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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 568

  • Réservez votre weekend des 5 et 6 juillet pour Notre-Dame-des-Landes 2014

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    La préparation de notre désormais traditionnel rassemblement estival avance...

    Des forums, des débats, des conférences, des stands, des concerts, des animations....


    Réservez d'ores et déjà votre weekend des 5 et 6 juillet 2014, et plus si vous avez envie de donner un coup de main.


    Plus d'informations à venir...

    Bientôt un site internet, déjà un évènement Facebook et un hashtag #NDL2014

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  • Ras le bol de l'injustice fiscale.

    Qui doit payer pour les nuisances des poids lourds(entretien des routes, pollutions)?
                   - nous tous, avec nos impôts?
                - ou les grandes entreprises de transport routier, avec l'écotaxe qu'il vaut mieux appeler pollutaxe?
     
                        Le collectif ardennais pour la pollutaxe répond: les pollueurs doivent être les payeurs
     
     et il l'a fait savoir  en faisant de Woinic son complice d'un jour! Ce dernier, masqué pour se protéger de la pollution routière, porte vaillamment la banderole " +de trains -de camions! La pollutaxe maintenant!".
    Le changement climatique est engagé et le gouvernement hésite  toujours à mettre en œuvre la pollutaxe. Les bonnets rouges, dans la violence, ont exprimé leur refus, mais les bonnets rouges ne sont pas la France! De nombreux mouvements écologistes revendiquent la mise en œuvre de la pollutaxe. En effet, au moment où le gouvernement renonce aux recettes de cette taxe, il augmente la TVA des transports publics en la portant à 10% frappant ainsi au porte-monnaie la population vertueuse qui les utilise..
    La pollutaxe doit servir à financer les alternatives au transport routier: le rail,  le fret maritime ou fluvial. Elle doit aider à créer des emplois de proximité, non délocalisables. Il fait reconvertir les chauffeurs routiers en cheminots et non l'inverse comme on le fait aujourd'hui.
    En ce 1er mai , des militants du collectif ardennais pour la pollutaxe ont mené une action de communication pacifique. Ils espèrent être entendus. Contact du collectif:0607662065

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  • Pendant la crise ukrainienne, la catastrophe de Tchernobyl continue

    Communiqué de Sortir du Nucléaire

    La crise politique en Ukraine ferait presque oublier que ce pays – ainsi que de vastes régions du Belarus et de la Russie - est marqué par une catastrophe nucléaire en cours depuis 28 ans. Populations malades, mensonge et déni, milieu naturel atteint, réacteur toujours menaçant : à l’occasion du triste anniversaire de l’accident, effectuons quelques rappels sur ce désastre durable aggravé par les tensions internationales.

    26 avril 1986 : le début de la catastrophe

    Le 26 avril 1986, le réacteur n°4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl (Ukraine) explose en projetant dans l’atmosphère des quantités considérables de radioéléments. La première vague d’évacuation ne commencera que le lendemain ; une zone d’exclusion de 30 km de rayon sera ensuite définie. Pendant des mois, pompiers puis « liquidateurs » - de 600 000 à 900 000 personnes, essentiellement des jeunes appelés recrutés sur tous le territoire de l’URSS - se relaient dans des conditions sanitaires catastrophiques pour éteindre l’incendie, puis pour tenter à tout prix d’étouffer la fusion du cœur du réacteur. Comme celui-ci menace de s’enfoncer dans le sol, un tunnel de 167 mètres de long est creusé sous le réacteur pour y construire une dalle de béton. Une deuxième explosion catastrophique aura été évitée, mais au prix de l’irradiation de centaines de milliers de personnes.

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    Les radionucléides mortifères projetés par l’explosion ont touché principalement le Bélarus, l’Ukraine et l’Ouest de la Russie, mais se sont également dispersés sur une grande partie de l’Europe. Des concentrations élevées se déposent notamment en Allemagne, en Autriche, en Suède et en Finlande . La France n’est pas épargnée : les Alpes, la Corse et l’Alsace seront les régions les plus touchées.

