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cinéma - Page 4

  • Festival ciné d'ATTAC.08 du 15 au 17 Novembre 2013

    Le festival ciné d'attac08, c'est pour bientôt ! Il a lieu le Vendredi 15, Samedi 16 et Dimanche 17 Novembre au cinéma Métropolis de Charleville-Mézières.


    3 jours et 5 films au programme ! (tarifs ---> 1 film : 5 € - 3 films : 13 € - 5 films : 20 €)

    On débutera le festival avec la projection le Vendredi à 20h de "Mémoire d'un saccage. Argentine, le hold-up du siècle".

    Ce documentaire de Pino Solanas porte sur l'histoire récente de l'Argentine. On y démonte les mécanismes qui ont causé la faillite d'un pays prospère, où la population gagnait bien sa vie et bénéficiait de services publics de qualité : la nationalisation de dettes privées et l'explosion d'autres dettes odieuses, les privatisations et la corruption politico-financière qui vient avec, suivies de la détérioration des services, le libre-échange dont le pays sort perdant, la promotion par les médias du rôle du privé au détriment de celui du public, l'impunité, la répression, les plans d'austérité.

    Cela ne vous rappelle pas quelque chose ?

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    A la suite du film, nous aurons l'occasion de débattre avec Chloé Etsi et Yiorgos Vassalos de l’Initiative Grecque à Bruxelles.

    Voici la suite du programme de ces trois journées :

     

    Le Samedi 16 : Transition énergétique

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    A 15 h : projection de “Héritage Fight”. Puis débat avec Eugénie Dumont, la réalisatrice.

    A 20 h : projection de “Promised Land”. Puis débat avec Antoine Guilleux d'Enercoop Ardennes.

     

    - Le Dimanche 17 : Bilan et perspective.

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    A 14h30 : projection de “Le revenu de base”. Puis débat avec Jean-Marc Scattolin, responsable local Meurthe et Moselle du mouvement français pour le revenu de base.

  • Anniversaire du Cinema : se souvenir des belles choses

    Même si l'année 2013 risque d'être difficile pour l’équilibre budgétaire du cinéma, pour commémorer le vingt-cinquième anniversaire de son ouverture les responsables ont voulu surtout retenir tous les événements importants qui ont fait vibrer les spectateurs de Tourelles ces dernières années.

    Le président Sylvain Machinet a retracé l'histoire du cinéma, tâche pour laquelle il était particulièrement bien placé, non seulement en tant que président de l'association qui le gère mais aussi en tant qu'ancien adjoint à la culture qui avait porté le projet.

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    Les personnalités présentes ont ensuite pris brièvement la parole pour souligner l’importance d'un tel équipement pour la ville et ses environs.

    Le Sous-préfet a insisté sur l'impact du cinéma sur l'image et le rayonnement de la ville et il a souligné le message culturel du cinéma en rappelant l'importance de créateurs comme Patrice Chéreau qui vient de disparaître.

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    La salle d'exposition des Tourelles est décorée de 25 affiches de cinéma, une par année passée, avec un film correspondant au millésime, ayant eu ou pas un grand succès en terme d'entrées payantes.

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  • Cine-débat d'ATTAC : Mains Brunes sur la Ville

    ATTAC 08 fait toujours et encore son cinéma

    Mardi 17 Septembre : rendez-vous au cinéma Métropolis pour un ciné-débat d'attac08.

    A 20 h : projection du film « Mains Brunes sur la Ville ».

    Ce documentaire présente des villes dont le maire est d'extrême-droite. On y découvre alors comment s' applique un programme d'extrême-droite

    Le film sera suivi d'un débat.

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  • Le prochain ciné d'Attac 08: Mardi 28 Mai

     

      Mardi 28 Mai 2013 20H00  
      Cinéma Métropolis | 6 rue de longueville à Charleville-Mézières |  
      Un débat aura à lieu à l'issue de la projection.

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    L'Histoire :


    Un monde est en train de finir où plus rien ne semble pouvoir continuer comme avant. Les bouleversements s’imposent à tous, l’avenir paraît incertain. Le pire est-il pour autant inévitable ? A travers l’évocation de leurs expériences, des jeunes travailleurs et chômeurs témoignent des méfaits d’une société qui formate les hommes et leur mode de vie. Ils engagent une réflexion sur la nécessité d’initier d’autres pratiques politiques et d’autres rapports sociaux que ceux induits par le salariat et le consumérisme. S’esquissent alors des perspectives de transformations sociales où l’utopie se substitue au réalisme mortifère.

     

    PUTAIN D’USINE

    Librement adapté du livre Putain d’usine de Jean-Pierre Levaray, le film s’attache à restituer son témoignage et celui de quelques-uns de ses collègues sur leur quotidien de salariés dans une usine chimique. En levant le voile sur les non-dits de la condition ouvrière, ils s’interrogent sur le sens de leur travail, sur les finalités du salariat et plus généralement sur les contradictions d’une société dans laquelle chacun, à des degrés divers, s’en ressent tout autant la victime que le complice involontaire.

