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solidarité - Page 5

  • Concert de solidarité le samedi 16 septembre 2017

    Soirée café-concert avec le groupe Try’M, et les «Scarabés verts»
    (groupes locaux de rock, folk, variétés françaises...)
    Les bénéfices de la soirée seront reversés intégralement à l’association Huntington France (maladie qui se traduit par une dégénérescence neurologique), représentée par son antenne locale Ghislaine Gaté et Romain.


    La maladie de Huntington est une maladie génétique neurodégénérative héréditaire pour laquelle il n’existe à ce jour aucun traitement curatif.
    En France, cette maladie atteint environ une personne sur 10 000, ce qui représente environ 6 000 malades et 12 000 porteurs du gène défectueux provisoirement indemnes de signes cliniques.
    L’association, dotée d’un conseil scientifique, de délégations régionales et d’antennes de proximité, compte environ 1 100 adhérents et donateurs.



    Cette soirée aura lieu en présence du président de l’AHF et de Romain qui a écrit le livre « Ça m’fait un bien fou » sous l’impulsion d’Emmanuel Petit, parrain de l’AHF .

    Samedi 16 septembre 2017, salles des fêtes de Vouziers à partir de 20h30
    Entrée : 10 € (une boisson offerte). En-cas sucrés/salés
    Sur réservation à partir du 20 août au 06 60 19 29 02 ou chez G. Gaté, 10 rue Jean Jaurès, Vouziers.

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  • Le harcèlement contre Cédric Herrou, défenseur des droits des personnes migrantes, doit cesser

    Communiqué commun de l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme et de la LDH

     

    Paris-Genève, le 29 août 2017. L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme (un partenariat FIDH-OMCT) et la Ligue des droits de l’Homme (LDH) dénoncent le harcèlement policier et judiciaire commis en France à l’encontre de M. Cédric Herrou, comme précisé dans un appel urgent de l’Observatoire lancé le 28 août 2017. Ce harcèlement reflète une politique de la part du gouvernement français visant à faire obstacle au travail des défenseurs des droits des personnes migrantes et à leurs organisations.

    M. Cédric Herrou est victime de harcèlement du fait de son action de défense des personnes migrantes dans la vallée de la Roya, dans les Alpes Maritimes, théâtre d’une vaste opération policière impliquant plusieurs centaines d’agents et visant à décourager le passage et la présence de migrants dans la région.

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  • La condamnation de Cédric Herrou : une insupportable dérive politique de la justice

    Communiqué LDH suite à la condamnation en appel de Cédric Herrou à 4 mois de prison avec sursis

    Communiqué LDH

    En condamnant Cédric Herrou, la Cour d’appel d’Aix-en-Provence montre qu’elle a parfaitement intégré la volonté politique du gouvernement d’interdire l’aide aux réfugiés en faisant de la solidarité un instrument de la répression.

    Alors que, dans le même temps, le préfet de région interdit, impunément, aux réfugiés de déposer leurs demandes d’asile, un homme, soucieux du sort de personnes dans le plus grand dénuement, est poursuivi et condamné.

    La LDH dénonce cette situation et assure Cédric Herrou de sa totale solidarité.

    Paris, le 8 août 2017

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  • À Grande-Synthe, un maire fédérateur

    Extraits du reportage d'Amnesty International

    Damien Carême a ouvert, en mars 2016, le premier camp de réfugiés conçu aux normes de l’Onu.

    (...)

    Le camp de la honte

    À l’été 2015, les associations sont débordées. Avec la mairie, elles gèrent l’urgence avec des bouts de ficelle. Damien Carême se souvient : « J’ai appelé cet endroit : le camp de la honte ». Le camp du Barosch prend forme en bordure Est de la ville dès 2006, en face d’un quartier résidentiel. Plusieurs poignées de réfugiés s’arrêtaient quelques nuits sur ce campement avant de tenter la traversée vers l’Angleterre. Ce même été, l’État bloque la frontière à Calais et les dizaines de réfugiés de Grande-Synthe deviennent des centaines. Les services municipaux fournissent quelques tentes chauffées mais cela ne suffit pas. La situation se dégrade, les médias reprennent la formule-choc du « camp de la honte ».

