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  • Chômage : 12 mois de hausse dans les Ardennes et en France

    Le bilan chiffré du chômage vient d'être publié pour le mois d'avril 2012.

     

    C'est le dernier mois pour lequel l'équipe Fillon-Sarkozy était en pleine responsabilité, et doit donc prendre le résultat à son compte. Depuis 12 mois, la hausse des demandeurs d'emploi n'a pas cessé, images?q=tbn:ANd9GcQq91dpjkzoL4pqsJ6UbQBkoK3mjbucTe3C4Rhrl5wUhTCgh5T96Qmalgré toutes les mesures prises : augmentation des emplois aidés, retard d'annonce des plans sociaux, radiations pour causes administratives.

    Voici les chiffres officiels :

    Pour la région, les demandeurs d'emploi de catégorie A s’établit à 61 509 , fin avril 2012. Ce nombre augmente de 0,6 % (+ 347) par rapport à la fin mars 2012 (+ 9,2 % sur un an). En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A augmente de 0,1 % par rapport à fin mars 2012 (+ 7,5 % en un an).

    Par département, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A varie de - 0,4 % à + 1,0 % en avril 2012 par rapport à fin mars : Ardennes (+ 0,4 %), Aube (+ 0,4 %), Marne (+ 1,0 %), Haute-Marne (- 0,4 %).

    En Champagne-Ardenne, le nombre des demandeurs d’emploi de catégories B et C s’établit à 32 793 fin avril 2012. Ce nombre diminue de 0,8 % (- 274) au mois d’avril (+ 3,9 % sur un an).

     

    cgtcg08-cgt-cg08-ardennes-envol-chomage.jpgOn remarque  à nouveau le résultat très décevant de la zone franche des Ardennes, qui couvre pratiquement tout le département (sauf le Rethelois). Warsmann va pourtant continuer à vanter ce dispositif qu'il a contribué à créer. En fait cette zone coûte cher en impôts non prélevés, mais elle n'a pas contribué à faire baisser le chômage : cherchez l'erreur.

    Il est certain que cette tendance ne va pas s'inverser brutalement. Même si un gouvernement socialiste est reconduit après les législatives, les années 2012 et 2013 seront très vraisemblablement difficiles pour l'emploi en France.

  • Warsmann simplifie, la FNE réagit

    Jean-Luc Warsmann s'est fait le spécialiste de la simplification des lois qui sont en application.

     

    Ce qui paraît être du bon sens, tant le poids des textes législatifs et réglementaires est lourd, n'est pas sans danger. A force d'élaguer, on peut couper une bonne branche, ou même faire périr l'ensemble de l'arbre.

    On se souvient de la gaffe qui avait mené à ne pouvoir condamner une secte, car le texte de référence avait été "simplifié" par la commission Warsmann.

     

    Le travail de cette commission se poursuit, et la Fédération Nature Environnement en dénonce unpublicite-panneaux-douchet.jpg nouvel effet pervers. Dans le domaine de la publicité invasive (les panneaux géants ) le Grenelle de l'Environnement avait prévu des mesures strictes. Une proposition discutée à l'assemblée prévoit une modification qui n'a rien d'une simplification, mais qui risque de faire perdre toute valeur au texte. Voici la réaction de la FNE :

     

    Hier, la proposition de loi de simplification du droit, dite proposition de loi Warsmann, était examinée en séance publique à l’Assemblée Nationale. Simplifier ? Nous sommes certes pour un droit plus simple et mieux appliqué. Mais quand simplifier devient un euphémisme pour déréguler, FNE, la LPO, la Ligue ROC et la Fondation pour la Nature et l’Homme alertent.


    Affichage publicitaire : priorité à l’intérêt purement financier !

    Alors que la loi de 1979 a prévu la mise en conformité des dispositifs publicitaires, des préenseignes et des enseignes dans un délai de 2 ans avec les nouvelles dispositions, la « proposition de loi Warsmann » organise un délai de mise en conformité de 6 années.

