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économie et finances - Page 139

  • A.M.I. à Vouziers : le décret d'utilité publique est signé


    Il est possible que le Maire ait voulu signifier ce soir que diriger une collectivité, c'est savoir se saisir de sujets brûlants et réussir à les faire bouger sans prendre un retour de flamme.

     

    A l'occasion de ses vœux de début d'année, il avait choisi de faire accueillir ses invités par des jongleurs avecvoeux,vouziers,maire,ami,apm leurs bâtons enflammés. Les nombreuses personnes qui ont monté les marches de l'Hôtel de Ville ont pu admirer la dextérité des artistes.
    Il restait au Maire à faire preuve d'autant de maîtrise pour présenter sa vision et ses projets. Claude Ancelme s'est montré assez pugnace ce soir pour défendre ses choix et donner une vision dynamique de la ville. Il a dressé un tableau assez complet des différents secteurs d'activité de Vouziers. Peu d'éléments nouveaux ont été annoncés ce soir. Le Maire a confirmé les grandes orientations en cours ou déjà présentées précédemment  dans les domaines suivants :

     

    • Le logement et la population avec l'achat de terrain près du lotissement La Garenne, l'avancée des études pour l'éco quartier du Blanc-Mont et le début du recensement avec l'espoir de bonnes nouvelles pour le chiffre de la population vouzinoise.
    • L'économie avec le dossier AMI pour lequel il a souligné l'action conjointe avec le sous-préfet, et il est revenu sur son action constante pour l'accueil et le maintien d'entreprises, aussi bien en tant que Maire qu'en tant que vice-président de la 2C2A.
    • Les grands travaux avec le chantier de l'assainissement qui avance et il a annoncé avoir proposé au président du Conseil Général une amélioration du tracé de la route Vouziers Rethel (contournements, zones de dépassement) avec un raccordement de Bierme vers la RN51 et Reims, afin de désenclaver Vouziers.
    • Dans le domaine social, il a souligné le travail effectué par le CCAS (comme le récent repas des Anciens) et il a rappelé le partenariat privilégié avec le FJEP-Centre Social et l'avancement du chantier du futur multi-accueil pour les plus petits (ouverture en septembre)
    • Dans le domaine du commerce et de l'artisanat, il a rendu hommage au président de l'UCIA, en souhaitant que la foire de Vouziers soit encore une manifestation majeure de la ville cette année. Il a confirmé les travaux pour le parking du Champ de Foire qui devrait devenir une offre alternative au stationnement sur la place Carnot.
    • En ce qui concerne les finances, il a déclaré que suite à la bonne tenue des budgets, il proposerait de ne pas augmenter les taux d'imposition cette année. On peut, sans prendre de gros risques, prévoir que le conseil municipal suivra cet avis lors du débat d'orientations budgétaires.
    • Il a souhaité la réalisation rapide du terrain pour les gens du voyage (ouverture prévue cette année) car il reçoit beaucoup des plaintes et de remarques de la part de riverains des zones actuelles de stationnement. Il a rappelé que c'était la 2C2A qui avait la compétence de ce dossier, et qu'il était largement temps qu'il aboutisse à du concret.
    • Il a défendu son choix d'accueillir un EHPAD privé à Condé, faute de quoi celui-ci aurait été implanté dans une autre commune. Il a déclaré que la ville avait fait l'acquisition du "Bois d'un an", pour garder une zone verte au cœur de Vouziers. Pour l'EHPAD public, les négociations seraient en cours avec l'ARS
    • Pour la voirie, les rues A Busquet à Condé et du Blanc Mont devant l'usine APM seront refaites à neuf.


    voeux,vouziers,maire,ami,apmIl a ensuite donné la parole au Sous-Préfet . Celui-ci doit observer la période de réserve liée à l'année électorale. Il a donc prononcé un "non-discours", raillant l'annonce de la fin du monde pour décembre prochain.

    Il a cependant fait une annonce importante, pour l'avenir de l'usine AMI. Une enquête publique a eu lieu, concernant l'expropriation du liquidateur d'APM, le précédent occupant . On sait que la vente des locaux au nouvel installé était bloquée. A l'issue de l'enquête, le commissaire a donné un avis favorable, et le Sous-préfet a transmis rapidement le dossier au Préfet avec un avis positif.
    Ce jour le Préfet des Ardennes a signé un décret qui déclare d'utilité publique cette acquisition par la ville.
    On entre donc dans une deuxième phase, dans laquelle la ville va pouvoir se rendre propriétaire des bâtiments soit à l'amiable en accord avec le liquidateur soit par expropriation judiciaire.
    Ce dossier avance donc rapidement car il y avait convergence de vue entre la ville et les représentants de l'État. Mais tout n'est pas encore bouclé,et AMI reste pour le moment encore en situation précaire.

