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politique internationale - Page 82

  • Ensemble, pour la défense du droit à l’avortement

    Communiqué LDH

    En 1975 et grâce aux luttes des femmes, le législateur a reconnu et organisé l’interruption volontaire de grossesse. Attentive à voir la loi adoptée et soucieuse de la nécessaire collaboration des médecins, Simone Veil a inscrit la clause de conscience dans le texte. En même temps, le législateur a pris soin de préciser que si un professionnel de santé n’est pas obligé de pratiquer cet acte qu’il ne peut ou ne veut effectuer, il a en revanche obligation d’adresser la patiente à un confrère ou une consœur. Cette clause, parce qu’elle est « de conscience », ne saurait être remise en cause, mais elle n’autorise ni le docteur de Rochambeau ni aucun autre médecin à s’opposer, au gré de ses valeurs personnelles, au choix d’une femme. Au vu des innombrables pratiques entravant l’accès à l’IVG, il faut le rappeler avec force.

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  • Attac Ardennes fait sa rentrée au cinéma

    Le prochain ciné-débat d'Attac08 est programmé le mardi 25 septembre à 20 h au cinéma Métropolis de Charleville-Mézières.
    Ce soir-là, nous avons décidé de revenir sur les 10 ans de la crise de 2008 en projetant le film "Quand les bulles éclatent". Ce film norvégien produit en 2017 revient sur les rouages présents derrière les bulles spéculatives et les krachs boursiers, et enrichit le débat sur les tendances et prévisions pour le futur de l'économie mondiale. Plusieurs intellectuels et penseurs des plus actifs, dont Joseph STIGLITZ, prix Nobel d'Economie, et Michael LEWIS (auteur de "The Big Short") partagent leurs idées et leurs solutions dans ce documentaire coup de poing qui nous fait voyager de la campagne norvégienne aux épicentres économiques du monde.Des infos et des extraits du film sont visibles ici : https://www.jupiter-films.com/film-quand-les-bulles-eclatent-71.php.
    Comme d'habitude, un débat suivra la projection. Nous aurons le plaisir d'avoir parmi nous Isabelle Bourboulon. Isabelle Bourboulon est membre d'attac France. Elle est auteure et journaliste spécialisée en économie. Elle vient notamment de participer à l'écriture du livre "10 ans après la crise, prenons le contrôle de la finance". https://france.attac.org/actus-et-medias/salle-de-presse/article/nouveau-livre-d-attac-10-ans-apres-la-crise-prenons-le-controle-de-la-finance

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  • Climat : Société Générale visée par des actions de “nettoyage” partout en France, et aussi à Vouziers

    À l’occasion de la journée de mobilisation pour le climat, 38 actions de “nettoyage” ont été menées dans des agences Société Générale par des groupes des Amis de la Terre et Action Non-Violente COP21. Ils appellent la banque, n°1 des énergies sales, à mettre fin à ses soutiens aux énergies fossiles, et notamment au projet texan de terminal d’export de gaz de schiste Rio Grande LNG.

    Dans ce cadre, une action a été menée ce jour à Vouziers. Voici le communiqué qui relate cette mobilisation.

    Scène inédite ce matin à l’agence de la Société Générale de Vouziers: 22 membres du collectif citoyen Ardennes ANV-COP21 (Action Non Violente-Cop21) sont entrés munis de seaux, d’éponges et de balais pour faire le ménage de la banque, qui continue d’apporter son soutien aux industries fossiles les plus polluantes et impactantes pour les populations : le gaz de schiste, le charbon, les sables bitumineux, les forages en eaux profondes et en Arctique, les terminaux de gaz naturel liquéfié. Ils répondaient à un appel national à mener des actions pour dénoncer la politique climaticide de la banque Société générale

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  • Haute mer : le traité de la dernière chance

    C’est une opportunité historique qui se présente à nous : les négociations onusiennes sur le Traité mondial sur la haute mer vont enfin s’ouvrir. Greenpeace s’est battue pendant des années pour qu’un tel traité soit adopté. Les enjeux sont immenses. Les scientifiques parlent de “la dernière chance pour les océans”. Et c’est exactement de cela dont il s’agit.

    Pourquoi l’adoption de ce traité est-elle si importante ?

    C’est incroyable mais vrai : à l’heure actuelle, l’espace océanique se situant au-delà des frontières nationales (aussi appelé la haute mer) ne fait l’objet d’aucune protection. C’est le far west. Il existe différents textes et organisations portant sur la haute mer, mais ils régulent principalement son exploitation et n’ont pas pour objet de la protéger.

    Aujourd’hui, nous avons une chance de changer cela : un traité mondial pourrait rendre possible la création d’un vaste réseau d’aires marines protégées, couvrant au moins 30% des océans d’ici à 2030.

