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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 48

  • Partenaire associatif cherche partenaire institutionnel

    Les adhérents à l'ASPV ont eu droit à deux Assemblées Générales pour le prix d'une : lors de la soirée de vendredi dernier, une AG extraordinaire a précédé l'AG ordinaire de l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine du Vouzinois.

    Cette AG extraordinaire avait pour objet de toiletter les statuts, qui n’avaient pas été modifiés depuis 42 ans. Parmi les changements, on retiendra surtout deux points : le déroulement de l'assemblée générale, qui a été complété et précisé, et la modification du conseil d'administration, qui comptera désormais deux membres de droit en son sein. La ville de Vouziers et la communauté de communes de l'Argonne ardennaise devront désigner chacune un représentant pour y siéger.

    Ce changement illustre la volonté de l'association de travailler encore plus en partenariat, en particulier avec les collectivités locales.

    P1640581.JPGCette volonté de travail en commun a été développée par Michel Coistia dans son rapport moral. Il a donné l'exemple de la restauration du lavoir de Clairefontaine, hameau de Ballay. Ce chantier s'est déroulé avec la Mairie de Ballay, à la satisfaction des deux partenaires. Philippe Thirriard,, le premier magistrat de la commune, était d'ailleurs présent dans la salle.

    Comme contre-exemple, Michel Coistia a cité le renouvellement de la convention avec la communauté de communes. L'association et son président avaient la volonté de signer une convention précisant les objectifs pluriannuels validés par les deux parties. Mais cela s'est révélé impossible, seule la convention de moyen a été renouvelé.

    L'absence de représentant de la ville et de la communauté de communes illustrait d'une autre manière le chemin qui reste à parcourir pour réaliser un partenariat constructif avec ces collectivités.

    C'est Denise Carles qui a présenté le rapport d'activité. Les nombreuses diapositives projetées ont illustré les actions de l'année passée. Et elles furent riches et variées, entre les conférences, les sorties et les chantiers. Il y aura eu également un fait marquant cette année : Denise Carles a reçu la médaille d'or de la Jeunesse, sport et engagement associatif, pour son implication dans plusieurs associations, dont l'ASPV.

    Le rapport financier a été approuvé sans difficulté, et un budget prévisionnel ainsi qu'un calendrier d'activités pour 2024 ont été présentés.

    L'assemblée générale s'est terminée par le renouvellement du tiers sortant du conseil d'administration.

    La parole a ensuite été donnée à Jean-Luc Warsmann, député des Ardennes.

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  • 111 jours de guerre entre Israël et le Hamas

    Edito de Cartooning for Peace du Jeudi 25 janvier 20

    Les combats ne cessent de s’intensifier dans le sud de la bande de Gaza, à Khan Younès, où l’on ne compte plus les victimes civiles palestiniennes et où l’armée israélienne a connu lundi 21 janvier son plus lourd bilan depuis le 7 octobre avec 24 soldats tués en une journée, dont une majorité de réservistes. Le coût humain de cette guerre commence à soulever des doutes au sein même de la société israélienne, qui ne voit par ailleurs pas revenir ses otages. La libération de ces derniers fait l’objet de négociations pour une trêve humanitaire de deux mois et de nouveaux échanges de prisonniers. Les alliés occidentaux d’Israël – États-Unis compris – accentuent la pression sur l’État hébreu pour un cessez-le-feu et une une solution de paix à deux États, inenvisageable pour Benjamin Netanyahou. Saisie par l’Afrique du Sud qui accuse Israël de génocide à Gaza, la Cour internationale de Justice devrait rendre ce vendredi 26 janvier sa décision.

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  • La Confédération paysanne ne peut se satisfaire des annonces du gouvernement et poursuit la mobilisation

    Face aux difficultés exprimées par le monde agricole, les annonces du Premier ministre ce soir sont largement insuffisantes voire, pour certaines d’entre elles, totalement éloignées des réalités et de l’urgence d’agir sur le revenu paysan pour redonner des perspectives d'avenir à toutes les fermes. C’est pourquoi la Confédération paysanne va continuer la mobilisation ce week-end et la semaine prochaine, dont le 1er février à Bruxelles à l’appel du syndicat belge FUGEA.

    Des mesures conjoncturelles, d'urgence et d'aides à la trésorerie ont été annoncées pour les agriculteurs et agricultrices impactées par la MHE, les tempêtes, les inondations et pour celles et ceux en agriculture biologique. Elles étaient indispensables, attendues depuis trop longtemps et revendiquées par la Confédération paysanne depuis le début de ces différentes crises.

    Parce que nos revenus ne sont pas sécurisés par une interdiction d'achat de nos produits sous nos coûts de revient, ce sont des mesures structurelles que nous attendions avec des prix minimums garantis, de la régulation des marchés (y compris en Europe) et de la maîtrise des volumes. Au-delà du respect (enfin !) de la loi Egalim, aucune annonce aujourd'hui pour garantir des prix rémunérateurs pour nos produits agricoles, qui constituent pourtant l'enjeu principal.

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  • La Cour internationale de justice intime l’ordre à Israël de protéger la population de Gaza contre tout risque de génocide

    Communiqué LDH

    La LDH (Ligue des droits de l’Homme) prend acte de l’analyse faite par la Cour internationale de justice (CIJ), dans une ordonnance d’urgence, à la suite de la plainte de l’Afrique du Sud contre Israël pour crime de génocide.

