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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 850

  • Chômage : jusqu'à quand la hausse?

    Les derniers chiffres de l'INSEE ne montrent pas d'amélioration de la situation de l'emploi.

     

    dc5ad3be-3764-11df-86ed-b32ee6429554.jpgLe nombre de chômeurs en février a encore augmenté, restant à un taux qui est très élevé et qui correspond à des situations personnelles dramatiques. Pour les personnes en chômage de longue durée , le taux a progressé de 30% en un an. Et l'on sait que les problème des "fin de droits" n'est pas réglé, beaucoup risquant de basculer vers le RSA ou pire.

    Le journal économique "L'usine nouvelle" n'est pas optimiste pour les mois qui viennent :

    Pôle emploi a indiqué dans son rapport « Perspectives économiques à l’horizon 2011 » que  la croissance étant limitée à 1,6 % cette année et 1,4 % en 2011, la progression du chômage continuerait en 2010.

     

    Le gouvernement a endetté le pays en sauvant les banques, il n'est plus en capacité et n'a pas la volonté de financer un plan social qui s'attaquerait immédiatement au chômage et à ses conséquences.

    A l'inverse, il met en difficulté des collectivités locales dont le rôle social est important. C'est le cas de nombreux départements, dont celui des Ardennes, et ce sont les Ardennais en activité comme ceux sans emploi qui vont en subir les conséquences.

     

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  • A M I , un peu d'espoir .

    AMI qui a succédé à la Semiac devenue Valfond puis APM, emploie 90 personnes sur le site du Blanc-Mont.

     

     

    C'est le principal employeur privé de Vouziers, même si les différents plans de restructuration ont considérablement fait baisser l'effectif.

    Il semble que la situation des commandes soit positive et donc que du travail existe pour l'avenir.

    250_VignetteAPM.jpg?0.6357286183320351L'entreprise était confrontée à un grave problème, puisqu'elle n'est pas propriétaire des locaux qu'elle occupe. Le bâtiment fait partie des biens de l'ancienne société qu'un liquidateur judiciaire est chargé de gérer. Il souhaitait revendre l'immeuble à un prix qui correspondait plus à la valeur d'un tel bien en région parisienne.

    Le patron d'AMI avait fait une proposition bien inférieure, proposition que le liquidateur ne voulait pas accepter.

    D'après nos informations, le tribunal de commerce a tranché: le bâtiment sera mis aux enchères, avec une mise à prix compatible avec les moyens d'AMI. Il semble peu probable qu'un autre enchérisseur fasse monter les prix : on ne voit pas qui serait intéressé par ce local.

    AMI pourrait donc être enfin en sécurité dans ses murs, sans avoir mis sa trésorerie en difficulté. Il ne reste plus qu'à attendre le résultat de cette vente, et à espérer que les ouvriers d'AMI  puissent continuer de pouvoir vivre et travailler dans le Vouzinois.

     

  • Plusieurs centaines de milliers dans la rue

    180 cortèges ont regroupé les salariés et retraités qui protestaient contre la politique de l'emploi et la réforme des retraites.





    Cette journée est un succès pour les organisations syndicales qui mobilisent leurs troupes en vue des négociations qui devraient s'ouvrir sur les retraites et l'emploi.


    La video est reprise du site de Michèle Leflon.



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    Le cortège de Marseille

  • Remember

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  • L’abandon de la taxe carbone scelle la mort du Grenelle

     

    François Fillon vient d'annoncer que le gouvernement renonçait à instaurer une taxe carbone.


     

    Le projet qui avait été voté était injuste car il épargnait les industries les plus polluantes et faisait reposer l'effort sur les ménages. Il a été censuré par le conseil constitutionnel. Au lieu de revoir sa copie et de proposer une taxation équilibrée et efficace, le gouvernement préfère renoncer à cette contribution climat. Le Medef jubile, au nom de la compétitivité, les associations écologiques s'indignent.

     

    Voici la réaction de la fondation Nicolas Hulot (extraits) :

     

    logo-interne.png"Pour la Fondation Nicolas Hulot, cette déclaration est incompréhensible, et marque une vraie rupture dans l'ambition française en matière de protection de l'environnement. Le Conseil Constitutionnel n'avait pas sanctionné la taxe carbone sur le principe, mais sur ses modalités d'application; ne remettant absolument pas en cause une fiscalité environnementale en France".

    "Sacrifier un véritable projet de société, qui consiste à faire évoluer notre fiscalité pour qu'elle encourage le développement de comportements vertueux pour l'environnement, tout en libérant l'emploi, va à l'encontre des ambitions françaises pourtant réaffirmée par le Président de la République à Copenhague"

     

     

     

    Vous trouverez ci-dessous un communiqué du Réseau Action Climat. C'est un réseau qui regroupe 13 associations en France dans le domaine de la lutte contre le changement climatique.

     

     

     

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    Montreuil, le 23 mars 2010,


    Monsieur le Président de la République,


    En 2006, vous avez signé le pacte écologique. Vous vous êtes personnellement engagé à faire de la taxe carbone un des piliers de votre politique environnementale.

    Or, le Premier Ministre vient d’annoncer son abandon. La taxe carbone n’est plus, et de votre promesse, il ne reste rien. Les associations sont scandalisées par le mépris qui caractérise cette décision.

    Les négociations sur le climat de Copenhague nous ayant laissés sans cadre de coordination internationale, il est impératif de mettre en place des politiques climatiques nationales structurantes. La médiatisation étant retombée, l’enjeu du changement climatique se situe désormais bien loin des priorités du Gouvernement.

    Pire encore, début mars, vous déclariez à l’occasion du salon de l’agriculture que « toutes ces questions d’environnement, ça commence à bien faire ! ».

    Hier, vous approuviez un projet de terminal charbonnier à Cherbourg, contribuant ainsi au développement de la filière des énergies fossiles.

    Aujourd’hui, vous enterrez la taxe carbone.

    Entre la frénésie pro-environnementale des premiers mois de votre mandat et le déni qui caractérise votre politique actuelle, il ne s’est écoulé que trois ans.

    Que nous réservez-vous pour demain ? L’abandon du Grenelle ou de ce qu’il en reste ?

    Monsieur le Président, l’avenir du climat mérite mieux que tout opportunisme politique.


    Le Réseau Action Climat et ses associations membres

  • Warsmann démissionne

    Jean-Luc Warsmann abandonne son poste de conseiller général de Grandpré.

     

    Ce fut un des arguments de la récente campagne électorale : Jean-Luc Warsmann cumule les mandats locaux et nationaux.warsmann_large.jpg

    D'après"La semaine des Ardennes", il quitterait son mandat au conseil général pour aller sièger au conseil régional où il vient d'être élu dans la minorité.

     

    Il avait déjà renoncé à son poste de vice-président du conseil général des Ardennes. Il n'est donc plus que maire , président de communauté de communes, conseiller régional, député et président de la commission des lois.

     

    Sachant qu'il serait forcémment élu, soit dans la majorité, soit dans l'opposition, il aurait pu donner ce signal plus tôt, car ses multiples mandats ont bien été un de ses handicaps pour l'élection régionale.

     

    Le canton de Grandpré qui connaît pas mal de difficultés démographiques et économiques va donc avoir un nouveau représentant, qui n'aura très probablement pas l'envergure de son ancien élu.