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  • Favoriser l’accès aux soins et lutter contre le refus de soins

    Communiqué interassociatif, dont l’ODSE et la LDH sont membres
    De plus en plus de personnes en France déclarent avoir renoncé ou reporté des soins en raison de leur coût trop élevé.

    En novembre 2012, un sondage de l’IFOP constatait ainsi que 42% des Français avaient déjà renoncé aux soins chez un spécialiste en raison d’un coût élevé. Par ailleurs, lorsqu’elles n’y renoncent pas, certaines populations déjà fragilisées dans leur accès aux soins se voient encore aujourd’hui opposer un refus de soins. En 2011, le Conseil national des Politiques de Lutte contre la Pauvreté et l’Exclusion sociale révélait ainsi la « persistance des refus de soins de certains professionnels de santé sur lesquels une observation doit être renforcée avec des moyens adéquats et des réponses appropriées et efficaces  ».

     

    Qu’il soit motivé par le statut d’assuré social des personnes (CMU-C ou AME) ou par une pathologie, notamment le VIH ou le VHC, le refus de soins est une réalité inacceptable. Les franchises médicales, les dépassements d’honoraires comme les nombreux autres restes à charge (notamment à traversODSE.jpg l’avance de frais) sont également autant de freins à l’accès aux soins pour une part toujours plus importante de la population. Ces refus explicites ou déguisés qui laissent la personne malade sans réponse, peuvent avoir des conséquences lourdes, individuellement pour la santé des personnes directement concernées pouvant voir aggraver leur état de santé, et collectivement, les soins engagés tardivement alourdissant la charge pour l’assurance maladie.

    Une proposition de loi pour plus de justice et d’égalité dans la prise en charge des personnes malades
    Présentée par la Sénatrice Aline Archimbaud, une proposition de loi a pour objectif de rendre concrètes et effectives des mesures visant à favoriser l’accès aux dispositifs de la CMU ou CMU-C. Cette proposition de loi tente de répondre pratiquement à des points de blocage concrets identifiés comme pouvant être à l’origine du renoncement économique aux soins pour les personnes ayant de faibles ou de très faibles revenus, en prévoyant des dispositions simples sur les droits des personnes, et sur leur information

    Le testing : un outil concret contre les refus de soins
    soigner-toutes-les-souffran.jpgParce que la lutte contre les refus de soins constitue un principe essentiel de la garantie d’un accès effectif aux soins pour tous, et qu’elle passe d’abord par la possibilité d’identifier les cas de refus et ceux qui les pratiquent, cette proposition de loi vise également à apporter un cadre légal au testing. Une revendication de longue date de nos associations œuvrant sur le terrain pour accompagner et défendre les publics confrontés aux difficultés d’accès aux soins, parce que nous savons qu’elle sera une étape essentielle pour mettre enfin un terme à ces pratiques délictueuses.

    Représentants de l’Etat : engagez-vous
    Les élus et notre gouvernement ne peuvent faire l’économie d’une série de dispositions pratiques pour faciliter l’accès aux soins. Convaincues que de telles mesures ne sauraient rencontrer d’hostilité tant les refus de soins sont une honte pour notre système de santé, nos organisations en appellent à l’engagement du ministère de la Santé, du gouvernement et de l’ensemble des parlementaires pour soutenir cette proposition de loi dans un esprit de justice et d’égalité.

    Paris, le 21 février 2013

  • Vouziers : pas de semaine de 4 jours et demi à la prochaine rentrée

    La réforme de rythmes scolaires est une des priorités affichées par le ministre de l'Education Nationale.

    Il propose de l'appliquer au primaire pour la rentrée 2013, avec à la clef quelques moyens financiers incitatifs. Pourtant sa proposition soulève des réserves et des oppositions, venant de syndicats d'enseignants, d'éducateurs ou d'élus locaux. La plupart des ces critiques ne porte pas sur le principe, mais sur les modalités de mise en place de cette réforme.

