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écologie - Page 241

  • La culture à Boult de bras

    A Boult aux Bois, on cultive de tout, c'est pratiquement dans les gènes, mais sans OGM, c'est culturellement incompatible.

    Ainsi ce dimanche chez Jacques Laloua on pouvait apprendre à faire de la confiture sans les mains et à récolter des légumes traditionnels sans pesticides.

    Dans le cadre du festival "sème la culture" les spectateurs ont eu droit à une présentation en trois temps.

    Et ce en plus des expositions, du marché bio et du repas collectif proposé aux visiteurs du village.

    Dans un premier temps, les élèves de l'école Taine de Vouziers ont présenté une pièce écrite par S. Machinet . Le thème est tiré de leur expérience de visite d'exploitations agricoles. Les petites scènes présentaient les animaux de la ferme avec un regard un peu particulier et plutôt humoristique. Ils se sont offert un beau succès auprès des spectateurs présents.

     

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    L'entracte, forcément culturel, permettait à J. Laloua de faire visiter son exploitation de maraîchage bio, qui fonctionne également en circuits courts (approvisionnement et livraisons des produits).

    Avec sa gouaille habituelle, il a su intéresser à cette journée les participants , que leur origine soit champêtre ou citadine.

     

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    Le troisième temps était réservé au spectacle "la tête en confiote". L'artiste a fait la démonstration qu'il était possible de confectionner de la confiture sans les mains. Puis elle s'est transformée en fildefériste pour démontrer qu'on pouvait marcher sur un cable sans tomber (ou presque).

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  • La banquise arctique disparaît

    Greenpeace qui mène une campagne pour sauver l'Artique commente les dernières évolutions connues.

    Il y a quelques jours, le NSIDC & la NASA délivraient des images impressionnantes de l’état actuel de la banquise arctique. À 4,1 millions de km2 la surface de la glace de mer n’avait jamais été aussi réduite… Mais le minimum de la banquise arctique n’était pas encore atteint : ce triste record battu, la banquise a continué de se rétracter, jusqu’à diminuer à une surface de 3.41 millions de km2 – soit une chute d’environ 45% depuis 1979 à la même période.

    La fonte de la banquise arctique est l’un des impacts les plus visibles des changements climatiques, avec des conséquences importantes non seulement pour les populations autochtones, la faune et la flore de cette région, mais également pour l’ensemble de la planète.

    La fonte des glaces durant l’été est un excellent indicateur du réchauffement climatique mais c’est aussi une véritable clé du phénomène.

    Le recul de la banquise ne peut plus être expliqué par la variabilité naturelle d’une année sur l’autre.
    Les modèles climatiques montrent plutôt que ce recul est lié au réchauffement climatique, particulièrement prononcé en Arctique. Les éléments de preuve attestant du réchauffement récent de l’Arctique comprennent: l’augmentation des températures enregistrées, la fonte des glaciers, des banquises et du permafrost, ainsi que l’augmentation du niveau des océans.

    GP0497A.jpgLes mesures précises, par satellites, de ces données ont débuté dans les années 1970 : ces données suggèrent que, durant cette période, la quantité de glace de mer dans l’Arctique a diminué d’environ 3% tous les dix ans, mais, de façon inquiétante, les scientifiques ont découvert que le taux de fonte a augmenté de manière significative ces dernières années.

    En moins d’une génération, nous avons changé l’apparence de la planète

    Et cette modification drastique de l’Arctique est exploitée par les compagnies pétrolières qui tentent désespérément de repousser des limites auparavant considérées comme infranchissables, trop risquées ou non rentables. Cette expansion effrénée touche désormais l’Arctique, où la fonte des glaces causée par les changements climatiques ouvre la voie à de vastes régions jusque-là préservées.

    D’après les estimations de l’agence américaine Minerals Management Service, les blocs de concession situés dans l’océan Arctique ou à proximité de l’Alaska ont une chance sur cinq d’être à l’origine d’une marée noire importante au cours de leur durée d’exploitation.

