecteur de l'An Vert.

    Cette tribune est signée, et le texte proposé n'engage que son auteur.

    Sous réserve de ne pas contenir des mentions racistes, xénophobes ou d'exclusion, et d'éviter les attaques sur les personnes, nous publierons d'autres contributions qui nous parviendraient.

     

    Suite à l’article paru dans l’édition de l’Ardennais du samedi 21 mai sur la candidature aux législatives dans la 3ème circonscription des Ardennes de M. Jean-Luc Warsmann, je tenais à réagir et faire part de quelques remarques et interrogations personnelles :

    Pourquoi je ne peux pas apporter mon vote à Jean-Luc Warsmann, député sortant, candidat à sa réélection dans la 3ème circonscription des Ardennes ( Sans étiquette cette fois : indépendant après 4 mandats sous l’étiquette d’un parti politique ) ?

    Il n’est pas question de divergences politiques profondes, voire de sanction sur les mandats effectués, M. Warsmann n’étant certainement pas le député le moins actif, ni le moins capable de proximité avec notre ruralité excentrée.

    Mon incompréhension et mes reproches portent sur le choix de son suppléant, et cela pour 2 raisons : en premier il peut paraître surprenant alors qu’on parle de la nécessaire parité en politique, que le choix se soit arrêté sur un homme.

    Mais là n’est pas le plus surprenant voire regrettable, je ne comprends pas le choix de M. Villenet, ardennais certes depuis 2016, qui dit vouloir "mettre son expérience au service de la circonscription pour défendre le maintien d’une médecine de proximité" ! ! ! soulève quelques doutes et interrogations de ma part !

    Comme il le précise M. Villenet a été délégué territorial de l’ARS des Ardennes pendant plusieurs années et grand maître de la " réorganisation " du secteur médical et des centres hospitaliers du département . Quand j’évoque la réorganisation et la restructuration, les termes de déstabilisation et d’annihilation me sembleraient plus appropriés. Certes il s’est montré rigoureux et efficace dans l’application et la mise en œuvre strictes voire brutales des consignes et préconisations gouvernementales souvent incohérentes et inadaptées au regard des situations locales, laissant peu de place à la concertation et au dialogue avec les professionnels, élus et usagers du secteur ; peut-être écoutait-il par obligeance mais n’entendait certainement pas car il semblait être seul à détenir la connaissance, la vérité et surtout le pouvoir. Chacun a pu constater ce qu’il en résultait de cette incapacité à tenir compte et adapter en fonction des disparités et spécificités locales.

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  • Top 7 des arguments pour aller voter aux élections législatives

    Communiqué d'Alternatiba

    Pendant la campagne des législatives et au-delà, nous nous attelons à construire un mouvement de masse, populaire et non-violent, pour changer le système et pas le climat. Cela passe par nous mobiliser dans la rue, mais également dans les urnes ! Les élections législatives sont une opportunité importante pour obtenir un contre-pouvoir face aux politiques mortifères d’Emmanuel Macron. A nous de construire la suite et nous préparer pour les 5 ans à venir. Les 12 et 19 juin prochain auront lieu les élections législatives, cruciales pour l’avenir démocratique de notre pays. Ces élections enregistrent un trop fort taux d’abstention depuis les 30 dernières années, et pourtant elles permettent de reprendre de manière locale le pouvoir national. C’est pourquoi, dans cet article, tu vas trouver 7 arguments afin de convaincre toi et tes proches de se rendre aux urnes afin d’élire les député·es qui vont nous représenter les 5 prochaines années.

    Argument 1

    Pour avoir une Assemblée Nationale sociale et écologique, avec un maximum de député·es qui portent nos valeurs (577 sièges en tout). C’est à nous d’élire des député·es qui défendent la justice sociale et climatique. Ces élections permettent d’assurer un contre-pouvoir législatif qui remettrait au centre les questions écologiques et sociales. 

    Argument 2

    Pour faire adopter des lois en faveur d’un monde plus juste et soutenable ou au contraire, de bloquer l’adoption de lois climaticides ou discriminatoires : ces pouvoirs appartiennent aux député·es. Et en plus, ce sont les député·es qui font des propositions de lois : si nous voulons des lois efficaces pour lutter contre le dérèglement climatique et les discriminations, élisons des député·es qui défendent la justice climatique et sociale. 

    Argument 3

    Pour que l’écologie et la justice sociale pèsent sur ce scrutin : ces élections enregistrent un fort taux d’abstention depuis plus de 30 ans. Le 18 juin 2017, lors du second tour des dernières législatives, 57,36 % des électeurs et électrices inscrit·es ne se sont pas rendu·es aux urnes. Ne laissons pas les autres décider pour nous, votons pour des député·es avec des valeurs fortes en faveur du climat et de la justice sociale ! 

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  • Législatives : la démarche d’union de la NUPES doit se traduire en avancées pour les droits des paysan.nes

    Communiqué de la Confédération paysanne le 12.05.2022

    Lors de la campagne présidentielle, la Confédération paysanne a appelé à rompre avec les politiques libérales qui font disparaître et s'appauvrir les paysan.nes depuis des décennies. Le triptyque « robotique-numérique-génétique » qui sera la boussole agricole du nouveau quinquennat d'Emmanuel Macron ne résoudra rien, bien au contraire. Il rendra les paysan.nes encore plus dépendant.es et captif.ves vis-à-vis de l'agro-industrie.

     

    Au vu de la situation exceptionnelle - urgence agricole et alimentaire, climatique, démocratique et sociale - la Confédération paysanne apporte son soutien à la démarche de laNouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES), la plus à même d'offrir des perspectives de nouveaux droits sociaux et paysans et de mettre en œuvre la transition agroécologique.

    Cette démarche d'union des forces progressistes, porteuse d'ambition sociale et écologique et le développement des services publics ne doit pas s'arrêter à un accord électoral. Elle doit se traduire en propositions fortes pour que cette ambition ne s'arrête pas aux portes des villes.

    L'enjeu économique de protection des paysan.nes et l'enjeu climatique ne doivent donc plus être pensés séparément, comme des propositions slogans, mais articulés dans un projet systémique de transformation de notre modèle agricole et alimentaire en rupture avec les politiques libérales.

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  • N’attendons pas 5 ans de plus pour le climat

    Le président sortant, Emmanuel Macron, vient d’être réélu. Sans illusion quant aux nouvelles promesses sur l’écologie, nous sommes déterminé·s à lutter dès aujourd’hui pour la justice climatique et sociale. Le GIEC l’a encore rappelé il y a quelques semaines : il faut des actions fortes pour le climat de toute urgence, pas dans trois ou cinq ans, mais dès maintenant.

    Si vous avez suivi nos nombreuses actions depuis 2017, puis notre bilan du quinquennat et notre analyse des programmes des candidats et candidates à la Présidentielle, vous comprendrez que nous ne pouvons pas nous réjouir du résultat de cette élection.

    En l’absence de candidat ambitieux pour le climat au second tour, nous avons exprimé notre rejet clair et catégorique de l’extrême droite, dont le programme, les prises de position et l’idéologie constituent une menace d’une autre nature pour l’environnement et nos valeurs fondamentales.

    Mais notre constat à l’égard de la politique d’Emmanuel Macron reste le même, et les promesses récentes, peu crédibles, n’y changent rien. Nous avons perdu cinq ans pour le climat, entre petits pas et grands renoncements de la part d’Emmanuel Macron. Nous ne pouvons nous résigner à perdre cinq ans de plus.

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