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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 258

  • En Iran, le régime multiplie les exécutions pour instiller la peur et contrôler la société

    Publié le 20.07.2020 par Amnesty International.

    En Iran, le recours à la peine de mort est de plus en plus fréquent contre les manifestants, les dissidents et les membres de groupes minoritaires. Le 13 juillet, deux prisonniers de la minorité kurde ont été injustement exécutés. Au moins huit autres prisonniers issus de minorités et trois jeunes manifestants de moins de 30 ans risquent également la peine capitale.

    Diaku Rasoulzadeh et Saber Sheikh Abdollah, âgés respectivement d’une vingtaine et d’une trentaine d’années, ont été exécutés le 13 juillet dernier. Tous deux issus de la minorité kurde, ils avaient été déclarés coupables et condamnés à mort en 2015, pour des faits qu’ils ont toujours niés. Leur procès s’est avéré manifestement inique, ignorant leurs solides alibis et s’appuyant exclusivement sur des « aveux » extorqués sous la torture qui, selon leurs avocats, leur avaient été dictés par des agents du ministère du Renseignement et regorgeaient d’incohérences.

    Transférés en 2014 vers un centre de détention à Orumiyeh, dans la province de l’Azerbaïdjan occidental, ils n’ont pas pu contacter leurs avocats ni leurs familles pendant plus d’un an et ont été maintenus la plupart du temps à l’isolement. Au cours de cette période, ils affirment avoir été torturés à maintes reprises : des agents les auraient notamment roués de coups, fouettés, soumis à des décharges électriques et à des humiliations sexuelles, suspendus au plafond, et ont menacé d’arrêter leurs proches, pour qu’ils « avouent » avoir pris part à l’attaque armée de 2010 et s’être rendus en Irak pour y suivre un entrainement militaire.

    Selon des informations qui ont fuité depuis l’intérieur de la prison, la veille de leur exécution, des responsables de l’établissement les ont dupés en leur expliquant que la Cour suprême avait annulé leurs condamnations à mort et qu’ils allaient être conduits hors de la prison pour l’ouverture de leur nouveau procès. En fait, ils les ont transférés à l’isolement et les ont exécutés le lendemain à l’aube, sans que leurs avocats n’en soient informés au préalable.

    Ces dernières exécutions, cruelles et injustes, s’inscrivent dans le cadre d’une hausse inquiétante du recours à la peine de mort en Iran. Alors que le régime cherche à instiller la peur et dissuader la population de manifester contre la crise politique et économique dans laquelle le pays est en train de sombrer, il n’hésite pas à utiliser la peine de mort pour faire taire les voix dissidentes dans le pays.

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  • Sea, corona and sun

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    Dessin de Côté (Canada) pour Cartooning for peace

  • Benoît Singlit à la tête de la com com : trois petits tours et puis s'en vient .

    Si l'élection du maire de Bairon et ses environs ne constitue pas vraiment une surprise, le conseil communautaire de l'Argonne ardennaise a cependant été marqué par des moments de suspense. Pour le choix du président, les 4 candidats annoncés ont confirmé leur volonté. Ils ont eu droit à chacun 5 minutes pour se présenter et esquisser leur programme.

    Par ordre alphabétique, Yann Dugard a pris la parole en premier.

     Il a rappelé ses liens avec le monde rural, il a insisté sur le rôle de la communication, et rappelé l'importance des décisions à prendre pour amortir les conséquences de la crise actuelle.

    Christophe Manceaux, le maire de Leffincourt, a souligné l'importance de la liaison avec les communes, et il a marqué son attachement au développement économique.

    Frédéric Mathias, réélu maire de Boult aux Bois, a proposé un bureau réduit à 11 vice-présidents, afin de constituer une équipe de combat à la tête de la collectivité.

    Benoît Singlit a donc pris la parole en dernier. Il a mis en avant son expérience pour fédérer les bonnes volontés. Il a déclaré pouvoir mettre en place une méthode pour faire travailler ensemble les élus du territoire.

    Il n'y a pas eu de demandes complémentaires d'information dans la salle, le scrutin a pu débuter aussitôt.

    Le vote du premier tour a donné une quasi égalité entre les 4 candidats, autour des 30 voix chacun.

    Au deuxième tour, Benoît Singlit prenait la tête avec 40 votes, Christophe Manceaux maintenant 31 voix.

    Au troisième tour, la majorité relative est suffisante pour être élu. Yann Dugard retirait sa candidature, et Benoît Singlit en profitait pour atteindre 58 voix alors que Christophe Manceaux ne recueillait que 42 suffrages. Frédéric Mathias comptait encore 22 supporters lors de ce 3° tour.

    Benoît Singlit prenait donc la place de président pour la suite des débats.

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  • Benoit Singlit élu à la présidence de la communauté de communes

    Le maire de Bairon et ses environs a été élu au 3° tour à la présidence de l'Argonne ardennaise. Les vice-présidents qui l'accompagneront sont Yann Dugard, Christophe Manceaux, ‎Vincent Fleury, Pierre Laurent-Chauvet, Désiré Nanji, Danielle Andrey et Roland Canivenq.