    En d’autres termes, les exploitants de dispositifs publicitaires bénéficieraient d’un délai de 6 ans après l’adoption d’un règlement local de publicité (règlement introduit par la Loi Grenelle II), de sorte que les maires, auteurs d’un règlement local de publicité, ne pourraient voir respecter les dispositions de ce règlement au cours de leur mandature municipale de 6 ans. C’est inciter les élus à ne pas adopter de règlements locaux de publicité. Ce délai de 6 ans empêche l’organisation de toute politique locale d’harmonisation de la signalétique locale.

    Tout le dispositif de la loi Grenelle II visant à réduire l’affichage publicitaire est réduit à néant.

  • Warsmann doit démissionner

     

    Le cumul des mandats est une spécialité française, et Jean-Luc Warsmann en est le champion.

     

    Dans une note du 28.01.2010, nous avons repris (d'après le site de l'Assemblée Nationale) l'ensemble des mandats et titres qu'il possédait alors. Les voici en rappel:

    :

     

    Mandats et fonctions à l'Assemblée nationale

    • Mandat : Réélu le 10/06/2007 (Date de début de mandat : 20/06/2007 (élections générales))
    • Commission :
      • Président de la commission des lois
      • Membre de droit du comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques
    • Délégation et Office :
      • Premier vice-président de la délégation parlementaire au renseignement
    • Groupe d'études :
      • Membre : - Adoption - Agro-alimentaire et filière agricole - Alimentation et santé - Artisanat et métiers d'art - Automobile - Chasse et territoires - Cheval - Conjoints survivants - Construction et logement - Dépendance - Deux-roues motorisés et non motorisés - Eco-construction - Elevage - Energies - Forêt - Frontaliers - Groupes d'intérêt - Hôtellerie, restauration, loisirs - Inondations - Intégration des personnes fragilisées et handicapées - Jardins, paysages et horticulture - Maladies orphelines - Montagne - Participation du public et gouvernance - Pénibilité du travail et maladies professionnelles - Plasturgie - PME - Prisons et conditions carcérales - Professions de santé - Professions libérales - Ruralité - Systèmes juridiques européens - Tibet - Tourisme - Trufficulture - Vie associative - Voies navigables et transports multimodaux

    Organismes extra-parlementaires

    • Membre titulaire du conseil national de l'aménagement et du développement du territoire
    • Membre titulaire de la conférence de la ruralité
    • Membre titulaire de la commission nationale de présélection des pôles d'excellence rurale

    Anciens mandats et fonctions à l'Assemblée nationale

    • Élu le 28/03/1993 - Mandat du 12/12/1995 (remplacement d'un député décédé : M. Claude Vissac) au 21/04/1997 (Fin de législature)
    • Réélu le 01/06/1997 - Mandat du 01/06/1997 (élections générales) au 18/06/2002 (Fin de législature)
    • Réélu le 09/06/2002 - Mandat du 19/06/2002 (élections générales) au 19/06/2007 (Fin de législature)
    • Vice-président de l'Assemblée nationale - du 04/07/2005 au 03/10/2005 - du 04/10/2005 au 19/06/2007

    Mandats locaux en cours

    • Maire de Douzy, Ardennes (1515 habitants)
    • Vice-président du conseil général (Ardennes)

    Mandats intercommunaux

    • Président de la Communauté de communes des Trois cantons de Carignan, Mouzon et Raucourt

     

     

    Devant le scandale provoqué par cette situation, il a abandonné son poste de vice-président du conseil général, tout en restant conseiller général de Grandpré.

    Mais il reçoit un mandat de plus aux dernières élections régionales, où il est tête de liste de l'UMP. Battu, il siège dans l'opposition à Jean-Paul Bachy.

    Avec ce poste supplémentaire, il se retrouve dans l'illégalité : un député ne peut être à la fois conseillerRepas des anciens  01.2011 022.jpg général et conseiller régional.

