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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 842

  • Piqure de rappel

    A Vouziers, comme dans toutes les Ardennes, les centres de vaccination réduisent leurs heures d'ouverture.

     

    Pour le centre de vaccination de Vouziers, les plages et jours sont modifiés à partir de lundi prochain . Il sera ouvert les mercredis et vendredis
    de 16h30 à 19h30  et les samedis de 14h à17h.

    246226-0049.jpg?t=2335Ce changement montre que les autorités ne croient plus elles-mêmes à une reprise massive des vaccinations en ce début d'année.

    La communication gouvernementale a été un fiasco complet, et l'annonce de la fin de l'épidémie ne va pas inciter les gens à se vacciner.

    Ce vendredi, une trentaine de vaccins ont été injectés lors de la séance habituelle à la salle Bellevue. Parmi ceux-ci, presque la moitié sont des rappels pour des enfants de moins de 9 ans. Il y a donc eu une grosse dizaine de personnes qui ont fait le déplacement pour une première injection. Et c'est mieux que la veille, où moins de dix personnes ont été reçues.

    A ce rythme, il va falloir  rapidement chercher à revendre une nouvelle cargaison des vaccins commandés.

     

    La possibilité de se vacciner aux  cabinets des généralistes doit se faire cette semaine, 671345-0042.jpg?t=3268mais les doses individuelles de vaccin ne sont pas encore disponibles. Il est peu probable que cette mesure tardive change beaucoup de choses.

     

     

     

     


    Moi je veux bien, mais jamais sans mon doudou !

  • Nous exigeons la suppression du ministère de l’Identité nationale et de l’Immigration

    Signez la pétition soutenue par la LDH, voir le lien en bas de la note.

     

    Promesse électorale de Nicolas Sarkozy, la création d’un ministère chargé de l’Immigration et de « l’Identité nationale » a introduit dans notre pays un risque d’enfermement identitaire et d’exclusion dont on mesure, chaque jour depuis deux ans et demi, la profonde gravité. Très officiellement, des mots ont été introduits sur la scène publique, qui désignent et stigmatisent l’étranger – et par ricochet, quiconque a l’air étranger. Réfugiés et migrants, notamment originaires de Méditerranée et d’Afrique, et leurs descendants, sont séparés d’un « nous » national pas seulement imaginaire puisque ses frontières se redessinent sur les plans matériel, administratif et idéologique.

     

    Qu’a fait naître ce ministère ? De nouveaux objectifs d’expulsion d’étrangers (27 000 par an), des rafles de sans-papiers, l’enfermement jpg_sarko_noel-marc-691ce.jpgd’enfants dans des centres de rétention, le délit de solidarité, l’expulsion des exilés vers certains pays en guerre au mépris du droit d’asile, la multiplication des contrôles d’identité au faciès, enfin la naturalisation à la carte, préfecture par préfecture, qui rompt avec le principe d’égalité…

     

    Dans cette fissure de la République se sont engouffrés nos dirigeants. Par des propos inadmissibles dans une démocratie, banalisés et désormais quotidiens, ils légitiment tous les comportements et les paroles de rejet, de violence, et de repli sur soi. Nous ne sommes pas ici face à des « dérapages » individuels. En réalité, ces propos sont la conséquence logique d’une politique que le gouvernement souhaite encore amplifier sous le couvert d’un « débat » sur l’identité nationale. Nous sommes ainsi appelés à devenir coauteurs et coresponsables du contrôle identitaire sur la France.

     

    La circulaire ministérielle adressée aux préfectures pour encadrer le débat lance une interrogation : « Pourquoi la question de l’identité nationale génère-t-elle un malaise chez certains intellectuels, sociologues ou historiens ? » La réponse est simple. Nous ne pouvons pas accepter que le regard inquisiteur d’un pouvoir identitaire puisse planer, en s’autorisant de nous, sur la vie et les gestes de chacun.

     

    C’est pourquoi il est temps aujourd’hui de réaffirmer publiquement, contre ce rapt nationaliste de l’idée de nation, les idéaux universalistes qui sont au fondement de notre République.

     

    Nous appelons donc les habitants, les associations, les partis et les candidats aux futures élections à exiger avec nous la suppression de ce « Ministère de l’Identité nationale et de l’Immigration », car il met en danger la démocratie.

     

    Premiers signataires : Michel Agier (anthropologue, EHESS et IRD), Etienne Balibar (philosophe, université Paris-X et university of California), Marie-Claude Blanc-Chaléard (historienne, université Paris-X), Luc Boltanski (sociologue, EHESS), Marcel Detienne (historien, EPHE et université Johns Hopkins), Eric Fassin (sociologue, ENS), Michel Feher (philosophe, Paris), Françoise Héritier (anthropologue, Collège de France), Daniel Kunth (astrophysicien, CNRS), Laurent Mucchielli (sociologue, CNRS), Pap Ndiaye (historien, EHESS), Gérard Noiriel (historien, EHESS), Mathieu Potte-Bonneville (philosophe, Collège international de philosophie), Richard Rechtman (psychiatre, Institut Marcel Rivière, CHS la Verrière), Serge Slama (juriste, université d’Evry), Emmanuel Terray (anthropologue, EHESS), Tzvetan Todorov (historien, CNRS), Paul Virilio (urbaniste, Ecole spéciale d’architecture de Paris), Sophie Wahnich (historienne, CNRS) et Patrick Weil (historien, CNRS).