    28 ans de désinformation

    Très vite, l’appareil de désinformation officiel se met en place en Ukraine, mais aussi en Europe. En France, le Professeur Pellerin, directeur du Service Central de Protection contre les Rayonnements Ionisants, intervient à de nombreuses reprises pour minimiser la menace sanitaire. Aucune distribution de pastilles d’iode n’aura lieu, et – contrairement à ce qui s’est passé chez nos voisins européens - aucune consigne concernant les aliments contaminés ne sera donnée. Le même Pierre Pellerin fera partie du petit cénacle d’experts internationaux qui s’accorderont sur le nombre de morts de Tchernobyl à communiquer officiellement . Attaqué par l’Association Française des Malades de la Thyroïde, il bénéficiera d’un non-lieu en septembre 2011 et décèdera en 2013, blanchi par la justice.

    Pourtant, il existe de lourdes preuves du passage du nuage de Tchernobyl en France et du fait que les autorités en étaient averties. Avant d’être brusquement dessaisie du dossier en mars 2011, la juge d’instruction Marie-Odile Bertella-Geoffroy a rassemblé de nombreux éléments accablants lors de perquisitions au domicile de Pierre Pellerin.

    De nombreuses études ont tenté de mettre à jour les impacts réels de la catastrophe de Tchernobyl. Mais toutes, ou presque, ont finalement été enterrées par les autorités. En juillet 2013, pourtant, est sortie une étude italienne indépendante mettant en évidence la forte augmentation des maladies thyroïdiennes en Corse suite à l’accident.

    Plus d’informations : http://www.sortirdunucleaire.org/Tchernobyl-retombees-France

    La vie durablement contaminée

    Dans les zones les plus contaminées, la catastrophe sanitaire n’a pas fini de sévir. Parmi les 600 000 à 900 000 liquidateurs, un grand nombre sont décédés ou tombés rapidement malades des suites de leur irradiation. Plus de 3,5 millions de personnes vivent toujours dans des zones contaminées  en Ukraine, 2 million au Bélarus et 2,7 en Russie. Certains radioéléments projetés en masse lors de l’explosion, toujours présents dans les sols, sont entrés dans la chaîne alimentaire, comme le Césium 137 et le Strontium 90, dont les effets nocifs ne prendront fin que d’ici trois siècles. L’accumulation du Césium 137 dans l’organisme va de pair avec une augmentation spectaculaire du taux de cancers et de pathologies cardiovasculaires, en particulier chez les enfants, mais atteint aussi l’ensemble des systèmes des organes vitaux. Elle provoque également des changements hormonaux responsables d’une infertilité croissante, ainsi que l’augmentation des malformations pour les enfants.

    La désinformation est toujours à l’œuvre concernant les impacts sanitaires réels de Tchernobyl. Devant l’élévation du taux de malformations congénitales (passé entre 2000 et 2009 de 3,5 pour 1000 à 5,5 pour 1000), la réponse du ministère de la Santé du Bélarus fut de fermer l’unique Institut de recherche sur les maladies héréditaires et congénitales , ainsi que l’Institut de radio-pathologie de Gomel. En 2005, le « Forum Tchernobyl », réuni à Vienne sous l’égide de l’AIEA, a conclu que seuls 4000 décès pouvaient être attribués à Tchernobyl. L’augmentation des pathologies et la dégradation de l’état de santé des populations y sont mises sur le compte du stress, de l’alcoolisme et de la détérioration des conditions économiques et sociales dans les régions concernées. Pourtant, les recherches menées par des scientifiques indépendants mettent au jour des chiffres autrement plus élevés. Selon une étude du Pr. Yuri Bandajevski, publiée dans les annales de l’Académie des Sciences de New-York en 2011, la catastrophe et ses suites seraient responsables de 985 000 morts .

    Par ailleurs, depuis plusieurs années, d’étranges « ONG » comme le CEPN  mettent en place des programmes destinés à prouver que l’on peut vivre en zone contaminée. Ainsi, le programme « ETHOS », en vigueur à Tchernobyl, est maintenant exporté… à Fukushima, pour appuyer le retour de populations dans des régions où la radioactivité ambiante devrait pourtant interdire tout séjour prolongé !

    Les milieux naturels aussi sont touchés

    En 2010, le reportage « Tchernobyl, une histoire naturelle » a contribué à populariser la thèse d’une nature intacte qui reprendrait ses droits. Pourtant, cette théorie va à l’encontre des observations scientifiques réalisées dans la zone contaminée (Lire l’analyse détaillée du professeur Michel Fernex : http://www.sortirdunucleaire.org/Tchernobyl-Fernex ).

