Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité vouzinoise - Page 177

  • Ardennes : Quel avenir pour les collèges ruraux ?

    Depuis l'échec de la tentative de fermetures de nombreux collèges dans les Ardennes en 2005, la situation paraît figée, mais évolue sournoisement.

    Selon la vieille tactique "diviser pour mieux régner", les fermetures s'effectuent petit à petit : c'est moins voyant et cela suscite moins de protestations.

    Il est bien plus facile d'agir au cas par cas, attendant qu'une situation locale pose problème pour décider une fermeture.

    Dans le Vouzinois, la solution des multi-sites a été maintenue jusqu'alors : il existe un collège Vouziers-Le Chesne et un autre Buzancy- Granpré.

    Il faudrait effectuer un bilan partagé de ce fonctionnement, en y associant enseignants, élus, parents d'élèves et représentants de l'Etat.

    Dans les cantons ruraux, l'importance du collège va au-delà de son rôle dans l'enseignement. Il est un repère pour le bassin de vie local, il reste souvent le dernier lieu de vie commun aux habitants.

    Benoit Huré déclarait récemment :"De toute façon il faudra d'une manière ou d'une autre réviser la carte des collèges, et je ne m'y opposerai pas. Mais aujourd'hui, pour moi, la balle est dans le camp du rectorat : je mets des collèges là où il met des profs, tout simplement. Moi, j'ai déjà donné…" C'était dans l'Union du mois de mars dernier.

    collèges,collèges ruraux,ardennes

    Un collège rural : celui du site de Vouziers (photo D.R.)

    Tout laisse entendre qu'une prochaine vague de fermeture se prépare. Elle toucherait le site de Le Chesne en premier , puis celui de Buzancy.

    Les personnes concernées seront-elles entendues, les conseillers généraux du secteur vont-ils prendre une position commune ? Dans ce domaine comme partout, il ne faut pas attendre la prise de décision pour se préparer à réagir de manière coordonnée.

    Voici un communiqué du groupe local d'EE Les Verts sur ce sujet :

    Haro sur le collège multisite Grandpré-Buzancy !
    Fermeture en 2013 ?
    En l’an 2000, tous les « usagers » (parents, élèves, enseignants et élus locaux) avaient accepté la solution du multisite, présentée par le Conseil Général et l’Inspection académique, comme la meilleure des solutions afin d’éviter des fermetures.
    Le Conseil Général s’engageant par voie orale devant près de 300 témoins à assurer l’entretien des locaux dans ces collèges, ainsi que les transports intersites.
    Depuis, dans l’intérêt des élèves et du tissu social de chaque canton, l’entente cordiale est de mise entre Grandpré et Buzancy.
    Le point d’orgue de cette entente fut notamment la mobilisation générale déclarée le 15 décembre 2005 après l’annonce de fermeture du site de Grandpré.
    Nous voilà en 2012, et alors que le collège multisite Grandpré Buzancy est cité en exemple au niveau des résultats scolaires obtenus au Diplôme National du Brevet, les événements récents ne nous rassurent pas quant aux perspectives à venir, puisque :
    Le DASEN (Directeur Académique des Services de l’Education Nationale) a visité les deux sites (Buzancy et Grandpré) le 3 octobre dernier sans que ni les parents, ni l’équipe éducative n’en soient informés.
    Simple visite de courtoisie ? Inutile d’y croire, sachant qu’à Le Chesne, le DASEN a fermement annoncé devant une partie de l’équipe éducative, la fermeture du site du Chesne pour 2013 ou 2014 au plus tard.
    Le 16 octobre : le nouveau Sous-Préfet de Vouziers, lors de sa présentation face aux élus du canton de Buzancy, annonce qu’il a rencontré le DASEN la veille, et que ce dernier a pointé du doigt les quatre collèges multisites restants dans notre département.
    Le 18 octobre lors du CA du collège : les voix de Mme Arnould (CG de Grandpré) et de M. Signoret (Maire de Grandpré et Président de la 2C2A) furent étrangement discordantes sur le sujet.
    D’après Mme Arnould, il ne s’agit là que de rumeurs, le président du CG08, M. Huré, ayant affirmé qu’il ne toucherait pas aux collèges multisites.
    M. Signoret quant à lui, démocrate reconnu de son état et n’ayant pas de fonctions électives au CG, affirma que les économies dans le département des Ardennes étaient la priorité, et que le transport coûte cher au CG.
    Ce même M. Signoret, jamais avare de phrases toutes faites, se permettant d’ajouter au passage : « nous devons en finir avec les guerres de clochers ». De quelle guerre parle-t-il ?
    Notre analyse des faits est la suivante :
    - le DASEN est venu inspecter des sites, propriétés du conseil général, sans en tenir informés l’ensemble des conseils généraux concernés,
    - Monsieur le Sous-Préfet a fait part en toute transparence de sa conversation avec le DASEN et de la menace pesant sur deux sites, conseillant au DASEN de rencontrer les élus concernés pour entamer le dialogue,
    - les élus au CA du collège semblent ne pas être sur la même longueur d’onde en termes de communication.
    Ce qui sent la fumée laisse présager le feu, et vues les circonstances, nous voulons tirer dès aujourd’hui la sonnette d’alarme !
    Nous invitons donc le DASEN dans un mouvement citoyen et démocrate, à organiser une réunion publique avec les élus, les parents d’élèves et les personnes concernées par cette question.
    Il est temps d’avoir des garanties écrites sur la pérennité de la structure multisite Grandpré-Buzancy.
    Les citoyens ne doivent pas payer les erreurs de mauvais gestionnaires ! Arrêtons de flouer notre population et notre monde rural !
    Que vive le service public !
    Pour le Comité local EELV Sedan Vouziers
    Pierre POTRON, et Brice POTIER,