    "Sur le camp, c’était abominable. Il y avait de la gale, des suspicions de tuberculose. Je ne voulais pas avoir un mort à cause de cela dans ma commune." Damien Carême, maire de Grande-Synthe

    Damien Carême s’est refusé de demander à l’État le démantèlement du camp. « Jamais, impossible. Politiquement, philosophiquement, éthiquement, tout en moi s’oppose à cette solution ». Alors il en cherche une autre. Avec l’ensemble des services municipaux, il passe des coups de fil au préfet, envoie des courriers au Premier ministre, au Président. Rien. Les mois passent. Toujours rien. Tant pis, « j’ai bien compris qu’il fallait que je me démerde tout seul. Alors, c’est ce qu’on a fait ». En novembre 2015, les associations comptabilisent 1 800 personnes, dont des femmes et des enfants, sur le camp du Barosch. Un millier de plus en décembre. Conscient des réalités et afin d’assurer la cohabitation entre habitants et réfugiés, Damien Carême tranche. Avec Médecins Sans Frontières, il annonce la construction du camp de la Linière, au sud-ouest de la ville, pour remplacer celui du Barosch. Coût global : 4 millions d’euros.

     

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  • Un insupportable harcèlement dans la vallée de la Roya

    Communiqué LDH

    Cédric Herrou, interpellé pour la troisième fois depuis le mois d’août, est actuellement en garde à vue. Une fois de plus, il lui est reproché de venir en aide à des migrants en grande détresse dans la vallée de la Roya. Le soutien dont il a bénéficié lors de son procès à Nice, le 4 janvier, montre qu’il est devenu la figure emblématique d’un large mouvement de solidarité envers des femmes et des hommes que la guerre ou la pauvreté ont jetés sur les routes de l’exil, au péril même de leur vie. Rappelons aussi que parmi ceux qui sont aidés par les habitants de cette vallée, il se trouve des mineurs dont la prise en charge par l’aide sociale à l’enfance ne devrait poser aucun problème, conformément aux engagements internationaux pris par la France.

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  • Réfugiés : ce que cache le mot « délit de solidarité »

    Communiqué d'Amnesty International

    A la frontière franco-italienne, des citoyen.ne.s sont poursuivi.e.s du fait de leur activité auprès de personnes migrantes ou réfugiées en provenance d’Italie. L’occasion de faire le point sur ce que dit le droit français, européen et international sur le sujet.

    La notion de « délit de solidarité » n’existe pas juridiquement. Elle a été utilisée par des associations pour dénoncer ce qu’elles considèrent comme étant un usage abusif de la loi.

    Cette notion se rapporte à un article du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CESEDA) – article L. 622-1, datant de 1945, et qui punit jusqu’à cinq ans d'emprisonnement et une amende de 30 000 euros "toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d'un étranger en France".

    Les exceptions « humanitaires » prévues par la loi

    Jusqu’à 2012, la seule assistance légale à un étranger en situation irrégulière était soumise à la condition que celui-ci se trouve en "danger actuel ou imminent". Une condition trop restrictive pour couvrir tous les cas d’aide légitime à une personne en situation irrégulière.

    Le 25 juillet 2012, Manuel Valls avait promis de "mettre fin au délit de solidarité qui permet de poursuivre l'aide désintéressée, apportée à des étrangers en situation irrégulière, sur la même base juridique utilisée pour les filières criminelles d'immigration".

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  • Attentat de Nice : appel à un rassemblement lundi à Vouziers

    Après les très nombreux attentats commis ces derniers temps en France et ailleurs, il ne peut être question de s'habituer à de tels massacres. Il reste nécessaire de continuer à vivre en s'appuyant sur les valeurs républicaines que nous partageons. C'est le meilleur moyen pour ne pas tomber dans le piège qui nous est tendu, et qui veut nous pousser à construire une société de haine et de rejet de l'autre.

    Nous rejoignons l"appel à un moment recueillement et de soutien aux familles des victimes de l'attentat de Nice, qui aura lieu lundi 18 juillet à midi place Carnot .

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