    Après avoir mis en évidence l’existence de malformations importantes chez les hirondelles de Tchernobyl , Tim Mousseau, chercheur à l’Université de Caroline du Sud a récemment découvert que la croissance des arbres pouvait aussi être affectée par les radiations . Selon ce même chercheur, il apparaît également que les radiations nuisent aux micro-organismes, empêchant la décomposition des végétaux . Cette accumulation de bois mort pose un nouveau risque : un incendie pourrait facilement se déclencher, relâchant dans l’atmosphère une fumée chargée de radioéléments.

    La construction du nouveau sarcophage et les soins aux malades, victimes collatérales de la crise politique.

    Le réacteur éventré, qui contient encore 97% des éléments radioactifs, constitue toujours une menace : le sarcophage de béton construit à la va-vite au-dessus de ses ruines se fissure déjà. En 2013, une partie du toit s’est déjà effondré . La construction d’une arche métallique géante de 92 mètres de haut et 245 mètres de long destinée à recouvrir le réacteur, a donc commencé en 2010. Ce chantier pharaonique, mené par un consortium formé de Vinci et Bouygues, est censé coûter au moins deux milliards de dollars. L’Ukraine ne pouvant y contribuer qu’à hauteur de 8%, le reste devait être financé par la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement et le reste de la communauté internationale. Mais il apparaît que le nouveau sarcophage ne pourra être fini pour 2015 comme prévu, en raison d’un manque de financements criant. En raison de la crise politique, certains officiels ukrainiens craignent que la Russie ne fournisse pas la contribution à laquelle elle s’était engagée. Et l’Ukraine, exsangue, ne peut fournir de nouveaux financements  .

    La crise politique et le spectre d’opérations militaires ont également de lourdes conséquences humanitaires. Selon l’ONG autrichienne Global 2000, l’État n’est plus à même de financer un système de santé déjà faible et certaines thérapies contre le cancer destinées aux enfants ne sont plus disponibles dans le nord de l’Ukraine  . Par ailleurs, certaines associations étrangères ont mis leurs opérations entre parenthèse. L’ONG Enfants de Tchernobyl International, basée en Irlande, a ainsi dû suspendre un programme de chirurgie cardiaque destiné aux enfants d’un montant de 3 millions d’euros.

    La crise politique accroît le risque nucléaire en Ukraine

    Enfin, la menace d’une escalade de la violence fait réapparaître le spectre d’un nouveau désastre nucléaire en Ukraine. Le pays compte encore de nombreuses centrales en activité, dont celle de Zaporizhzhya, qui compte six réacteurs. En cas d’opération militaire, comment assurer la sécurité de ces sites ? Même s’ils sont arrêtés, comment garantir qu’ils restent approvisionnés en électricité pour que le refroidissement puisse se poursuivre  ?

    28 ans après l’explosion du réacteur, la catastrophe est toujours là, et pour longtemps. Au nom de toutes les victimes passées, présentes et à venir, nous devons absolument rappeler sa terrible actualité. Et tout faire pour empêcher un nouvel accident.

    Nous avons ici beaucoup développé la situation en Ukraine, mais la Biélorussie a été largement touchée. Pour en savoir plus et apporter une aide aux victimes, plus d’informations ici : http://enfants-tchernobyl-belarus.org/doku.php

  • Processus de paix Israël – Palestine… La colonisation continue, la France regarde ailleurs !

    Communiqué de la Plateforme des ONG Françaises pour la Palestine, dont la LDH est membre
    Pour donner une réelle chance d’aboutir au processus de paix, la France et l’Union européenne doivent rendre la colonisation politiquement et économiquement beaucoup plus coûteuse pour Israël.

    A l’heure où les discussions de paix sous l’égide des Etats-Unis arrivent à échéance, sans que de véritables progrès aient été accomplis, la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine constate que le processus de Paix se trouve dans l’impasse. Ses membres appellent la France à adopter dès à présent des mesures concrètes pour lutter contre la colonisation, et ainsi peser sur les discussions.

    Sur le terrain, la colonisation se poursuit à un rythme effréné, mettant en péril le processus de paix et la viabilité d’un futur Etat palestinien. En effet d’après le Bureau central des statistiques d’Israël, la construction de colonies en Cisjordanie a augmenté de 123% en 2013 par rapport à 2012, et le gouvernement israélien a récemment approuvé l’implantation de la première colonie depuis les années 1980 à Hébron. Le 1er avril dernier, il a annoncé la relance d’un appel d’offre pour la construction de 708 logements à Jérusalem-Est. Cette provocation a fortement contribué à l’enlisement des négociations, de l’avis même de John Kerry.

