L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 152
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Préfets et Sous-préfets à Vouziers (3)
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Préfets et Sous-préfets à Vouziers (2)
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Préfets et Sous-préfets à Vouziers.(1)
Les représentants de l'état dans le département changent souvent, soit par mutation, soit par retraite.
Pourriez-vous reconnaître ces quelques portraits pris lors de cérémonies à Vouziers ?
Nous vous en proposons 9, voici les 2 premiers
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Le mouvement climat empêche la tenue de l’AG de TotalEnergies et exige sa sortie des énergies fossiles
Depuis 8h20 ce matin, 250 militantes et militants du mouvement climat bloquent l’Assemblée générale de TotalEnergies à Paris, avec leurs corps et leur détermination. Ils réclament des engagements concrets et immédiats de Patrick Pouyanné, président directeur général sur le retrait de TotalEnergies de Russie et la fin de tout nouveau projet d’énergies fossiles, tels qu’EACOP en Ouganda et Mozambique LNG. Ils dénoncent le danger que représente la stratégie de TotalEnergies pour le climat, la paix et les droits humains, ainsi que le soutien que lui apportent pourtant Emmanuel Macron et son gouvernement.
Alors que l’ancien monde devait se réunir, ils et elles sont venu·es en nombre afin de rappeler l’urgence de sortir des énergies fossiles qui détruisent le climat, attisent les conflits et financent en ce moment même la guerre de Vladimir Poutine. Sous l’impulsion d’Action Non-Violente COP21, Alternatiba Paris, les Amis de la Terre France, et Greenpeace France ; et avec le soutien d’autres organisations du mouvement climat [1], les militantes et militants ont bloqué l’entrée de la salle Pleyel où devait se tenir l’Assemblée générale annuelle des actionnaires de TotalEnergies. Banderoles, rubalise, pancartes ont été déployées, avec les messages suivants : « Pas de retrait, pas d’AG » et « Total danger climatique ». Des activistes français et internationaux sont également sur place pour témoigner du danger que représente TotalEnergies à travers le monde.
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Appel au rapatriement des enfants français et de leurs mères détenus dans les camps du nord-est syrien
Depuis plus de trois ans désormais, 200 enfants français et leurs mères sont détenus dans le nord-est syrien par les autorités régionales kurdes dans les camps Roj et Al Hol. La plupart de ces enfants avait 2 ou 3 ans en entrant dans ces camps, et certains y sont nés. Depuis lors, ils grandissent entourés de barbelés, dans la boue ou la poussière, et dorment sous des tentes de fortune été comme hiver. Les conditions de vie dans ces camps sont désastreuses : les enfants manquent de soins adaptés, ne bénéficient d’aucun soutien psychologique, et ne sont pas scolarisés. Selon les Nations unies, des centaines de personnes détenues à al-Hol et Roj -dont au moins la moitié sont des enfants- sont déjà mortes ces trois dernières années, notamment en raison du manque de soins médicaux, de l’insalubrité, d’accidents comme des incendies de tentes et de l’insécurité grandissante.
Le 8 février 2021, une vingtaine d’experts indépendants des droits de l’homme des Nations Unies ont exhorté 57 pays, dont la France, à rapatrier les enfants et les femmes bloqués dans « les camps sordides » du nord-est syrien. « Les conditions humanitaires désastreuses des camps mettent en évidence la nécessité d’une action collective, soutenue et immédiate pour prévenir des dommages irréparables aux personnes en situation vulnérable qui y sont détenues » estimaient les experts. Nombre de ces experts ont réitéré ces appels depuis, de même que le Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet.
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Cine-débat avec ATTAC et la LDH mardi 24.05 à Charleville
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La Finlande et la Suède veulent rejoindre l’OTAN
Edito du Jeudi 19 mai 2022 de Cartooning for Peace
Moment historique, indéniablement provoqué par la guerre en Ukraine : la Finlande (pays frontalier de la Russie) et la Suède, jusque-là attachées à leur neutralité et leur non-alignement militaire, ont déposé mercredi 18 mai leur demande d’adhésion à l’Alliance atlantique (OTAN). La Suède et la Finlande doivent désormais attendre entre quatre mois et un an avant d’intégrer l’OTAN. Il faudra pour cela lever le blocage de la Turquie qui, membre depuis 1952, menace de mettre son véto au motif que les deux pays seraient trop complaisants envers les « terroristes » du Parti des travailleurs du Kurdistan, selon les mots du président Erdogan.
Il n’en reste pas moins que le président russe, qui exigeait la fin de l’élargissement de l’OTAN (qualifié il n’y a pas si longtemps encore en état de « mort cérébrale » par le président français), n’aura fait que renforcer l’Alliance.