  • Vouziers : le palmares des maisons fleuries 2012

    Ce soir, les Vouzinois et Vouzinoises remarqués pour le fleurissement de leur habitation étaient récompensés par la municipalité

    Beaucoup d'habitués étaient présents, car on ne s'improvise pas si facilement jardinier. A près un mot de remerciement du Maire, Françoise Busquet, l'adjointe en charge de ce dossier a présenté les résultats. Elle a souligné que la météo de juillet très pluvieuse avait compliqué la tâche des jardiniers et celle du jury chargé des notations

    Voici la liste des personnes récompensées par le jury :

    1 Fleur

    Catégorie 1 : maisons avec jardin donnant sur rue

     

    Mr ANDRE Hubert

    15, rue de Sainte Marie

    Mr et Mme BARDIAUX Nicolas

    12, Grande Rue

    Mr et Mme BARTOS Paul

    2, rue de Théline

    Mr et Mme BRIOUX Guy

    166, rue Bournizet

    Mr et Mme CABADET Denis

    10, CourAllendé

    Mr et Mme DECOSTER Gérard

    3, rue Roland Garros

    Mr et Mme HARDY Jimes

    15, avenue Charles de Gaulle

    Mr et Mme HAUDECOEUR Daniel

    8, rue Jean Moulin

    Mr et Mme LE GOIC Gérard

    1 , rue de Sainte Marie

    Mr et Mme LOIX Régis

    168, rue Bournizet

    Mr et Mme MATTENET Claude

    4, rue de Théline

    Mr et Mme MEILHAN Pierre

    25, avenue Charles de Gaulle

    Mr et Mme MENECIERE Jean-Luc

    18, rue du Blanc Mont

    Mr et Mme MUGUET André

    5, rue Paul Verlaine

    Mr et Mme NOËL Claude

    6, rue du Nan

    Mr et Mme PIERRE Gilles

    7, rue de Syrienne

    Mr et Mme PONCET Robert

    1, rue du Blanc Mont

    Mr et Mme VIOT Jacky

    62, rue des Marizys

     

    Catéaorie 2 : façades

    Mr et Mme BERTIN Gérard

    37, rue des Marizys

    Mr et Mme RENAUDIN Pierre

    43, rue des Marizys

     

     

