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politique nationale - Page 244

  • Handicap : l'échéance 2015 repoussée

    La première loi sur l'accessibilité date de 1975, elle donnait des indications assez générales sur l'accessibilité des bâtiments aux handicapés.

    Mais ce texte ne comportait pas de mesures contraignantes, et il est resté pratiquement lettre morte. C'est la loi de 2005 qui a introduit des mesures précises et un calendrier très large : 10 ans étaient laissés pour se mettre en conformité. A la veille de l'échéance, le constat est sévère : Selon le dernier baromètre de l'accessibilité, publié le 11 février 2014 par l'Association des paralysés de France (APF), à peine plus de la moitié des écoles et seulement 42 % des réseaux de bus sont accessibles aux handicapés.

    Le gouvernement a pris acte de cet état de fait, et propose un nouvel échéancier qui recule l'obligation de 3 ans, 6 ans ou 9 ans selon les cas.

    La représentante d'une association de handicapés déclare : "Nos adhérents attendent depuis quarantefile.php?avatar=2_1328687711.gif ans de pouvoir aller partout et on leur dit d'attendre encore trois, six ou neuf ans, on ne peut pas être satisfait. En même temps, on a réussi à écarter le pire, le report sec. »

    Ce problème est loin de concerner une petite minorité puisqu'on estime que près de 2 millions de personnes avaient une reconnaissance administrative du handicap en 2007 (derniers chiffres connus), indique l’Insee. Mais en ajoutant les déficients visuels, auditifs, mentaux, ainsi que les victimes d’un accident du travail ou d’un problème de santé depuis moins de six mois, le nombre des personnes ayant des difficultés à se déplacer, se monterait à 9,6 millions.

    Il va donc falloir modifier la loi de 2005, puisqu'elle n'a pas été respectée ! Le gouvernement prévoit de proposer de contrats d'engagement aux établissements qui ne sont pas aux normes, qui devront pour ne pas être pénalisés « s’engager sur un calendrier précis et resserré de travaux » avant la fin de l’année 2014, à travers des « agendas d’accessibilité programmés » (Ad'ap).

  • Transition énergétique : Le VRAI projet de loi

    Montreuil, le 26 février 2014 - Alors que les propositions concrètes du gouvernement sur la transition énergétique tardent encore à émerger, 9 organisations environnementales présentent leur VRAI projet de loi pour orienter enfin la France vers un modèle énergétique plus sobre, plus équitable, plus proche des territoires et créateur d’emplois et d’innovation.


    Sortir de l’immobilisme politique

    Nous déplorons le double discours dans lequel s’enferme le gouvernement depuis quelques semaines :

    - Il affiche son soutien aux énergies renouvelables et à la baisse de la consommation d’énergie, mais refuse dans les faits que des objectifs contraignants soient fixés dans le paquet climat-énergie 2030 de l’Union Européenne.
    - Dans le même temps, il annonce une baisse de la part du nucléaire dans la part d’électricité, mais n’envisage aucune autre fermeture de réacteur qu’à Fessenheim et signe un accord de partenariat avec la Grande Bretagne pour son développement.

    Le futur projet de loi sur la transition énergétique s’éloigne considérablement des conclusions, pourtant encourageantes, du débat national sur la transition énergétique. Il semble se diriger vers quelques aménagements à la marge et remettre à plus tard le choix d’un scénario énergétique. La gestion des déchets nucléaires y tiendrait une place importante alors qu’elle n’a pas été traitée dans le débat. Face à cette nouvelle reculade annoncée, 9 organisations environnementales ont décidé de proposer leur VRAI projet de loi.

