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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 563

  • La réduction de services fait consensus à la 2C2A

    Le conseil de communauté de ce 27 octobre a acté à trois reprises (et à la quasi-unanimité) la réduction ou la fermeture de services pour les habitants du territoire.

    Ces délibérations ont été prises  pour générer des économies,  ou s'adapter à une faiblesse de fréquentation ou encore accompagner une restructuration des services de l'Etat.

    La première évolution concerne les relais de services publics, qui avaient été pratiquement imposés par l'Etat  sur le territoire de la 2C2A. Il en existait un fixe à Vouziers, et un deuxième itinérant qui alternait les permanences sur les chefs-lieux de canton. Ce deuxième mode de fonctionnement n'a pas rencontré de succès, l'employée ne voyant que 2 personnes par semaine en moyenne. Il ne restera donc plus qu'une personne qui va être désormais embauchée à plein temps. Elle pourra ainsi assurer le poste de Vouziers, et il lui restera des plages horaires pour se rendre dans une commune sur rendez-vous, dans le cas où une demande aurait été identifiée.

    La deuxième évolution concerne le ramassage des déchets ménagers. A partir du 05 janvier prochain, il n'y aura plus qu'un seul ramassage hebdomadaire pour les foyers de Vouziers. Il y aura deux secteurs, un Nord et un Sud qui auront un jour de collecte différent. Ce changement est la conséquence du nouveau mode de collecte ( par containers) et de la nouvelle tarification (à la levée) qui ont entrainé une diminution du tonnage ramassé. Cette nouvelle organisation posera des problèmes pratiques à certains professionnels et à certains habitants, mais le principe a été adopté à l'unanimité des votants. A noter que le Maire de Vouziers était excusé ce soir, mais aucun de ses adjoints n'a demandé la parole sur ce point. Seul D. Lamy a souligné l'augmentation de la charge de travail pour les employés, il n'y aura d'ailleurs plus qu'un seul rippeur pour assurer cette collecte en compagnie du chauffeur.

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    La troisième évolution concerne le regroupement des trésoreries. L'assemblée a approuvé à l'unanimité moins une abstention (J-P Corneille) le principe de la fermeture des trésoreries de Buzancy, d'Attigny et du Chesne. En échange, on obtiendrait un service amélioré à Vouziers qui regrouperait assez de personnel pour avoir une offre de compétence dans tous les domaines utiles aux communes.

    F. Signoret s'est dit favorable à cette solution, ainsi que B. Singlit, le Maire du Chesne, qui a fait le constat de la faible efficacité de sa trésorerie actuelle. B. Hureau a fait la même remarque, ayant constaté un meilleur service à Vouziers depuis que la trésorerie de Machault a fermé. Seul J-P Corneille a mis un bémol  à cette analyse, en faisant remarquer que ce fonctionnement reposait sur des transmissions par internet, et qu'avec le réseau actuellement disponible, les galères étaient le lot quotidien des mairies éloignées des centres de décision. La question de la pérennité de l'offre sur Vouziers a aussi été soulevée.

    En dehors de ces points, l'unanimité a également le plus souvent été de mise.

    A noter l'élection de J-P Richelet au bureau de la 2C2A, avec 78 voix sur 94 votants. Il s'agissait de compléter le bureau pour un représentant du canton de Vouziers (hors ville).

    Divers points financiers et administratifs ont été validés

    Le projet de construction d'une plate-forme bois déchiqueté a été abandonné, car déjà fragilisé dans sa conception, son coût  après appel d'offres  (450.000 € ) semble impossible à supporter par la collectivité.

    La 2C2A continuera à assurer la maitrise d'ouvrage des sites Natura 2000 du secteur, y compris celui de Bairon.

    Dans le domaine des déchèteries, on note l'apparition d'une collecte des meubles qui n'iront plus en enfouissement (filière  Eco-mobilier). Les déchèteries cantonales vont à nouveau être ouvertes le samedi, en alternance une semaine sur deux pour Buzancy, Le Chesne, Machault et Grandpré (une demie-journée par site).

    En questions diverses, le Président a informé le conseil de l'évolution du projet éolien du Mont des 4 Faux, dont nous vous avons déjà fait part  à plusieurs reprises.

    Ce fut donc un conseil de consensus comme l'a fait remarquer le Président Signoret dans sa conclusion, bien que des sujets qui se prêtaient à discussion aient été présentés au cours de cette soirée.

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  • Un manifestant retrouvé mort sur le site du barrage de Sivens

    Depuis des mois, des militants luttent contre un projet de barrage, dont l'utilité est loin d'être démontrée.