     Catégorie 3 : Balcons

     Mr et Mme NOTHUM Patrick 14, rue des Bocquetiers

     

    Mme TOUSSAINT Andrée 12,rue des Bocquetiers

     

    Maisons fleuries a.JPG


     


    2 Fleurs

    Catégorie 1 : maisons avec jardin donnant sur rue

     

     Mr et Mme BUIRON Denis 162, rue Bournizet

    Mme CHARLIER Josée 33, rue des Poilus

    Mr et Mme COLIN René 16, rue du Champ Maquet

    Mr et Mme DAPPE François 4, rue des Boeufs

    Mr et Mme DEFORGE Maurice 62, rue de Condé

    Mme DEPUISET Jeannine 30, rue des Poilus

    Mr et Mme DUPUY René 3, rue des Marizys

    Mr et Mme FONTAINE Claude 3 rue des Dalhias

    Mr et Mme GALLET Roger 4 rue de l'Aisne

    Mme GIRAUDO Pasqualina 4, rue du Petit Châtelet

    Mr et Mme HOTTIN Jean-Claude 3,rue des Chrysanthèmes

    Mr et Mme LARMOYER Charles 1,rue des Giroflées

    Mr et MmeLELOUP Joël 4,rue Jean Jaurès

    Mr et Mme LEROUX Roland 20, rue Verte

    Mr et Mme MARTIN Bruno 34,grande Rue

    Mr et Mme POLICE Daniel 54, rue de Condé

    Mme RONSIN Gisèle 11, rue de Richecourt - Blaise

    Mr et Mme SERVAIS Lionel 2,rue Arthur Rimbaud

    Mr et Mme THIERY Daniel 38, rue Verte

    Mr et Mme TOMASIK Jean-Claude 35,avenue Charles de Gaulle

    Mr et Mme WAGNER Michel 6, rue des Boeufs

    Mr et Mme WIRTZ Jackie 34, rue Verte

     

     

     Catégorie 3 : Balcons

     

    Mr CHENIN Daniel 82, rue Désiré Guelliot

    Mme PONSART Mathilde 6, rue Verte

    Mr et Mme POTRON Renaud 51, rue Désiré Guelliot

    Mme VOLUER Josiane 8, rue Verte

     

    Maisons fleuries c.JPG


     

     

     3 Fleurs

     

     Catégorie 1 : maisons avec Iardin donnant sur rue

     

    Mr et Mme ALBAUD Guy 16, Cour Allende

    Mme BIDET Michèle 4, rue de l'Industrie

    Mr DEPUISET Fabrice et Mme CACHIER Isabelle 9, rue Galliéni

    Mr et Mme DUHAMEL Louis 1, rue des Campanules

    Mr et Mme GEANGOULT Hubert 4, Cour Gràfenroda

    Mme GEROMETTA Geneviève 63, Avenue C. de Gaulle

    Mr et Mme GUIBERT Madeleine 18, rue d'Argonne

    Mr HALTER Hervé et Mme BERTRAND Maryline 56, rue de Condé

    Mr et Mme LEBRUN René 3, rue des Giroflées

    Mr et Mme MAILLARD Roger 23, rue de l'Aisne

    Mr et Mme MAINGAINT Marcel 2,rue des Giroflées

    Mr et Mme MANSART Thierry 112, rue Gambetta

    Mr et Mme MARQUE Claude 97, rue Bournizet

    Mr et Mme MARTINY Michel 9, rue Claude Phé

    Mr et Mme MAUVAIS Michel 3, rue de Théline

    Mme PAILLARD Madeleine 6, rue des Giroflées

    Mr et Mme PELZER Bernard 17, rue des Poilus

    Mr et Mme PERRIN Raoul 22, rue des Poilus

    Mr et Mme PIEKAREK Patrice 52, rue de Condé

    Mme PIERROT Muriel 104, rue Gambetta

    Mme PRUVOST Charles 6, rue de Syrienne

    Mr et Mme SOGNY Jean-Luc 3,rue de Ballay

    Mr SOIDEZ Jean-Jacques et Mme CREUWELS Josiane 2, rue des Bocquetiers

    Mr et Mme THEODORE Robert 2, rue Jean Moulin

    Mr et Mme VAEREWYCK Jean-Pierre 4,rue Paul Verlaine

    Mme WARIN Marie-Thérèse 6, rue Malval

     