    Nous reviendrons demain plus en détail sur cette longue soirée.

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    Benoit Singlit, le nouveau président de la communauté de communes

  • Discours de politique générale de Jean Castex : Greenpeace vote la défiance


    Récemment nommé Premier ministre, Jean Castex exposait les grandes lignes de son mandat lors du discours de politique générale qu’il a donné cette après-midi à l’Assemblée nationale.

    Selon Clément Sénéchal, porte-parole politiques climatiques pour Greenpeace France :
    « Après l’intervention floue d’Emmanuel Macron hier, le nouveau Premier ministre a tenté de donner plus de précisions aujourd’hui sur cette “relance verte” indéfiniment ressassée. Piochant de nouvelles promesses parmi les 149 propositions de la Convention pour le climat, comme la régulation de la publicité sur les produits les plus polluants, il a en réalité renvoyé l’adoption sans filtre de l’ensemble des mesures à plus tard, en ouvrant une nouvelle période de concertations. Une manière de multiplier les entractes au lieu de passer aux actes.
    Comment faire confiance à Jean Castex quand le premier texte voté par la majorité parlementaire sous sa conduite, à savoir le 3e projet de loi de finances rectificative, a consisté à attribuer 15 milliards d’euros pour l’aérien et 8 milliards pour l’automobile, sans contreparties climatiques, en dépit des recommandations de la Convention comme du Haut Conseil pour le climat ? Dans la continuité de ces trois dernières années, le nouveau contrat de gouvernement semble davantage noué avec les lobbies industriels et financiers qu’avec les citoyen-es. » 

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  • 14 juillet : réaction à l’interview d’Emmanuel Macron

    Communiqué de Greenpeace le 14.07.2020.

    Emmanuel Macron était interrogé ce mardi 14 juillet par les journalistes Léa Salamé et Gilles Bouleau. Il a évoqué succinctement les questions écologiques.

    Pour Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France : « Depuis le début de son quinquennat, Emmanuel Macron n’a jamais réalisé les rêves d’écologie avec lesquels il tente de nous endormir à chaque discours. Il se fait le promoteur d’une écologie du “mieux” mais pas du “moins”. Pourtant, sans réduire notre consommation d’énergie, le nombre de voitures sur les routes et d’avions dans le ciel, la taille de nos élevages, sans décrue rapide des secteurs polluants, il ne sert à rien de parler de transformation. Les accointances idéologiques d’Emmanuel Macron avec les milieux industriels et financiers réfrènent toute avancée réelle. Les milliards d’euros accordés aux secteurs polluants de l’aérien et de l’automobile sans conditionnalités écologiques ou sociales véritablement contraignantes, le choix de ne pas remettre en cause le CETA et de laisser la ratification du Mercosur poursuivre son chemin européen, la volonté de ne pas s’attaquer aux dividendes ou aux publicités climaticides sont autant de preuves de l’aveuglement écologique d’Emmanuel Macron ».

    Après trois ans de mandat, plus personne n’est dupe des discours en trompe l’œil d’Emmanuel Macron sur l’écologie. La symbolique d’un « nouveau chemin » associée au remaniement se heurte au reniement des précédentes promesses présidentielles.

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  • Une fête nationale en mode Covid-19

    Les cérémonies de ce 14 juillet ont été bouleversées par les conditions sanitaires actuelles.

    Le 13 juillet, les habituelles célébrations n'ont pas eu lieu : pas de défilé en ville, pas de lampions, pas de feu d'artifice et pas de bal non plus.

    La municipalité a voulu organiser un hommage aux personnes impliquées dans le combat contre la pandémie actuelle, le personnel soignant bien sûr, mais aussi toutes les personnes du public et du privé qui se sont mobilisées à cette occasion. Pour ce faire, un appel à un rassemblement a été diffusé de manière restreinte pour assister à l'embrasement de la mairie. Plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées place Carnot ce lundi soir, certaines portant un masque et d'autres non.

    L'Harmonie municipale a fait patienter les présents à partir de 22 h en interprétant différents morceaux tirés de son répertoire.

    Yann Dugard a ensuite pris la parole pour rappeler le sens donné à cette soirée, avant que la nuit tombe pour permettre aux techniciens de lancer le spectacle pyrotechnique.

    Ce 14 juillet, des célébrations se sont déroulées devant les différents monuments aux morts de la commune. La cérémonie de Vouziers a eu lieu à 11h 15 devant la mairie, en présence du Sous-préfet de Vouziers de Madame Noiret-Richet, conseillère régionale. Les différents temps de la cérémonie se sont déroulés avec la distanciation rendue nécessaire (distance entre les personnes, absence de contact direct ). Le défilé vers la salle des fêtes et la réception habituelle avec discours et vin d'honneur ont été supprimés.

    Voici des clichés de ces deux temps de la fête nationale à Vouziers.

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