    Elle nécessite une gestion de temps scolaire et peri-scolaire qui change l'organisation des activités de nombre de professionnels. Elle entraîne également des coûts suplémentaires pour les communes, ce qui est difficile à supporter en particulier dans ces temps de rigueur.

    Des grêves ont déjà eu lieu contre cette réforme, et de nombreuses communes refusent de l'appliquer à la rentrée 2013.

    vouziers,conseil municipal,rythmes scolaires

    Le ministre impose sa réforme, mais c'est nous qui payons : voila résumé l'état d'esprit des élus de Vouziers sur la semaine de 4 jours et demi.

    Lors du débat des orientations budgétaires, on a pu remarquer qu'aucun crédit n'était ouvert à ce sujet pour 2013. A une demande de précision de Madame Moreau, le Maire a répondu qu'il n'était pas prévu d'appliquer le changement d'organisation pour la prochaine rentrée. Françoise Cappelle a été très claire dans son opposition à financer ce dispositif dès 2013. Elle a critiqué la méthode employée qui n'avait associé les collectivités locales à la mise en place de la réforme.

    Il est vrai que la ville de Vouziers doit faire face à des baisses de ressources (voir la note précédente) et que ses élus ne peuvent accepter facilement qu'on leur impose des dépenses nouvelles.

  • Vouziers : des orientations budgétaires très prudentes.

    Le Conseil Municipal réuni ce soir avait principalement à débattre des orientations budgétaires.

    Dans sa prise de parole préalable au débat proprement dit, le Maire, a déclaré que les marges de manoeuvre étaient resserrées, et qu'il fallait faire avec les contraintes liées au contexte économique conseil municipal,orientations budgétairesgénéral. Le gel des dotations de l'Etat se poursuit, et la baisse démographique pénalise la ville. Claude Ancelme a donc appelé à une grande prudence dans la gestion financière.

    Il a fait un point des dossiers en cours : Le multi accueil géré par la Croix-Rouge atteint un taux de remplissage de 60 % après 4 mois de fonctionnement. L'objectif fixé avec la CAF était de 50 % pour la première année.

    Après une phase de concertation, la zone bleue du centre ville devrait voir le jour au printemps.

    Les gros dossiers pour 2013 seront le raccordement de Chestres et de Blaise à la station d'épuration de la ville. Les travaux de cette nouvelle station progressent sur le site de Condé.

    Le Maire a annoncé qu'il n'y aurait pas de nouveaux dossiers lancés cette année, l'équipe municipale ne voulant pas prendre des décisions qui  obligeraient l'équipe élue en 2014 à assumer des choix faits par d'autres.

    Cependant il propose une augmentation des taux de la fiscalité de 2%, en grande partie pour restaurer les réserves financières de la Ville et rendre possibles des investissements à l'avenir.

    C'est ensuite à Françoise Cappelle que revint la charge de présenter les chiffres qui concrêtisaient ces propos.

    conseil municipal,orientations budgétairesLes recettes et dépenses de fonctionnement s'équilibrent à 5 Millions d'€, avec les effets liés à l'adoption de la Taxe professionnelle  unique par la 2C2A. La hausse des bases et des taux d'imposition devrait entraîner des recettes suplémentaire de 50.000 €. En dépenses, les charges de personnel sont stables (2 Millions d'€) et une somme de 260.000 € est mise en dépenses imprévues, ce qui va permettre de reconstituer les réserves financières de la ville.

    En investissement, l'équilibre se fait à 2 Millions en recettes et en dépenses.

    Pour les recettes, le virement de la section de fonctionnement est de 300.000 d'€ et un emprunt de 1 Million d'€ réalisé fin 2012 abonde ce chapitre.

    En dépense 300.000 € serviront à un remboursement anticipé (opération "blanche"), 150.000 €  sont prévus pour le dossier AMi. 420.000 € sont inscrits pour les travaux d'accessibilité, mais ne seront probablement dépensés cette année.

    Françoise Cappelle a ensuite présenté différents tableaux qui éclairent la situation financière de la ville.