    Ils doivent faire face à une répression policière qui prend souvent prétexte de la présence '"d'opposants radicaux" parmi les contestataires. Pourtant ceux-ci  se sont déclarés en faveur de la non-violence dans leur quasi totalité. Deux grévistes de la faim qui poursuivent leur jeûne depuis plusieurs semaines n'ont même pas obtenu un rendez-vous avec le Président du Conseil Général du Tarn, principal porteur du projet de barrage

    La présence policière a surtout pour but des permettre la poursuite des travaux, alors que le rapport d'experts indépendants demandé par S. Royal ne sera rendu public que la semaine prochaine.

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    Article de Politis (extraits) publié en ligne ce jour

    (...) Pour l’heure, les causes exactes du décès de Rémi, 21 ans, sont encore indéterminées, a expliqué à la presse le procureur d’Albi Claude Dérens, qui attend les premiers résultats de l’autopsie prévue lundi à la mi-journée. Seule certitude, la victime est décédé au moment où des affrontements violents opposaient une centaine d’opposants radicaux aux gendarmes présents sur le site, lesquels ont fait grand usage de grenades lacrymogènes et assourdissantes, ainsi que de flash-ball, selon le récit de nos confrères de Reporterre. (...)

    Soutenu par le conseil général du Tarn, qui le juge indispensable pour irriguer les terres agricoles,(...)ce projet qui va détruire une zone humide est principalement dédié à l’irrigation de cultures de maïs, c’est-à-dire à un petit nombre d’exploitants pratiquant une agriculture intensive.

    (...)

    Dès le 10 septembre, une soixantaine d’élus d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) et du Parti de gauche exigeaient dans une lettre ouverte, dont nous nous étions fait l’écho, que « cessent les violences incompréhensibles à l’égard des opposants au projet de barrage et qu’un moratoire soit décidé, avec l’arrêt immédiat du déboisement ». On ne peut que regretter ce soir, qu’il n’aient pas été entendus.

     

  • Parc Naturel Régional d'Argonne : le projet avance

     

    Informations reprises du site argonne-pnr.eu

    Depuis 2009, les argonnais sont de plus en plus nombreux à se mobiliser pour faire reconnaitre leur territoire. L'Argonne, répartie sur 3 départements et 2 régions, se révèle plus que jamais comme une entité remarquable ; tant par son patrimoine que par sa capacité à porter des solutions économiquement viables et durables. L'idée d'une labellisation "Parc Naturel Régional" apparaît dès lors comme non seulement possible mais certainement souhaitable.

    Le Conseil d'Administration qui s'est tenu Mardi 21 Octobre 2014 à Cheppy, marque le lancement officiel de "l'étude d'opportunité et de faisabilité" pour la création d'un Parc Naturel Régional (PNR) en Argonne.

    Cette phase, qui n'est qu'une première étape vers la création du PNR, a pour objectif de démontrer la "valeur" au sens large du territoire et la nécessité de sa protection face aux menaces qui pèsent dessus. En parallèle, cette étude doit démontrer la plus-value qui serait apportée à l'Argonne grâce à un PNR, c'est à dire donner les premiers grands axes de réflexions quant-aux missions qui pourraient-être celles d'un futur PNR. Enfin, l'étude doit aussi proposer un premier périmètre d'action, qui servira de base de discussion par la suite.

    Afin de remplir les objectif de cette étude de faisabilité qui doit aboutir en Octobre 2016, l'association souhaite renforcer la participation de la population et des acteurs, notamment au travers de groupes de travail thématiques ou chacun est invité à venir écouter, discuter, donner son avis et participer aux premières actions qui seront mises en place bientôt.

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  • Chiffres du chômage : septembre confirme la tendance à la hausse

    Le mois de septembre étant le mois des vendanges, les chiffres sont un peu bousculés pour notre région. Par exemple, on note une baisse de 7% dans la Marne pour la catégorie A !

    Mais la tendance globale, aussi bien au niveau national que local, reste mauvaise. Et les mesures prises par le gouvernement ont bien peu de chances d'inverser le phénomène à court ou moyen terme, d'ailleurs plus aucun responsable politique ne risque à annoncer une baisse prochaine des chiffres. Le ministre en est réduit à se féliciter d'une "hausse qui ralentit" pour certaines catégories, bien maigre consolation quand le nombre des chômeurs en France dépasse les 5 millions.

    Voici les chiffres officiels :

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 432 500 en France métropolitaine fin septembre 2014. Ce nombre augmente par rapport à la fin août 2014 (+0,6 %, soit +19 200). Sur un an, il croît de 4,3 %.