    Ainsi, plus le nombre de blocs exploités sera élevé, plus les risques de marée noire seront importants. Au cours des dernières années, les dangers liés aux icebergs ont augmenté car plusieurs grands glaciers du Groenland ont commencé à se désintégrer en raison des changements climatiques. Un immense bloc de glace, d’une superficie égale à quatre fois celle de Manhattan, s’est récemment détaché du glacier de Petermann. Il devrait dériver en direction du détroit de Nares, pour rejoindre ensuite la mer de Baffin et s’engouffrer dans le courant du Labrador. Il est probable que certains de ces icebergs soient trop gros pour être remorqués hors du passage des appareils de forage. En d’autres termes, les plateformes elles-mêmes devront être retirées à brève échéance.

    Mais les leçons ne semblent pas porter leurs fruits : si l’on part de l’hypothèse qu’un baril, après raffinage et combustion du pétrole, génère environ 300 kg de CO2, les réserves offshore extractibles de l’Arctique pourraient être à l’origine de l’émission de 27 milliards de tonnes de CO2 – un volume comparable à ce qu’émettent chaque année l’ensemble des pays de la planète.

    1,8 millions de personnes ont rejoint la campagne Save The Arctic – pour qu’enfin, cette zone exceptionnelle et précieuse devienne zone naturelle préservée. Il est temps de mettre fin à la course aux intérêts économiques et industriels en Arctique, car cette zone est cruciale pour l’ensemble des habitants de la planète !

    L’Arctique a besoin de nous. L’Arctique a besoin de vous.

    Je deviens défenseur de l'Artique

  • La Meuse a bien été polluée à Chooz par des rejets chimiques

    La Meuse a été l'objet d'un déversement d'eaux usées dont le pH a été mesuré à 1,5

    Un tel niveau correspond à une acidité très forte, incompatible avec toute forme de vie. Le volume déversé semble considérable, et la dilution du rejet par les eaux du fleuve n'a pu neutraliser l'effet que partiellement, sachant que le contact de l'acide sulfurique et de l'eau dégage une forte quantité de chaleur.

    Après étude des données, le réseau "Sortir du Nucléaire" a décidé de porter plainte contre EDF, d'autant que des négligences concernant la prévention et la limitation du rejet ont été mises en évidence par l'Autorité de Sureté Nucléaire.

    Voici la note reprise du site de Sortir du Nucléaire :

    Le 29 décembre 2011, l’exploitant de la centrale de Chooz B a détecté, au point de rejet en Meuse des eaux pluviales collectées sur le site, un pH anormalement faible. Après investigation, l’exploitant a identifié une fuite d’acide sulfurique vers le réseau d’eaux pluviales du circuit de traitement antitartre des tours aéroréfrigérantes. Le Réseau "Sortir du nucléaire" a porté plainte. Le site de Chooz regroupe les réacteurs de la centrale nucléaire dite Chooz B implantée dans les Ardennes, à la pointe nord du images?q=tbn:ANd9GcRrlgR3AQo-0DirAHs6wTlXK3nK6GJbdjyhGobVag0qiS_PPQvtdépartement. Le site se trouve à moins de 10 km de la Belgique. Exploitée par EDF, cette centrale est constituée de deux réacteurs à eau sous pression d’une puissance de 1450 MW. L’exploitant de la centrale de Chooz B a détecté le 29 décembre 2011, au point de rejet en Meuse des eaux pluviales collectées sur le site, un pH anormalement faible, de l’ordre de 1,5, alors que les prescriptions applicables à ce rejet précisent que le pH de ces effluents doit être compris entre 6 et 9. Après investigation, l’exploitant a identifié une fuite vers le réseau d’eaux pluviales du circuit de traitement antitartre à l’acide sulfurique des tours aéroréfrigérantes (TAR). Le rejet a vraisemblablement débuté le 6 décembre 2011 lors du redémarrage du réacteur n° 1 et des installations de traitement des TAR. Jusqu’à sa détection, l’exploitant estime le rejet d’acide sulfurique en Meuse entre 250 et 600 litres par jour ! Lors d’une inspection du 9 janvier 2012 pour examiner les circonstances et les conséquences de cet événement, l’ASN a constaté des négligences dans l’exploitation et la maintenance des équipements qui auraient pu permettre la prévention, la détection et la limitation du rejet... Le 28 août 2012, le Réseau "Sortir du nucléaire" a déposé une plainte pour pollution des eaux.

