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société - Page 240

  • « Climat : est-ce déjà trop tard ? », la conférence du Tour Alternatiba

    Chaque soir pendant 4 mois, l’équipe du Tour Alternatiba donne une conférence sur l’urgence climatique et les solutions pour y faire face. Basée sur l’action des trois mouvements organisateurs (Amis de la Terre, Action non-violente COP21, Alternatiba) et de leurs partenaires, elle donne des pistes afin que chacun⋅e puisse s’engager pour le climat.

    Le Tour Alternatiba a un message à faire passer, qui va bien au-delà de “c’est chouette de faire du vélo à 4 places avec des t-shirts verts” ! Il y a d’abord un constat à rappeler : nous sommes en état d’urgence climatique, le dérèglement est enclenché et si l’on ne fait rien maintenant, nous risquons un emballement encore plus dramatique. Or la réponse des gouvernements n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Nous ne pouvons pas nous permettre de tout miser sur les décisions nationales et internationales, c’est maintenant qu’il faut agir.

    Alternatives et résistances pour agir concrètement

    Nous devons donc être très nombreux⋅ses à nous engager dans les alternatives, à rejoindre celles qui existent près de chez nous et à en développer d’autres. La bonne nouvelle, c’est qu’agir pour le climat, c’est aussi améliorer nos conditions de vie : alimentation plus saine, création d’emplois locaux et durables, circuits courts qui renforcent les liens humains, réduction des pollutions, donc des maladies environnementales, etc.

     

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  • Sénatrices et sénateurs, agissez pour mettre fin à l’enfermement des enfants !

    Communiqué commun : La Cimade, Réseau Education sans frontières (RESF), Ligue des droits de l’Homme (LDH), Anafé, Mrap, Syndicat des avocats de France (Saf), France terre d’asile, Clowns sans frontières, Syndicat national des médecins de PMI (SNMPMI), Centre Primo Lévi, Elena, Acat, Assfam-Groupe SOS solidarités, Amnesty international France et Unicef France

    Plus de 100 000 signataires soutiennent cette demande

    À la veille du débat en plénière au Sénat sur la loi Asile et Immigration, 15 associations appellent les sénatrices et sénateurs à mettre fin définitivement à la rétention administrative d’enfants en l’inscrivant dans la loi. Plusieurs amendements ont été présentés en ce sens.

    La France a été condamnée six fois par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour pratiques « inhumaines et dégradantes » à l’encontre d’enfants enfermés en rétention. L’Etat feint d’ignorer ces condamnations : au 15 mai 2018, 37 familles dont 77 enfants ont déjà été placées dans des centres de rétention administrative, notamment par les préfectures de police de Paris, de Moselle et du Doubs.

    Pourtant, l’enfermement, même de courte durée, a des conséquences très graves sur la santé physique et psychique d’enfants très jeunes – parfois des nourrissons – ou d’adolescents qui se trouvent privés de liberté, surveillés par des policiers, enfermés derrière un grillage, et ceci uniquement en raison du statut migratoire de leurs parents.

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  • Les super-héros au chômage ?

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    Dessin de Lectrr pour " De Standaard" ( (Belgique).

  • EPR de Flamanville : il faut stopper la fuite en avant et abandonner définitivement le chantier !

    Communiqué du réseau "Sortir du Nucléaire" le 31 mai 2018

    Alors qu’EDF s’apprête à annoncer un nouveau retard pour l’EPR de Flamanville, le Réseau “Sortir du nucléaire" appelle à arrêter les frais et à stopper ce chantier catastrophique.

    Des défauts graves sur des équipements cruciaux

    En avril 2018, des défauts graves ont été détectés sur des soudures du circuit secondaire de l’EPR de Flamanville. Alors qu’il s’agit de composants cruciaux pour la sûreté qui, pour éviter à tout prix tout risque de rupture, doivent présenter une qualité irréprochable, ces soudures n’avaient pas été effectuées dans les règles de l’art. Pire, l’entreprise sous-traitante qui les avait contrôlées les avait déclarées conformes !