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en activité réduite (catégories B et C) s’établit à 1 695 700 en France métropolitaine fin septembre 2014 : sur un mois, il augmente de 1,1 % pour l’activité réduite courte (catégorie B, +5,9 % sur un an) et de 2,4 % pour l’activité réduite longue (catégorie C, +10,9 % sur un an). Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s’établit à 5 128 200 en France métropolitaine fin septembre 2014 (5 431 500 en France y compris Dom). Ce nombre augmente de 1,0 % (+50 200) au mois de septembre. Sur un an, il augmente de 5,7 %.

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    Et voici les chiffres locaux :

    S'agissant de la catégorie A, par département, le nombre de demandeurs d'emploi varie
    en septembre 2014 par rapport à fin août 2014 entre - 7,2 % et - 0,1 % : Ardennes (- 0,1 %),
    Aube (- 2,7 %), Marne (- 7,2 %), Haute-Marne (- 1,0 %).
    S'agissant de la catégorie A, B, C par département, le nombre de demandeurs d'emploi varie en
    septembre 2014 par rapport à fin août 2014 entre + 0,3 % et + 1,5 % : Ardennes (+ 1,5 %),
    Aube (+ 1,3 %), Marne (+ 0,3 %), Haute-Marne (+ 0,8 %).

  • Le TGV rattrapé par la Cour des comptes

    Après le "tout autoroute" la France a connu le "tout TGV". Chaque Région, chaque département, chaque agglomération exigeaient d'être desservis par ces voies de communication. En fait, elles ne sont pertinentes que sur les grands axes où un flux suffisant peut être assuré.

    Les Ardennes ont obtenu aussi leur accès TGV, jusqu'à Sedan, alors que le Vouzinois est abandonné par la SNCF. Le fameux Y ardennais va mettre Rocroi à quelques minutes de Charleville, mais dans quel état est le réseau secondaire du département, celui que les usagers fréquentent en priorité. Un récent rapport de la Cour des comptes dénonce cette politique de l’investissement vitrine, fait au détriment de l'entretien des réseaux existants.

    Dans le Vouzinois, on a connu la course des élus pour être le premier à annoncer une quatre voies entre Vouziers et Rethel, liaison qui n'a jamais fait la preuve de son utilité. L'abandon de ce projet pour des raisons budgétaires n'a pas donné lieu à une étude sérieuse des besoins en voies de communication pour le Sud-Est ardennais.

    Notons également qu'un  projet de canal à grande capacité entre les réseaux belges et la Seine n'a pas permis de poser la question de l’entretien des canaux existants (canal des Ardennes et la branche de Vouziers par exemple)

    Cette politique à courte vue, basée sur des choix de grands travaux, à surtout l’avantage d'être visible et de fournir de beaux clichés aux magazines destinés aux électeurs. La pertinence réelle de ces investissements au regard de leur coût financier et écologique est beaucoup moins évidente.

    Voici la réaction de la FNE à la publication de ce rapport.

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    La Cour des comptes, dans un rapport publié ce jeudi 23 octobre 2014, pointe les dérives de la gestion du réseau des trains à grande vitesse. Ce rapport confirme les inquiétudes de France Nature Environnement. Car si la mobilité durable ne peut se passer du train, il n’est pas judicieux, ni économiquement, ni écologiquement, de construire des Lignes à Grande Vitesse (LGV) pour un faible trafic. Une rénovation du réseau existant suffirait amplement et serait plus utile au quotidien pour les français.


    Réseau Ferré de France gonfle artificiellement les chiffres du trafic

    Les sages constatent que RFF a ‘’exagéré significativement’’ le niveau de trafic escompté de la ligne Limoges-Poitiers, ce qui induit d’importantes subventions pour financer la LGV : jusqu’à 80% pour faire fonctionner la ligne alors que la liaison est peu rentable. Dans le meilleur des cas, sa rentabilité est estimée à 3,3%. La Cour des comptes déplore donc un projet non prioritaire, non financé, mais poursuivi avec vigueur. Et cet entêtement des élus se retrouve dans de nombreux projets de LGV quelle que soit la région concernée.


    Des élus obsédés par la LGV

    Car sur les lignes à grande vitesse, le TGV peut filer jusqu’à jusqu’à 320 km/h alors que sur le réseau classique, il peut rouler jusqu’à 220 km/h. Un atout pour les LGV qui ne sont pertinentes économiquement que pour une poignée de destinations. « Pourtant, à l’arrivée des premières LGV, les élus se sont montrés obsédés par ces nouveaux rails et ont complètement délaissé l’entretien et à la modernisation du réseau classique. Mais les rapports Rivier de l’Ecole Polytechnique de Lausanne en 2005 et 2012 rappellent bien que cette rénovation est la vraie priorité ! » souligne Michel Dubromel, responsable transports et mobilités durables de FNE.

