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social - Page 28

  • Le directeur de la DDCSPP des Ardennes menace les réfugiés : la suite ( et fin ?)

    Le courrier du directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations menaçant les réfugiés de sanctions illégales a suscité de nombreuses réactions. ( voir notre note du 6 avril).

    La section locale  de la Ligue des Droits de l'Homme de Charleville a rapidement réagi par un courrier de sa présidente. En voici le texte :

    ddcspp,ardennes,ldh,réfugiés,droits de l'homme

    Dans sa réponse le directeur départemental reconnait qu'il a du refaire une note afin de modifier les demandes illégales que contenait sa première version. Cette rectification clôt provisoirement cet épisode regrettable, il reste cependant à expliquer comment un tel courrier a pu être rédigé par un haut responsable de la préfecture des Ardennes. Vous trouverez ci-dessous la réponse faite à la présidente de la section LDH de Charleville.

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  • Covid-19 : l’urgence d’une protection des mineurs isolés

    Publié le 07.04.2020 par Amnesty International.

    Alors que la pandémie persiste, de nombreux mineurs isolés vivent une situation dramatique. Malgré les mesures prises par le gouvernement, ils continuent d’être laissés sans protection.

    Ensemble avec une centaine d’associations et de syndicats, nous avons interpellé le Premier Ministre pour demander une protection effective des mineurs isolés. L’épidémie de Covid-19 renforce immanquablement les risques rencontrés par ces jeunes dont l’état de santé est déjà fragilisé.

    En effet, les quelques mesures prises ces derniers jours et les recommandations adressées aux Conseils départementaux ne suffisent pas à préserver les enfants qui se trouvent à la rue lors des différentes étapes de leur parcours. En violation de la loi, certains départements continuent de leur refuser l’accueil provisoire d’urgence lorsqu’ils se présentent pour demander une protection. Des ordonnances de placements provisoires prises par les juges des enfants ne sont pas exécutées. Les enfants et adolescents dont la minorité a été contestée avant la crise se retrouvent contraints à survivre dans la rue, dans des campements ou des squats et exposés ainsi à tous les dangers.

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  • Sans logis : Le Conseil d’État rejette les demandes des associations attaquant les carences de l’État

    Communiqué commun

    Face aux carences de l’État dans la protection des personnes les plus précaires à la rue ou mal logées, neuf associations ont saisi en urgence le Conseil d’État.

    Le Conseil d’État a rejeté, jeudi 2 avril, la saisine de la Fédération nationale droit au logement, la Ligue des droits de l’Homme, l’association Élu/es contre les violences faites aux femmes, Utopia 56, Droits d’Urgence, le Gisti, l’Action chrétienne contre la torture et l’association KÂLÎ. Saisine qui a pu être faite grâce au précieux soutien du réseau interassociatif national qui œuvre quotidiennement sur le terrain afin que soient ordonnées en urgence les mesures indispensables à la protection des personnes les plus vulnérables.

    Cette requête visait notamment la réquisition des appartements en location meublée touristique et chambres d’hôtels vacants ainsi que la protection des personnels encadrant via l’accès à des masques, du gel hydroalcoolique, des gants et des blouses.

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  • Pas de dividendes en 2020 : Le dire c’est bien, le faire c’est mieux

     

    dividendes,actionnaires,aides aux entreprises

    Après la publication de notre lettre ouverte à Bruno Le Maire dimanche 29 mars, ce dernier a précisé lundi matin sur RMC les mesures qu’il comptait prendre sur le conditionnement de certaines aides de l’Etat au non-versement de dividendes. Malheureusement, le compte n’y est toujours pas : les entreprises pourront bénéficier de certaines mesures d’urgence et notamment du dispositif renforcé de chômage partiel tout en continuant de verser des dividendes à leurs actionnaires. Le gouvernement doit l’entendre : il n’est pas acceptable que l'Etat prenne en charge les salaires des entreprises et que celles-ci versent, quoi qu’il en coûte, des dividendes à leurs actionnaires ! La réponse économique ne peut pas socialiser les pertes et privatiser les profits.

    Ce n'est pas une question de trésorerie, comme l'explique le gouvernement, c'est avant tout une question de justice, de décence, de solidarité nationale. Pour les bas salaires ou les contrats précaires, perdre 16% de sa paie va poser de graves difficultés.

    Et au-delà du chômage partiel, la proposition de Bruno Le Maire de conditionner les aides n'est pas dissuasive car les entreprises peuvent continuer à verser des dividendes sans s'exposer à de lourdes peines. Dans le contexte de crise actuelle, les entreprises doivent dédier l'ensemble de leurs moyens à assurer une protection et une rémunération aux salariés, aux fournisseurs et investir dans un modèle plus résilient. Si Bruno Le Maire veut réellement accélérer la transformation de notre système économique pour le rendre « plus soucieux des inégalités et de l'environnement », des mesures de rupture sont indispensables.