    Après ces deux présentations, peu de questions ont été posées. Madame Noiret-Richet a fait remarquer qu'aucun investissement particulier ne venait justifier l'augmentation prévue des taxes communales.

    Quelques points concernant les finances ont suivi ce débat, avec en particulier une demande de subventions pour un dossier sur l'équipement informatique de la ville qui sera renforcé.

    En affaires d'urbanisme, la révision du PLU pour permettre la construction de la piscine communautaire a été approuvée.

    En affaires générales un texte a été voté sur le jumelage avec la ville de Gräfenroda, à l'occasion du 50ème anniversaire du traité de l'Elysée.

    Un dernier point avait été rajouté à l'ordre du jour, il concernait l'achat des locaux d'AMI.

    Suite à la procédure d'expropriation et à la fixation de l'indemnité par le juge de l'expropriation, la ville va consigner la somme de 130.000€ pour l'acquisition de ces locaux.

    Une discussion a eu lieu, concernant la possibilité de revente de ces locaux à la socité AMI. Madame Moreau s'est inquiétée des travaux à effectuer sur le bâtiment en se demandant s'ils étaient à la charge du propriétaire. Le Maire s'est voulu rassurant sur ce point, tout en déclarant qu'il assumait le risque pris, le principal étant d'avoir préservé l'emploi sur le site.

    F Courvoisier-Clément est resté en réserve sur cette procédure et sa voix est la seule qui ne s'est pas jointe à l'unanimité des conseillers sur cette délibération, qui concluait ce conseil.

    conseil municipal,orientations budgétaires

  • Colonisation israélienne illégale, Palestine en danger

    La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine lance la campagne « Colonisation israélienne illégale, Palestine en danger », quels sont les objectifs, quels sont les outils, toutes les explications ci-dessous.


    Quels objectifs ?

    > Les colonies israéliennes installées dans les Territoires palestiniens depuis 1967 sont illégales au regard du droit international. De nombreuses déclarations européennes et françaises répètent le caractère illégal de ces colonies. Pourtant, les colonies bénéficient des relations économiques entre l’Union européenne et Israël. Il est impossible de savoir si un produit étiqueté « Made in Israel » a été fabriqué ou non dans une colonie. C’est pourquoi nous appelons, dans un premier temps, le gouvernement français à mettre en place l’étiquetage des produits des colonies. Laurent Fabius israël,palestine,colonisationdans une réponse à la question d’un parlementaire, a affirmé que la France « étudie actuellement, en lien avec plusieurs de ses partenaires européens, la possibilité de publier un code de conduite sur l’étiquetage distinctif des produits issus des colonies ». Le chemin est encore long. Le rôle des parlementaires sera crucial pour que s’exerce la pression populaire sur nos dirigeants et que le gouvernement passe à l’acte. Nous vous proposons donc de rentrer en contact avec votre déput-é-e afin de lui soumettre des questions écrites à poser au gouvernement et/ou de lui-la faire signer un appel volontairement centré sur l’étiquetage, plus accessible à un(e) élu(e) sans connaissance approfondie de la situation en Israël/Palestine).

    > Nous concevons néanmoins l’étiquetage comme une première étape, qui permettra au consommateur de faire son choix en connaissance cause. La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine soutient l’interdiction des produis issus des colonies. Nos gouvernements ont, selon le droit international, le devoir de ne pas reconnaître ou contribuer au maintien d’une situation illégal. Les colonies sont la principale menace contre un Etat palestinien, la France doit interdire les produits qui y sont fabriqués sur le marché français

    Comment ?