    Le Président de la commission des lois a de la ressource : S'appuyant sur le recours fait par un électeur d'outre-mer sur un obscure prétexte, il considère que l'élection n'est pas définitive tant que ce cas n'a pas été tranché par la justice.

    Cet appel n'avait aucun sens politique, n'avait aucune chance d'aboutir, pourtant Jean-Luc Warsmann (photo ci-contre DR) s'est abrité derrière pour garder ses postes.

    Le conseil d'Etat a rendu son avis le 26 janvier, et l'élection de Jean-Paul Bachy est confirmée et définitive. Jean-Luc Warsmann est maintenant obligé de démissionner, et ce avant le 2 mars prochain.

    En pleine campagne électorale des cantonales, ce sera bien l'occasion de souligner à nouveau notre opposition au cumul des mandats. Les élus doivent se consacrer à leur tâche, si on ne veut pas que les électeurs s'éloignent de plus en plus du fonctionnement de notre démocratie.

    Le cumul de plusieurs mandats est un fait grave, surtout quand l'élu n'est pas en mesure d'assumer les conséquences pratiques de ses multiples fonctions.

     

     

  • Enrichissez-vous

    Jean-Luc Warsmann, homme sage, connaît l'adage "qui paye ses dettes s'enrichit".

     

    Le député de Sedan Vouziers s'est fait remarquer dans les récents débats parlementaires.

    2952.jpgL'Assemblée Nationale vient de vivre un psychodrame au sujet de la Caisse d’amortissement de la dette sociale, (CADES ) dont le rôle est de gérer la dette de la Sécurité Sociale.

     

    Crée en 1996 pour 13 ans, elle devait donc avoir rempli sa mission en 2009. Son financement est assuré par la contribution au remboursement de la dette sociale – CRDS –,  fixée à 0,5 % quel que soit le revenu concerné.

    Mais les dettes de la Sécu ont continué à exister, et le terme du remboursement qui en résulte est sans cesse retardé.

    La durée du dispositif a été prolongé de douze ans (objectif 2021 ), et cela ne suffit toujours pas : le gouvernement veut  encore reculer l'échéance.

    C'est là qu'intervient Jean-Luc Warsmann, président de la commission des lois. Il a refusé ce procédé qui laisse aux prochaines générations la charge de la dette. D'autant que la loi avait fixé dans le marbre l'impossibilité d'augmenter encore les obligations de la Cades, sans un financement dédié.

     

    Or, le gouvernement s'est enfermé lui-même dans le dogme de la non augmentation des impôts. Le voilà pris dans un piège : une dette à payer, plus de sous dans les caisses, et un refus de chercher un nouveau financement.

    Jean-Luc Warsmann a été convoqué par Sarkozy, sans pour autant changer son point de vue. Il a _090924-cope-afp.jpgconvaincu les membres de la commission des lois, et une bonne partie des députés.

     

    Le gouvernement risquait de perdre un vote décisif : en pleine nuit, il a fallu que Jean-François Copé batte le rappel et fasse une leçon à ses collègues. Finalement Le vote a été de justesse favorable au gouvernement.

    Le compte rendu des débats est assez édifiant, il y avait une sacrée tension au sein de la majorité ce soir là.

  • Hortefeux contre Warsmann

     

     

     

    Brice Hortefeux est un des plus anciens et un des plus fidèles compagnons de Nicolas Sarkozy.


    A ce titre, il aboie tout haut ce que son président pense tout bas.

    Et toujours  avec un humour délicat et subtil, comme quand il tient des propos intolérables contre les « Auvergnats ». C’est pourquoi monsieur Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur, a déjà été condamné il y a peu pour injure raciste.

     

    Son ministère a produit une circulaire qui prescrivait de viser tout particulièrement les Roms dans la perspective  de détruire des campements « sauvages ». Il s’agit d’une violation grave des principes retenus tant par la France que par l’Europe. Il est logique que s’en prendre à une personne qui a commis un délit. Il est par contre aberrant de s’en prendre à un groupe entier, surtout en nommant ce groupe par rapport à son origine ethnique.

