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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 565

  • Le nucléaire ne peut rien pour sauver le climat

    Communiqué de la FNE

    A la mi-octobre, alors que les parlementaires seront toujours en train de débattre le projet de loi sur la transition énergétique, la France accueillera le « World Nuclear Exhibition », premier salon international de la filière nucléaire, au Bourget, près de Paris. Dans un an, la France accueillera le Monde pour tenter de trouver une suite à l'accord de Kyoto et sauver ainsi le climat. Pourtant, l’énergie nucléaire n’est pas une solution pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Explications.


    Climat et nucléaire, quelques chiffres révélateurs

    Cette année, la France tente à nouveau de vendre au monde entier sa technologie nucléaire, de plus en plus risquée, accumulant des déchets toujours sans solution, essayant de faire croire que c'est une solution pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et sauver le climat. Alors rappelons quelques chiffres. La France produit près de 75% de son électricité par le nucléaire, ce qui représente autour de 18% de sa consommation finale d’énergie.

    Maryse Arditi, responsable des questions Energie rappelle que « dans le monde, le nucléaire ne représente que 2,5% de la consommation finale d'électricité. Pour peser efficacement sur le climat, il faudrait multiplier ce chiffre au moins par 2 ou 3, ce qui est radicalement impossible. »

    Construire de nouveaux réacteurs n’est pas crédible

    Il y a aujourd'hui dans le monde autour de 430 réacteurs opérationnels[1], vieux en moyenne de 25 ans.

    « Doubler ce nombre, même sur 30 ans, en tenant compte de la nécessité de renouveler ceux qui existent vu leur âge, exigerait de construire 3 fois 430 réacteurs sur 30 ans, soit 43 réacteurs chaque année durant 30 ans, soit quasiment un réacteur par semaine mis en service….. et forcément dans nombre de pays particulièrement instables politiquement. C’est de la folie. » : explique Maryse Arditi

    Ainsi, entre 2008 et 2011, si 30 réacteurs ont été mis en service, 17 ont été arrêtés. Par ailleurs, Areva n’arrive plus à vendre ses réacteurs, explose ses coûts de construction des EPR, et a perdu les marchés japonais de maintenance des réacteurs, quasiment tous à l’arrêt depuis la catastrophe de Fukushima. Autant dire que cette industrie n’a pas d’avenir.

    Elle a d'ailleurs si peu d'avenir que cette industrie, soit disant mature, ne peut plus se construire sans une masse de crédit public considérable. Le gouvernement anglais vient de s'engager à assurer à EDF un prix d'achat de son MWh nucléaire à 115€ durant 35 ans, soit 30% plus cher que le prix d'achat du kWh éolien. Et la commission européenne vient de dire oui à ce scandale, alors même qu'elle veut faire disparaître ce soutien pour les énergies renouvelables !

    Denez L’Hostis, président de FNE « Il serait donc judicieux d'arrêter d'investir dans cette filière sans avenir et de développer une vraie transition énergétique basée sur la sobriété, l'efficacité énergétique et les énergies renouvelables. Le climat ne peut pas attendre. »

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    La centrale de Chooz

  • Le 16 Octobre, Tous ensemble

    Le 16 Octobre, Tous ensemble (Appel repris du site de l'Union Départementale CGT des Ardennes )

     

    La Sécurité Sociale, créée en 1945, dans un pays en ruine, fut conçue par le Conseil National de la Résistance comme un système universel, démocratique, dirigé par des représentants élus des assurés sociaux, accessible à tous et qui sécurise suivant le principe :

    Chacun paye selon ses moyens et reçoit selon ses besoins.

    Qui pourrait nous faire croire qu’aujourd’hui ce système n’est plus viable ?

    Les 4 branches de la Sécurité Sociale : maladie, vieillesse, accidents du travail, famille, sont financées par nos cotisations. Depuis leur création, elles n’ont cessé d’être attaquées par le patronat.

