Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Monde agricole - Page 27

  • Comment participer à la consultation publique sur les SDAGE ?

    Communiqué de FNE le  28 juillet 2021

    Les SDAGE (Schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux) doivent permettre d’atteindre le bon état écologique de nos masses d’eau d’ici 2027, conformément à la Directive-cadre européenne sur l’eau. Ils font l’objet d’une consultation publique jusqu’au 1er septembre 2021. Si les documents eux-mêmes sont techniques, leurs enjeux nous concernent toutes et tous. Pour vous aider à vous positionner, France Nature Environnement a identifié 4 priorités, détaillées dans un manifeste et résumées ci-dess

    Pourquoi participer ?

    Pour vivre dans un monde vivable, il est nécessaire que les masses d’eau et les systèmes aquatiques soient en bon état. Il en va de notre autonomie en eau potable et de la santé de nos corps composés à 60 % d’eau. Il en va de nos activités de subsistance comme de loisirs : agriculture, industrie, pêche ou conchyliculture, baignade et tourisme. Il en va de la vie partout où l’eau passe : dans les sols, dans les rivières, dans les nappes d’eau souterraine, les forêts, les bocages, les zones humides, sur les littoraux... Tout dépend de l’eau, et – en France – l’eau dépend des SDAGE.

    Alors que les conséquences des changements climatiques se font sentir sur les ressources en eau, la santé des écosystèmes et la biodiversité, les orientations fixées par ces documents sont plus importantes que jamais. L’enjeu : assurer aux générations présentes et futures des milieux aquatiques préservés, une ressource en eau de qualité, équitablement partagée et sobrement utilisée. 

    Participer à la consultation publique sur les SDAGE est l’occasion de rappeler ces priorités et d’appeler à un réel sursaut politique pour que l’atteinte du « bon état » fixé par la Directive cadre européenne sur l’eau ne soit pas un éternel horizon et devienne une réalité concrète.

     

     

    Lire la suite

  • Ma Haie pour les Hérissons : édition 2021

    Ce programme de reva­­­­­­­lo­­­­­­­ri­­­­­­­sa­­­­­­­tion des haies et de la faune qui y est asso­­­­­­­ciée, a été conçu par l’Ar­­­­­­­gonne Arden­­­­­­­naise, en réponse à un appel à projet de la Région pour opti­­­­­­­mi­­­­­­­ser la Trame Verte et Bleue sur le terri­­­­­­­toire du Grand Est. Il vise à pour­­­­­­­suivre la dyna­­­­­­­mique enga­­­­­­­gée dès 2012 avec l’opé­­­­­­­ra­­­­­­­tion « Chouettes Vergers d’Ar­­­­­­­gonne Arden­­­­­­­naise », et pour laquelle les habi­­­­­­­tants, communes et scolaires s’étaient forte­­­­­­­ment mobi­­­­­­­li­­­­­­­sés. 

    870x489_haie_herissons.webp

    Ma Haie pour les Hérissons : guettez le bon de commande qui sera distribué en boîtes aux lettres dans une semaine ! Il vous permettra de commander des plants d'arbustes et de fruitiers ainsi que des nichoirs et gîtes pour les animaux sauvages, à tarif subventionné par la Région Grand Est.
    Les % de subvention et quantités/commande ont un peu évolué, afin de favoriser la participation du plus grand nombre. Ils tiennent compte des financements restants disponibles en cette fin d'opération de revalorisation des haies et de la faune sauvage.
    Vous pouvez consulter le Bon de Commande dès maintenant : https://www.argonne-ardennaise.fr/document/document/ma-haie-pour-les-herissons
    Voici les dates à retenir :
    Du 13 septembre au 1er octobre inclus : dépôt ou envoi des commandes au siège de la Communauté de Communes (Vouziers)
    i Samedi 18 septembre 9h30-12h30 et 13h30-17h : permanence-conseils en présence du pépiniériste
    18, 19 et 20 novembre : retrait de votre commande à Vouziers
    Contact : Valérie GENESSEAUX 03 24 30 23 94 mahaie@argonne-ardennaise.fr
    Plus de 700 familles, exploitants agricoles, communes et écoles de l'#Argonne #Ardennaise ont déjà participé... merci à tous pour votre implication 

    Lire la suite

  • Amazonie : nouveaux chiffres alarmants de la déforestation

    Publié le 6 août 2021 par Greenpeace

    L’Institut brésilien de recherche spatiale (INPE) vient de publier les résultats de son système de calcul DETER. Il a enregistré en Amazonie brésilienne le deuxième plus haut taux de déforestation annuelle depuis 2015. Sur l’année qui vient de s’écouler du 1er août 2020 au 31 juillet 2021, ce sont 8 712 km² de forêts qui ont été détruits. 