    Jusqu’à présent, sous prétexte de soutenir l’initiative diplomatique américaine, la France et l’Union européenne sont restées en retrait du processus, laissant la colonisation se poursuivre au détriment du droit international et de leurs propres engagements à le faire appliquer. Cette position est d’autant plus intenable que 53% des Israéliens pensent que seule une combinaison de mesures incitatives et dissuasives pourrait convaincre leur gouvernement et la Knesset d’accepter un accord de paix basé sur la solution des deux Etats.

    Plusieurs gouvernements européens, y compris ceux réputés « proches d’Israël », ont déjà adopté des mesures concrètes pour lutter contre la colonisation. Par exemple, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont publié des directives d’étiquetage pour les produits issus des colonies, ainsi que des avis publics destinés à décourager les activités commerciales et les investissements dans les colonies. L’Allemagne impose même une clause territoriale dans sa politique de coopération scientifique avec Israël qui exclut les colonies.

    Pour Claude Léostic, présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine : « L’étiquetage des produits des colonies à l’attention des consommateurs, l’inclusion d’une clause territoriale dans tous les accords de coopération bilatérale avec Israël et la publication d’un avis public à l’attention des entreprises décourageant les activités commerciales et les investissements dans les colonies sont autant de mesures concrètes que le gouvernement français peut prendre pour accompagner le processus de paix en faisant passer un message clair : oui à une solution de deux Etats basée sur les frontières de 1967, non à la colonisation et l’occupation ».

    La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine, demande au gouvernement français d’être cohérent avec ses nombreuses déclarations sur l’illégalité des colonies et de s’inspirer de ses voisins européens.

    Des parlementaires français se sont déjà largement mobilisés sur ce dossier et ont interpellé le ministre des Affaires étrangères sur la politique de la France à l’égard des colonies israéliennes, présentant ainsi pas moins d’une quarantaine de questions écrites et engagements à ce sujet durant les six derniers mois.

    Le gouvernement français ne peut plus rester sourd à l’appel de la représentation nationale, et fermer les yeux sur la colonisation israélienne de la Palestine, qui, comme le refus israélien de libérer les prisonniers palestiniens, mène à une impasse. Il doit prendre, comme ses partenaires européens, des mesures concrètes pour y mettre un terme.

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  • Bangladesh: un an après la catastrophe du Rana Plaza, quelle solution pour les victimes ?

    Le 24 avril 2013, l’immeuble du Rana Plaza s’est effondré au Bangladesh, tuant plus de 1 130 personnes et laissant des milliers de travailleurs handicapés. Combien de drames faudra-t-il encore pour responsabiliser enfin les entreprises ?

    Parmi les étiquettes retrouvées dans les décombres du Rana Plaza, il y avait celles de grandes marques européennes et françaises. Certaines sous-traitaient officiellement leur production dans cette usine bangladaise, d’autres ont dénoncé le fait d’être victimes de sous-traitance sauvage.

    Le secteur textile-habillement a massivement recours à la sous-traitance, en cascade ou dissimulée. Et dans un marché extrêmement concurrentiel, des pressions toujours plus grandes en termes de délais et de coûts, pèsent sur ces sous-traitants. Les conditions de travail y sont souvent déplorables et les contrôles trop peu nombreux pour garantir que les droits humains ne soient pas bafoués.
    Dans ce cas, pourquoi n’existe-t-il pas des règlementations pour imposer des contrôles obligatoires sur les chaines d’approvisionnement ?

    Or, aujourd’hui faute de norme, il est impossible de mettre en cause la responsabilité de sociétés donneuses d’ordre en France pour les violations des droits humains commises par leurs filiales ou leurs sous-traitants à l’étranger.


    Pourtant, en France, une proposition de loi allant dans ce sens a été déposée par des parlementaires. Au Rana Plaza, si cette loi avait existé, les entreprises auraient pu prévenir le drame en identifiant les risques liés au bâtiment d’une part et elles auraient pu voir leur responsabilité juridique engagée d’autre part. Les victimes auraient ainsi pu obtenir des réparations qui aujourd’hui font défaut. 