    Concrétiser les actions issues du débat national sur la transition énergétique

    Nous proposons que la loi de programmation sur la transition énergétique intègre notamment :

    - Des objectifs clairs et ambitieux pour 2030 dans le cadre d’une trajectoire tendant vers le 100% énergies renouvelables en 2050, intégrant les engagements pris par le Président de la République sur le nucléaire et la baisse de la consommation d’énergie, et cohérents avec la division par quatre des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050
    - La pose obligatoire d’une isolation performante lors des grands travaux qui rythment la vie d’un bâtiment – ravalement, réfection de toiture
    - Une priorité claire donnée aux infrastructures de transport alternatives au routier et à l’aérien et des mesures pour lutter contre l’étalement urbain et la mobilité contrainte
    - La création d’une Institution financière de la transition énergétique qui prêterait à des taux réduits au profit de l’ensemble des acteurs publics et privés pour des projets de production d’énergie renouvelable, de rénovation de bâtiments ou de transports en commun.
    - La possibilité pour les collectivités de mettre en place des mesures fiscales et réglementaires de transition énergétique adaptées à leur territoire, tout en s’intégrant dans un cadre national et européen

    Pour les organisations à l’initiative de ce VRAI projet de loi : « Nous incitons le gouvernement à s’inspirer très largement du Vrai projet de loi, pour donner à la transition énergétique l’ambition qu’elle mérite

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  • Communiqué des organisateurs de la manifestation anti-aéroport du 22 février

    La manifestation de Nantes le 22 février contre la construction d'un nouvel aéroport à Notre Dame des Landes a été un succès populaire. Malgré les incidents que la préfecture et le gouvernement ont mis en avant, les organisateurs tirent un bilan positif de cette mobilisation.

    Communiqué de l'ACIPA (Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d'Aéroport de Notre Dame des Landes)

    La manifestation d'aujourd'hui a connu une mobilisation inégalée.

    520 tracteurs, venus de tous les départements limitrophes ont été comptés, deux fois plus que le 24 mars 2012 à Nantes. Cela marque une implication massive du monde paysan. Les tracteurs vigilants sont prêts à intervenir sur la zad.

    Il y avait 63 bus venus de toutes les régions de France, deux fois plus encore que lors de la chaîne humaine. C'est le signe d'une mobilisation nationale et de la connection entre Notre Dame des Landes et d'autres luttes contre les grands projets inutiles et imposés.

    Il y avait entre 50 et 60 000 personnes, plus encore que lors de la manifestation de réoccupation du 17 novembre 2012. Il s'agit de la plus grosse mobilisation du mouvement.

    3b4c7f518f3d2dd40379ec18957f29210d762ac1_slider.jpgLe défilé a été festif, créatif et déterminé, avec des batukadas, salamandres, tritons géants, masques d'animaux marquant le refus de la destruction des espèces protégées et des mesures dites de compensation.
    Des prises de paroles et animations ont eu lieu jusqu'à 18h square Daviais.

    La préfecture avait choisit de mettre Nantes en état de siège et de nous empêcher d'être visible dans le centre ville. C'est la première fois qu'on interdit à une manifestation d'emprunter le Cours des 50 Otages. Une partie du cortège est passée par l'île Beaulieu. Une autre a essayé de passer par le trajet initialement prévu et a fait face à une répression policière violente avec tir de flashball, gaz lacrymogènes et grenades assourdissantes. Cela n'a pas empêché les manifestants de rester en masse dans les rues de Nantes jusqu'à la fin.

    Il existe différentes manières de s'exprimer dans ce mouvement. Le gouvernement est sourd à la contestation anti-aéroport, il n'est pas étonnant qu'une certaine colère s'exprime. Que pourrait-il se passer en cas de nouvelle intervention sur la zad ?

    Cette journée est un succès et les différentes composantes de la lutte restent unies sur le terrain. L'opposition ne fait que croître depuis 30 ans. Le gouvernement n'a pas d'autre choix que d'abandonner le projet d'aéroport !

  • Le vote par procuration, c'est pas compliqué

    Les élections municipales approchent, puis ce sera le tour des élections européennes, en cas d'empêchement le vote par procuration est possible.

    Voici les modalités de ce vote, informations reprises du site du ministère de l'intérieur.

    Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou être présent dans votre commune d'inscription électorale, vous avez la possibilité de confier un mandat à un autre électeur inscrit dans la même commune que vous.

    Nouveau – Mise en ligne du formulaire de vote par procuration

    Vous pouvez désormais remplir le formulaire CERFA de demande de vote par procuration sur votre ordinateur, l’imprimer et l’apporter à une autorité habilitée. Toutes les explications et le formulaire CERFA sont disponibles sous le lien suivant :

    Formulaire Cerfa n° 14952*01 external link

    Explications préalables adressées au mandant

    Pour les électeurs qui ne disposent pas d’un ordinateur connecté à internet et d’une imprimante, il est toujours possible d’obtenir le formulaire de procuration au guichet d’une autorité habilitée.

    Généralités :

    La procuration en quelques points :

    C'est pour un électeur absent ou empêché, la possibilité de choisir un autre électeur pour accomplir à sa place les opérations de vote.

    • l'électeur qui choisit est le mandant.
    • l'électeur qui vote à sa place est le mandataire.

    La procuration est établie sans frais.

    Mandant et mandataire doivent être inscrits dans la même commune mais pas nécessairement dans le même bureau.

    Durée de validité :

    La procuration est établie pour un scrutin déterminé (pour l'un des deux tours ou pour les deux tours). Toutefois, une procuration peut être établie pour une durée de son choix, dans la limite d'un an à compter de sa date d'établissement, si l'intéressé établit être de façon durable dans l'incapacité de se rendre au bureau de vote.

    Où faire établir sa procuration ?

    L'autorité localement habilitée à établir une procuration pourra varier selon les endroits et sera :

    • Soit le juge du tribunal d'instance ou le juge qui en exerce les fonctions compétent pour la résidence ou le lieu de travail de l'électeur ;
    • Soit le greffier en chef de ce tribunal ;
    • Soit un officier ou un agent de police judiciaire (autre que les maires et les adjoints) ou un réserviste de la police ou de la gendarmerie nationales ayant eu des fonctions d’agent ou d’officier de police judiciaire pendant sa carrière active, que le magistrat visé au 1° aura lui-même désigné ;
    • Soit des magistrats ou des greffiers en chef (en activité ou à la retraite) désignés par le premier président de la cour d'appel, à la demande du juge du tribunal d'instance.

    Les résidents à l'étranger s'adresseront au consulat ou à l'ambassade de France.

    Quand doit-on faire établir une procuration ?

    Une procuration peut être établie tout au long de l'année.

    Aucune disposition législative ou réglementaire ne fixe de date limite pour l'établissement d'une procuration de vote.

    Les électeurs ont intérêt à se présenter dans les services compétents suffisamment tôt avant un scrutin déterminé pour que la procuration puisse être acheminée en mairie.

    Le mandant :

    Le mandant est la personne qui ne pourra pas aller voter.

    Qui peut voter par procuration ?

    3 grandes catégories de personnes sont concernées par le vote par procuration (art L.71 du Code électoral) :

    • Les électeurs attestant sur l'honneur qu'en raison d'obligations professionnelles, en raison d'un handicap, pour raison de santé ou en raison de l'assistance apportée à une personne malade ou infirme, il leur est impossible d'être présent dans leur commune d'inscription le jour du scrutin ou de participer à celui-ci en dépit de leur présence dans la commune.
    • Les électeurs attestant sur l'honneur qu'en raison d'obligations de formation, parce qu'ils sont en vacances ou parce qu'ils résident dans une commune différente de celle où ils sont inscrits sur une liste électorale, ils ne sont pas présents dans leur commune d'inscription le jour du scrutin.
    • Les personnes placées en détention provisoire et les détenus purgeant une peine n'entraînant pas une incapacité électorale.

