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société - Page 274

  • L'Assemblée générale du FJEP-CS à l'image de son implication quotidienne.

    Ce n'est pas pour faire original que l'assemblée générale du FJEP-CS de Vouziers s'est déroulée autour de tables réunissant de manière aléatoire les participants.

    Les responsables de l'association ont voulu que ce temps fort soit représentatif du fonctionnement habituel de la structure. Cette façon de gérer la réunion a permis d'emblée une mixité sociale, et l'organisation des débats a permis de créer du lien entre les personnes présentes.

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  • Le gaspillage de la nourriture rapporte trop à la grande distribution et à l’agro-alimentaire

    Hier, Guillaume Garot présentait son rapport « Lutte contre le gaspillage alimentaire : propositions pour une politique publique » aux ministres de l’Environnement et de l’Agriculture. Réaction de FNE.

    On progresse sur le don, pas sur la réduction

    Guillaume Garot a annoncé sa mesure phare : obliger les grandes surfaces à ne pas refuser les demandes d’associations d’aide alimentaire en ce qui concerne le don de leurs invendus alimentaires. Si France Nature Environnement estime qu’il est scandaleux de jeter les invendus alimentaires et qu’il est nécessaire de mieux les distribuer, la fédération souhaite également que la politique de lutte contre le gaspillage alimentaire aille au-delà et s’intéresse aux manières de réduire les quantités d’invendus de la fourche à la fourchette c'est-à-dire en traitant les causes du gaspillage et pas uniquement ses effets.

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  • Renouveler les vieux schémas

    La politique ne se limite pas à gérer "au mieux" les conséquences sociales d'une économie libérale, c'est aussi savoir sortir des sentiers battus et proposer des solutions innovantes pour l'avenir.

    Si l'opposition au nucléaire date de plus de 30 ans, les "écolos" avec leur badge "non merci" illustré d'un soleil apparaissaient pour certains comme de doux rêveurs.

    Depuis lors, c'est le cauchemar du nucléaire qui est devenu une réalité : Tchernobyl, puis Fukushima. Et la réflexion a muri suite à ces catastrophes, en particulier au Japon. Ce pays qui était un des plus équipés en centrales nucléaires envisage une sortie totale du nucléaire, et a continué de fonctionné en fermant toutes ces centrales nucléaires.

    En France, un récent rapport de l'ADEME rend crédible une perspective d'une énergie 100 % renouvelable pour 2050, à condition de faire ce choix maintenant. Ce rapport s'appuie sur une utilisation optimisée de l'énergie, avec interconnections et stockage. Le coût estimé est à peine supérieur à celui du renouvellement des centrales nucléaires existantes, avec les dangers en moins.

    Ce rapport qui devait être rendu public est resté secret jusqu'à sa publication par le site Médiapart. (voir le rapport de l'ADEME)

    Voici ce qu'en dit le journal Politis

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  • Le CA du collège vote contre la proposition de répartition de la dotation horaire.

    Malgré la très récente  et brutale disparition du Proviseur, le Conseil d'Administration du Collège multi-site Vouziers Le Chesne s'est tenu en fin d'après-midi.

    Le CA devait notamment  se prononcer sur la répartition des moyens donnés par le ministère pour faire fonctionner les deux sites. Et les moyens mis à disposition ne permettent pas un fonctionnement correct de ces deux sites. La proposition de l'Administration était de regrouper les moyens sur le site de Vouziers, ce qui entraînait automatiquement la fermeture du site du Chesne.

    Cette proposition a été refusée avec 2 voix de majorité, mais le CA ne peut proposer une répartition différente, cette initiative étant réservée au chef d'établissement.

    Les textes législatifs et réglementaires prévoient dans ce cas la tenue d'un deuxième CA, avec une différence notable : si la proposition du chef d'établissement est à nouveau repoussée, elle s'applique malgré tout. Le code de l'Enseignement précise :" Le second vote du conseil doit intervenir dans un délai de dix jours suivant son premier vote. En cas de rejet de cette seconde proposition, le chef d'établissement, en qualité de représentant de l'État, arrête l'emploi des dotations en heures."