     

    La Ligue des Droits de l'Homme et le Gisti (Groupe d'information et de soutien aux immigrés) viennent de déposer une plainte suite à la publication de cette circulaire. Voici un extrait de leur communiqué :

     

    "Il a, ce faisant, cherché volontairement à faire échec à l’article 14 de la Convention européenne des droits de l’Homme, qui interdit toute discrimination raciale ou fondée sur l’origine, et a incontestablement commis une discrimination au sens de l’article 225-1 du Code pénal.

    L’attentat à la liberté individuelle est un délit puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende (article 432-4 du Code pénal). Le fait de faire échec à l’exécution de la loi, lorsqu’il est commis par une personne dépositaire de l’autorité publique, est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende (article 432-1 du Code pénal). Et toute discrimination commise par une personne dépositaire de l’autorité publique est punie des mêmes peines (article 432-7 du Code pénal).

    Aux termes de l’article 68 de la Constitution, Brice Hortefeux doit répondre de ces délits devant la Cour de justice de la République. C’est pourquoi la Ligue des droits de l’Homme et le Gisti ont demandé, ce jour, à monsieur Jean-Louis Nadal, procureur général près la Cour de cassation, de bien vouloir entamer la procédure qui doit conduire au jugement pénal du ministre de l’Intérieur. Et ces deux mêmes associations ont déposé simultanément une plainte entre les mains du procureur de la République de Paris, visant les mêmes faits, dirigée contre toute personne que déterminera son enquête, compte tenu de l’implication de divers collaborateurs de ministres dans la commission de ces infractions.

    Paris, le 17 septembre 2010"


    On risque de retrouver un multirécidiviste devant un juge, on va surement entendre le porte-parole de l’UMP, l’ineffable Frédéric Lefebvre, demander un maximum de sévérité.

     

    Différentes affaires récentes amènent le ministre de l'Intérieur à déclarer sa haine et son mépris envers les magistrats. Son idéal serait que la justice soit totalement dépendante du pouvoir politique. A la limite, il serait même souhaitable de se passer de cette institution.

    La République démocratique repose pourtant depuis toujours sur la séparation des pouvoirs. C’est bien l’équilibre entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire qui est garant du bon fonctionnement d’une société.

    brice-hortefeux1.jpgMonsieur Hortefeux s’autorise, du fait de son amitié présidentielle, à empiéter sur le domaine de compétence de ses collègues. Il vient de se déclarer :

    « …pour l'abrogation de la disposition permettant d'aménager, en semi-liberté ou placement sous bracelet électronique, toute peine inférieure ou égale à deux ans de prison ferme. Elle a été adoptée en 2009, à l'initiative de la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie, dans une loi censée répondre à la crise du système pénitentiaire français, gravement surpeuplé et sujet à un nombre record de suicides. "Avoir quasiment l'assurance de ne pas effectuer sa peine de prison, quand on est condamné à moins de deux ans, est un dispositif parfaitement inadmissible pour les citoyens et totalement incompréhensible pour les policiers et les gendarmes", dit le ministre de l'Intérieur. »


    Cette loi avait effectivement pour but de désengorger les prisons françaises, gravement surpeuplées. Il se permet de qualifier ce texte voté il y a 2 ans de « totalement incompréhensible », faisant preuve d’une démagogie sans limite.

     

    Ces décisions faisaient suite à un rapport de Jean-Luc Warsmann, publié en 2003, texte qui avait mis 69175-jean-luc-warsmann-ump.jpgen avant ce jeune député. Rappelons que ce rapport ne préconisait pas des peines alternatives à la prison par laxisme envers les condamnés. Il partait du constat de non application correcte des peines du fait de l’engorgement du système, et recommandait donc une peine alternative, faute de mieux.

     

    Le travail de Jean-Luc Warsmann avait été reçu presque unanimement comme sérieux et débouchant sur des conclusions pratiques qui pouvaient avoir un résultat positif.

