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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 596

  • Halte au racisme et à la haine de l'autre

    Les propos de la tête de liste du FN pour les municipales à Rethel montrent une fois de plus comment le racisme le plus abject est présent chez les militants et les cadres de ce parti.

    La dernière une du journal "Minute" confirme qu'il ne s’agit pas d'un dérapage isolé, mais que ce raciste est une composante inscrite dans les fondements idéologiques de l'extrême-droite.

    En réaction à ces faits, des Ardennais se sont réunis au sein d'un collectif. Voici un appel de ce Collectif Ardennais de Lutte Contre la Discrimination Raciale et la Haine de L’autre.

    Le Collectif 08 s'adresse aux Ardennais


    Des injures racistes d’une extrême gravité ont été proférées sans vergogne, dans notre département, à l’encontre de Madame Christiane TAUBIRA, ministre de la Justice du Gouvernement de la République Française, par Madame Leclère, candidate FN aux municipales à RETHEL (Ardennes).
    Bien que cette personne ait été sanctionnée par le FN, son compagnon, complice des mêmes agissements a été désigné à sa place. Il s’agit donc d’un simulacre d’indignation.
    Nous constatons par ailleurs que des dérapages racistes du FN se manifestent de manière éhontée à travers tout le territoire, à tous les échelons de ce parti, de façon quasi quotidienne.
    Peut-on au XXIème siècle, insulter un nègre, lui jeter des bananes, l’envoyer paitre dans les arbres, le traiter de macaque ou de guenon, ressusciter « y a bon banania » du siècle dernier, impunément et en toute liberté ?

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    NOUS DISONS NON ! NOUS NE POUVONS PAS LAISSER FAIRE CA.


    Nous disons que la France qui est un grand pays moderne, qui a pour devise Liberté, Egalité, Fraternité, ne peut pas retomber dans l’obscurantisme du moyen âge.
    Nous disons que les lois de la république répriment la discrimination raciale.
    Nous disons que dans notre pays, chaque femme et chaque homme a droit au respect et à sa dignité.
    Nous disons que les droits de l’homme et du citoyen doivent être respectés et défendus.
    C’est pour cela que, profondément choqués et meurtris par ces propos racistes et affligeants qui souillent notre département des Ardennes, des citoyens épris de justice et d’humanisme, soucieux du respect des droits de l’homme, des citoyens respectueux des lois de la République contre les discriminations, ont décidé de créer le Collectif Ardennais de Lutte Contre la Discrimination Raciale et la Haine de L’autre.
    A travers ce collectif, nous lançons un vibrant appel à tous les Ardennais à se joindre à nous
    - Pour barrer la route à la banalisation du racisme et combattre l’expression de la haine de l’autre.
    - Pour dénoncer publiquement et s’opposer par tous les moyens légaux à toutes les manifestations de discrimination raciale et leurs auteurs.
    - Pour promouvoir, réaliser et soutenir des actions d’information et de sensibilisation,  à tous les niveaux, pour stopper la haine et la violence
    - Pour bâtir un grand pays respectueux de tous ses enfants
    - Et affirmer que la diversité est une grande chance pour la France et une richesse à cultiver sans limite.

     

    Collectif Ardennais de Lutte Contre la Discrimination Raciale et la Haine de L’autre
    9 bis rue des Mésanges-08000 CHARLEVILLE-MEZIERES
    Courriel : stop-haine08@orange.fr
    Porte-paroles : Désiré Nanji : 06.18.45.69.38 et Bernard Dordonne : 06.08.07.45.14

     

    URGENT - A NOTER SUR VOTRE AGENDA - URGENT
    Rendez-vous ce samedi 16 novembre de 9h à 12h au local de l’AAAA (Amicale Afro Antillaise Ardennaise) 9 bis rue des Mésanges à Charleville-Mézières.
    Une carte de membre du Collectif 08 vous sera remise en échange de votre souscription de soutien (à partir de 10€).
    Nous vous annoncerons les actions envisagées et répondrons à toutes les questions.

