Un départ collectif est organisé pour les Ardennes :
Un bus partira le 17 septembre : inscriptions au 0324564043
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Un départ collectif est organisé pour les Ardennes :
Un bus partira le 17 septembre : inscriptions au 0324564043
Pour un accès égalitaire aux services de restauration scolaire
Plusieurs communes ont mis en place une discrimination à l'accès aux cantines scolaires. Les enfants dont les parents sont au chômage sont exclus de ce service par ces municipalités. Alors que les chiffre des demandeurs d'emploi grossit tous les mois ces derniers temps pour atteindre plus de 4 millions, c'est une double peine qui frappe ces familles.
La Fédération de parents d'élèves FCPE prend une initiative en réaction à cette tendance qui se développe actuellement.
Cantine scolaire : stop aux décisions illégales !
Depuis la rentrée la FCPE est encore interpellée par des parents d’élèves qui ne peuvent pas inscrire leurs enfants au restaurant scolaire, au motif qu’ils ne peuvent justifier d’un emploi salarié ou ne peuvent produire des documents justificatifs, tels qu’attestations d’employeurs, de Pôle emploi ou de feuilles de paye…
Il n’est plus tolérable que des municipalités continuent d’importuner parents et enfants alors que l’égalité de tous devant les services publics est un droit comme le rappellent tous les jugements des tribunaux administratifs et le conseil d'Etat ! La restauration scolaire doit être accessible à tout enfant dont les parents en font la demande.
Après avoir écrit aux ministres de l’Intérieur pour les écoles primaires et de l’Education nationale pour le secondaire afin qu’ils demandent aux préfets et aux inspecteurs d'académie d’exercer leur contrôle de légalité sur les décisions et les règlements intérieurs, la FCPE encourage les parents d’élèves à refuser ces situations abusives et à contacter ses conseils départementaux pour qu'ils les accompagnent dans leurs démarches.
La FCPE appelle les parlementaires à déposer une proposition de loi pour garantir dans la loi ce droit reconnu par les tribunaux.
Vendredi 9 septembre a été un nouveau jour noir pour les banques.
En ce qui concerne les établisements français les plus exposés, on a noté une chute de 10% pour la Socité Générale, de 7 % pour le Crédit Agricole et la BNP Paribas. Cette baisse en un seul jour est considérable, d'autant qu'elle s'ajoute à celle des semaines précédentes.
Pourtant nos dirigeants politiques avaient déjà sauvé les banques au début de la crise actuelle ( il n'était pas peu fier notre président -sauveur du monde ) et les tests pratiqués ces derniers temps avaient semble-t-il montré la bonne santé des banques françaises.
La notation des trois banques citées plus haut avait déjà été baissée par deux agences, la troisième (Moody's ) devrait le faire dans les jours prochains (voir le journal Les Echos). Dans le contexte actuel, cette nouvelle est une menace lourde pour ces établissements bancaires. Ils sont au coeur du dispositif économico-financier de notre pays, et les conséquences d'une chute d'une ou plusieurs de ces banques seraient immenses.
Quand on connaît la nervosité de la Bourse actuellement de telles nouvelles, rapportées par un journal proche des milieux patronaux, font craindre non seulement une poursuite de la chute des cours boursiers mais des incidences lourdes sur l'économie réelle.
Après la période des vacances, pour ceux qui peuvent en prendre, vient inévitablement la rentrée.
Pour le garage Peugeot de Vouziers, il semble que cette date de rentrée soit repoussée à une date inconnue. Le panneau affiché sur la vitrine annonce une reprise pour le 5 septembre. Le 10 septembre, le garage est désert, aucun signe d'activité, les vitrines sont vides, le matériel inexistant.
Il faut savoir que les concessions Peugeot des Ardennes ont été reprises par le groupe Hess au printemps dernier (voir à ce sujet le communiqué du groupe). Le groupe Hess a la particularité de racheter des concessions de toutes les marques, il se développe dans la partie est de notre pays.
La concession de Vouziers est toujours notée comme faisant partie du groupe sur leur site.
