Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Nous exigeons l’ouverture de voies légales et effectives d’accès à la France pour la protection des Afghanes et Afghans victimes de persécutions

    Communiqué commun signé par : Association pour le droit des étrangers (ADDE), La Cimade, Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti), Ligue des droits de l’Homme (LDH), Syndicat des avocats de France, Syndicat de la magistrature.

     

    Les propos d’Emmanuel Macron appelant à «  anticiper et nous protéger contre des flux migratoires irréguliers importants » après la chute de Kaboul entre les mains des Talibans sont indignes de la tradition française de l’accueil et de l’asile.

    Indigne comme l’abandon des Afghanes et Afghans qui ont servi comme personnel civil de l’armée française de 2001 à 2014, accueillis au compte-gouttes par la France malgré les déclarations et promesses de François Hollande et d’Emmanuel Macron et à qui la France refusait encore il y a quelques semaines la délivrance de visas malgré leurs cris d’alerte. Indigne comme les atermoiements pendant des années pour accorder des visas aux milliers de membres de familles des Afghanes et Afghans à qui la France a accordé la protection. Indigne comme le harcèlement par la police dont sont victimes les exilé-e-s afghan-e-s dans les rues de nos villes. Indigne comme les campements de la honte régulièrement détruits par les forces de l’ordre. Indigne comme les renvois forcés de plus de 6000 Afghans par la France entre 2004 et 2020.

    Lire la suite

  • SOS Stocamine – Héritage empoisonné !

    Article publié le 16.08 sur le site de Bure 

    Stocamine, c’est :

    - 42 000 tonnes de déchets ultimes contenant de l’arsenic, du cyanure, des pesticides et probablement des déchets radioactifs.
    - une réelle menace pour la nappe phréatique qui alimente des millions de personnes en Alsace, en Allemagne et en Suisse. Les études montrent qu’elle sera gravement polluée d’ici 70 à 300 ans.
    - un passage en force de la ministre de l’écologie pour sceller la mine plutôt que d’extraire les déchets afin de les traiter en surface ! La plupart des élu.e.s alsacien.ne.s étant opposé.e.s à l’enfouissement définitif.
    - une urgence de se mobiliser car tout est en place pour le bétonnage en septembre !

    Pour ça, RDV aux rayonnantes à Bure lundi 23 août à 10h pour en savoir plus ! 

    Dans le sud de l’Alsace, à Wittelsheim près de Mulhouse, 44000 tonnes de déchets toxiques ont été enfouis à la fin des années 90 dans le site Stocamine. Les industriels ont creusé de nouvelles galeries sous les cavités des anciennes mines de potasse d’Alsace afin de se débarrasser de déchets ultimes contenant de l’arsenic, du cyanure, du mercure, des pesticides… Certains contiendraient même probablement des déchets radioactifs d’après Cécile Germain-Ecuer, élue à la Région Grand Est. Cet enfouissement était censé être provisoire. En effet, le préfet du Haut-Rhin, en 1997, avait signé un arrêté stipulant que « l’autorisation est accordée pour une durée maximale de 30 ans et qu’à l’expiration de cette durée, les déchets doivent être retirés ».

    Lire la suite

  • Mais c'était cui celui-là ?

    Voici les réponses à notre série de clichés à identifier. Certains oiseaux étaient faciles à reconnaître, d'autres plus ardus à nommer. Sauf mention complémentaire, tous ces photos ont été prises dans le même jardin à Vouziers. Bravo à Karine qui a validé 4 bonnes réponses sur 4.

    1219440146.jpg

    Choucas des tours 

    2852925403.jpg

    Étourneau sansonnet

    275202372.jpg

    Pic épeiche

    2446892305.jpg

    Rougequeue noir

    293327469.jpg

    Héron cendré, près du Chesne.

    1109238854.jpg

    Gobemouche gris

    3975958617.jpg

    Chardonneret élégant

    2424545245.jpg

    Linotte mélodieuse

    3544109694.jpg

    Fauvette à tête noire (femelle)

    2506961454.jpg

    Mésange bleue

    2268570277.jpg

    Corbeau freux

    136024866.jpg

    Mésange charbonnière

    287639872.jpg

    Pinson des arbres

    2275597326.jpg

    Pic vert

    2023736532.jpg

    Cigogne blanche ( au-dessus du canal, entre Terron et Voncq)

    909730710.jpg

    Geai des chênes

    2560484807.jpg

    Grues cendrées ( près de la gare de Voncq)

    1704116898.jpg

    Troglodyte mignon

    2125975821.jpg

    Grande aigrette ( Marais de Germont)

    4294440330.jpg

    Accenteur mouchet

     

  • Festival Chéri 2021

    Ce Samedi 14 Août 2021, l'Association Bronca et l'Association des Amis de l'Abbaye ont présenté en première mondiale l'édition #1 du Festival Chéri !

    L'association Bronca a convié 15 artistes à venir travailler ensemble sur le thème du Pacte d’Amour, reprenant l’autre nom de la charte dite de Charité des moines cisterciens qui ont fondé l’Abbaye en 1147. Le Pacte d’Amour signe la cohérence qu’il y a à marier les arts, désigne notre engagement à aimer, à protéger et à transmettre.

    Les 15 artistes sont tous déjà venus en visite et en repérage à l’abbaye. Ils y ont été accueillis par les propriétaires et la toute jeune association des amis de Chéhéry. Ils ont pu s’imprégner de ce monument inscrit et du parc qui l’entoure. Nous avons longuement échangé sur le Pacte d’Amour, et le lien évident qui lie cette thématique à leurs travaux et aux axes de recherche qu’il ouvre.