    Mis en place par le gouvernement, en réponse aux exigences du patronat, le pacte de responsabilité veut amputer de près de 30 milliards le budget de notre Sécurité Sociale.

    Ils s’attaquent d’une manière catastrophique, au prétexte de la crise, aux fondements même de notre protection sociale, aux services publics et à leurs valeurs fondatrices de justice et de solidarité.

    Les cotisations sont la part socialisée de notre salaire ! 

     

    Les exonérations de cotisations accordées au patronat sont un vol d’une partie de notre salaire !

     

     Le projet du MEDEF qui sera soutenu par le gouvernement :

    -Abandon des 35h.

    -Supprimer 2 jours fériés.

    -Abandon du SMIC.

    -Déréglementer le temps de travail (taux de majoration des heures supplémentaires, aménagement du temps de travail).

    -Libéraliser le travail la nuit et le dimanche. 

     

    Ces raisons ne vous suffisent-elles pas , pour être avec nous,

    au square de la gare à 11h le 16 octobre ?

     

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  • Malala Yousafzai et Kailash Satyarthi Prix Nobel de la Paix 2014

    Lla lycéenne pakistanaise Malala Yousafzai, qui défend le droit à l'éducation, et à Kailash Satyarthi, militant indien des droits des enfants ont reçu le prix Nobel de la paix. Un signal fort pour la défense des droits des enfants.

     

    UNE INCARNATION DE LA DÉFENSE DES DROITS DES ENFANTS DANS LE MONDE

    Le travail que mènent Kailash Satyarthi et Malala Yousafzai incarne le combat  pour la défense de millions d'enfants dans le monde. C'est une récompense pour les militants des droits humains qui se consacrent entièrement à la défense de l'éducation et des droits des enfants les plus vulnérables du monde.

    Le comité Nobel a reconnu l'importance fondamentale des droits de l'enfant pour l'avenir de notre monde. Le choix des lauréats montre que c'est un sujet qui compte pour nous tous, quels que soient notre âge, notre genre, notre pays ou notre religion.

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    DEUX PERSONNALITÉS ENGAGÉES DE LONGUE DATE

    Malala donne un exemple fort qui inspire dans le monde entier, et qui a été reconnu à juste titre par le comité Nobel. Le courage dont elle a fait preuve face à une telle adversité est une grande source d'inspiration. Ses actions symbolisent ce que signifie défendre ses droits, par une demande simple qui est le respect du droit fondamental à l'éducation.

    Kailash Satyarthi a consacré sa vie à aider les millions d'enfants en Inde qui sont réduits en esclavage et travaillent dans des conditions extrêmement difficiles. Sa distinction constitue une reconnaissance du travail de campagne mené sans relâche depuis plusieurs décennies par les militants de la société civile sur la traite et le travail des enfants en Inde.

  • Des membres d'une secte font du prosélytisme à la sortie du lycée de Vouziers

    Cet après-midi, les élèves qui sortaient du lycée Masaryk devaient passer devant de bien étranges personnages.

    Postés à droite et à gauche de la sortie, à une dizaine de mètres de l'emprise de l'établissement scolaire, ils tentaient d'aborder les lycéens pour leur porter la "bonne parole". Bien entendu, en tant que secte bien rigide, ils détiennent la vérité, toute la vérité. Et ceux qui ne pensent pas comme eux sont au mieux des ignorants à convaincre, au pire des ennemies à combattre. Le dialogue, la confrontation des idées et des pensées, ce n'est pas leur habitude. Sauf éventuellement pour aborder une personne en souffrance, prête à écouter quiconque  semble lui apporte un réconfort.

    Le succès ne semblait pas évident pour nos prédicateurs, auprès de jeunes pressés de quitter le lycée pour rejoindre un bus, un copain, une famille ...