Par contre sur le site de Peugeot, le nom de Vouziers n'apparaît pas.
On peut s'interroger sur la stratégie du groupe Hess, et au risque de se faire montrer du doigt comme trop pessimiste, on peut aussi s'inquiéter du devenir du garage de la rue Bournizet.
C'est un service à la population qui est en jeu mais aussi des emplois direct et indirects. On peut aussi regretter que le groupe ne joue pas carte sur table, et annonce une reprise qui n'existe pas.
Le garage et ci-desus l'affiche, clichés pris le 10 septembre 2011
La maternité des Lilas, située aux portes de Paris, sera-t-elle obligée de fermer ?
Extraits de l'article de bastamag.net
Son projet de modernisation a été suspendu par l’agence régionale de santé (ARS), qui souhaite brader la maternité à des fonds de pension. Pourtant, avec 1.700 naissances par an, elle n’est pas en difficulté économique. Quarante ans de pratiques alternatives dans l’accompagnement des femmes pendant leur grossesse risquent de disparaître. Sages-femmes, médecins et usagers comptent bien se battre.
Pour faire face à la décision inattendue et douloureuse de l’ARS, le personnel des Lilas a décidé de créer un collectif. Constitué en association loi 1901, il réunit les divers corps de métier assurant le fonctionnement de l’hôpital : sages-femmes, auxiliaires de puériculture, médecins, personnel administratif, agents d’entretien. Investi dans la coordination nationale des comités de défense des maternités et hôpitaux de proximité, le collectif est soutenu par de nombreux usagers, par des syndicats, des politiques et autres personnalités publiques. Il a, depuis le mois de juin, multiplié réunions, communiqués de presse et manifestations. Et il entend bien mener la lutte jusqu’à ce que l’ARS revienne sur sa décision. Une pétition demandant le maintien du projet de reconstruction a déjà recueilli 6.000 signatures. Prochain rendez-vous : le 24 septembre, à 11h, devant la maternité des Lilas... pour défendre son maintien, et une certaine idée du service public et de la découverte de la parentalité.
Communiqué d'Amnesty International
Pour voir le dossier d'enquête complet en 4 videos, cliquer sur ce lien vers la page d'AI
La Géorgie vient de signer l'arrêt d'exécution contre Troy Davis, pour une exécution le 21 septembre 2011. Son ultime recours, le Comité des grâces de Géorgie.
L’Etat de Géorgie (Etats-Unis) vient de signer un arrêt contre Troy Davis, fixant sa date d’exécution le 21 septembre 2011. C’est maintenant, ultime recours, au Comité des grâces de Géorgie de décider si Troy Davis, condamné pour le meurtre d’un policier, doit vivre ou mourir.
"Cette exécution n’est pas inévitable, déclare Geneviève Garrigos, présidente AIF. Le Comité des grâces de Géorgie peut changer la donne.
En juillet 2007, il a déclaré que ses membres ne confirmeront l’exécution que s’ils sont absolument convaincus qu’aucun doute sur la culpabilité de Troy Davis ne persiste dans leur esprit. Or, depuis cette date les doutes quant à sa culpabilité n’ont fait que croître. Restons tous mobilisés pour Troy ! ".
Amnesty International va rapidement appeler à une mobilisation citoyenne pour éviter la mort d’une personne, peut-être innocente.
Le 28 août 1991, Troy Davis a été condamné à mort, sans aucune preuve matérielle, pour le meurtre du policier Mark Allen MacPhail commis deux ans plus tôt. Sept des neuf témoins du procès se sont depuis rétractés ou ont contredit leur témoignage initial dans des déclarations sous serment, certains accusant la police d’avoir fait pression sur eux. L’un des deux derniers témoins est le principal suspect, mis en cause par d‘autres témoins.
Amnesty International s’oppose à la peine de mort en toutes circonstances, quels que soient la nature du crime commis, les caractéristiques de son auteur ou la méthode utilisée par l’Etat pour exécuter.
Dessin du Canard Enchaïné