C'est dans deux jours que débute le 9ème éco-festival du Cabaret Vert avec concerts, festival BD, cinéma, village associatif et son ambiance inimitable.
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C'est dans deux jours que débute le 9ème éco-festival du Cabaret Vert avec concerts, festival BD, cinéma, village associatif et son ambiance inimitable.
La journée de découverte du patrimoine de pays a été riche de surpises pour les personnes qui avaient fait le déplacement à Authe et Autruche.
L'organisation était parfaite avec la participation active des habitants des villages concernés et le soutien de l'ASPV.
A Authe, l'accueil se faisait en musique au son d'anciens instruments de musique. Dans la grange aménagée on pouvait voir à l'oeuvre une dentellière et une fileuse de laine. Un exposition de cartes postales anciennes faisait revivre le village d'il y a cent ans. Sous la conduite de guides un groupe de plusieurs dizaines de personnes a pu découvrir les richesses locales (maisons anciennes, église, mairie,...). On ne pouvait pas rater la rue la mieux nommée du village, la rue Haute de Authe.
Vous le mettez où le "H" ?
A quelques kilomètres de là, à Autruche, on croisait d'autres personnes, ou parfois les mêmes, venues découvrir ce village un peu à l'écart de tout.
L'accueil se faisait à la Mairie, d'où l'on partait pour découvrir les richesses locales : le lavoir, l'église, la maison forte, le moulin un peu plus loin.
La bonne surprise était la présence du soleil qui s'est maintenu tout au long de la journée. La présence d'autruches dans le village n'était qu'une demie-surprise, tant l'association avec cet oiseau du groupe des ratites (incapable de voler) est logique.
Plus de cent kilogrammes, un poids plumme (d'autruche)!
Méconnu de son vivant, "découvert" par Voltaire, ce prêtre ardennais a écrit dans son Mémoire un réquisitoire implacable contre la religion et la monarchie.
"Les Amis de Jean Meslier" constituent une association qui défend ses idées et rappelle son combat.
Jean-Charles Van Bervesseles qui en fait partie nous apprend que le site internet qui lui est consacré vient de reprendre son activité. Il écrit sur son blog : "Vous pouvez consulter le nouveau site de l'association des Amis de Jean Meslier à l'adresse suivante : www.jeanmeslier.fr
Le 349° anniversaire de sa naissance sera honoré le 15 juin prochain : - à Etrepigny , à 15 h , salle communale , ce sera l'assemblée générale annuelle de l'association , réservée aux adhérents .
- à partir de 18h30 , une soirée MESLIER , ouverte à tous , se déroulera dans son village natal , à MAZERNY . Rendez-vous sur la place de la mairie pour visiter les lieux d'enfance de Meslier sous la conduite de notre historien local Yvon Ancelin ! Puis , vers 20h30 , balade autour de Mazerny , apéritif offert par l'association des amis et enfin , pique-nique tiré du sac à la nuit tombée !! en cas de pluie , un site abrité est prévu à proximité immédiate !
Venez nombreux le 15 juin pour fêter celui qui écrivait que "toutes les religions ne sont qu'erreurs , illusions et impostures " ....
.... possibilités de logements en chambres d'hôtes pour ceux qui viennent de loin !!
A l'heure où les intégrismes de tous bords cherchent à instrumentaliser les religions pour aliéner les peuples , venez découvrir ou soutenir les idées de Jean Meslier"
Dessin de Siné
Tel est le paradoxe du héros de l'aviation, dont le nom est connu dans le monde entier par le stade de tennis où se déroulent les internationaux de France.
Mais ses exploits pourtant multiples et extraordinaires sont relativement ignorés, tout du moins hors de certains cercles particuliers.
Et Vouziers fait partie de ces endroits où l'on connaît parfaitement Roland Garros comme l'a souligné René Couillandre dans sa conférence donnée au CPR vendredi soir.
Cette journée avait débuté par l'inauguration du parcours dans les rues de Vouziers évoquant la première traversée aérienne de la Méditerranée . C'est sous la conduite de Michel Coistia que les participants ont pu revivre pratiquement dans les conditions du direct le raid de Fréjus à Bizerte.