    Après ces deux prises de parole, les verre de l'amitié a été servi aux personnes présentes.

    voeux,vouziers,maire,ami,apm

  • Même pas mal !

    En l'absence de réaction de Sarkozy, les différents ministres concernés sont chargés de communiquer sur la perte du AAA par la France.

     

    Le message qu'ils cherchent à faire passer tend à minimiser l'impact de cette décision : "même pas mal"semblent ils dire.

     

    Cette note dégradée montre une gestion décevante de l'économie française d'après les critères duAAA-la-france-conserve-son-triple-A.jpg libéralisme. Et les investisseurs internationaux n'avaient pas attendu l'agence de notation pour s'en rendre compte. La France emprunte à 10 ans à des taux qui dépassent de plus d'un point ceux de l'Allemagne. Comme les sommes empruntées se chiffrent en milliards, cette différence entraîne des remboursements qui alourdissent considérablement la dette nationale. Dans l'immédiat, cet état de fait ne sera pas bouleversé pas la nouvelle note française, c'est ce que veulent retenir nos portes-parole de la droite.

     

    Mais la perte du AAA  français met en évidence le déséquilibre franco-allemand, et fragilise les montages financiers mis en place pour sauver l'Euro. Un effet de contagion peut se produire sur les fonds de soutiens européens, qui auraient alors eux aussi du mal à se financer.

    Or, la France n'est pas la seule à avoir été dégradée : les pays du sud de l'Europe sont en mauvaise posture, du Portugal à l'Italie, en passant par l'Espagne, sans parler de la Grèce.

    Ce n'est pas l'Allemagne seule qui pourra soutenir tous ces pays.

    La décision de l'agence S&P va donc affecter à moyen terme toute la zone Euro, France comprise.

     

    Cette dégradation est accompagnée d'une perspective négative pour la France, ce qui veut dire qu'une nouvelle baisse de la note est envisagée.

    Les responsables de la droite peuvent donc  tenter de faire leur malin devant cette décision, ne voulant pas perdre la face à quelques mois des élections. Mais la dégradation de la note traduit bien les faiblesses actuelles de l'économie française, et elle risque de provoquer assez rapidement une situation encore plus difficile à gérer.

  • Taxe Tobin à la française : un bluff indécent

    ATTAC est en France un des principaux défenseurs de la taxation des transactions financières. A l'heure où le candidat UMP tente de reprendre la main par tous les moyens, rien ne devrait nous étonner de sa part ; on est malgré tout un peu surpris qu'il devienne favorable à cette taxe.


    Voici l'analyse d'ATTAC sur ce "changement" brutal

     

    Henri Guaino annonçait le vendredi 6 janvier au matin à BFM une taxe Tobin française avant la fin lacombe260909-taxe-tobin.jpg2O12. De qui se moque le gouvernement ? Il y a à peine un mois le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, s’opposait au vote par le Sénat d’une telle taxe, estimant que la France "ne peut légiférer seule" car ce serait "contre-productif" et cela "nuirait à la place financière de Paris".

    Depuis deux ans déjà Nicolas Sarkozy orne ses discours d’envolées lyriques sur la taxe Tobin. Il avait promis que le G20 de Cannes marquerait une avancée décisive : l’échec a été total. Aujourd’hui, à trois mois du premier tour de l’élection présidentielle, il prétend la décider seul, éventuellement avec l’Allemagne. Cette annonce est purement opportuniste : elle ne vise qu’à atténuer l’effet désastreux de l’annonce de la TVA « sociale », dont chacun sait qu’elle frappera d’abord les couches populaires. Elle manque totalement de crédibilité : contrairement à ce qui se fait toujours avant d’introduire un nouvel impôt, tout indique que Bercy n’a mené aucune étude sérieuse de faisabilité pour préparer la mise en place d’une telle taxe au plan français.

    Tous les actes de Nicolas Sarkozy – réformes fiscales, réforme des retraites, sauvetage des banques sans contrepartie, casse des services publics… - montrent qu’il gouverne pour la finance. Rappelons également que Nicolas Sarkozy a supprimé en 2008 l'impôt de bourse, qui taxait à la Bourse de Paris les transactions sur actions au taux de 0,3%. Nicolas Sarkozy joue donc de façon indécente avec le symbole de la taxe Tobin pour tenter de redresser son image de Président des riches. La manipulation politique est trop grossière pour que les citoyens se laissent abuser.

    La taxe Tobin est possible dès 2012, en Europe, au taux de 0,1%, en incluant les produits dérivés et (contrairement au projet de la Commission européenne) les transactions sur les devises, pour freiner fortement la circulation des capitaux et la spéculation et pour financer les biens publics mondiaux, à commencer par la lutte contre la pauvreté et le changement climatique. La France pourrait bien sûr montrer l’exemple. Mais il faudrait une volonté politique, pas un bluff médiatique.