  • 11 novembre à Vouziers: la belle idée et label centenaire.

    A Vouziers la commémoration de l'armistice du 11 novembre prend depuis des années un caractère particulier.

    Lors des semaines qui ont suivi la libération de la ville le 12 octobre 1918, de violents combats se sont déroulés sur la rive droite de l'Aisne où se tenaient les troupes allemandes. Parmi les participants à cette offensive, qui sera une des dernières de cette guerre, se trouvaient les volontaires tchécoslovaques. Leurs régiments se sont illustrés à Vouziers, Terron et Chestres. De nombreuses victimes de ces batailles reposent au cimetière militaire de Chestres.

    Ces combats ont contribué à forger l'état tchécoslovaque, sous l'impulsion de Thomas Masaryk.

    C'est donc en honneur de ces combattants que la ville de Vouziers associe pleinement les représentants tchèques et slovaques aux manifestations commémoratives de la victoire de 1918.

    Encore cette année, des représentants des deux ambassades étaient présents à Vouziers, ainsi qu'un représentant de la ville jumelle de Rasticovice en Tchéquie . On notait aussi la présence d'une délégation de la ville allemande de Gräfenroda emmenée par son maire.

    Ces personnalités étaient donc associées au cortège officiel qui devait parcourir les 4 monuments aux morts de la ville (à Blaise, Condé, Chestres et Vouziers)  et se recueillir également au monument tchécoslovaque de Bobo et au cimetière militaire de Chestres.

    Les participants sont arrivés un peu frigorifiés au monument aux morts de Vouziers où se terminait leur périple.

    La participation des habitants de la ville était importante, comme habituellement en cette occasion.

    La cérémonie officielle comportait l'appel des Morts pour la France, les dépôt des gerbes, l'exécutionlabel_centenaire_carre.jpg des hymnes nationaux et la lecture du message officiel par le Sous-préfet. De jeunes vouzinoises ont également lu des lettres de "Poilus", témoignages émouvants des horreurs de cette guerre.

    A l'issue de cette partie officielle, tous sont montés dans le grand salon de l'Hôtel de Ville, où les personnalités ont pris la parole.

    On retiendra le discours du Sous-préfet, annonçant en particulier la mise en place du dispositif de commémoration du centenaire de la Grande Guerre. Des manifestations particulièrement remarquables seront labellisées au niveau national. Le dossier présenté par la ville de Vouziers en lien avec la présence des combattants tchécoslovaques a été retenu dans ce cadre.

    Le Sous-préfet a félicité les représentants de la ville pour la qualité du dossier présenté.

    En attentant les 4 prochaines commémorations qui devraient prendre un caractère exceptionnel, voici quelques photos illustrant cette journée :

    centenaire 1914 1918, vouziers, terron ,chestres, combattants tchécoslovaques, tchèques, slovaques,11 novembre

    La mairie pavoisée pour la circonstance.

    centenaire 1914 1918, vouziers, terron ,chestres, combattants tchécoslovaques, tchèques, slovaques,11 novembre

    Les officiels saluent les délégations militaires présentes.

    centenaire 1914 1918, vouziers, terron ,chestres, combattants tchécoslovaques, tchèques, slovaques,11 novembre

    La flamme ravivée éclaire la longue liste des Morts pour la France

    centenaire 1914 1918, vouziers, terron ,chestres, combattants tchécoslovaques, tchèques, slovaques,11 novembre

    Les salons de la Mairie décorés aux couleurs tchèques et slovaques

    centenaire 1914 1918,vouziers,terron,chestres,combattants tchécoslovaques,tchèques,slovaques,11 novembre

    Lors de la prise de parole du Sous-préfet.

    centenaire 1914 1918, vouziers, terron ,chestres, combattants tchécoslovaques, tchèques, slovaques,11 novembre

    Le Maire de Vouziers entouré de celui de Gräfenroda (à droite) et de l'adjoint au maire de Rasticovice.

    centenaire 1914 1918, vouziers, terron ,chestres, combattants tchécoslovaques, tchèques, slovaques,11 novembre

    Le verre tchèque de l'amitié

     

     

  • A Vouziers, le commerce de centre-ville passe lui aussi au rouge!

