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  • Mais c'est cui celui-là ? (1)

    Nous reprenons notre série estivale pour vous faire découvrir les oiseaux de notre territoire.

    Pour cette série, vous aurez 2 images à identifier chaque jour. La presque totalité des clichés sont pris à Vouziers dans le même jardin, seuls trois photos proviennent de rencontres dans le Vouzinois. Bonne découverte.

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  • Réforme de la gestion des risques climatiques: le monde paysan, grand perdant!

    Communiqué de la Confédération Paysanne le 28.07.2021

     Le député Frédéric Descrozaille a remis hier au Ministre de l'agriculture son rapport sur l'avenir des indemnisations climatiques en agriculture, après une concertation de sept semaines avec les parties prenantes. Mais cette proposition, qui consiste à démanteler le dispositif public des calamités agricoles au profit de l'assurance privée, emmène l'agriculture droit dans le mur.

    Non seulement il n'est prévu aucune prise en compte de la baisse du potentiel de production liée au changement climatique, mais cette réforme supprimera surtout les indemnisations de la moitié de l'agriculture française à l'horizon 2030 ! Renforçant de ce fait les inégalités qui traversent le monde agricole... Ainsi, seuls bénéficieront de cette réforme les productions générant déjà un revenu élevé et les agricultrices et agriculteurs déjà en capacité de s'assurer (en viticulture et grandes cultures en particulier). Il est remis à plus tard les questions sur les productions pas assurables et déjà mal couvertes par les calamités – tout en reconnaissant leurs spécificités.

    Cette moitié délaissée de l'agriculture française n'aura même plus aucun accès aux aides à l'investissement, puisqu'elles seront désormais conditionnées à la souscription à une assurance privée.

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  • Sécheresse en Angola  six millions de personnes sous alimentées

    Publié le 27.07.2021 par Amnesty International

    Dans le sud de l’Angola, la vie de millions de personnes est menacée à cause de la sécheresse. Déplacements de population, malnutritions et pauvreté : voici les conséquences dévastatrices du dérèglement climatique.

    Dans le sud de l’Angola, des millions de personnes sont au bord de l’inanition. Elles sont victimes à la fois des effets dévastateurs du dérèglement climatique et de l’affectation de terres à l’élevage commercial de bétail.

    La création d’élevages commerciaux de bétail sur des terres communautaires ont chassé des populations pastorales de leurs terres depuis la fin de la guerre civile, en 2002. Ainsi, une grande partie de la population s’est retrouvée en situation d’insécurité alimentaire, ce qui a ouvert la voie à une crise humanitaire dans la mesure où la sécheresse aiguë persiste depuis plus de trois ans. La pénurie d’eau et de nourriture ne fait que s’accentuer, obligeant des milliers de personnes à fuir vers la Namibie voisine.

    Pour survivre, la fuite vers la Namibie

    Les populations des provinces de Cunene et de Huíla sont frappées de plein fouet par la sécheresse persistante. La saison des pluies 2020-2021 ayant été anormalement sèche, il est probable que la situation empire grandement dans les mois à venir. Cette sécheresse est la pire depuis 40 ans.

    Elle a rendu la vie des communautés pastorales traditionnelles très difficile et la faim a conduit des milliers de personnes à traverser la frontière avec la Namibie depuis le début de mars 2021.

    En mai 2021, des ONG angolaises ont rapporté que plus de 7 000 Angolais, principalement des jeunes et des femmes avec enfants, avaient fui vers la Namibie. Un nombre de « déplacés climatiques » qui ne cesse d’augmenter.

    Le manque de ressources et la sécheresse poussent ces personnes à migrer dans une tentative désespérée de survivre. Un phénomène qui n’est pas près de s’améliorer car, selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), « l’intensité des sécheresses continueront d’augmenter, en particulier dans le bassin méditerranéen et en Afrique australe ».

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  • Maison de la Nature de Boult-aux-Bois

     

    En août, plusieurs animations vous sont proposées par la Maison de la Nature ; il s'agit à chaque fois d'une balade en forêt à la découverte, entre autres, des arbres remarquables que l'on peut trouver dans nos bois et leur histoire...