    Les océans sont un immense réservoir de nourriture pour les animaux marins et les êtres humains. Sans eux, nous ne pourrions pas survivre sur cette planète. Ce ne sont pas seulement d’immenses réserves d’eau salée. C’est tout un monde grouillant de vie qui s’étend à perte de vue, l’habitat d’une biodiversité exceptionnelle, dont des tortues, des baleines, des requins, des dauphins, et tellement plus. Au plus profond, sur le plancher océanique, des récifs coralliens et des jardins d’éponges foisonnent dans l’obscurité, offrant ainsi un refuge pour les poissons d’eaux profondes et de nombreuses autres créatures. Nous commençons à peine à explorer ce monde mystérieux, mais une chose est d’ores et déjà claire : si nous ne le protégeons pas dès maintenant, nous le perdrons avant même d’avoir vraiment fait sa connaissance

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  • Combats intenses à Tripoli, en Libye : des milliers de personnes en danger immédiat

    Communiqué de Médecins Sans Frontières le 31.08.2018.

    Tripoli/Amsterdam – Depuis trois jours, la vie de Libyens ainsi que de réfugiés et migrants bloqués en Libye est mise en grave danger du fait de combats intenses dans Tripoli. Des migrants et réfugiés arbitrairement détenus dans les centres de détention dits officiels ont été pris au piège, abandonnés et enfermés pendant deux jours dans la zone des bombardements, et sans aucun accès à de la nourriture. D’autres ont été relâchés, n’ayant d’autre choix que de courir pour leur vie, espérant ne pas être pris dans les feux croisés et atteindre d’autres quartiers de Tripoli.

    MSF réitère que la Libye ne peut être considérée comme un pays sûr, et que les gouvernements européens doivent prendre leurs responsabilités, arrêter de soutenir le renvoi et maintien à tout prix des réfugiés et migrants en Libye et venir en aide aux personnes extrêmement vulnérables qui s’y trouvent actuellement coincées.

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  • Communiqué de presse – Un très triste et violent anniversaire…

    Salah Hamouri est né d'une mère française, Denise Guidoux, originaire de Bourg-en-Bresse (Ain), professeur de français à Jérusalem, et d'un père palestinien, Hassan Hamouri, restaurateur à Jérusalem-Est. Il est français par sa mère ; son père est Palestinien de Jérusalem. Il cumule donc la nationalité française avec le statut de Palestinien de Jérusalem (il dispose d'une carte d'identité israélienne, et a le droit de vote aux élections locales).

    Ancien élève de l'école privée catholique De La Salle College, des frères des Écoles chrétiennes, à Jérusalem, il décide après son baccalauréat de faire des études de sociologie à l'université de Bethléem. Après sa sortie de prison, il suit des études de droit et devient avocat au barreau palestinien en août 2017.(Source Wikipedia)

    Communiqué de presse de l'Agence Média Palestine

    ll y a un an, le 23 août 2017, notre compatriote Salah Hamouri était arrêté en pleine nuit, chez lui à Jérusalem, par l’armée israélienne. Trois jours auparavant il avait prêté serment devant le barreau de Ramallah : il était devenu avocat et allait enfin pouvoir mettre son énergie à la défense des droits humains de ses compatriotes, de manière professionnelle et reconnue. Dans un premier temps, un tribunal décidait de le libérer sous conditions.

    Cette décision fut rapportée sur le champ du fait de la décision du ministre israélien de la Défense, l’ultra extrémiste Avigdor Lieberman, qui signait de sa main un ordre de mise en détention administrative de Salah Hamouri pour 6 mois renouvelables. Ceci sans inculpation, sans preuves d’une quelconque culpabilité, sans le moindre droit à la défense, sans le moindre procès. Rien de tout cela. Seulement une décision politique arbitraire. Au bout des 6 mois de détention arbitraire, un autre ordre fut donné : ce sera 4 mois de plus. Puis au bout de ces 4 mois : ce sera 3 mois de plus. Ainsi, depuis un an, notre compatriote est en prison. Pour rien. Du moins rien qui relève de la Justice et des droits humains. L’objectif de cette décision incroyable et effroyable est parfaitement clair.

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  • Un an après, toujours pas de justice pour les Rohingyas

    Publié le 24.08.2018 par Amnesty International.

    L’absence de réaction de la part des dirigeants du monde ont permis aux responsables du massacre des Rohingyas d’être toujours en liberté.

    Plus de 700 000 femmes, hommes et enfants rohingyas ont fui le nord de l’État d’Arakan pour gagner le Bangladesh, après que les forces de sécurité du Myanmar ont lancé une vaste attaque systématique contre des centaines de villages rohingyas le 25 août 2017.

    L’offensive a été lancée en réponse à une série d’attaques menées contre des postes de sécurité par l’Armée du salut des Rohingyas de l’Arakan (ARSA), un groupe armé rohingya.

    Tant que leurs tortionnaires des forces de sécurité du Myanmar resteront en liberté, il est absurde de penser que les réfugiés rohingyas pourraient rentrer chez eux de manière sûre, digne et volontaire.

    Cet anniversaire est un jalon honteux. L’absence persistante d’action de la communauté internationale pour amener les responsables de crimes contre l’humanité à rendre des comptes risque de laisser entendre non seulement que l’armée du Myanmar restera impunie mais qu'elle pourra également librement commettre de nouveau de telles atrocités.

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