    Les démarches à accomplir :

    Le mandant doit se présenter personnellement et être muni :

    • d'une pièce d'identité ;
    • du formulaire de vote par procuration : s’il a rempli le formulaire disponible en ligne et l’a imprimé (ce formulaire peut aussi être obtenu au guichet de l’une des autorités habilitées citées ci-dessus si le mandant ne dispose pas d’un ordinateur connecté à internet et d’une imprimante).

    Résiliation de la procuration :

    Il peut se produire que le mandant puisse se rendre à son bureau de vote et désire voter personnellement. Si le mandataire n'a pas déjà voté, le mandant pourra voter après avoir justifié de son identité.
    Dans le cas contraire l'exercice du droit de vote lui est refusé.
    A contrario, le mandataire ne pourra plus faire usage de sa procuration s'il est constaté que le mandant s'est déjà présenté au bureau de vote.

    De plus, les mandants ont la faculté de résilier leur procuration à tout moment. La résiliation est effectuée devant les mêmes autorités et dans les mêmes formes que la procuration. L’imprimé est le même que pour l’établissement d’une procuration. Le mandant peut donner concomitamment une nouvelle procuration sur le même formulaire.

    Le mandataire :

    Le mandataire est l'électeur qui vote à la place du mandant.

    Les conditions pour être mandataire :

    • Jouir de ses droits électoraux ;
    • Être inscrit dans la même commune que le mandant.

    Le choix du mandataire est libre, sous réserve des deux conditions précitées, et sa présence n'est pas nécessaire lors de l'établissement de la procuration.

    Modalités de vote :

    Le mandataire ne reçoit plus de volet de procuration. C'est au mandant de prévenir le mandataire de l'établissement de la procuration.
    Le mandataire ne peut disposer de plus de deux procurations dont une seule établie en France (art L.73).

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    S'il n'y a que deux listes déclarées, il n'y a qu'un seul tour !

  • La fermeture du site de Le Chesne votée au C A du collège

    Les collèges multi-sites sont (étaient ?) un peu une spécialité ardennaise depuis la tentative avortée du conseil général de fermer des établissements (en 2005).

    Des regroupements avaient alors été réalisés (Buzancy-Grandpré et Vouziers-Le Chesne pour notre secteur) avec un statut pas très clair, un peu expérimental, et avec une dotation de moyens renforcée mais pas garantie dans le temps. Au fil des années il est devenu de plus en plus évident que la volonté des décideurs était de fermer de nombreux sites ardennais, car "le département est surdoté en nombre de collèges". Un certain cynisme s'est manifesté, par des élus favorables à la fermeture mais se disant défenseurs du monde rural par ailleurs. Le sommet a été atteint par Benoît Huré, le président du Conseil Général des Ardennes qui a déclaré :"De toute façon il faudra d'une manière ou d'une autre réviser la carte des collèges, et je ne m'y opposerai pas. Mais aujourd'hui, pour moi, la balle est dans le camp du rectorat : je mets des collèges là où il met des profs, tout simplement. Moi, j'ai déjà donné…"

    Le Directeur Académique des Services de l'Education Nationale (DASEN) est chargé de mettre en œuvre la politique définie par les élus nationaux. Concernant les collèges, son action tend depuis deux ans à faire fermer les "petits" collèges, d'une manière ou d'une autre. L'an dernier, il s'est heurté à une résistance assez forte, notamment à Buzancy et à Le Chesne.  Il a continué à avancer cette année, même si une étude globale a été préconisée et qu'un moratoire a été décidé en attendant les conclusions de cette étude.

    Il a ainsi annoncé en décembre dernier la fermeture du site de Buzancy.

    Pour le site de Le Chesne, la méthode a été différente. Les moyens affectés au multi-site Vouziers Le Chesne pour la rentrée 2014 rendent quasi impossible un fonctionnement correct sur deux sites. Il n'est plus question de moyens spécifiques pour les multi-sites, encore moins pour les petites unités. Pour tuer son chien, on peut dire qu'il a la rage, on peut aussi ne plus le nourrir suffisamment, c'est peut-être un peu plus long, mais cela reste très efficace.