    Malgré ces défauts, EDF comptait effectuer des essais sur ces canalisations défectueuses cet été en y diffusant de la vapeur radioactive...

    Or selon des informations diffusées aujourd’hui par Libération, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), jouant cette fois-ci son rôle, exige aujourd’hui qu’EDF reprenne la quasi-totalité des 150 soudures concernées, ce qui pourrait se traduire par un report en 2020 du démarrage du réacteur.

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  • « Nous avons aidé, nous aidons et aiderons toute personne migrante dans le besoin »

    Tribune.
    Le samedi 21 avril, quelques dizaines de militants du mouvement extrémiste Génération identitaire se retrouvent au col de l’Echelle, dans les Alpes, avec pour objectif de bloquer l’arrivée des personnes migrantes et de les renvoyer vers l’Italie, quitte à les mettre en danger. Ils déploient des banderoles haineuses et matérialisent symboliquement la frontière avec une barrière de chantier. Ils s’instaurent en milice, dont les slogans et motivations sont clairement racistes.
    Nous rappelons que les provocations publiques à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale constituent un délit (art. 24, alinéa 6, loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse) punissable d’un an d’emprisonnement et/ou d’une amende de 45 000 euros au plus. Les forces de l’ordre ne sont pas intervenues pour mettre fin à cette action, la considérant donc, implicitement, comme tout à fait légale. Le ministre de l’intérieur lui-même a d’ailleurs minoré ces faits en les qualifiant de « gesticulations ».


    En réaction à cela, plus de 160 personnes solidaires ont lancé un cortège spontané pour passer la frontière avec des personnes migrantes. Contrairement aux identitaires, les solidaires se sont heurtés à un cordon de gendarmes, qui ont finalement laissé la manifestation avoir lieu.
    Quelques heures plus tard, alors que le cortège était terminé depuis longtemps, trois jeunes gens qui en faisaient partie, Bastien et Théo, deux Suisses, et Eleonora, une Italienne, ont été arrêtés et placés en garde à vue. Ils sont restés en détention provisoire à la maison d’arrêt des Baumettes à Marseille pendant neuf jours avant d’être libérés le 3 mai. Leur procès a été fixé à la date du 31 mai.

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  • Secret des affaires : Un accord en catimini sur le dos de nos libertés

    Communiqué de la Coalition Stop secret des affaires

    La Commission mixte paritaire (CMP) s’est prononcée jeudi 24 mai sur la proposition de loi « Secret des affaires » portée par le député Raphaël Gauvain. Les députés et les sénateurs (LR et LREM) se sont mis d’accord sur un texte proche de celui élaboré par l’Assemblée nationale.

    Aucun des amendements proposés par notre coalition pour protéger les libertés n’a été retenu, contrairement aux engagements pris par l’Elysée.

    Pourtant, plus de 550 000 citoyen.ne.s ont signé une pétition dénonçant ce projet de loi et le 16 avril 52 organisations et 23 SDJ ont interpellé le président de la République.

    Les parlementaires ont ainsi manifesté leur refus de circonscrire l’application du texte au vol d’informations dans un but de concurrence déloyale. Raphaël Gauvain et le gouvernement ont, au contraire, privilégié une application la plus large possible du secret des affaires.

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  • L'Irlande vote "oui" en faveur de la libéralisation de l'avortement

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    Communiqué du planning familial

    Oui ! Oui à la libéralisation de l’avortement, oui au choix, à la possibilité pour les Irlandaises de demander une interruption volontaire de grossesse en Irlande. Oui à la suppression du 8e amendement de la constitution irlandaise qui interdisait de facto l’avortement en Irlande. 

    Une fois les résultats enregistrés, le huitième amendement de la constitution sera purement et simplement supprimé. Une loi, proposée par le gouvernement mais élaborée après consultation avec tous les partis, sera alors proposée au vote du Dail, le parlement. Elle prévoit d’autoriser l’avortement jusqu’à 12 semaines de grossesse, en ligne avec la plupart des pays européens.

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