  • Un joli cap, on attend le navire !

    La FNE tire un bilan positif de la conférence environnementale, mais attend maintenant les mesures concrêtes de mise en oeuvre

     

    Aujourd'hui s'achève la conférence environnementale. Les engagements pris par le président de la République ainsi que par le Premier ministre marquent la volonté de ce gouvernement de s'engager sur la voie de la transition écologique. FNE attend maintenant de connaître, dans les détails, l'agenda et les moyens mis en face de chacune des annonces, seuls éléments qui permettront de mesurer correctement la valeur de ces engagements.

    Transition énergétique : de réelles avancées mais encore des zones d'ombre

    Le chantier annoncé pour la renovation thermique d'un million de logements est bien sûr une bonne nouvelle et reprend une de nos propositions. France Nature Environnement se réjouit également de l'annonce d'une date concernant la fermeture de la centrale de Fessenheim. Cette décision est la première pierre du volet « nucléaire » de la transition énergétique. Il convient maintenant de s'assurer que les différentes étapes conduisant à la fermeture de la centrale (notamment le volet social pour la reconversion des salariés, y compris les sous-traitants) seront inscrites dans un agenda pour éviter de voir ce quinquennat s'achever avec une centrale toujours en activité...Concernant les gaz de schiste, le rejet des demandes de permis est une bonne nouvelle même si, dans la mesure où la fracturation hydraulique est déjà interdite par la loi, ces permis avaient peu de chance d'aboutir. Le président de la République a définitivement enterré la fracturation hydraulique. Pour ce qui est de l'exploitation des gaz de schiste, il convient d'être prudent. Quid des permis de recherche en cours ? Du côté des énergies renouvelables, FNE accueille favorablement la décision de supprimer le dispositif ZDE, obstacle au développement de l'éolien en France. Malheureusement, ce n'est pas le seul baton dans les pales de l'éolien qui en compte un certain nombre que le gouvernement devra également supprimer.

     Biodiversité : une agence enfin...mais pas une coquille vide !

    L'annonce de la création d'une agence de la biodiversité est saluée par l'ensemble des ONG et par FNE en particulier. Sur le plantes_et_planete_2.pngmodèle de l'ADEME, elle viendra en aide aux entreprises, aux collectivités et aux associations. Nous attendons maintenant d'en savoir un peu plus sur ses prérogatives et ses moyens. Pour FNE, la limitation de l'artificialisation de nos territoires devra être une priorité de l'agence, au même titre que la mise en œuvre de la Stratégie Nationale pour la Biodiversité ainsi que de la Trame Verte et Bleue. Sur l'agriculture, seuls quelques engagements du Grenelle sont retenus.

     Santé : les ambitions sont encore trop modestes

    La suppression du bisphenol A dans les contenants alimentaires est une bonne chose mais dissimule mal le peu d'annonces faites dans le domaine de la santé. Dommage. Un engagement concernant la lutte contre la pollution de l'air en ville était attendue par plusieurs ONG. Alors que les impacts sanitaires du diesel sont de plus en plus dénoncés et que la France fait partie des mauvais élèves pour ce qui est de l'exclusion des véhicules les plus polluants de nos centre-villes, le gouvernement devra sérieusement accélérer s'il veut enfin être à la hauteur des attentes des Français en matière de risques sanitaires et environnementaux. Et ce n'est pas la création de véhicules parcourant cent kilomètres en n'utilisant que deux litres qui réglera le problème...