    Nous publions le  récent commentaire de Michel Coistia sur ce blog, avec une illustration par un cliché pris ce jour place Carnot.

    Les commerçants indépendants du centre-ville ne se coiffent pas encore de bonnets rouges, mais c'est le commerce du centre ville qui passe au rouge. Les fermetures de commerces se succèdent et pas en périphérie du cœur de la ville mais en plein centre.

    L'Ucia balbutie, malheureusement. La place Carnot se vide non seulement parce qu'on y vit le stationnement en bleu mais parce qu'on a de moins en moins de raisons de s'y arrêter et là c'est la vie qu'on voit en gris. Une "petite ville commerciale" s'installe et se développe avec le centre Leclerc, tandis qu'une petite ville avec ses habitants se meurt.

    La première va engranger des revenus financiers, la seconde supportera les charges dans un cadre de plus en plus désert! Les consommateurs seront au centre de ce paradoxe et ils ne se considèreront pas comme des acteurs mais plutôt comme des victimes! Curieux et triste à la fois, non! Une ville est un espace où une communauté humaine partage la vie.

    Pour cela une harmonie doit exister, un équilibre doit être trouvé, entre toutes les fonctions vitales qui structurent la vie quotidienne. La disparition programmée du commerce de centre ville crée un vide et donc un déséquilibre. A quand la suppression du marché hebdomadaire? de la Foire commerciale? Soyons optimistes, fermons les yeux!!!

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    La couleur des vitrines n'annonce pas la quinzaine du blanc.

  • Carte des collèges et des lycées dans les Ardennes, le courage de quoi ?

    Si la question des collèges et des lycées ardennais a été fortement médiatisée l'an dernier, on peut constater que l'étude de ces problèmes se fait dans la plus grande discrétion cette année.

    La séquence de l'an passée s'est terminée par l'intervention du cabinet du ministre de l'Education Nationale, et l'annonce de la mise en place de commissions pour l'année suivante.

    La première réunion vient de se tenir jeudi dernier, avec la convocation du Conseil Départemental de l'Education Nationale, qui est une instance régulière au sein de l'Education Nationale. Ce choix permet de laisser sur la touche les personnes les plus motivées et les plus concernées.

    Ce conseil est  composé de 10 représentants des collectivités locales, de dix représentants syndicaux de l'Education Nationale et de dix représentants des usagers (7 parents d'élève et 3 personnes qualifiées).

    Michèle Leflon, Conseillère Régionale, nous apprend dans son blog qu'aucun parent d'élève n'était présent lors de cette réunion convoquée en journée.

    Elle rapporte que "le Directeur Académique de l'Education Nationale (DASEN) a appelé au courage pour faire évoluer le réseau des lycées, notamment ceux de la Pointe, et des collèges ardennais."

    Elle répond notamment : "Avoir plus de choix d'options au collège ou au lycée est il plus important que de ne pas avoir à passer une heure ou plus dans le bus le matin ? Le courage, c'est aussi de ne pas tricher sur l'utilisation de l'argent public en n'évoquant que celle de l'Etat, les dépenses d'enseignants, sans parler de celles des collectivités, les transports en particulier !

    Le DASEN veut pacifier la situation en proposant bilan, concertation, recours à des chercheurs de l'université...  et délais. Ces délais ne doivent pas être mis à profit pour pourrir la vie des jeunes et des enseignants à travers des contraintes artificielles pour faire accepter des fermetures dans deux ou trois ans."