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  • Face à la pandémie, retournons la « stratégie du choc » en déferlante de solidarité !

    logoblanc.pngPrès de 230 personnalités parmi lesquelles des médecins, infirmier.e.s., psychologues, réanimateurs, enseignant.e.s, comédien.ne.s, paysan.ne.s, artistes, chercheuses, scientifiques, musicien.ne.s, syndicalistes, éditrices, libraires appellent à s’auto-organiser face à la pandémie de Covid-19 et à rejoindre le réseau de solidarité COVID-ENTRAIDE FRANCE.

    Depuis une semaine la France est entrée dans une nouvelle réalité vertigineuse. Le Covid-19 n’est plus une « petite grippe », selon nos gouvernants, mais la « pire crise sanitaire depuis un siècle ». Un choc intime qui nous fait trembler pour nos proches et toutes les personnes particulièrement fragiles. Une secousse géopolitique qui fait s’effondrer la mondialisation néolibérale comme un château de cartes. 2019 avait été une année d’incendies ravageurs en Australie, Amazonie et ailleurs, et d’immenses soulèvements populaires. 2020 a d’ores et déjà les traits d’une paralysie totale, une crise systémique majeure.

    Cette pandémie achève de rendre irrespirable la vie dans un système politique et économique délirant, néfaste, mais surtout inutile au moment où un immense besoin de soin se fait sentir. Après être resté attentiste pendant un mois et demi, Emmanuel Macron a promis, pour ne pas perdre la face, que « l’État paiera […] quoi qu’il en coûte ». La « mobilisation générale » est décrétée. « Nous sommes en guerre », paraît-il, contre un « ennemi invisible ».

    Face à cette rhétorique militariste, nous affirmons une autre logique. À « l’union nationale » nous préférons l’entraide générale. À la guerre, nous opposons le soin, de nos proches jusqu’aux peuples du monde entier et au vivant. En France, comme dans les autres pays, nous allons tenir ensemble pour faire face à l’épidémie. Nous allons transformer l’isolement imposé en immense élan d’auto-organisation et de solidarité collective.

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  • Ensemble, marchons pour le climat et la justice sociale

    Les organisations ATTAC, CGT, Confédération Paysanne, FSU, Greenpeace, Les Amis de la Terre, Oxfam, Union Syndicale Solidaires appellent à participer massivement aux marches pour le climat le 14 mars prochain. Affiche-MOB-A4.jpg

    Jamais il n’a été aussi urgent d’affronter ensemble les crises sociales et écologiques. Les alertes des scientifiques se succèdent pour expliquer que nous sommes la dernière génération à pouvoir agir pour y faire face. Le climat et les enjeux sociaux figurent en tête des préoccupations de la population et le soutien aux mobilisations récentes pour les retraites et les services publics a été massif. Mais le gouvernement reste sourd adoptant une même logique : le refus de parler d’une autre répartition des richesses est justifié par une course sans fin à la croissance faisant fi de la situation écologique.

    Nous sommes pourtant convaincu·es que la résolution de ces crises réside dans une profonde remise en cause du système politique et économique actuel, que nous devons collectivement exiger du gouvernement de prendre les mesures nécessaires pour réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et les inégalités sociales.

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  • Femmes en scènes à Boult le 6 mars

    Pièce de théâtre jouée par Laurence Tartar-Fouchier, qui interprète Sophia, Palestinienne, chrétienne orthodoxe grecque, et dialogue avec Naïma (médecin et musulmane), Yaël (juive et commerçante), et Meriem, dsc00368.jpgMaronite (secrétaire, se préparant à devenir nonne). Nathan, le neveu de Sophia, est le trait d’union entre les 4 amies. Elles se voient tous les Jeudis, jour de l’étendage du linge, sur la terrasse de Sophia pour parler, rire, fumer, boire, lire la presse internationale..., en cachette de leur famille, et à l’abri des regards.
    Mais un jeudi après-midi tout bascule !


    La comédienne interprète une femme, Sophia. Les 4 autres personnages sont imaginés et rendus visibles au public par le texte. Les techniques du théâtre classique, de l’Actors studio et du seul en scène basé sur l’improvisation, le sketch et la technique théâtrale empruntée au théâtre de Nô, visent un travail sur les 4 éléments : la terre, le ciel, l’eau et le feu.

    Durée du spectacle : 1 h 30
    Mise en scène :
    Laurence Tartar Fouchier
    Vincent Mangado
    Assistante d’écriture, corrections et regard extérieur :
    Agnès Adeline.

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