    Mais pour ces gens, la patience est une arme efficace : ils doivent consacrer un temps très important de leur vie à cette tâche obligatoire, et une étude citée par Wikipedia estime qu'une  conversion demande en moyenne plusieurs milliers d'heures de prosélytisme. Quand on compte 100.000 membres en France, il est possible de recruter pas mal de nouveaux adeptes par ce moyen.

    En France, la liberté de pensée est reconnue, mais comme toute liberté, elle s'arrête à celle des autres. Les sectes font entrer leurs membres dans un monde binaire, fait de gentils et de méchants. Et les grands chefs définissent qui est gentil et sur quels critères. En dehors de cela, les liens familiaux, amicaux n'ont plus d'importance, il s'agit de sauver le monde !

    Et oui, la fin du monde, c'est pour bientôt, c'est même tellement vrai que cela fait plusieurs que la date en a été fixée, puis dépassée et remise à plus tard.

    On pourrait en sourire, mais un tel message peut être vécu comme rassurant  pour un certain nombre de personnes en recherche de protection et de certitudes.

    Et quand ces adultes viennent à la sortie du lycée tenter de convaincre des jeunes de 15 à 18 ans de rejoindre la secte, on ne rit plus du tout.

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  • Fête de l’énergie ce week-end dans les Ardennes.

    Deux animations proposées par l'Agence Locale de l'Energie 08 ce week-end

    Dans le cadre de la fête de l’énergie, l’ALE 08 vous propose de découvrir l’habitat sain et écologique en reliant différents sites de visite...à vélo

     Le samedi 11 octobre 2014, départ à 14h00 à l’église de Thilay (parcours de 10km A/R)

     Les objectifs de cette journée :

     - présenter des maisons rénovées, ou construites à l’aide d’éco-matériaux

     - rencontrer des professionnels et des particuliers qui vous feront part de leurs expérience

     - donner des clés pour économiser l’énergie

     Afin de rester dans la logique de cette journée et de réduire notre impact environnemental, le trajet entre chaque habitat se fera en vélo (prévoir des vêtements de pluie si la météo est défavorable).

     Renseignements et inscriptions auprès de l’ALE 08 (places limitées à 20 pers) 03 24 32 12 29

     Pour information :

     - pensez au covoiturage !

     - la gare la plus proche de Thilay se situe à Monthermé

     - location de vélos à Bogny sur Meuse : 03 24 32 10 97, à Hautes Rivières : 03 24 53 45 80,

     à Nouzonville : 03 24 53 77 89, à Revin : 03 24 22 14 80

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    l’ALE 08 organise la visite d’un ancien corps de ferme transformé en maison passive par l’architecte Quentin Goulard.

     Le Dimanche 12 octobre à Sévigny-la-Forêt, à partir de 14h

     Au programme de cette journée :

    Visites, stands et conférences

     3 conférences :

    - 17h00 : Qu’est-ce qu’une maison passive ?

    - 17h45 : Vivre dans une maison passive

    - 18h30 : Traiter les eaux usées par lagunage

     Une maison passive présente de nombreux avantages : confort, qualité de vie, qualité de l’air, plus besoins de chauffage, performances énergétiques, préservation des ressources énergétiques,...

    Toutes les techniques de mise en œuvre seront apparentes lors de la visite.

    Les + de la maison : isolation très performante en matériaux bio-sourcés, puits canadien, ventilation double flux, chauffe-eau thermodynamique, traitement des eaux usées par phytoépuration, enduit décoratif à l’argile sur torchis ancien.

  • Abandon de l'Ecotaxe: une ardoise de 3 milliards pour les Français

    Communiqué de la FNE

    Face aux menaces répétées des transporteurs routiers, l'Etat a abandonné définitivement l’Ecotaxe.