    Manifestement il est urgent d'attendre pour le DASEN qui a du recevoir des consignes en ce sens. Cette concertation qui ignore les acteurs de terrain et les personnes les plus concernées montre qu'une fois de plus l'idée d'une démocratie participative est ignorée. Il est  certes difficile d'associer les citoyens aux choix à faire, mais les ignorer donnent souvent des résultats encore plus difficile à gérer.

    Il semble donc que rien de définitif ne sera acté dans les mois qui viennent, ce qui aura au moins pour avantage du point de vue ministériel de ne pas faire remonter la pression. Les usagers et les citoyens de territoires concernés en tireront-ils un avantage de leur côté, c'est beaucoup mois sûr.

     

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    Manifestation à Buzancy l'an dernier

  • Géothermie à Bure : la Lorraine est assise sur un gisement d’énergie…renouvelable !

    Comme le supposait déjà le BRGM (Bureau de Recherche Géologique et Minière) dès 1976, une contre expertise vient de confirmer que le sous sol de Bure présente un intérêt particulier pour l’exploitation géothermique. Une donnée qui aurait pu faire de l’ombre au choix du site pour le projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires si elle n’avait pas été minimisée par l’ANDRA (Agence Nationale pour la gestion des Déchets RAdioactifs). Explications.


    Une ressource dissimulée

    L’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) estime dès 1991 que la présence d’une ressource géothermique doit être évitée dans la recherche d'un site pour le laboratoire puisqu’elle ferait peser des risques de forages géothermiques dans le centre de stockage dans le futur, lorsque la mémoire du site sera perdue. Malgré ces recommandations fondamentales et les travaux antérieurs existants, il faudra attendre 2008, 12 ans après l’installation du laboratoire de Bure, pour que, sous la pression des associations, un forage destiné à mieux caractériser cette ressource soit réalisé par l'ANDRA.

    Au moins l’équivalent de la ressource francilienne en Lorraine

    bure-stop.gifPourtant, la ressource de Bure est au moins équivalente à celle du Dogger dans le bassin parisien, aujourd’hui largement valorisée. C’est ce que met en lumière l’étude réalisée par le cabinet suisse expert en géothermie Géowatt, à la demande du CLIS (Comité Local d’Information et de Surveillance) de Bure, et rendue public le 04 novembre 2013.

    « Le forage de 2008 était colmaté par de la boue et les tests n'ont pas été réalisés entièrement. De plus, l'étage inférieur (Permien) n'a pas été exploré alors qu’il doit être intéressant vu son épaisseur exceptionnelle. Pour l'ANDRA, le débit est de 5m3/h. Selon Géowatt, c'est environ 300 m3/h. On sait déjà depuis les travaux du BRGM en 1976 que la géothermie est bonne. Aujourd'hui, à 2 ans de la demande d'autorisation de Cigéo, on ne connaît toujours pas plus précisément cette ressource. Cette question fondamentale doit être approfondie au plus vite. » explique Romain Virrion, directeur de MIRABEL LNE.

    La Lorraine doit revoir sa copie

    Le Schéma Régional Climat Air Energie de Lorraine avait déclaré qu’il n’y avait pas de potentiel géothermique en Lorraine. Avec les révélations découlant de l’étude Géowatt, la Lorraine va devoir revoir sa copie.

    « La géothermie à Bure est exploitable dans l’immédiat comme dans le bassin parisien. C’est une énergie propre, disponible, stratégique d’autant plus dans le cadre de la transition énergétique et une chance pour la Lorraine. » déclare Bruno Genty, président de FNE.

    Liens :
    Rapport Géowatt
    Courrier SRCAE (http://mirabel-lne.asso.fr/f/geothermie_SRCAE_0.pdf)
    http://pandor.at/fr/memoire

  • Le festival cinéma d'Attac08 approche à grands pas

    Rappel : Il aura lieu les Vendredi 15, Samedi 16 et Dimanche 17 Novembre au cinéma Métropolis de Charleville-Mézières.