  • Le prochain ciné d'Attac 08 (rappel)

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    Avec François Morel, Jacques Weber, Edouard Baer, Patrick Mille
    D’après la pièce de Frédéric Lordon
    « D’un retournement l’autre. Comédie sérieuse sur la crise financière »

      Mardi 26 Mars 2013 20H00  
     

    Cinéma Métropolis | 6 rue de longueville à Charleville-Mézières

  • Le prochain ciné d'Attac 08 :Le Grand Retournement

     

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    Un film de Gérard Mordillat

       
       

    Avec François Morel, Jacques Weber, Edouard Baer, Patrick Mille
    D’après la pièce de Frédéric Lordon
    « D’un retournement l’autre. Comédie sérieuse sur la crise financière »

      Mardi 26 Mars 2013 20H00  
     

    Cinéma Métropolis | 6 rue de longueville à Charleville-Mézières

    Synopsis :

    C’est la crise, la bourse dégringole, les banques sont au bord de la faillite, le crédit est mort, l’économie se meurt… Pour sauver leurs mises les banquiers font appel à l’État. L’État haï est soudain le sauveur ! Les citoyens paieront pour que le système perdure, que les riches restent riches, les pauvres pauvres. Adaptée de la pièce de Frédéric Lordon cette histoire d’aujourd’hui se raconte en alexandrins classiques. C’est tragique comme du Racine, comique comme du Molière…

    Extrait de l'entretien avec G Mordillat :

    Le livre est paru en mai 2011. Entre-temps, la situation politique a changé. En avez-vous tenu compte ?


    Les acteurs, Frédéric Lordon et moi-même étions d’accord sur le fait qu’il n’y avait aucun réaménagement à opérer. Que ce serait une erreur de vouloir coller à l’actualité. La mise en cause de la politique néo-libérale d'un gouvernement de droite l’est encore aujourd’hui - et peut-être de façon beaucoup plus cruelle - sous un gouvernement de gauche. La force de l’analyse de Frédéric Lordon, c’est qu’elle traverse le temps. La critique que l’on peut faire aujourd’hui des institutions bancaires, de la Banque Centrale Européenne, de l'asservissement du politique à l’économie est tout aussi fondée qu'elle l'était il y a trois ans. La question qui se pose, et qui se posera à ceux qui verront le film en 2013 : comment se fait-il qu’un gouvernement socialiste élu par une majorité populaire poursuive une politique économique et financière au détriment absolu des intérêts de ses électeurs ?

  • Mardi 22 janvier, ciné d'Attac 08 : "Tous au Larzac"

    «Pour la terre qui fait vivre, contre les armes qui tuent. La résonance universelle de ce qui est ainsi affirmé dans ce lieu singulier.
    L’ambiance prophétique qu’on y ressent quant à l’humanité à promouvoir. Oui, l’expérience des luttes du Larzac joue un rôle très particulier dans notre mémoire.

    Elle ouvre les coeurs à une émotion communicative. C’est comme si elle nous incitait à aborder avec plus de confiance et plus de détermination les défis vécus comme graves. De l’humanisme dont cette expérience porte la marque nous savons que nous avons plus que jamais besoin.»


    Stéphane Hessel
    Texte tiré de la préface du livre : Le Larzac s’affiche - Solveig Letort,
    Stéphane Hessel, Louis Joinet
    © Éditions du Seuil.

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    ACTUALITÉ DU LARZAC


    Ce film est une donc une invitation à porter un regard neuf sur les années 70, qui ont vu toute une génération tenter de mettre en pratique les rêves de mai en prolongeant une insurrection qui leur avait laissé le goût amer de l’inachevé. Je voudrais que cette histoire, on puisse s’en nourrir pour regarder notre monde, ici et maintenant. Ce qui a caractérisé les luttes de cette période, n’est pas, comme on l’a dit parfois, le dogmatisme gauchiste, mais au contraire une incroyable liberté d’invention et de ton, une fierté, une insolence, une imagination sans bornes.


    Cette capacité à inventer des moyens inédits de se défendre collectivement nous fascine car elle semble faire défaut aujourd’hui, ou tout au moins souffrir sous le boisseau des structures mentales anciennes, des modes médiatiques, de la résignation et du découragement aussi. Dans cette mesure, le Larzac nous parle de nous aujourd’hui.


    Il y a dans cette histoire matière à rêver d’une société où il est possible de dire non à l’inacceptable, où il est possible d’imaginer ensemble, où l’individu trouve sa place dans une communauté vivante qui ne fait pas de lui un simple exécutant de décisions prises forcément au-dessus de lui.


    Il ne s’agit pas là de proposer un modèle, l’histoire ne repasse pas les plats. Rien n’est transposable, le monde va si vite. Quant aux “modèles” qu’on a prétendu nous faire suivre naguère, ils ont fait faillite, quand ils ne se sont pas terminés en bain de sang. Il s’agit modestement, à travers le récit d’une lutte longue et terrible, de laisser monter en nous la petite musique de la connivence, de vibrer avec les acteurs, de craindre avec eux, de rire avec eux, de s’immiscer dans l’intimité d’un groupe qui invente. Ils l’ont fait, c’est donc possible ?


    S’il y a une actualité du Larzac, c’est là qu’elle se trouve à mes yeux. Dans ce que cette histoire peut remuer en nous, dans la force subversive dont elle est porteuse.
    À chacun d’en faire, ou non, son miel.

    Christian Rouaud (réalisateur du film)

     

    Mardi 22 Janvier 2013 20H00

    Cinéma Métropolis | 6 rue de longueville à Charleville-Mézières

     

    Un débat aura à lieu à l'issue de la projection.

    Intervenant : Gilles Lemaire,

    membre du conseil d'administration d'Attac France

    militant des comités Larzac dans les années 1972-1981