    Outre l’exigence formulée de libération immédiate des otages israéliens, la LDH se félicite des motifs retenus par les juges de la CIJ, à 15 voix contre 2, pour reconnaître la légitimité de leur saisine, et en particulier de la nécessité qu’Israël prenne des mesures immédiates afin de protéger la population palestinienne de Gaza, et engage des poursuites contre celles et ceux qui incitent à des mesures de génocide au sens de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide.

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  • Repas des anciens 2024 à Vouziers

    C'est le 14 janvier que les anciens de Vouziers et de Vrizy se sont retrouvés à la salle des fêtes. Plus de 200 convives ont répondu à l'invitation du CCAS et de la municipalité de Vouziers. Le champagne a été servi en début de repas, avec un petit retard : on attendait le sous-préfet pour débuter les agapes, mais il a rejoint les personnalités un peu plus tard.

    P1640292.JPGFrançoise Payen, responsable du CCAS a prononcé le mot de bienvenu, et remerciant tous ceux qui ont participé à la préparation du repas. Yann Dugard a souligné l'importance de ce moment de convivialité et a rappelé l'importance de la place des anciens dans la cité. Jean-Luc Warsmann, arrivé peu après ces prises de parole, n'a pas manqué de saluer les convives aux différentes tables où ils étaient installés.

    Le repas était préparé par Hervé Buffet et son équipe, et servi par les élus et les membres du CCAS.

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    C'est la Belle Équipe qui assurait l'animation musicale, avec Mimi Haudecoeur et Christian Joseph. Les couples se sont retrouvés sur la piste de danse entre deux plats. On a pu constater que le sens du rythme était toujours bien présent chez les séniors.

    Vous trouverez ci-dessous quelques images de cet après-midi gastronomique.

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  • Oui à l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution mais de façon réellement protectrice !

    Communiqué du collectif Avortement en Europe, les femmes décident

    Le 24 janvier prochain le projet de loi constitutionnelle « relatif à la liberté de recourir à une interruption volontaire de grossesse » doit passer en première lecture à l’Assemblée nationale.

    Les féministes demandent depuis bien longtemps l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution française et, en sus, dans la Charte européenne des droits fondamentaux. Nous nous féliciterons de cette inscription. Après les attaques contre le droit à l’IVG dans de nombreux pays, elle doit établir une protection de ce droit qui peut s’avérer très fragile dans certaines circonstances politiques.
    Qu’en est-il de la protection qui nous est proposée au travers du texte gouvernemental ?

    Le texte qui sera soumis au vote des deux chambres et du congrès, reprenant à quatre mots près le texte voté au Sénat le 1er février 2023, stipule : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. » Nous dénonçons depuis longtemps le glissement sémantique partant de l’inscription d’un droit dans la Constitution vers l’exercice de la liberté déterminée par la loi, même si l’avis du Conseil d’Etat en date du 16 décembre dernier considère que « la consécration d’un droit à recourir à l’interruption volontaire de grossesse n’aurait pas une portée différente de la proclamation d’une liberté ».

    Bien plus, ce futur alinéa 14 de l’article 34 de la Constitution (qui explicite ce qui relève de la loi) énonce qu’il y aura obligatoirement une loi sur le droit à l’avortement mais il ne garantit pas ce que sera le contenu de cette loi. Les régressions du droit à l’IVG par modification de la loi ou de textes réglementaires seront possibles, les moyens pour l’application de ce droit pourront être restreints. Un déremboursement ou une diminution des délais serait par exemple plausible par le biais d’une loi ordinaire.

    La formulation de l’Assemblée nationale votée le 24 novembre 2022 édictait : « La loi garantit l’effectivité et l’égal accès au droit à l’interruption volontaire de grossesse. »

    Elle nous semble bien plus protectrice et surtout elle aurait été placée à l’article 66 de la Constitution (qui protège les libertés individuelles contre l’arbitraire), dont elle aurait constitué l’alinéa 2, ce qui l’aurait située au même niveau que l’interdiction de la peine de mort. Le droit à l’avortement est un droit fondamental. Les droits des femmes sont fondamentaux pour toute démocratie.

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  • Réaction de Greenpeace France aux manifestations des agriculteurs

    Publié le 23 janvier 2024

    Alors que la mobilisation du secteur agricole se poursuit depuis plusieurs jours sur tout le territoire français, Greenpeace affirme son soutien aux agriculteurs et agricultrices et rappelle que l’écologie et les normes environnementales visent à maintenir leur survie. Une réforme en profondeur de notre système agro-alimentaire est plus que jamais nécessaire et urgente.

    Nous comprenons la colère des agriculteurs, explique Sandy Olivar Calvo, chargée de campagne Agriculture à Greenpeace France, qui est la conséquence directe des politiques agricoles et commerciales menées depuis des décennies. L’ultra-libéralisme et le système agro-industriel qui en découle les précarisent et aggravent leur dépendance aux multinationales de l’agro-industrie. Les agriculteurs ne peuvent pas vivre dignement de leur travail et craignent de disparaître : nous partageons leur indignation. L’État doit favoriser l’emploi agricole et sa digne rémunération. Nous ne voulons pas d’une agriculture sans agriculteurs.”

    Face à certains discours dénonçant les normes environnementales comme cause du mal-être paysan, Greenpeace tient à souligner que ces normes sont mises en place pour assurer la viabilité de notre système alimentaire et ainsi la survie des agriculteurs. Elles visent à protéger l’environnement et nos écosystèmes dont l’agriculture dépend pleinement, et à éviter l’industrialisation à outrance de nos systèmes de production, qui aboutirait à la disparition de nos agriculteurs. Nous déplorons la manipulation du débat qui éloigne les discussions des causes réelles du mal-être paysan.

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