    Au programme : 3 thèmes, 5 films, 4 débats !

     

    Le Vendredi 15 : L'austérité n'est pas une fatalité


    A 20 h : projection de “Mémoire d'un saccage : Argentine, le holp-up du siècle”. Puis débat avec Chloé Etsi et Yiorgos Vassalos de l’Initiative Grecque à Bruxelles.

     

    Le Samedi 16 : Transition énergétique


    A 15 h : projection de “Heritage Fight”.

    A 20 h : projection de “Promised Land”. Puis débat avec Antoine Guilleux d'Enercoop Ardennes.

     

    Le Dimanche 17 : Bilan et perspective.


    A 14 h 30 : projection de “Le revenu de base”. Puis débat avec Jean-Marc Scattolin, responsable local Meurthe et Moselle du mouvement français pour le revenu de base.

    Et on clôturera le festival avec la projection, à 18 h, de “L'esprit de 45” de Ken Loach.


     

    LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 08/05/2013 (repris de Telerama)

    On n'aime pas

    Avec ce documentaire, Ken Loach nous invite à revivre une page de l'histoire anglaise. Après la victoire de 1945, avec l'élection d'un gouvernement travailliste, l'effort de guerre se mue en solidarité populaire. Anciens syndicalistes, mineurs, médecins et économistes racontent cette époque, restituée aussi par les images d'archives. Fervent avocat du welfare (l'Etat social) et militant de gauche depuis toujours, le réalisateur de Riff-Raff et de La Part des anges construit son film comme une sorte d'équivalent british en images d'Indignez-vous, le célèbre pamphlet de Stephane Hessel. Plus qu'une leçon d'histoire, c'est un vivifiant manifeste politique, dont l'intention est claire et assumée : contrer l'idéologie dominante, libérale et individualiste.

    Comme dit en substance l'un des intervenants : après tant de crises, le capitalisme s'écroule, mais l'idée du capitalisme ne s'est, elle, jamais si bien portée. Ce sont tous les fantasmes d'autorégulation des marchés, les ravages du chacun pour soi que dénonce le cinéaste. Il décrit l'amélioration spectaculaire du niveau de vie des Anglais dans les années 1950-1960 et le démantèlement féroce de ces acquis par Margaret Thatcher à partir des années 1980. Le hasard a fait que la sortie du film coïncide peu ou prou avec la disparition de cette dernière. Les inégalités qu'elle a contribué à creuser demeurent. Mais l'« esprit de 45 » aussi, à en croire Ken Loach. — C.M.

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  • 2C2A Solidarité étudiant : un vrai coup de pouce !

    La ville de Vouziers avait créé le revenu minimum étudiant. La 2C2A a pris la suite de cette aide  avec le dispositif "2C2A Solidarité étudiant"

    En voici les modalités pratiques :

     

    L'éducation et la formation font partie de nos priorités. La 2C2A propose une aide financière aux jeunes qui souhaitent poursuivre leurs études après le bac, mais dont les ressources sont limitées.

    L’aide prend la forme d’une allocation trimestrielle venant compléter les bourses scolaires, l’argent de poche familial, et les autres revenus. L'objectif est d'assurer à chaque étudiant un revenu minimum mensuel de 425 euros (la part allouée par la 2C2A est limitée à 160 euros).
    Cette initiative a déjà permis d’aider plusieurs dizaines d’étudiants du territoire dans la poursuite de leurs études.

    La 2C2A a redéfini, en 2009, les critères de calcul de la bourse 2C2A-Solidarité étudiant. Par ce dispositif, la collectivité aide de nombreux jeunes de l'Argonne Ardennaise à poursuivre leurs études après le bac, en leur assurant un revenu minimum mensuel de 425 euros.

        Consulter et télécharger les modalités de calcul
        Consulter et télécharger le dossier de demande de subvention

    Pour être bénéficiaire, le dossier doit impérativement être déposés avant le 31 décembre de l'année scolaire concernée.