    Depuis 2009, plusieurs cadeaux fiscaux ont été distribués pour anticiper l'éco redevance (réduction sur la taxe à l'essieu, généralisation du 44 tonnes…) pour un total de près 800 millions d’euros. Ajoutons 1,2 milliard de manque à gagner et les 800 millions à payer au prestataire en cas de dédit ! En cette période critique pour l'équilibre de nos finances publiques, la facture, de près de 3 milliards, est lourde…

    Des ressources financières qui s’envolent

    Les recettes de l'Ecotaxe devaient financer des transports collectifs, mais aussi l'entretien du réseau routier qui est à la charge des collectivités. Les collectivités doivent déjà prendre en charge 400 millions d'euros suite à la généralisation des 44 tonnes. Ce sont encore les citoyens qui vont payer l'addition.

    Un système qui fonctionne outre-Rhin

    Si la France connaît quelques difficultés, il peut être utile d'aller voir la santé du transport routier de marchandises dans d'autres pays. Regardons la situation économique du secteur en Allemagne, en République Tchèque ou en Suisse : florissant ! Un point commun entre tous ces pays : la mise en place d'un péage poids lourds dont le montant est nettement plus important que l'Ecotaxe. Cherchez l'erreur !

    Que l’Etat annule les cadeaux fiscaux faits aux transporteurs !

    Puisque les questions de financement peuvent être abordées très rapidement à l'occasion du projet de loi de finances, FNE propose des solutions disponibles et cohérentes qui peuvent compenser une partie du manque à gagner. Il faut récupérer les cadeaux fiscaux faits aux transporteurs, au détriment des autres contribuables, en compensation de la future application de l’écotaxe: le gazole professionnel, la taxe à l'essieu et la taxe d'aménagement du territoire.

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    Puisque l'Ecotaxe n'est pas mise en place, nous pouvons revenir au niveau d'origine de la taxe à l'essieu, ce qui rapporterait 150 millions par an. A ces 150 millions s'en ajouteraient d'autres si les camionneurs étaient soumis à la hausse de 2 centimes du diesel qui va impacter les Français. L'ensemble de ces mesures d'urgence peuvent être mises place dans le cadre de la loi de finances et pourraient rapporter 600 millions au budget de l’Etat.

    Denez L'Hostis, président de FNE : « France Nature Environnement souhaite sortir l’Ecotaxe de l’ornière. Nous demandons à participer au groupe de travail qui sera chargé de proposer des solutions pour le transport de marchandises pour qu’une autre voix que celle des seuls lobbies soit entendue et défendue, celle de l’utilité publique. Nous ne sortirons pas de la crise si l’intérêt général ne prime pas sur les intérêts catégoriels.»
  • La loi antiterroriste devant le Sénat : l’urgence est mauvaise conseillère

    Communiqué de l’Observatoire des libertés et du numérique (OLN)

    Jeudi 10 octobre, le Sénat examine le projet de loi antiterroriste. Il s’agira d’une lecture unique, puisque le gouvernement, confondant précipitation et efficacité, a décidé de la procédure d’urgence.

    L’Observatoire des libertés et du numérique (OLN) considère que cette décision prive la représentation nationale d’un débat normal sur les libertés publiques, dans lequel les arguments contraires auraient mérité d’être entendus.

    Si la lutte contre le terrorisme est légitime, elle ne peut justifier de légiférer en urgence sous le coup de la peur et de l’émotion, et d’adopter des lois toujours plus liberticides. Les événements récents posent sans aucune contestation possible la nécessité de procéder à la poursuite, à l’arrestation et au jugement de criminels. Mais sans le respect des principes, la lutte contre le terrorisme se réduit, aux dépens de la justice et des libertés publiques, à une vengeance sans fin. Amender encore une fois l’arsenal déjà lourd de la lutte antiterroriste dans ces circonstances, c’est prendre le risque de dissoudre la délibération démocratique dans une posture évènementielle. A chaque fois qu’en matière législative, on fait vite, on ne fait pas bien. Et c’est exactement le cas avec la future « loi antiterroriste », déjà votée par l’Assemblée nationale et qui va suivre la procédure d’urgence : une seule lecture à l’Assemblée nationale et au Sénat.