     


    Pour signer la pétition en ligne, cliquer ici

     

  • Tous les chemins mènent à Chestres

    Dans le cadre des rencontres avec la population de Vouziers, les élus étaient ce soir à Chestres.

     

    En introduction, le maire a fait un  court exposé des réalisations et des projets, avant d'ouvrir le débat avec la salle.

     

    Il s'agit bien d'un échange entre les élus de Vouziers et les habitants de cette même ville, puisqu'il a été reprécisé que Chestres n'était plus 225567-0038.jpg?t=8355une commune : cela a de l'importance en particulier pour la distribution du courrier, puisque les habitants n'ont pas reçu de correspondance dont l'adresse comportait le nom de Chestres. Cela a duré tant que le responsable de "La Poste" de Vouziers appliquait les consignes avec le maximum de rigueur (voir la note de l'an vert). Il semble que les choses se soient assouplies depuis quelques semaines.

     

    En dehors de ce problème, il a surtout été question de chemins et de routes.

    Certains chemins sont défoncés régulièrement, ne permettant plus un usage normal par les piétons ou les cyclistes. C'est le cas du chemin de la Pêcherie qui sera désormais réservé aux riverains. C'est un chemin parallèle à la route qui va vers Le Chesne, et qui démarre au niveau de la Maison de l'éleveur.

    Il a été rappelé des problèmes d'excès de vitesse (rue du Champ Maquet) et le danger de certains carrefours (dont celui de La Providence).

     

    La discussion a eu lieu en présence d'une quinzaine de personnes, de la part  desquelles on a entendu très peu de critiques.

    En fin de réunion, Françoise Cappelle qui est l'adjointe en charge de la culture a fait remarquer que la vie municipale ne se cantonnait pas aux travaux. Ce fût l'occasion d'évoquer le cinéma, la bibliothèque et la saison de spectacles vivants pour lesquels la ville investit beaucoup, alors que les bénéficiaires se retrouvent également dans les communes environnantes.

     

  • Grippe : la fin de l'épidémie

    Comme nous l'annoncions dans la note de l'an vert du 06/01, le déclin de l'épidémie est réel.

     

    La situation n'est plus considérée comme épidémique dans la plupart des régions. Elle devient "locale", c'est à dire qu'il persiste des foyers d'infection.

    A Vouziers comme dans toutes les Ardennes, les centres de vaccination adaptent leurs heures d'ouverture. La salle Bellevue ne sera plus ouverte tous les jours à partir de la semaine prochaine, et l'amplitude horaire va être réduite.

     

    Voici la carte actualisée du réseau grog.

     

     

    france.cgi?year=2010&week=1
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  • Agriculture : grosse déception sur la loi de modernisation

     

    Communiqué de la FNE (extraits)

     

    Bruno Le Maire présente demain en Conseil des Ministres le projet de loi de modernisation de l’agriculture (LMA), annoncé il y a près d’un an par Nicolas Sarkozy. En ce début d’année de la biodiversité, FNE soulève de graves lacunes, en particulier sur l’agriculture de Haute Valeur Environnementale et la forêt.

     


    Agriculture HVE : un oubli scandaleux

    La certification des exploitations agricoles de Haute Valeur Environnementale, qui consacrent plus de 10% de leur surface à la nature (haies, biocarburants.jpgbandes enherbées, etc.) et injectent moins de 30% d’intrants (engrais, pesticides, énergie, etc.) dans leur chiffre d’affaires, est l’une des mesures phares du Grenelle de l’environnement.

    « Des dizaines de réunions de groupes de travail ont conclu à la nécessité d’encourager financièrement l’agriculture HVE » rappelle Jean-Claude Bévillard, responsable agriculture de FNE. « La loi de modernisation était une formidable opportunité pour mettre en place un crédit d’impôt pour ces agriculteurs. Son absence du projet de loi est une grave lacune. » ajoute-t-il.

    La forêt : carton rouge !

    Le Grenelle de l’environnement avait donné lieu à un accord entre FNE et la profession forestière « Produire plus de bois tout en préservant mieux la biodiversité : une démarche territoriale concertée dans le respect de la gestion multifonctionnelle des forêts ». Ce texte met l’accent sur la nécessaire préservation de la biodiversité tout en répondant aux enjeux d’utilisation accrue de bois en tant que matériau et source d’énergie renouvelable.

    Or, en imposant aux territoires de mobiliser leurs bois, le projet de loi n'a retenu que le « produire plus de bois » !

    Pour François Lefèvre, responsable forêt de FNE : « L’Etat pousse à récolter du bois dans les espaces les moins accessibles, donc les plus préservés, sans se soucier des enjeux de biodiversité. Cela mérite un carton rouge, voire écarlate au moment même où l’on célèbre l’année d’une biodiversité dont le déclin se poursuit ! »

    La politique forestière doit sortir du carcan du Ministère de l’Agriculture !

  • Savigny sur FR3

    FR3 a consacré un reportage au problème du barrage envisagé à Savigny.

     

    Il est passé au journal régional du 10 / 01.


     

    Vous pouvez le voir par ce lien.


    Voir le reportage de la minute 4' 25 à la minute 6' 55.

     

     

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