     Catégorie 2 : façades

    Mr et Mme DUGENIE Robert 4, rue Etienne Valeur

    Mr et Mme POZIER Pol 7, rue Claude Phé

     

    Maisons fleuries b.JPG




    4 Fleurs

     

    Catégorie 1 : maisons avec jardin donnant sur rue

     

     

    Mr et Mme BALTAZART Gérard 4, ruelle de Théline - Biaise

    Mr et Mme COTTON Jean 2, Allée des Hameaux du Blanc Mont

     M et Mme HEREN Pierre 19, rue Roland Garros

     Mr et Mme MENART Marc 2, rue du Grand Châtelet

    Mr et Mme PAYOT Robert 13, rue Verte

    Mme ROUY Nicole 2, rue des Campanules

     Catégorie 2 : Façades

     

    Mme BESANÇON Jocelyne 9, rue de Condé

     

    Maisons fleuries d.JPG

    La fontaine Saint-Maurille fleurie par les services de la Ville


  • GHSA : des annonces alarmantes.

    Le GHSA, Groupe Hospitalier Sud Ardennes, regroupe deux sites qui sont les anciens Centres Hospitaliers de Vouziers et Rethel.

    Une fusion pour rien

    La fusion imposée de ces deux établissements devait amener des synergies et générer des économies d'échelle. Le bilan montre une réalité beaucoup plus sombre, avec la fermeture de services (dont lesLogo_ghsa.gif deux maternités), une absence de complémentarité, et des difficultés financières croissantes.

    Dans les deux arrondissements on compte plus de 55.000 habitants, un bassin de vie qui semble suffisant pour justifier l'existence de services hospitaliers de base. Mais le contexte social et géographique, les choix politiques, et surtout la manière avec laquelle cette fusion s'est réalisée n'ont donné aucun résultat positif.

    Le site de Vouziers périclite sans chirurgie et sans maternité, avec un secteur d'hébergement de personnes âgées qui se trouve dans un état déplorable.

    Le site de Rethel vit quelques années plus tard la même descente, avec en plus des problèmes financiers majeurs. Le site traîne un déficit ancien, les choix politiques nationaux et des erreurs de gestion locale l'ont aggravé.

    Un conseil qui marque un nouvel échec

    Ce mercredi 24 octobre, s'est tenu un conseil de surveillance, instance statutaire de l'établissement. Il succède au conseil d'administration qui existait au sein des centres hospitaliers, mais le conseil n'a aucun pouvoir décisionnel.

    Ce conseil recevait le directeur de l'Agence Régionale de Santé (A.R.S.) et était élargi à l'occasion aux élus du secteur.

    Le directeur de l'ARS a annoncé la fin de la mission du directeur actuel Celui avait été nommé il y a 18 mois pour sortir l'hôpital de ses difficultés (voir notre note ). Ce départ précipité marque de l'échec de sa mission, puisque le déficit financier s'est aggravé et que la situation interne ne s'améliore pas . En particulier l'activité chirurgicale reste insuffisante pour de multiples raisons.

    Deux directeurs intérimaires vont arriver dès novembre, mais n'auront le réel pouvoir. Deux inspecteurs de l'IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) vont être détachés sur le GHSA. Les tutelles nationales et régionales vont donc préparer les décisions à venir, pendant que les directeurs se chargeront des affaires  courantes.

    Dans six mois les choix seront validés et les restructurations débuteront.

    Une situation financière catastrophique

    Le site de Rethel connaît des difficultés budgétaires depuis des années. Les choix récents (en particulier la construction d'un nouveau bloc chirurgical) ont encore plus déséquilibré les finances.

    images?q=tbn:ANd9GcQEg6cPCq3mpZw_U1K29Z8WjfOo07v2ZWnuEO88L9uhvQa9QUgSTwOn arrive  maintenant à  une situation de cessation de payement. L'ARS va devoir combler une partie du déficit sur ses propres fonds. C'est cette situation qui fait que l'établissement n'est plus en mesure de négocier en face de l'ARS qui va imposer ses choix.