    > Interpellez votre député(e) et/ou sénateur(trice)
    - Les député(e)s ou sénateurs/trice ont la possibilité d’interpeller le gouvernement en lui posant une question écrite ou orale. Plus le nombre de questions sera important, plus le gouvernement sera contraint de se mobiliser. En tant qu’associations, allez à la rencontre de votre élu(e) et soumettez lui les propositions de questions, inclues dans la brochure jointe à ce message.
    - Faites-lui/la signer l’appel aux parlementaires (en pièce jointe) pour l’étiquetage des produits des colonies israéliennes (cet appel est volontairement centré sur l’étiquetage, qui est plus accessible à un(e) élu(e) qui n’a pas une connaissance approfondie de la situation en Israël/Palestine)

    > Interpellez le grand public
    Informez le grand public, grâce à la brochure d’information jointe, et faites signer, diffusez la pétition pour l’interdiction des produits des colonies, lequel est aussi en ligne sur le site de la Plateforme.

    Quels outils ?

    - Une brochure d’information destinée à la fois aux élus et au grand public – 8 pages – sur les enjeux de la colonisation, des produits des colonies, sur la nécessité d’étiqueter et interdire les produits des colonies, comprenant une carte et des propositions de questions écrites à destination des Parlementaires. Cette brochure est téléchargeable ici et/ou disponible en couleur, 4 volets 3 plis accordéon, voir schéma. Vendue 0,60 centimes/pièce frais de port compris – attention ! quantité minimum : 20 exemplaires (soit 12 euros). Si vous en souhaitez des exemplaires, merci de remplir le bon de commande.
    - Un appel destiné aux parlementaires, demandant l’étiquetage des produits des colonies.
    - Une pétition électronique destinée au réseau de solidarité et au grand public demandant l’interdiction des produits des colonies
    - Une pétition papier(texte identique à la version électronique) destinée au réseau de solidarité et au grand public demandant l’interdiction des produits des colonies, à faire signer lors des rassemblements publics, débats, projection, manifestations. A retourner à la Plateforme (adresse indiquée dans le document).
    - Un récapitulatifdes député(e)s qui ont posé une question écrite sur les produits des colonies sur le site.
    - Le visuel haute définition de la campagne

    Plateforme des ONG françaises pour la Palestine
    14, passage Dubail
    75010 Paris
    Contact
    Pour plus d’information, voir le site internet

  • Pourquoi poursuivre une mauvaise idée ?

    Les Ardennes, à l'exception du Rethelois et du canton de Machault, bénéficient d'un classement Bassin d'Emploi à Redynamiser (B.E.R).

    Un décret de février 2007 fixe les critères retenus pour être bénéficiaire de ce classement B.E.R :

    - le taux de chômage, au sens du Bureau international du travail, au 30 juin de l'année 2006 ;
    - la variation annuelle moyenne de la population sans double compte entre les recensements de 1990 et decarte-zone-franche.png 1999 ;
    - la variation annuelle moyenne de l'emploi total entre 2000 et 2004 telle qu'elle ressort des statistiques publiées par l'Institut national de la statistique et des études économiques.

    Malheureusement notre secteur répond à ces critères. Pour les entreprises, un investissement dans les Ardennes  entraîne une exonération des cotisations sociales, de l'impôt sur les sociétés, de CET et de taxes foncières pendant une durée pouvant aller jusqu'à 7 ans. Mais les résultats sont loin d'être présents. De Givet à Nouzonville, de Mouzon à Vouziers, en passant par Charlevillr ou Sedan il difficile de voir les unités industrielles ou les emplois créés!

    Le secteur de Rethel qui est en dehors du dispositif s'en sort plutôt mieux. Il serait temps de tirer le bilan de cette décision, dont le coût en perte de revenus pour l'état et les collectivités locales n'est pas supportable en face des résultats.

    Pourtant,  Benoit Huré souhaîte prolonger une nouvelle fois le dispositif (il devait se terminer le 31 décembre 2011, et a donc été prolongé de deux ans).

    Voici un extrait d'un communiqué daté du 15 février 2013 de l'agence News Press " il faut encore la faire connaître aux décideurs économiques, et cela demande de la patience entre le temps d'information et celui de la prise de décision ferme pour une implantation dans les Ardennes.