    Le gouvernement brésilien, loin de participer à l’enrayement de la déforestation, manœuvre pour encourager l’expansion d’exploitations agricoles illégales en Amazonie. Mardi dernier, le 3 août 2021, la Chambre des députés brésilienne a voté une loi qui, si elle était adoptée dans les mêmes termes au Sénat, faciliterait la régularisation de l‘exploitation de terres publiques occupées illégalement. Or au Brésil, un tiers de la déforestation de l’Amazonie est lié à des accaparements de terres publiques. 

    Malgré ses récentes promesses de s’attaquer à la déforestation illégale, et alors qu’il négocie des accords commerciaux avec l’Union européenne, Jair Bolsonaro avance avec ses alliés une série de projets de loi qui permettraient d’accélérer la déforestation et de porter atteinte aux droits fonciers des peuples autochtones. Si ces lois étaient adoptées, elles pousseraient encore un peu plus l’Amazonie vers ce point de non-retour menant à la destruction irréversible de cet écosystème.

    Lire la suite

  • Réforme de la gestion des risques climatiques: le monde paysan, grand perdant!

    Communiqué de la Confédération Paysanne le 28.07.2021

     Le député Frédéric Descrozaille a remis hier au Ministre de l'agriculture son rapport sur l'avenir des indemnisations climatiques en agriculture, après une concertation de sept semaines avec les parties prenantes. Mais cette proposition, qui consiste à démanteler le dispositif public des calamités agricoles au profit de l'assurance privée, emmène l'agriculture droit dans le mur.

    Non seulement il n'est prévu aucune prise en compte de la baisse du potentiel de production liée au changement climatique, mais cette réforme supprimera surtout les indemnisations de la moitié de l'agriculture française à l'horizon 2030 ! Renforçant de ce fait les inégalités qui traversent le monde agricole... Ainsi, seuls bénéficieront de cette réforme les productions générant déjà un revenu élevé et les agricultrices et agriculteurs déjà en capacité de s'assurer (en viticulture et grandes cultures en particulier). Il est remis à plus tard les questions sur les productions pas assurables et déjà mal couvertes par les calamités – tout en reconnaissant leurs spécificités.

    Cette moitié délaissée de l'agriculture française n'aura même plus aucun accès aux aides à l'investissement, puisqu'elles seront désormais conditionnées à la souscription à une assurance privée.

    Lire la suite

  • Sécheresse en Angola  six millions de personnes sous alimentées

    Publié le 27.07.2021 par Amnesty International

    Dans le sud de l’Angola, la vie de millions de personnes est menacée à cause de la sécheresse. Déplacements de population, malnutritions et pauvreté : voici les conséquences dévastatrices du dérèglement climatique.

    Dans le sud de l’Angola, des millions de personnes sont au bord de l’inanition. Elles sont victimes à la fois des effets dévastateurs du dérèglement climatique et de l’affectation de terres à l’élevage commercial de bétail.

    La création d’élevages commerciaux de bétail sur des terres communautaires ont chassé des populations pastorales de leurs terres depuis la fin de la guerre civile, en 2002. Ainsi, une grande partie de la population s’est retrouvée en situation d’insécurité alimentaire, ce qui a ouvert la voie à une crise humanitaire dans la mesure où la sécheresse aiguë persiste depuis plus de trois ans. La pénurie d’eau et de nourriture ne fait que s’accentuer, obligeant des milliers de personnes à fuir vers la Namibie voisine.

    Pour survivre, la fuite vers la Namibie

    Les populations des provinces de Cunene et de Huíla sont frappées de plein fouet par la sécheresse persistante. La saison des pluies 2020-2021 ayant été anormalement sèche, il est probable que la situation empire grandement dans les mois à venir. Cette sécheresse est la pire depuis 40 ans.

    Elle a rendu la vie des communautés pastorales traditionnelles très difficile et la faim a conduit des milliers de personnes à traverser la frontière avec la Namibie depuis le début de mars 2021.

    En mai 2021, des ONG angolaises ont rapporté que plus de 7 000 Angolais, principalement des jeunes et des femmes avec enfants, avaient fui vers la Namibie. Un nombre de « déplacés climatiques » qui ne cesse d’augmenter.