    Le trou se compte en millions d'euros sachant qu'à lui seul le bloc a coûté 6 millions . Au total le déficit atteint au minimum 9 millions. Il est possible de contester ce chiffre et de condamner à nouveau les choix qui ont été faits, mais en bas des livres de comptes c'est bien cette somme qui apparaît.

    Des investissements sont encore nécessaires (sécurité incendie à Rethel en particulier) et dans le contexte actuel aucun espoir de relance forte de l'activité ne semble crédible.

    Et Vouziers dans tout cela?

    Le site de Vouziers n'était pas le siège d'une situation financière difficile. Il a subi une baisse d'activité suite aux fermetures de services (maternité, chirurgie, réanimation), et a vécu difficilement la fusion avec Rethel.

    Le déficit est maintenant dans le pot commun, et plombe les projets locaux.

    Vouziers attend depuis de longues années la construction d'un nouvel EHPAD (Établissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes).

    La situation actuelle va compliquer ce dossier :

    Comment monter un projet sans véritable équipe de direction ?

    Comment financer la construction si l'établissement n'a plus de fonds propres et n'est plus en capacité d'emprunter ?

    Alors qu'ORPEA, opérateur privé finalise la construction de son EHPAP à Vouziers, l'établissement public n'a ni  projet architectural  disponible,  ni plan de financement crédible.

    Ce qui ne peut paraître n'être "que" des aberrations de gestion et de choix politiques aboutit à ce que des personnes âgées vivent leurs derniers jours dans des chambres communes indignes du respect qu'on leur doit.

    6017828732_c6325286c2.jpg

    L'EHPAD "Les Tilleuls" de Vouziers (Photo D.R.)

  • Prochaine séance du conseil municipal de Vouziers

    Le conseil municipal de Vouziers se réunira le mardi 23 octobre 2012 à 19 h 15 dans la grande salle de l'hôtel de ville.


    CM a.JPG


    Ordre du jour :

    Adoption du compte rendu du 10 juillet 2012.   
    Adoption du compte rendu du 31 juillet 2012.

    Affaires financières :

    1. Demandes de subvention ;
    2. Admission en non valeur ;
    3. Ligne de trésorerie ;
    4. Décision modification n°3 : Budget Ville ;
    5. Décision modification n°1 : Budget Assainissement ;
    6. Convention de règlement des comptes entre le SIVOM et la Ville de Vouziers (2ème acompte) ;
    7. Frais de représentation ;
    8. Palmarès des maisons fleuries ;
    9. Assurance dommages aux biens – Avenant n°1.


    Urbanisme et Marchés Publics :

    1. Avenant n°4 : Marché Petite Enfance. Lot 5 : menuiseries intérieures et lot 7 : chaufferie - plomberie ;
    2. Avenant n°1 : Travaux d’aménagement du Champ de Foire.

     

    Affaires de Personnel :

    1. Modification du tableau des effectifs ;
    2. Délibération pour le maintien des indemnités pour les non titulaires sur poste permanent en cas de maladie ;
    3. Création des postes d’emplois aidés.

     

    Affaires Générales :

    1. Remboursement des frais d’exécution d’un mandat spécial : déplacement à Ratiskovice (octobre 2012) ;
    2. Désignation de représentants du conseil municipal pour siéger à la Commission Locale d’Évaluation des Charges Transférées (CLECT) ;
    3. Adoption des statuts de la 2C2A à l’occasion de la prise de compétence SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale).

     

    Pour les quelques uns qui ne pratiquent le SCOT couramment voici ce qu'en dit Wikipedia :

    En France, le schéma de cohérence territoriale ou SCoT est un document d'urbanisme qui détermine, à l’échelle de plusieurs communes ou groupements de communes, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles notamment en matière d'urbanisme, d'habitat, de déplacements et d'équipements commerciaux, dans un environnement préservé et valorisé. Il a été instauré par la loi SRU du 13 décembre 2000 . Le code de l'urbanisme fixe le régime des SCoT aux articles L.121-1 et suivants.