    - mercredi 11 août de 14h à 17h : découverte de la forêt de Boult-aux-Bois + arrêt au Hêtre Éléphant pour vous conter son histoire !

    - mercredi 18 août de 14h à 17h : découverte de la forêt de Boult-aux-Bois + arrêt au Gros Chêne pour vous conter son histoire !

    - mercredi 25 août de 14h à 17h : découverte de la forêt de Boult-aux-Bois + arrêt à l'Orme Lisse pour vous conter son histoire !

    Toutes ces sorties sont gratuites, car financées par la Région Grand Est

    Info et réservation (obligatoire) de préférence à maisonnatureboult@gmail.com sinon au 0324302498.

    N.B. : le pass sanitaire ne sera pas demandé, car nous appliquons une jauge de 25 participants environ, mais en respectant toujours les gestes barrières

    Au plaisir de partager avec vous ces petites balades nature !

    Merci et à bientôt !

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  • Festival Boult-aux-Bois et Cordes 2021

    Il est temps de vous présenter le magnifique travail de Thomas Witté pour le festival de cette année : voici notre visuel 2021 avec toutes les informations nécessaires pour ne rien rater !

    Pour la deuxième année consécutive, Boult-aux-Bois&Cordes prend une forme particulière. Si nous avons hâte de retrouver notre format habituel, nous sommes particulièrement heureux de pouvoir maintenir nos activités cette année :

    Nos musiciens vous présenteront un programme unique que vous pourrez venir découvrir lors des trois représentations proposées, à Vouziers, Boult-aux-Bois et Chatel-Chéhéry.

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  • EPR de Taishan : une situation toujours inquiétante… et de nombreuses questions !

    Communiqué du Réseau  "Sortir du Nucléaire" le 26 juillet 2021.

    Plus d’un mois après le signalement d’une situation radiologique inquiétante sur le réacteur n°1 de l’EPR de Taishan liée à la détection d’assemblages de combustible non étanches contaminant le circuit primaire, la situation reste préoccupante.

    Ce jeudi 22 juillet 2021, dans un communiqué publié suite à un conseil d’administration avec son partenaire chinois CGN [1], EDF a indiqué qu’après avoir pris connaissance des données qui lui ont été transmises, « les paramètres radiochimiques de l’eau du circuit primaire demeurent en-deçà des seuils réglementaires en vigueur ». Mais selon les informations du Parisien, le seuil autorisé de concentration des gaz radioactifs dans le circuit primaire à Taishan est plus de deux fois supérieur au seuil français, et cette concentration ne cesse d’augmenter [2]. EDF a précisé que si une telle situation survenait en France, le réacteur serait mis à l’arrêt.

    Mais l’entreprise TNPJVC, qui gère l’EPR de Taishan et dont EDF est actionnaire à 30 %, n’a apparemment pas l’intention d’arrêter le réacteur. Quant à l’Autorité de sûreté nucléaire chinoise, plutôt que de demander la mise à l’arrêt du réacteur, elle aurait, selon les informations de CNN, multiplié par deux les seuils de rejets autorisés début juin, sans que la valeur de ces seuils ne soit connue [3]. Cette fuite en avant de l’exploitant et de l’Autorité de sûreté chinoise est particulièrement inquiétante, laissant craindre des risques pour les riverains et surtout pour les personnes qui travaillent sur le site.

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  • Jeux Olympiques de Tokyo : Plus loin, plus haut, plus fort que… le covid-19 ?

    Editorial de cartooning for peace du 23.07.2021

    Ce vendredi 23 juillet s’ouvre enfin, à Tokyo (Japon), la 32e édition des jeux olympiques.

    Annulés l’année dernière pour cause de Covid-19, ils vont cependant devoir se dérouler dans des conditions inédites avec l’arrivée d’une 4e vague et une hausse des contaminations inquiétante : à huis clos et sous état d’urgence.

    La bulle sanitaire mise en place autour des athlètes et des journalistes est déjà fendue : plusieurs athlètes ont été testés positifs au Covid-19 et ne pourront concourir. Le public et les sponsors japonais se désolent de la situation et déplorent presque le maintien de ce que l’on appelle désormais « les jeux de la pandémie ».

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