    Une fois de plus, au lieu de procéder à une évaluation des lois existantes avant d’en promulguer une nouvelle qui pourrait tenir compte de l’expérience, ce qui tient lieu d’analyse, c’est le recours législatif immédiat et l’illusion est ainsi donnée que l’on a pris en haut lieu la mesure du danger. Aujourd’hui le combat contre le « djihad », comme hier celui contre le terrorisme, fait que, de coups de menton virils en déclarations martiales, la cause est entendue : la patrie est en danger et les atermoiements ne sont plus de mise, même quand il s’agit des libertés publiques. Que les prises de position honteuses de certains à droite, comme celle du député UMP Alain Marsaud, qui invitait à « s’asseoir sur les libertés », ne viennent pas éclipser le fait qu’aujourd’hui encore la balance entre sécurité et libertés va dans le même sens, déséquilibrée qu’elle est vers toujours plus de diminution des droits. Développement sans fin d’un arsenal répressif déjà très lourd, création d’une nouvelle infraction de l’intention, création de pouvoirs exorbitants de l’administration sur les citoyens, leurs déplacements, leur expression, notamment sur le Net, détricotage du droit de la presse, accroissement des pouvoirs de police et de la justice dans des domaines allant bien au-delà du terrorisme : autant de dévoiements de notre droit, que la lutte contre le terrorisme ne saurait légitimer.

    L’argument est d’autant plus efficace que la situation internationale est extrêmement dangereuse. A l’engagement militaire sur un théâtre extérieur correspond une relativisation des libertés fondamentales pour tenter de dominer l’incertitude de la période, ce qui suffirait à dévaloriser, voire annihiler la critique.

    C’est ainsi que dans la loi antiterroriste, ses motifs n’ont que la peur comme conseillère. La Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) tout comme la Commission numérique de l’Assemblée nationale et le Conseil national du numérique se sont d’ailleurs montrés, dans leurs avis, extrêmement critiques sur son contenu. Mais il en adviendra de ce texte comme d’autres : le gouvernement ni ne consulte ni ne sollicite un avis, dont il avait bien pressenti qu’il mettrait à jour l’illégitimité et l’inefficacité de telles atteintes aux droits et libertés.

    Au rebours de cette courte vue, l’Observatoire des libertés et du numérique (OLN) considère que l’expérience de ces lois appliquées dans le monde (en particulier aux Etats-Unis, qui s’en sont faits le parangon avec le Patriot Act), montre que celui-ci n’est pas devenu plus sûr avec ces méthodes. A moins d’être aveugle, il faut bien constater que le terrorisme ne faiblit pas quand tombent les libertés publiques. Dans les pays mêmes qui pratiquent à un degré ou à un autre la suspension des libertés dans ce cadre, les effets sont médiocres voire contre-productifs.

    C’est à l’audition d’une multiplicité de points de vue, constitutionnel, juridique, politique, social, qu’il eût fallu procéder. Mais le débat n’a pas eu lieu puisque les initiateurs de la loi, telle qu’elle est, disent qu’il n’y a pas d’autre politique possible. Les questions ne seront donc pas posées. C’est ce à quoi les organisations qui composent l’OLN ne peuvent pas se résoudre. L’OLN appelle les sénateurs à tenir le débat, et, s’ils ne refusent pas d’adopter la loi, à tout le moins à proposer des amendements propres à apporter des garanties. Il appelle enfin les parlementaires à utiliser en tout état de cause leur possibilité de soumettre la loi au Conseil constitutionnel.

     

    Organisations membres de l’OLN : Cecil, Creis-Terminal, LDH, Quadrature du Net, Saf, SM.
    Contact : contact-oln@ldh-france.org

     

    Paris, le 8 octobre 2014

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    (Ce dessin ne fait pas partie du communiqué de l'OLN)