    Attac France,

    Paris, le 6 janvier 2012

     

    En cadeau ce lien vers l'avis d'un bon spécialiste de la question

  • Total pollueur mais pas payeur


    Le groupe Total, une des plus importantes sociétés françaises, s'est fait une spécialité d'échapper aux taxes et impôts.

    Il est vrai qu'il bénéficie des conseils de fiscalistes qui ont pour métier de "frauder légalement", et qu'il peut aussi compter sur l'appui de nombreux hommes politiques avec lesquels il a établit de solides liens.

    Dans l'article que nous reproduisons ci-dessous, la FNE rend compte des exonérations dont profite Total.

     

    Total est une entreprise qui génère des milliards de bénéfices chaque année. On sait également que, grâce au système fiscal très favorable du bénéfice mondial consolidé, cette multinationale du pétrole n’a pas versé, en 2010 , un centime à l’Etat français au titre de l’impôt sur les sociétés1. Un bel exemple de redistribution et de responsabilité sociétale ! Or, par un tour de passe-passe de la loi de images?q=tbn:ANd9GcRJob97wG4WkEaErMz37sXFtn12tz0CgmYxKG0MqSEBe_vI-KrBGgfinances 2012, Total vient d’être de nouveau exonérée d’un autre versement : la TGAP. Explications.

    La loi de finances exonère de taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) les installations autorisées à injecter des effluents industriels dans la structure géologique (Crétacé 4000) de la région de Lacq (Pyrénées-Atlantiques).

     

     En effet, depuis plusieurs dizaines d'années, des effluents et déchets chimiques sont injectés dans le sous-sol béarnais dans un ancien site gazier géré par Total. Total stocke donc en sous-sol des déchets chimiques et à ce titre, la direction des douanes qui prélève la TGAP avait demandé l’an dernier à Total le versement d’arriérés de la TGAP due au titre de ce stockage (plusieurs millions d’euros).

    Bien entendu, les juristes de Total avaient fait un recours devant le TGI de Paris pour éviter ce paiement. Le tribunal, par jugement du 8 avril 2011, avait bien condamné Total à payer 4 438 692€ à l’Etat.

     Bruno Genty, président de FNE : " le gouvernement et les députés viennent d’effacer par l’article 22 de la loi de finances cette jolie dette, qui aurait pourtant abondé de façon utile le budget de l’Etat en ces temps de crise. "

    Dans son « Appel des 3000 Pour un contrat environnemental », FNE propose à tous les candidats aux élections présidentielles et législatives d’élargir l’assiette de la TGAP et de supprimer progressivement tous les abattements qui concernent cette taxe. FNE est également favorable à la création d’une taxe dissuasive sur les activités très polluantes qui concernera ce type d’installations et dont l’assiette évoluera dans le temps afin de faire disparaître la pollution.

  • Ardennes : le chômage en hausse continue

    Les chiffres de novembre apportent une triste confirmation de la situation économique nationale et locale.

     

    Sur le plan national les chiffres publiés ce jour indiquent que "parmi les demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi, le nombre de personnes sans emploi (catégorie A) en France métropolitaine augmente par rapport à la fin octobre 2011 (+1,1 %, soit +29 900).

    Sur un an, il s’accroît de 5,2 %.

    Le nombre de personnes exerçant une activité réduite courte, d’au plus 78 heures au cours du mois, est en hausse (+0,2 %, catégorie B). Le nombre de personnes pratiquant une activité réduite longue, de plus de 78 heures au cours du mois, augmente également (+2,5 %, catégorie C).

    Au total, le nombre de demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi (catégories A, B, C) augmente de 1,2 % (+51 800) en novembre.

    Sur un an, il est en hausse de 5,6 %."

     

    Le communiqué officiel confirme que :"fin novembre 2011, en France métropolitaine, 4 244 800 personnes inscrites à Pôle emploi étaient tenues de faire des actes positifs de recherche d’emploi       (4 510 500 en France y compris Dom), dont 2 844 800 étaient sans emploi (catégorie A) et 1 400 000 exerçaient une activité réduite, courte ou longue (catégories B, C)."

    Ces chiffres sont de manière évidente de mauvais chiffres, à tel point que le ministre qui se permet habituellement un commentaire "en version optimiste"  se contente de "prendre acte de cette progression, conséquence directe du ralentissement de l’activité économique". Son efficacité sur le terrain est à la hauteur de la pertinence de son commentaire.