    Toujours est-il que le conseil d'administration du multi-site Vouziers-Le Chesne a voté ( à une faible majorité) la fermeture du site de Le Chesne pour la rentrée prochaine. Si cette fermeture était confirmée, beaucoup de questions d'organisation se poseraient (transport des élèves en particulier) et ces questions sont loin d'avoir une réponse claire à l'heure actuelle.

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    Le collège de Le Chesne (photo L'An Vert  D.R.)

  • Station d'épuration et mesure de compensation

    La nouvelle station d'épuration de la ville de Vouziers est située tout à côté de l'ancienne, à la sortie de Condé-lès-Vouziers.

    Cette zone est classée inondable, et les constructions n'y sont possibles que sous certaines conditions. Par exemple, la surface occupée par un bâtiment surélevé ne permet plus à l'eau de se répandre à cet endroit. La réglementation oblige alors à compenser cette perte de surface ( et donc de volume en cas d'inondation) par la création d'une zone d’expansion des crues de taille équivalente. La ville de Vouziers qui est maître d'ouvrage de la station d'épuration a donc cherché un terrain pour répondre à cette obligation. Son choix s'est porté sur l'arboretum situé à l'entrée est de la ville, avant la station service "ESSO".  Une superficie équivalente à celle de la station a donc été décaissée, avec l'extraction de centaines de m3 de terre. Une large bande à l'arrière de cet arboretum a donc disparue, ramenant la surface nouvelle au niveau des pâtures environnantes.

    Pour le moment, la végétation n'a pas repris ses droits sur le terrain remodelé, ce sera le cas d'ici quelques mois. Par contre, les arbres qui étaient plantés sur cette parcelle ne pourront être transplantés sur place.

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    Dans une note récente nous avons cité un rapport officiel de l'Institut d'Aménagement et d'Urbanisme qui affirme que "le nombre comme la part de logements construits en zones d’aléas fort à très fort sont en augmentation constante pour atteindre 18 500 logements et près de 50 % sur la dernière décennie."  Ces chiffres s'appliquent aux constructions en région parisienne, pour laquelle il est possible d'affirmer qu'aucune mesure de compensation n'est requise en cas de construction en zone inondable (ce serait simplement impossible. On constate donc que les agglomérations situées en aval demandent  aux territoires d'amont de faire preuve de solidarité (voir le dossier des barrages et réservoirs, dont celui de Savigny) Par ailleurs ces agglomérations continuent à construire en zone inondable, en s'affranchissant des contraintes qui nous sont imposées. Drôle de conception de la solidarité et du partage des risques et des inconvénients.

  • Notre Dame des Landes : Toutes et tous à Nantes le 22 février 2014 !

    L'Etat et les pro-aéroport menacent de passer de nouveau en force. Ils prétendent débuter, dans les mois qui viennent, la destruction des espèces protégées et les chantiers de l'aéroport.

     Une nouvelle vague d'expulsions pourrait survenir. 

     Nous ne les laisserons pas faire ! Les travaux ne commenceront pas!

    Sur place, le mouvement est plus vivant encore qu'à l'automne 2012, les liens plus denses, les champs plus cultivés et les habitats plus nombreux. Au delà, plus de 200 comités locaux se sont créés, en solidarité avec la lutte et pour la faire essaimer par chez eux.

    Nous appelons toutes les forces anti-aéroport à se joindre à la manifestation du 22 février 2014 à Nantes pour leur montrer qu'il n'est pas question qu'ils touchent au bocage.


    Appel lancé par la coordination des opposants (50 associations, syndicats, mouvements politiques et collectifs) – le COPAIN 44 – Les Naturalistes en lutte - Des habitant-e-s de la ZAD

    Sites internet de référence :

    Evènement Facebook : https://www.facebook.com/events/1445452955676156/

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