    Le manque de ressources et la sécheresse poussent ces personnes à migrer dans une tentative désespérée de survivre. Un phénomène qui n’est pas près de s’améliorer car, selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), « l’intensité des sécheresses continueront d’augmenter, en particulier dans le bassin méditerranéen et en Afrique australe ».

    Lire la suite

  • Festival Boult-aux-Bois et Cordes 2021

    Il est temps de vous présenter le magnifique travail de Thomas Witté pour le festival de cette année : voici notre visuel 2021 avec toutes les informations nécessaires pour ne rien rater !

    Pour la deuxième année consécutive, Boult-aux-Bois&Cordes prend une forme particulière. Si nous avons hâte de retrouver notre format habituel, nous sommes particulièrement heureux de pouvoir maintenir nos activités cette année :

    Nos musiciens vous présenteront un programme unique que vous pourrez venir découvrir lors des trois représentations proposées, à Vouziers, Boult-aux-Bois et Chatel-Chéhéry.

    Lire la suite

  • Du coyote à la baleine ...

    S'il n'est pas logique de passer du coq à l’âne, il n'est pas plus évident de d'aller du coyote à la baleine.

    C’est pourtant ce que nous proposent des artistes locaux, qui se manifestent ces derniers jours à Vouziers et à Boult-aux-Bois.

    La boutique "Verte Blanche" tenue par Cécile Dalcq accueille régulièrement des expositions dans son local de la rue Chanzy à Vouziers. Le 10 juillet avait lieu le vernissage de sa dernière présentation qui regroupe trois noms.

    P1540280.JPGCarole Thon est, entre autres activités, sculptrice, avec comme références Camille Claudel et Ousmane Sow. Son matériau de prédilection : "la terre dans ce qu’elle a de noble, de vivant, de résistant et d’archaïque dans l’histoire de l’humanité".

    Les Vouzinois la connaissent également comme chargée de communication pour les Rimbaud du Cinéma avec Manuel Sanchez.

    Elle a déjà présenté ses œuvres dans d'autres lieux des Ardennes, où elle est désormais installée.

     

    Marie-Lazarine Poulle est elle aussi installée dans les Ardennes mais son arrivée remonte à plusieurs années. Voici un extrait de sa marie-lazarine 07.2021.jpgbiographie présentée par son éditeur : "Bénéficiaire d’une allocation doctorale, Marie-Lazarine Poulle parcourt alors la campagne dans une vieille 4L, s’embourbe souvent, s’improvise trappeur pour capturer des renards et les suivre par radiopistage, les observe la nuit aux phares et, quatre ans plus tard, soutient une thèse sur leur comportement. Les années 1990 ont débuté, elle a 27 ans et s’envole pour le Québec où elle ne connaît personne et n’a jamais mis les pieds. Recrutée comme postdoctorante, elle apprend l’hiver, le québécois et le maniement d’une motoneige. Loin de tout et par -20 °C, elle suit son équipier qui piste les coyotes qui traquent les cerfs. L’année se termine, elle décide de rester, se fait embaucher dans le privé, supervise l’effarouchement d’oies blanches, rédige des rapports sur la chasse et le piégeage en territoire autochtone, identifie les obstacles au déplacement des ours, se fait d’autres amis."

    Son ouvrage "Un hiver de coyote" est donc très largement inspiré de son expérience, et lui permet de transmettre les leçons qu'elle a pu tirer de ses rencontres.

    P1540289.JPGDominique Mette est ardennais et argonnais depuis de nombreuses années. Il a poursuivi une activité de peintre en parallèle à son activité professionnelle.

    Il revient exposer chez Cécile Dalcq, avec des tableaux d'inspirations très diverses. "Il a établi des ponts entre la lumière dorée de Rembrandt, la stylisation irrésistible de Georges De La Tour et l’imagerie populaire d’Hergé, l’abstraction d’Hartung ou le morbide de Bacon."

    Cette citation est tirée de la biographie des artistes présents à Chamboult'où, l’édition 2021 de ce parcours rural se déroulant actuellement à Boult-aux-Bois.

    Dominique Mette y présente de nombreuses œuvres picturales, mais aussi une sculpture monumentale. Elle représente une baleine et elle fait partie d'une série sur ce même thème.

    Vous trouverez  ci-dessous un aperçu du parcours Chamboult'où de cette année.

     

     

     

    Lire la suite