     La fiscalité, parent pauvre de cette conférence...

     Malheureusement, le verdissement de la fiscalité n'est pas encore devenu une priorité du gouvernement alors que le Premier ministre a rappelé dans son discours que, là encore, nous étions très en retard par rapport à nos voisins européens. FNE s'emploiera donc, de nouveau, à rappeler que le premier levier en matière de fiscalité est la suppression des niches fiscales défavorables à l'environnement.

     Des lettres de cadrage pour les ministres

     La bonne nouvelle concerne l'annonce par le Premier ministre de lettres de cadrage pour l'ensemble des ministères. Ainsi, même le ministère de la culture participera à la mise en œuvre de la transition écologique ! FNE est satisfaite de la prise en compte d'une demande formulée dans l'Appel des 3000, son cahier de propositions rédigé à l'occasion de l'élection présidentielle.

     Bruno Genty, président de FNE : « Arrivés assez inquiets, nous repartons avec quelques satisfactions et encore beaucoup d'interrogations. Qu'il s'agisse de la fermeture de Fessenheim, de la création d'une agence de la biodiversité ou encore de la réforme de la fiscalité, nous attendons avec impatience de connaître les détails de la mise en œuvre et les budgets alloués. L'ambition est là mais nous avons vécu trop de déconvenues par le passé pour nous laisser aller à un débordement de joie. Je reste inquiet sur le financement du dialogue environnemental même si je me réjouis de voir que le dialogue avec les autres parties prenantes a plutôt bien fonctionné lors de cette conférence environnementale».

  • Le 22 septembre à Boult : de l'art ou du cochon ?

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    Le programme de Boult aux Bois

     

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  • Centrale de Fessenheim : à quand la fin !

    Un incident récent a remis sous les projecteurs la plus vieille centrale nucléaire française en service.

    Cette centrale doit subir des travaux très importants pour garder l'autorisation de continuer son exploitation  L'Autorité de Sureté Nucléaire exige qu'un nouveau radier soit construit sous la centrale Actuellement, en cas de fusion du coeur, le risque de pollution de la nappe phréatique est majeur.

    Voici ce qu'en dit Greenpeace :

    " (...)La centrale de Fessenheim est la plus ancienne du parc nucléaire français, promise par le candidat Hollande à la fermeture d’ici à 2017. Sa construction a commencé en 1970 et elle a été mise en service en 1977, pour un fonctionnement prévu à l’origine d’une durée de 30 ans. Elle comporte deux réacteurs à eau pressurisée, d’une puissance de près de 900 mégawatts (MW) chacun. Le 25 avril dernier, elle a déjà été le théâtre d’un incident, un incendie. Il s’agissait d’un départ de feu sur l’alternateur du réacteur n°2 de la centrale.

    Fessenheim doit faire l’objet de travaux gigantesques

    Les travaux en question doivent être effectués par EDF avant juillet 2013 sans quoi l’ASN fermera le site640px-2010_06_04_Centrale_nucl%C3%A9aire_de_Fessenheim2.jpg pour des raisons de sûreté. Il s’agit notamment d’épaissir le radier, dalle de béton qui soutient le réacteur et qui est beaucoup plus mince à Fessenheim que sur les autres centrales françaises. Mais ces travaux ont un coût absolument prohibitif! Le sénateur du Haut-Rhin Jean-Marie Bockel, interrogé par l’AFP ce matin a évoqué des investissements de l’ordre de 200 millions d’euros. Alors qu’EDF les évalue à 20 millions d’Euros.
    Rappelons que lors de son audition par la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale début Juillet, Jacques Repussard, directeur général de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), a quant à lui expliqué que “si une pollution du Rhin survenait à la suite d’un accident à Fessenheim“, sans même parler de catastrophe avec des conséquences humaines, “le coût serait gigantesque pour le pays”.