    Les populations n'ont pas à payer le prix de la course aux profits des multinationales. L'Etat a le devoir de s'assurer que les entreprises respectent les droits humains et l'environnement, partout où elles opèrent, en France comme à l'étranger. François Hollande s'y est engagé
    Nos responsables politiques doivent maintenant agir pour prévenir de nouveaux drames.

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  • Vouziers : les commissions municipales seront ouvertes aux habitants

    Depuis de nombreuses années, les commissions municipales sont composées d'élus au conseil municipal et de citoyens qui veulent s'associer à ce travail de préparation des délibérations de l'assemblée.

    Le site de la ville de Vouziers confirme que cette tradition sera maintenue. Il est indiqué que  pour"les Vouzinois associés : Appel à candidature dans le prochain "Fil" distribué dans les boites à lettres dès le 5 mai 2014. "

    Voici la liste des commissions et les membres élus, toujours d'après le site de la ville .

    Affaires sociales et solidarité

    Cette commission a en charge l'organisation du colis et repas des Anciens. Le centre communal d'action sociale (CCAS) fonctionne aussi mais a un rôle différent de celui de la commission.

     Elus :  Yann DUGARD, Françoise PAYEN, Patricia LESUEUR, Claude ADAM, Véronique COSSON, Andrée THOMAS, Karine PASSERA, Louisette NOIRANT. 

    Cadre de vie - Environnement - Fêtes communales

    Fêtes communales, propreté en ville, fleurissement et illuminations sont les principaux domaines d'application de la commission mais c'est aussi agir en faveur de la proctection de l'environnement dans la vie quotidienne. 

     Elus : Yann DUGARD, Magali ROGER, Patricia LESUEUR, Claude ADAM, Christine DAPPE, Michaël SCHWEMMER, Véronique PAILLARD, Dominique LAMY, Pauline COSSON.

     Finances

    Les propositions concernant les orientations budgétaires, les choix financiers : la maîtrise des dépenses, de la fiscalité se font dans cette commission. 

     Elus : Yann DUGARD, Claude ADAM, Dominique CARPENTIER, Françoise PAYEN, Magali ROGER, Patricia LESUEUR, Martine BAUDART, Michaël SCHWEMMER, Patrice FERON, Jean BROYER, Andrée THOMAS, Frédéric COURVOISIER-CLEMENT, Pauline COSSON. 

    Information - Communication

    La communication et l'information sont devenues incontournables pour la promotion de nos actions et de notre territoire. Préparation des publications municipales, vie du site Internet et dialogue avec la population sont les sujets abordés lors de cette commission.

     Elus : Yann DUGARD, Patricia LESUEUR, Dominique CARPENTIER, Claude ADAM, Véronique COSSON, Christine DAPPE, Jean-Philippe MASSON, Nathalie CAMBIER-JONVAL, Pauline COSSON. 

    Affaires sportives

    Notre ville dispose d'une quantité exceptionnelle d'équipements sportifs. Il en est de même pour la richesse de l'offre sportive. Gestion du calendrier des événements, relations avec les associations sportives, entretien des infrastructures, sont les sujets abordés dans cette commission.

     Elus : Yann DUGARD, Dominique CARPENTIER, Claude ADAM, Nadine ROMAIN, Guy PORCHET, Fabien ALLEMAND, Camel ARMI, Frédéric COURVOISIER-CLEMENT, Ghislaine JACQUET. 

    Tourisme - Patrimoine

    Cette commission suit les dossiers de tourisme et patrimoine de la commune et la communauté de communes.

     Elus : Yann DUGARD, Dominique CARPENTIER, Magali ROGER, Patricia LESUEUR, Claude ADAM, Jean-Philippe MASSON, Patrice FERON, Frédéric COURVOISIER-CLEMENT, Nathalie CAMBIER-JONVAL. 

    Economie - Urbanisme - Travaux

    Notre ville construit son avenir et se structure au sein de cette commission. C'est ici que les grands projets sont discutés, préparés et proposés. 

     Elus : Yann DUGARD, Claude ADAM, Magali ROGER, Michaël SCHWEMMER, Patrice FERON, Fabien LALLEMAND, Jean BROYER, Camel ARMI, Martine BAUDART, Frédéric COURVOISIER-CLEMENT, Dominique LAMY.

    Citoyenneté et cérémonies patriotiques

    Les membres de cette commission ont pour mission de transmettre nos valeurs démocratiques et historiques et cela passe par la sensibilisation de la jeune génération et l'incitation à participer aux différentes cérémonies.