  • Inscription aux restos du coeur à Vouziers

    RESTOS DU COEUR
    CAMPAGNE 2012-2013

    Inscriptions les 25 et 26 octobre 2012
    au CPR, rue de l'Agriculture à Vouziers
    de 9h à 11h30 et de 13h30 à 17h

     

    Jeudi 25 pour les habitants de Vouziers
    Vendredi 26 pour les habitants extérieurs de Vouziers

     

     IMPORTANT
    Toute personne non inscrite ne pourra être servie
    à la première distribution du 23 novembre.

    2012_10_25_Resros_du_coeur.jpg


  • Quels services ? pour quel public ?

    La section de Vouziers de la Ligue des Droits de l'Homme organisait hier une conférence débat sur ce sujet à la salle du CPR.

    Les participants au nombre d'une cinquantaine, venaient du Vouzinois, mais pour certains  de secteurs plus éloignés du département ou de la Région.

    Gérard Aschieri et Patrick Tassin étaient les deux invités de cette soirée, nous vous les avons présentésservices publics,vouziers,LDH dans une note précédente.

    Ils ont à tour de rôle fait une courte présentation du problème, s'appuyant sur leur expérience en ce domaine. Nous ne reprendrons pas toute leur argumentation, voici un extrait de l'avis du CESE, dont G Aschieri est membre :

    "Le Conseil économique et social propose de recourir désormais à la notion plus large de services au public, considérés comme l’ensemble des services indispensables à la vie des populations et des territoires.
    Cette notion englobe les services publics marchands et non marchands, qui remplissent une mission de service public définie par la puissance publique, et les services privés, jugés comme de première nécessité (activités artisanales et commerciales de proximité, services médicaux, associatifs ...).
    La ligne de partage entre les différentes catégories n’est pas immuable mais dépend de la rencontre à un moment donné entre les besoins exprimés et les choix politiques faits.

    (...)

    L’approche par la demande doit être privilégiée.
    Elle permet de mieux cerner les besoins nouveaux. Elle doit être combinée avec une approche par l’offre pour favoriser la cohérence d’ensemble. Dans tous les cas, il convient d’établir un diagnostic partagé.
    Les besoins doivent être déterminés de façon globale, par grande fonction, en tenant compte de la
    diversité des territoires et avec une vision prospective.

    (..)

    En conclusion, le CES estime que, si le service rendu prime sur le statut juridique, il importe que la puissance publique en conserve la maîtrise. L’Etat doit demeurer le garant de l’intérêt général."

    De l'introduction des deux orateurs, on retiendra la notion de services répondant aux besoin fondamentaux des populations, et qu'en ce sens la notion d'équité l'emporte sur celle de rentabilité.

    L'actualité plus ou moins récente du Vouzinois et du département ne pouvait que faire venir de nombreuses réflexions et interrogations des participants dans la salle.

    On n'est pas resté au simple constat de la diminution ( voire disparition)des services publics, pour se services publics,vouziers,LDHposer des questions difficiles :

    L'égalité des territoires doit-elle se concevoir comme totale ? (le très haut débit pour tous ?)

    Un service public qui disparaît dans un canton dépeuplé, c'est  beaucoup plus qu'un départ, c'est parfois le dernier lien entre les hommes qui disparaît.

    Le service public à la française est-il compatible avec l'Europe ?

    Le service public peut-il se concevoir sans aborder la question de son financement ? ( vive l'impôt redistributeur).

    Quelles relations sont possibles entre le service public et les services privés qui s'occupent du service au public dans le même domaine ?

    Il y a eu, si ce n'est une réponse définitive, au moins des réponses partielles à toutes ces questions.  Avec un sentiment partagé :c'est un choix politique qui permettra ou non le maintien de services publics forts, choix d'aménagement du territoire dans sa diversité et choix de financement prioritaire des besoins de base des populations urbaines et rurales.