    À l’occasion de la résidence, Crée-moi Chéri.e , du 6 au 13 août 2021 à l'Abbaye, chacun des artistes sera amené à créer 7 formes brèves de 5 à 15min. Qu’il s’agisse d’adapter un travail ou de créer dans la rencontre de l’autre, chacun a déjà fourni un ensemble de pistes de recherche ou sait déjà ce qu’il mettra en œuvre durant la résidence. Ces créations seront mises en scène et articulées en déambulation dans et autour de l’Abbaye et chaque œuvre brève donnera le relais à la suivante. Nous avons pour ambition de créer ainsi une flânerie artistique à l’Abbaye de 11h00 à 19h00. Ainsi lors de la générale du 13 août et du Festival Chéri qui suivra la résidence, les spectateurs découvriront les œuvres et les artistes en flânant dans les 3 hectares de l’Abbaye.

    Cette présentation est tirée du site de l'Abbaye de Chéhéry

    Voici des clichés de cette journée qui a connu un beau succès public.

    Lire la suite

  • Soutien aux prisonniers politiques marocains Omar Radi et Soulaiman Raissouni, à leurs familles et ami·es

    Publié le 6 août par Myriam Bourgy , Pauline Imbach sur le site du CATDM

    Le monde semble découvrir à travers « Pegasus », le logiciel israélien au cœur d’un des plus graves scandales d’espionnage de la décennie, que le pouvoir marocain bafoue allégrement les droits humains, la liberté d’expression ou celle de la presse.

    Aujourd’hui pourtant, ces droits n’existent plus au Maroc. Si les journalistes Omar Radi, surveillé par Pégasus, et Soulaiman Raissouni sont en prison, c’est justement parce qu’ils ont vu et dénoncé le durcissement autoritaire de leur pays. Ils ont refusé, comme de nombreux journalistes marocains, de se soumettre et de se taire. Le dossier Pegasus prouve qu’Omar et Soulaiman sont des lanceurs d’alerte et que leur combat dépasse largement les frontières du Maroc.

    Omar Radi est notre ami. Nous nous sommes rencontrés en 2007 et avons travaillé ensemble au sein du réseau international CADTM (Comité pour l’abolition des dettes illégitimes). Journaliste d’investigation, voix critique que le pouvoir marocain veut faire taire à tout prix, il a été condamné lundi 19 juillet 2021 à 6 ans de prison ferme au terme d’une parodie de procès. Nous ne connaissons pas personnellement Soulaiman Raissouni, le rédacteur en chef du quotidien « Akhbar Al Yaoum ». Emprisonné depuis mai 2020, codétenu d’Omar Radi, Soulaiman a été condamné à 5 ans de prison ferme à l’issue d’un procès inéquitable. C’est au fil de sa détention qu’il est devenu, en quelque sorte, notre ami. Comme Omar, nous pensons à lui quotidiennement, nous nous inquiétons de son état de santé et avons peur aujourd’hui pour sa vie. Après 11 mois de détention préventive, Soulaiman a démarré le 8 avril dernier, une grève de la faim illimitée.

    Lire la suite

  • Amazonie : nouveaux chiffres alarmants de la déforestation

    Publié le 6 août 2021 par Greenpeace

    L’Institut brésilien de recherche spatiale (INPE) vient de publier les résultats de son système de calcul DETER. Il a enregistré en Amazonie brésilienne le deuxième plus haut taux de déforestation annuelle depuis 2015. Sur l’année qui vient de s’écouler du 1er août 2020 au 31 juillet 2021, ce sont 8 712 km² de forêts qui ont été détruits. 

    Le gouvernement brésilien, loin de participer à l’enrayement de la déforestation, manœuvre pour encourager l’expansion d’exploitations agricoles illégales en Amazonie. Mardi dernier, le 3 août 2021, la Chambre des députés brésilienne a voté une loi qui, si elle était adoptée dans les mêmes termes au Sénat, faciliterait la régularisation de l‘exploitation de terres publiques occupées illégalement. Or au Brésil, un tiers de la déforestation de l’Amazonie est lié à des accaparements de terres publiques. 

    Malgré ses récentes promesses de s’attaquer à la déforestation illégale, et alors qu’il négocie des accords commerciaux avec l’Union européenne, Jair Bolsonaro avance avec ses alliés une série de projets de loi qui permettraient d’accélérer la déforestation et de porter atteinte aux droits fonciers des peuples autochtones. Si ces lois étaient adoptées, elles pousseraient encore un peu plus l’Amazonie vers ce point de non-retour menant à la destruction irréversible de cet écosystème.

    Lire la suite

  • Les états-unis traquent Julian Assange

    Communiqué d'Amnesty International le 11.08.2021

    Julian Assange, ressortissant australien fondateur de l’ONG WikiLeaks fait aujourd’hui l’objet d’une traque par les autorités américaines pour ses révélations d’intérêt public, notamment celles concernant les activités de l'armée américaine en Irak et en Afghanistan.

    Le 4 janvier 2021, la justice britannique a décidé de ne pas extrader Julian Assange vers les États-Unis. La magistrate explique le refus d’extradition par l’état mental et psychologique fragile de Julian Assange. S’il était détenu dans une prison fédérale de sécurité maximale aux États-Unis, il risquerait l’automutilation, voire le suicide.   

    La réaction des États-Unis ne s’est pas faite attendre. Sans surprise, ils ont décidé de faire appel de cette décision. Le 11 février 2021, les États-Unis ont formé un recours devant la Haute Cour de justice britannique pour présenter au Royaume-Uni des « assurances diplomatiques » ayant pour objectif de réduire le risque de mauvais traitements en détention si Julian Assange était incarcéré dans un établissement fédéral. Malgré les assurances des États-Unis de ne pas le placer dans une prison de sécurité maximale cette possibilité n’est pas exclue.

    Lire la suite