     Elus : Yann DUGARD, Claude ADAM, Guy PORCHET, Jean-Philippe MASSON, Ghislaine JACQUET

    Affaires scolaires et péri-scolaires - Restauration scolaire et garderies

    Tous les sujets qui touchent à l'organisation des structures accueillant les enfants dans le cadre de leur scolarité sont discutés au sein de cette commission.

     Elus : Yann DUGARD, Françoise PAYEN, Magali ROGER, Jean BROYER, Christine DAPPE, Karine PASSERA, François BARDIAUX, Nathalie CAMBIER-JONVAL, Pauline COSSON. 

    Circulation et sécurité en ville

    Cette commission travaille sur la circulation et la sécurité en ville : signalétique routière, passages piétons, sens de circulation...

     Elus : Yann DUGARD, Claude ADAM, Guy PORCHET, Michaël SCHWEMMER, Jean BROYER, François BARDIAUX, Louisette NOIRANT, Martine BAUDART, Ghislaine JACQUET, Dominique LAMY.

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    La Mairie de Vouziers (photo L'An Vert D R)

  • Rénovation énergétique : FNE et le CLER contraintes de porter plainte auprès de la Commission européenne.

    Alors que l'efficacité énergétique est l'une des priorités ressorties du débat national sur la transition énergétique, l'immobilisme de la France en la matière contraint FNE et le CLER à porter plainte auprès de la Commission européenne.

    La rénovation énergétique du bâtiment est identifiée par tous, entreprises, collectivités, Etat, consommateurs et bien sûr associations de protection de l'environnement, comme un sujetimages?q=tbn:ANd9GcTzf2LnUIZkl17Q8rr78R5u-_DNpyAZ_zVcZYYoQbQvH04qRE_n central sur lequel il faut agir avec détermination. Elle est une condition nécessaire pour protéger les consommateurs, notamment les ménages modestes, des hausses de prix de l'énergie, créer de l'activité dans le secteur du bâtiment et réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    Pourtant, le gouvernement cumule les retards et atermoiements. Malgré les nombreuses annonces sur l'ambition de notre pays en la matière, la France n'est même pas en règle avec les textes européens. Organisations de dialogue et de co-construction des politiques publiques, le CLER et FNE se voient contraintes de saisir la Commission européenne, en raison de l'immobilisme actuel.

    Une plainte auprès de la Commission européenne a donc été déposée le 22 avril 2014 pour non-respect par la France de la directive performance énergétique des bâtiments (DPEB).

     Elle concerne 4 griefs :

     ·         tout bâtiment existant objet d'une rénovation est théoriquement soumis à des exigences en termes d'amélioration énergétique par la DPEB. En France, selon les caractéristiques du projet, ce dernier est soit soumis à la réglementation thermique dite « globale » basée sur une obligation de résultat, soit à la réglementation thermique dite « élément par élément » qui est une obligation de moyens. Cette dernière est depuis le départ obsolète et ne mène concrètement à aucune amélioration énergétique d'un projet. Malheureusement, les critères actuellement en place font que plus de 90% des rénovations sont soumises à cette réglementation inopérante.

     ·         Les réglementations doivent être revues au plus tard tous les 5 ans pour s'adapter au marché et tenir compte des progrès. La réglementation thermique pour l'existant, déjà obsolète lors de son entrée en vigueur est donc légalement périmée depuis 2012.

     images?q=tbn:ANd9GcRgDmCnWXz1IwXbZEUL9NRsRY5-FWOKK1YNZg2dIfrb2NK2KFjM·         le chauffage électrique, fléau des ménages modestes et des consommateurs, responsable de très importantes émissions de gaz à effet de serre par la production électrique de pointe qu'il génère est totalement absent de la réglementation « élément par élément » qui concerne pourtant plus de 90 % des projets de rénovation.Tous les autres modes de chauffage sont explicitement concernés par la réglementation.

     ·         l'éviction implicite d'un certain nombre de procédés constructifs (pierre, terre, bois, etc.) exclue de fait de nombreux bâtiments de toute réglementation thermique.

      FNE et le CLER rappellent que le strict respect des textes européens en matière d'efficacité énergétique est largement insuffisant. Ils appellent à mettre en cohérence les cadres législatifs et réglementaires français avec l'ambition affichée lors des déclaration du président de la République du 20 septembre 2013 et de la ministre du Logement Cécile Duflot du 12 février 2014.