    Les entreprises ont peu de temps pour monter leur projet, puisque le dispositif du BER doit s'éteindre à la fin de l'année.

    D'où la demande du président Huré de le prolonger pour que les efforts de promotion du dispositif et des Ardennes portent leurs fruits !"

    Si les entreprises ne sont pas au courant au bout de 6 ans, on peut s'interroger sur les capacités de communication du Conseil Général.

    L'échec de ce dispositif est lié à des problématiques bien plus complexes qu'un simple retard de communication. Pour de multiples raisons, les Ardennes n'ont pas réussi à s'adapter aux mutations macro-économiques : on pourrait écrire des livres à ce sujet.

    On peut cependant tirer une conclusion évidente de cette tentative ratée : la baisse du coût du travail n'est pas la solution miracle qui va créer de l'emploi, ni dans les Ardennes ni ailleurs.

  • 1913-2013, Garros toujours sur les dents

    Le 22 septembre 1913, Roland Garros est probablement sur les dents, il finalise les derniers préparatifs de son parcours du lendemain.

    Le 23, il réalise un véritable exploit, en étant le premier à traverser la Méditerranée en avion. A bord de son Morane-Saulnier, il relie Saint-Raphaël à Bizerte en Tunisie. Le vol a duré près de 8 heures, et il atterrit avec un réservoir d'essence qui est pratiquement à sec.

    2013 verra se dérouler différents événements qui commémorent cet événement. Garros est mort au combat, abattu au-dessus de Saint-Morel, il est enterré au cimetière de Vouziers. L'ARGAT fondée en 1986 est une association locale très active pour maintenir vivant le souvenir de Garros.

    L'association s'est démenée pour qu'un bureau "premier jour" soit ouvert à Vouziers pour la mise en circulation du timbre qui va rappeler l'exploit. Par l'intermédiaire d'Yvon Carles, président de l'ARGAT, nous vous présentons la maquette probablement définitive de ce timbre. On peut remarquer que cent ans plus tard, Roland Garros est toujours "sur les dents".

    timbre R.Garros.JPG

  • Prochain Conseil Municipal de Vouziers

    Ce Conseil comporte comme point essentiel de son ordre du jour le débat sur les orientations budgétaires.

    Ce débat, qui n'est pas suivi d'un vote, sert de "répétition générale" avant le vote du budget de la commune. Les grandes lignes sont tracées, les gros investissements listés et les taux d'imposition sont envisagés  en variation ou bien stables.

    Les marges de la commune sont bien faibles, avec une population tirée à la baisse et des dotations de l'Etat annoncées en forte diminution. Construire un budget ne va pas être simple, mais le faible endettement de la ville laisse encore un peu d'air aux élus de Vouziers. Un des points qui sera à surveiller sera la capacité d'auto-financement, c'est à dire la masse budgétaire que la ville est en capacité de dégager de ses finances pour l'injecter dans des projets concrets.

    Voici l'ordre du jour annoncé :

     

     

    Une réunion de conseil est prévue le

    19 février 2013 à 19 h 15

    dans la salle ordinaire de ses séances.

    Ordre du jour :

    Adoption du compte rendu du Conseil Municipal du 23 octobre 2012.

    Adoption du compte rendu du Conseil Municipal du 18 décembre 2012.

    Affaires financières

    Débat des orientations budgétaires,

    Apurement comptable de l'étude du projet de camping confié à la SEAA,

    Tarifs des garderies: rectification d'erreurs matérielles,

    Prix des illuminations de Noël 2012,

    Demande de subvention dossier informatique et serveur.

    Affaires d'urbanisme, foncier et marchés publics

    Révision simplifiée du PLU : bilan de la concertation et approbation de la révision simplifiée,

    Avenants aux lots n° 1 et n° 2 du marché de VRD 2012.

    Affaires de personnel

    Modification du régime indemnitaire des agents de police municipale (indemnité spéciale de fonctions),

    Affaires générales,

    50e anniversaire du traité de l'Élysée.

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    Lors du dernier Conseil Municipal