    Par visée électorale et dans la précipitation, Brice Hortefeux raye cette réflexion d’un trait de plume : dans sa recherche démagogique  et désespérée de soutien populaire, il n’hésite pas à renier le travail et la réflexion de ses propres amis.

    Il  serait  intéressant  de connaître la réaction de notre député, qui préconisait des mesures considérées maintenant comme "inadmissibles et incompréhensibles".

     

  • Un apport de l'Etat pour la zone d'activité de Vouziers

    Le député Jean-Luc Warsmann annonce un versement important pour la 2C2A


    La communauté de communes de l'Argonne ardennaise a commencé à aménager une zone d'activité derrière le centre Leclerc. Les travaux préalables de recherche de traces archéologiques ont déjà eu lieu.

    La ville de Vouziers a fait procéder à d'importants travaux de réseaux pour relier cette zone au reste de la ville.

    Le financement par le département d'une grande partie de l'aménagement de cette zone était prévu. Mais devant les difficultés que rencontrent les Ardennes, on pouvait avoir quelques doutes sur cette participation.

    Une information sera certainement beaucoup commentée lors du prochain conseil de communauté qui aura lieu cette semaine : Jean-Luc Warsmann annonce une aide de 1,3 millions de l'Etat sur les 5 millions de travaux.

    674113-0016.jpg?t=699Nous vous tiendrons au courant des réactions des responsables de la 2C2A.

    On peut supposer qu'ils vont afficher une mine réjouie (photo d'archives "L'An Vert")

    Voici le communiqué du député :

     

    Ce jeudi 24 juin, Jean-Luc WARSMANN, Député des Ardennes et Président de la Commission des Lois de l’Assemblée Nationale, est intervenu dans l’hémicycle afin de défendre le projet d’extension de la zone d’activités de Vouziers.

    warsmann.jpgCe projet porté par la Communauté de Communes de l’Argonne Ardennaise vise à étendre la zone actuelle sur 24 hectares, et représente un investissement de plus de 5 millions d’euros.

    Jean-Luc WARSMANN a fait valoir l’importance de ce projet pour l’ensemble des habitants de l’arrondissement de Vouziers.

    Il a également souligné l’importance pour le chef-lieu d’arrondissement de posséder une zone d’activités permettant le développement de nouvelles entreprises et de nouveaux emplois.

    Répondant à l’interpellation du député ardennais, le ministre représentant le Gouvernement a donné acte de l’intérêt du projet, et a répondu aux demandes de Jean-Luc WARSMANN en annonçant que l’Etat accorderait une aide de 1,3 millions d’euros à la Communauté de Communes de l’ArgonneArdennaise au titre du Fonds National d’Aménagement et de Développement du Territoire.

    Jean-Luc WARSMANN a remercié l’Etat de cette aide qui représente un soutien fort pour l’arrondissement de Vouziers.

  • Warsmann démissionne

    Jean-Luc Warsmann abandonne son poste de conseiller général de Grandpré.

     

    Ce fut un des arguments de la récente campagne électorale : Jean-Luc Warsmann cumule les mandats locaux et nationaux.warsmann_large.jpg

    D'après"La semaine des Ardennes", il quitterait son mandat au conseil général pour aller sièger au conseil régional où il vient d'être élu dans la minorité.

     

    Il avait déjà renoncé à son poste de vice-président du conseil général des Ardennes. Il n'est donc plus que maire , président de communauté de communes, conseiller régional, député et président de la commission des lois.

     

    Sachant qu'il serait forcémment élu, soit dans la majorité, soit dans l'opposition, il aurait pu donner ce signal plus tôt, car ses multiples mandats ont bien été un de ses handicaps pour l'élection régionale.

     

    Le canton de Grandpré qui connaît pas mal de difficultés démographiques et économiques va donc avoir un nouveau représentant, qui n'aura très probablement pas l'envergure de son ancien élu.