    La question fondamentale qui se pose au regard de ces éléments est la suivante : allons-nous continuer à essayer de maintenir en vie une centrale manifestement dangereuse en dépensant des centaines de millions d’euros ou allons-nous enfin nous décider à fermer Fessenheim ?"

  • Le Manifeste négaWatt

      Voici une présentation du manifeste Negawatt, une des études les plus sérieuses qui popose une solution alternative à la crise de l'énergie

    Vous pouvez commmander l'ouvrage par ce lien

     

    Se chauffer, s’éclairer, se déplacer, faire fonctionner tous les appareils qui nous entourent : l’énergie est au cœur de nos vies à tel point que nous n’en percevons pas les limites et que nous vivons dans l’illusion d’un monde aux ressources infinies. Pourtant, la fin prévisible des réserves disponibles, les bouleversements climatiques, les catastrophes écologiques (Amoco Cadiz ou Tchernobyl hier, Deep Water Horizon et Fukushima aujourd’hui) sont autant de signaux d’alerte qui ne laissent plus la place au doute : il est nécessaire et urgent de changer notre manière de consommer et de produire l’énergie.

     

    Depuis plus de dix ans, vingt-cinq experts et praticiens de l’énergie (architectes, ingénieurs, Manifeste_Couv.jpgsociologues, économistes, responsables associatifs, ...) engagés dans la recherche d’un avenir énergétique durable ont mis en commun leurs connaissances pour élaborer et publier tout d’abord en 2003 puis en 2006 le « Scénario négaWatt », l’une des propositions les plus novatrices pour repenser la politique énergétique de la France.

     

    Nourri par une longue expérience de terrain, cet exercice prospectif se fonde sur une méthodologie rigoureuse qui s’appuie sur trois piliers fondamentaux : sobriété - efficacité - énergies renouvelables. Ce triptyque fondateur offre une grille de lecture simple et solide pour repenser notre rapport à nos propres besoins énergétiques.

     

    Revue en profondeur et complétée, la version 2011-2050 du Scénario négaWatt intègre les liens étroits du modèle énergétique avec l’urbanisme, l’alimentation et la mobilité. Il démontre qu’il est possible en France de diviser par 16 nos émissions de CO2 d’origine énergétique et d’éliminer presque complètement notre dépendance aux énergies fossiles d’ici 2050, tout en se passant totalement du nucléaire en à peine plus de deux décennies.

     

    S'adressant à tous ceux que l’avenir interpelle, du simple citoyen aux décideurs politiques etlogo-asso-nw.png économiques, le Manifeste négaWatt ne se contente pas d'expliquer de manière aussi pédagogique que possible la méthode et les résultats de cette nouvelle version du scénario. Après une description des enjeux et une analyse du contexte énergétique français, il détaille un ensemble cohérent de 10 mesures à prendre rapidement pour engager la France dans la voie de la transition énergétique, et en explicite les immenses bénéfices économiques et sociaux.

     

    Boussole pour l’action, guide méthodologique et pratique pour tous ceux qui souhaitent contribuer à l’élaboration d’un nouveau paysage énergétique soutenable et désirable, le Manifeste négaWatt est aussi un appel à oser résister aux conformismes et aux habitudes, et une invitation à s’engager, avec volonté et lucidité, dans la construction d’une société réconciliée avec elle-même et avec son environnement.

     

    Un engagement doublement souligné par la préface de Stéphane Hessel, qui soutient l’initiative négaWatt depuis ses débuts, et par la postface de l’expert américain Amory Lovins, inventeur du concept de « négawatt ».

     

    Cet ouvrage est le fruit du travail de la Compagnie des négaWatts, le cœur battant de notre association.