Plusieurs étapes répondaient aux différentes phases de la traversée, illustrées d’œuvres dont plusieurs créations d'artistes locaux. Michel Coistia par un texte très vivant a su faire ressentir à chacun les vibrations du cockpit et réussi à tenir en haleine les participants jusqu'au dénouement final pourtant connu.
Les tableaux explicatifs et les illustrations d'artistes resteront visibles pour les curieux(vouzinois et non vouzinois) entre le bas de la place Carnot et le champ de foire en passant par le square Beluriez.
Le dernier panneau se situe à l'entrée du cimetière municipal, côté rue de Syrienne, et donc à quelques pas de la tombe de Roland Garros. La traversée du jour s'est donc terminée par un hommage silencieux devant l'obélisque qui marque l'emplacement où repose l'aviateur.
Après une courte pause dînatoire, c'est donc René Couillandre, ancien officier de Marine et ancien directeur de programme des avions de patrouille maritime, qui a animé une conférence sur l'aviateur qui repose au cimetière de Vouziers.
Il a centré son propos sur l'année 1913, centenaire oblige, mais aussi dernière année avant la grande guerre de 1914-1918. Engagé volontaire, prisonnier puis évadé, Garros est mort en pilotant, abattu au-dessus de Saint-Morel.
• Mardi 28 Mai 2013 • 20H00 • | ||
Cinéma Métropolis | 6 rue de longueville à Charleville-Mézières | | ||
Un débat aura à lieu à l'issue de la projection. Intervenant : Evelyne PERRIN
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L'Histoire :
Un monde est en train de finir où plus rien ne semble pouvoir continuer comme avant. Les bouleversements s’imposent à tous, l’avenir paraît incertain. Le pire est-il pour autant inévitable ? A travers l’évocation de leurs expériences, des jeunes travailleurs et chômeurs témoignent des méfaits d’une société qui formate les hommes et leur mode de vie. Ils engagent une réflexion sur la nécessité d’initier d’autres pratiques politiques et d’autres rapports sociaux que ceux induits par le salariat et le consumérisme. S’esquissent alors des perspectives de transformations sociales où l’utopie se substitue au réalisme mortifère.
PUTAIN D’USINE
Librement adapté du livre Putain d’usine de Jean-Pierre Levaray, le film s’attache à restituer son témoignage et celui de quelques-uns de ses collègues sur leur quotidien de salariés dans une usine chimique. En levant le voile sur les non-dits de la condition ouvrière, ils s’interrogent sur le sens de leur travail, sur les finalités du salariat et plus généralement sur les contradictions d’une société dans laquelle chacun, à des degrés divers, s’en ressent tout autant la victime que le complice involontaire.
Avec ma gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
Et mes cheveux aux quatre vents
Avec mes yeux tout délavés
Qui me donnent l'air de rêver
Moi qui ne rêve plus souvent
Avec mes mains de maraudeur
De musicien et de rôdeur
Qui ont pillé tant de jardins
Avec ma bouche qui a bu
Qui a embrassé et mordu
Sans jamais assouvir sa faim
• Mardi 28 Mai 2013 • 20H00 • | ||
Cinéma Métropolis | 6 rue de longueville à Charleville-Mézières | | ||
Un débat aura à lieu à l'issue de la projection. |
L'Histoire :
Un monde est en train de finir où plus rien ne semble pouvoir continuer comme avant. Les bouleversements s’imposent à tous, l’avenir paraît incertain. Le pire est-il pour autant inévitable ? A travers l’évocation de leurs expériences, des jeunes travailleurs et chômeurs témoignent des méfaits d’une société qui formate les hommes et leur mode de vie. Ils engagent une réflexion sur la nécessité d’initier d’autres pratiques politiques et d’autres rapports sociaux que ceux induits par le salariat et le consumérisme. S’esquissent alors des perspectives de transformations sociales où l’utopie se substitue au réalisme mortifère.
PUTAIN D’USINE
Librement adapté du livre Putain d’usine de Jean-Pierre Levaray, le film s’attache à restituer son témoignage et celui de quelques-uns de ses collègues sur leur quotidien de salariés dans une usine chimique. En levant le voile sur les non-dits de la condition ouvrière, ils s’interrogent sur le sens de leur travail, sur les finalités du salariat et plus généralement sur les contradictions d’une société dans laquelle chacun, à des degrés divers, s’en ressent tout autant la victime que le complice involontaire.