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Monde agricole - Page 35

  • Marché campagnard et artisanal de Vouziers

    Le marché hivernal proposé par "Richesses d'Ardennes" se tient depuis plusieurs années à la salle des fêtes de Vouziers. La situation sanitaire actuelle a imposé des contraintes qui n'ont pas empêché la tenue de cette manifestation.

    Malgré la météo maussade et les précautions à respecter, de nombreuses personnes se sont rendues à ce rendez-vous saisonnier des producteurs locaux. La matinée a été particulièrement bien fréquentée,  l'après-midi s'est montré plus calme.

    Les exposants habituels ont répondu présent, avec une variété de métiers de bouche ou d'artisanat.

    Voici quelques clichés de cette journée, en attendant les saisons suivantes qui se dérouleront sur des sites en plein air.

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  • Marché campagnard à Vouziers dimanche 07 février

    Nous vous donnons rendez-vous le dimanche 7 Février 2021 pour l'hiver des 4 Saisons Vouzinoises, dans la salle des fêtes de Vouziers, rue du Chemin salé...
    Ouverture des portes à 10h00.
     
    18 producteurs et créateurs seront présents:
     
    GAEC Malvaux élevage charolais
    Clos de Gobu
    Fil'Art NoGa
    Les Confitures d'Ardennes
    Gite de la Miellerie
    Cidrerie de Warnecourt
    La Boultangerie
    Fromagerie " ferme des Lauriers"
    Ferme de Longwé
    La Ferme Sous Le Porche
    Au bon lait de Marguerite
    Moulin de la Ferme Cotton-Haller
    La Boite à Thé
    Décoration intérieur
    Les Editions Noires Terres SARL LPA
    Gilles Durmois
    Verte Blanche
    Alex Litho

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  • Betteraves : les paysan.nes ont besoin de prix rémunérateurs pas de néonicotinoïdes

    Jusqu'au 25 janvier, à minuit, se tient la consultation du public sur le projet d'arrêté autorisant, au titre de la campagne 2021, pour une durée de 120 jours, l'emploi de semences de betteraves sucrières traitées avec un pesticide contenant la substance active imidaclopride ou thiamethoxam.

    Dans sa contribution, la Confédération paysanne a rappelé son opposition à cette ré-autorisation. Les néonicotinoïdes étaient interdits depuis le 1er septembre 2018, conformément à loi biodiversité du 8 août 2016 ; pour des raisons sanitaires et environnementales largement reconnues. En revenant sur cette interdiction, le gouvernement et de nombreux.ses élu.es, qui n'ont eu de cesse de répéter les arguments des industriels, ont fait le choix du renoncement volontaire face au monde économique.

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  • Méthanisation : la Confédération paysanne demande un moratoire

    A l'occasion des vœux à la presse ce matin, la Confédération paysanne a rendu publique sa demande de moratoire sur la méthanisation à l'adresse de la Ministre de la transition écologique. Technologie majoritairement industrielle encouragée par les VISUEL_metha.pngpouvoirs publics, la méthanisation est présentée à la fois comme une énergie renouvelable, comme un complément de revenu pour les paysan.nes et comme une possibilité de s'affranchir des engrais de synthèse
    Or, sur le terrain, de nombreux problèmes ont été mis en évidence : renchérissement du foncier, investissements importants sur les fermes qui risquent de figer les systèmes, concurrence entre cultures alimentaire et énergétique, gestion des digestats et risques accidentels sanitaires et environnementaux, notamment au cours des phases d'exploitation et de maintenance

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  • Le retour des néonicotinoïdes se précise

    Communiqué de la LPO le 8 janvier 2021 

     L’arrêté ministériel autorisant à nouveau l’emploi de ces insecticides toxiques pour l’environnement vient d’être soumis à la consultation publique. La LPO appelle à s’opposer à ce dangereux retour en arrière.  

    Adoptée en dépit d’une forte mobilisation citoyenne, la loi n° 2020-1578 du 14 décembre 2020 prévoit la possibilité de permettre l’utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des produits contenant des néonicotinoïdes ou présentant des modes d’action identiques à ceux de ces substances.