    ?m=02&d=20111226&t=2&i=551293818&w=450&fh=&fw=&ll=&pl=&r=2011-12-26T170903Z_1_APAE7BP1BN500_RTROPTP_0_OFRTP-FRANCE-CHOMAGE-20111226

     

    Pour la Région et le département, la réalité n'est pas plus réjouissante. La direction régionale (la DIRECCTE) donne les chiffres suivants :

    Fin novembre 2011, dans le département des Ardennes, 14 444 personnes sont inscrites à Pôle emploi en catégorie A. Ce nombre augmente de 1,1 % par rapport à fin octobre 2011 ( + 160). Sur un an, il est en augmentation de 8,3 %.
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A augmente de 1,2 % par rapport à octobre 2011 ( + 8,9 % en un an).


    Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C s'établit à 21 273 dans le département des Ardennes, fin novembre 2011. Ce nombre augmente de 1 % (+ 205). Sur un an, il augmente de 8,3 %.
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C augmente de 1,7 % par rapport à octobre 2011 (+ 8,5 % en un an).

    Ce rythme d'augmentation de plus de 8 % est à comparer à celui retrouvé nationalement, soit un peu plus de 5 %. On voit à la fois l'efficacité des mesures prises par le gouvernement et  de celles prises localement ( politique du conseil général, zone franche de Warsmann).

    "La crise" disent-ils, bien entendu la crise est générale . Mais il faut se souvenir des déclarations de Sarkozy il y a un an au moment des voeux : il osait affirmer que ses décisions allaient commencer à donner des résultats concrets, et que grâce à lui l'euro était sauvé.

    Un an plus tard, la réalité le rattrape, et le grand capitaine est totalement incapable de donner une direction au navire. Il subit, ou plus exactement les Français subissent  les conséquences d'une politique libérale où les marchés financiers dictent leur loi. Et nous payons chaque année d'avantage le prix de ce libéralisme économique, avec une addition qui risque encore de s'alourdir dans les années à venir.

     

     

     

  • Pas de traité pour rassurer les marchés!



    Nouveau traité européen: pas contre nous, pas sans nous! Déclaration du collectif pour un audit citoyen de la dette publique

     

    Le sommet européen du 9 décembre a décidé d'adopter un nouveau traité européen dès le mois de mars. Ce texte exigera des États qu'ils insèrent dans leur Constitution une « règle d'or » pour la réduction de leur déficit public. En le limitant à 0,5% du PIB en temps normal, cette règle agira comme un carcan d’austérité, empêchant toute politique économique alternative.

    Le projet de traité prévoit par ailleurs de durcir les règles qui figuraient déjà dans le Traité de cartesgood.jpgMaastricht puis de Lisbonne, en imposant de lourdes sanctions « immédiates » et « automatiques » aux pays contrevenants. En outre, concernant le stock actuel des dettes publiques, le nouveau traité exclurait toute annulation même partielle pour les pays en difficulté, telle celle concédée récemment dans le cas de la Grèce.

    Partout les citoyens, les usagers des services publics, les assurés sociaux devront payer pour rembourser les banques, même si celles-ci ont spéculé sur les obligations d’État et prêté à des taux abusifs. Alors que la dette résulte pour une large part des dérives de la finance et des cadeaux fiscaux décidés depuis vingt ans au profit des catégories aisées !

     

    Ce traité, purement punitif, ne prévoit rien pour réduire le pouvoir de l'industrie financière ou approfondir les solidarités entre peuples européens. Il contraindrait les États à des politiques d'austérité sans limites. Le caractère de plus en plus antisocial et antidémocratique de la construction européenne suscitera des luttes sociales et citoyennes légitimes mais fera aussi le jeu des démagogues nationalistes et xénophobes.

    Décidé en quelques semaines sous la pression des agences de notation, ce nouveau traité risque d'être images?q=tbn:ANd9GcSmJoIW2iLmKF963CjaEbyzIX5Kfomq0AwH060eXacevfZVRNSnqdKotciVratifié en hâte par voie parlementaire dans le dos des peuples. Son adoption marquerait un recul décisif de la démocratie en France et en Europe. Il appartient aux mouvements sociaux européens d'empêcher ce recul en imposant un vrai débat démocratique sur la dette publique, les alternatives à l'austérité et une nouvelle construction européenne.

     

    En France, le Collectif pour un audit citoyen de la dette publique appelle tous les citoyens à se mobiliser dans leurs quartiers, leurs villages, leurs lieux de travail, pour construire ensemble ce débat. Réunions publiques, manifestations, pétitions, occupations, actions symboliques... dans les semaines qui viennent, nous devons multiplier les initiatives pour nous opposer à l'adoption de ce traité. Nous tiendrons le 14 janvier à Paris une réunion nationale des collectifs locaux pour l'audit citoyen de la dette, afin d'échanger sur nos pratiques et de coordonner nos initiatives.

    Collectif pour un audit citoyen de la dette publique (www.audit-citoyen.org),