    Un caprice des collectivités territoriales

    Face à cette mode des LGV, une question taraude France Nature Environnement : l’Etat aurait-il une fâcheuse tendance à céder à la pression des Collectivités Territoriales ? Les sages constatent que les annonces politiques, à haut niveau, confortent solidement les projets avant même que soient menées à bien les phases préliminaires.
    Raymond Lang, spécialiste transport ferroviaire à FNE estime que « c’est la modernisation des lignes actuelles qui doit être privilégiée. Ce n’est pas le matériel roulant TGV qui est à remettre en cause mais le développement du réseau de LGV sans examen de la pertinence réelle du maillage ferroviaire »

    L’Europe, par le biais de son plan ambitieux de réseau européen de transports, a sa part de responsabilité dans le développement de la grande vitesse car il promeut des projets dont la rentabilité socio-économique n’est pas toujours avérée.

    Denez L’Hostis, président de FNE « La création d’une nouvelle ligne a un coût économique et environnemental. D’un point de vue écologique mais aussi économique, de nombreux projets ne sont pas pertinents quand une modernisation du réseau existant suffirait amplement. Les projets de création de lignes doivent être conditionnés par des prévisions de trafic réalistes en cohérence avec la politique des transports. Il faut donner la priorité aux transports du quotidien pour offrir une alternative à « l’auto solo », la carte du réseau ferroviaire 2014 comparée à celle du siècle précédent est à ce titre édifiante. »

  • Colloque éco-construction

    Nature & Progrès, au nom des cinq opérateurs du projet transfrontalier Eco-construction et Citoyens, a le plaisir de vous inviter à leur colloque de fin de programme le vendredi 21 novembre 2014 de 10h00 à 16h30 au Centre de Congrès des Vieilles Forges
     
    Le territoire du projet comprend les arrondissements de Thuin, Dinant, Philippeville, Neufchâteau et Virton, et les Ardennes françaises. Au sein de celui-ci, un ensemble d’acteurs (citoyens, collectivités et professionnels) s’organisent pour répondre à leurs besoins en matière d’habitat, de consommation (alimentaire & énergétique) et de transport à partir de leurs ressources locales. Ces ressources communes, nous les avons portées et défendues au cours des 5 ans d’exécution du projet par la mise en place d’une démarche structurant cet éco-territoire transfrontalier et la mise en œuvre d’une filière de professionnels, d’un réseau de citoyens « ambassadeurs », et d’un réseau de collectivités pour des villages durables.
     
    Ce colloque sera l’occasion pour tous de se voir présenter les résultats obtenus durant ces années de travail et de partager les témoignages des différents acteurs intervenus dans la mise en œuvre.
     
    Monsieur Luc Schuiten, architecte visionnaire de « Vegetal city » et invité d’honneur, donnera une conférence « Vers un éco-territoire transfrontalier ». Suivront l’après-midi divers ateliers thématiques participatifs. Le programme complet vous sera transmis d’ici peu, il sera également disponible sur le site www.ecocc.be

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  • Expulsions forcées à Bobigny : des dizaines de Roms de plus à la rue

    Communiqué d'Amnesty International

    L’expulsion du campement dit « des Coquetiers » est intervenue aujourd’hui 21 octobre à la mi journée. Seules 130 personnes, sur les plus de 300 habitants de ce campement, se sont vues proposer des solutions alternatives de relogement.

    Près de 350 personnes habitaient ce campement situé sur la ville de Bobigny.

    Autour de 13 heures les forces de l’ordre sont intervenues avec des bulldozer pour procéder à l’expulsion des personnes qui se trouvaient encore sur les lieux.

    En dépit de la situation d’urgence, aucune proposition de relogement n'a été faite à cette soixantaine de personnes - dont des bébés et des personnes âgées. L'évacuation  s'est déroulée dans le calme.

    Les forces de l’ordre ont escorté le groupe en dehors des limites de la ville et sont restées en faction pour empêcher tout retour à Bobigny.

    La semaine dernière, Amnesty International France et plusieurs dizaines de partenaires associatifs lançaient une « Charte pour les droits et la dignité des occupants de terrains ».

    Cette Charte proclame notamment :

    ARTICLE 3
    Tout abri de fortune constitue le domicile des occupants. Chacun a droit à la reconnaissance et au respect de son domicile, et à son inviolabilité

    ARTICLE 13
    Aucune expulsion ou évacuation ne doit avoir lieu sans un réel examen de la situation de chaque personne au regard de sa situation familiale, de son état de santé, de la scolarisation, de l’emploi et du logement.

     Force est de constater que ces droits n’ont pas été respectés aujourd’hui à Bobigny.

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