    Ainsi, jusqu’au 1er juillet 2023, de telles dérogations sont possibles par le biais d’un arrêté conjoint des ministres chargés de l’agriculture et de l’environnement. Le 4 janvier 2021, un projet d’arrêté a donc été soumis à la consultation du public, étape obligatoire avant la signature ministérielle et sa promulgation. 

    Cet arrêté prévoit ainsi d’autoriser, au titre de la campagne 2021 et pour une durée de 120 jours, l’emploi de semences de betteraves sucrières traitées avec deux insecticides neurotoxiques de la famille des néonicotinoïdes : l’imidaclopride ou le thiamethoxam.

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  • Pesticides dans les fruits et légumes : les efforts insuffisants de la grande distribution


    Alors que les néonicotinoïdes ont fait leur grand retour dans la filière de la betterave et que le glyphosate ne sera finalement pas interdit en France, Greenpeace France publie aujourd’hui un état des lieux sur les engagements de sept enseignes françaises en matière de réduction des pesticides. Après cinq ans de campagne auprès de la grande distribution , Greenpeace constate qu’aucune enseigne n’a réussi à réduire sérieusement l’usage de pesticides, bien que la quasi-totalité se soit néanmoins positionnée sur la question.

    Un problème pris en considération… mais sur de trop faibles volumes
    “En cinq ans, un vrai changement des mentalités s’est opéré et les enseignes ont, pour la plupart, réellement pris le problème des pesticides au sérieux, constate Laure Ducos, chargée de campagne Agriculture et alimentation à Greenpeace France. Cela s’est traduit par la mise en place d’états des lieux, de plans ou de démarches de progrès. Malheureusement, le compte n’y est pas : bien que de nombreuses filières de fruits et légumes soient concernées, cela reste dans le cadre des marques de distributeurs, qui représentent in fine de faibles parts du volume total vendu par chaque enseigne. Il y a un vrai sujet sur les marques nationales, c’est-à-dire les marques qui n’appartiennent pas aux enseignes et qui constituent le plus gros des volumes vendus dans la grande distribution.

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  • Sivens : la justice condamne l'état pour ses fautes

    Plus de 5 ans après l’abandon du projet de retenue à Sivens, le tribunal administratif de TOULOUSE vient à nouveau de sanctionner l’État dans cette affaire. Si le barrage n’a jamais été édifié, d’importants travaux ont été entrepris illégalement, altérant fortement une zone humide majeure et une biodiversité riche, caractérisée par une myriade d’espèces animales et végétales protégées. La Justice condamne aujourd’hui les fautes de l’État tout en indemnisant à 10 000 € chacune, le préjudice de deux associations particulièrement actives contre ce projet depuis son origine : le collectif pour la sauvegarde de la zone humide du TESTET et FNE Midi-Pyrénées.

    Un site laissé à l’abandon pendant plus de 3 ans

    L’historique du barrage abandonné est malheureusement connu : afin de subvenir aux besoins hydrauliques autour de la rivière du Tescou dans le Tarn, un projet de retenue a été initié. Si le département accompagné de la Compagnie d’aménagement des coteaux de Gascogne (CACG) se sont rapidement accordés sur la création d’une retenue, nos associations environnementales se sont fermement opposées dès 2011, aux travaux envisagés, qui impliquaient l’ennoiement de 13 hectares de zone humide et des centaines d’espèces protégées, sans pour autant garantir le remplissage du barrage.

    Malgré l’ensemble des avis défavorables émis pendant l’instruction du projet, les préfets du Tarn et de Tarn-et-Garonne ont délivré toutes les autorisations nécessaires à sa réalisation. Nous avons bien entendu attaqué ces arrêtés, qui ont tous été annulés en juillet 2016.

    Mais entre-temps, la mise en demeure de la Commission européenne pour violation de la directive cadre sur l’eau et la disparition tragique d’un manifestant ont mené à l’abandon du projet. Pour autant les travaux de défrichement et de génie civil ayant été réalisés auparavant avec célérité ont porté gravement atteinte à l’ensemble du site comprenant plus de 18 Ha de zone humide qui est resté dans un état déplorable des années durant.

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