    La victoire de ce soir est donc un peu amère, et les manifestants qui s'étaient regroupés devant le lycée Masaryk ne criaient pas victoire.

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  • Hausse des condamnations à mort à cause d'une "lutte contre le terrorisme"

    Article d'Amnesty international

    On a recensé une hausse de près de 500 condamnations à mort en 2014 par rapport à 2013, principalement en raison du pic constaté en Égypte et au Nigeria, où les tribunaux ont prononcé des condamnations collectives dans un contexte de conflit interne et d’instabilité politique.

    Les pays symboliques de l'année 2014

    Le Pakistan a repris les exécutions au lendemain du terrible attentat perpétré par les talibans contre l’école de Peshawar. Sept personnes ont été exécutées en décembre. Le gouvernement a promis d’exécuter des centaines de personnes condamnées à mort pour des infractions liées au terrorisme. Les exécutions se sont poursuivies à un rythme soutenu en 2015.

    En Chine, les autorités ont recouru à la peine de mort dans le cadre de la campagne « Frapper fort » menée pour lutter contre les troubles qui secouent la région autonome ouïghoure du Xinjiang. Au moins 21 personnes ont été exécutées en 2014 en lien avec différents attentats, tandis que trois personnes ont été condamnées à mort lors d’un procès collectif qui s’est déroulé dans un stade, devant des milliers de spectateurs. 

    Dans des pays comme la Corée du Nord, l’Iran et l’Arabie saoudite, les gouvernements continuent de se servir de la peine de mort pour éliminer la dissidence politique.

    D’autres États ont fait usage des exécutions pour tenter de faire face de manière inappropriée aux taux de criminalité. En décembre, la Jordanie a repris les exécutions après une interruption de huit ans, et a mis à mort 11 hommes déclarés coupables de meurtre. Le gouvernement a fait savoir qu’il souhaitait ainsi juguler l’accroissement de la criminalité violente. En Indonésie, le gouvernement a annoncé qu’il prévoyait d’exécuter principalement des personnes condamnées pour des infractions à la législation sur les stupéfiants, afin de faire face à une « situation d’urgence nationale » - promesse qu’il a tenue en 2015.

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    La suite sur le site d'Amnesty Inernational

  • Fin de la trêve hivernale : la LDH attend de réelles mesures

    Communiqué LDH

     

    La trêve hivernale est finie, les expulsions commencent, avec pour conséquence la mise à la rue de familles sans aucune autre perspective que de dormir dehors, ou d’avoir recours au 115 qui sera dans l’incapacité de répondre, les centres d’hébergement d’urgence (CHU) ouverts pour la période hivernale fermant les uns après les autres.

    Pourtant madame Sylvia Pinel, ministre du Logement, a annoncé à la date du 24 mars 2015, devant les conséquences de ces fermetures de CHU : « Toutes les familles se verront proposer des solutions d’hébergement ou de logement »et« deux mille places seront pérennisées ou créées »,afin d’éviter toute remise à la rue à la fin de l’hiver.« Chaque personne hébergée bénéficiera également d’accompagnement social personnalisé et fera l’objet d’un suivi renforcé. »

    Ce que nous attendons du gouvernement, ce ne sont pas de belles intentions, mais de réelles mesures pour en finir avec ces drames humains pourtant prévisibles, indignes d’un Etat de droit.

    La Ligue des droits de l’Homme assure de son soutien toutes les personnes victimes d’expulsions sans relogement, et se déclare solidaire des luttes des mal-logés.

    Paris, le 2 avril 2015

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  • Projet de loi relatif au renseignement : l'analyse de LDH

    Le gouvernement a décidé de présenter au Parlement un projet de loi sur le renseignement.

    Ce projet a été présenté comme une nécessité à la suite des attaques terroristes du mois de janvier 2015. Il est destiné, selon le gouvernement, à renforcer les moyens de lutte contre le terrorisme tout en préservant les droits des citoyens.

    La LDH observe tout d’abord six points qui lui paraissent essentiels.

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