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ecologie - Page 8

  • A découvrir en mai dans le Vouzinois

    samedi 13 mai 2023

    A la découverte du site Natura 2000 "Confluence Aisne-Aire"

    à 9hDurée : 3hVenez apprendre à identifier les oiseaux prairiaux et découvrir le réseau Natura 2000 de la Vallée de l'Aire.GratuitRéservation obligatoire (places limitées) auprès du service Natura 2000.

    Le lieu du rendez-vous sera communiqué lors de l'inscription.

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    Crédit photo : François CUVELIER (ReNArd)



    Les grosses pierres de bornage de la forêt de Boux

    Tous les secrets de cette forêt en passant par ses sources, en contemplant les grosses pierres, en découvrant le milieu naturel, et finir sur la lune

    Samedi 13 mai, de 14h à 17hRDV à la Maison de la Nature de Boult-aux-BoisGratuit et ouvert à tous

     

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    Cliché lanvert

     

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  • La Via Sylvatica, un chemin tracé à travers les grands massifs forestiers.

    La Via Sylvatica, le nouveau projet porté par Sylvain Chen, avec le soutien d'Argonne PNR et de la MARS !

    Un chemin de pèlerinage laïc, naturaliste et forestier traversant la diagonale du vide, depuis Boult aux Bois jusqu'au col de migration d'Organbidexka (au Pays basque) par les grands massifs forestiers et montagneux.

     Ce chemin sera parcouru et tracé dès cette année grâce à un ou plusieurs bénévoles, ainsi qu'une levée de fonds participative.

    Pour plus de détails, vous pouvez consulter cette offre : https://www.reseau-tee.net/97131_offre-emploi-bnnnvole-pnlerinage-par-la-diagonale-du-vide-h-f.html

     

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  • L’Union européenne doit rendre les entreprises juridiquement responsables de leur impact climatique

    Le dérèglement climatique est la plus grande crise à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. Le rôle des entreprises dans l’aggravation de cette crise est indéniable. Une directive européenne [1] actuellement en discussion pourrait obliger les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, mais la proposition actuelle reste insuffisante. Plus de 200 organisations, mouvements et activistes appellent à un devoir de vigilance climatique ambitieux.


    Chaque secteur économique a une lourde empreinte sur le climat, en premier lieu le secteur de l’énergie. Pourtant les entreprises d’énergies fossiles continuent leurs mégaprojets, comme l’oléoduc EACOP [2] ou les projets de GNL au Mozambiquet [3]– qui ne manqueront pas de déclencher des « bombes climatiques ». [4] L’agro-industrie et l’élevage contribuent à la déforestation de l’Amazonie et au rejet dans l’atmosphère de milliards de litres de méthane. L’industrie de la mode produit quant à elle jusqu’à 10 % des émissions mondiales de carbone. [5]

    Le réchauffement climatique qui en résulte a déjà des effets dévastateurs sur les populations et la planète. L’été dernier, les Européens ont connu les inondations et les vagues de chaleur les plus intenses depuis des décennies. Toutefois, ce sont les populations du Sud qui paient le plus lourd tribut, comme le Pakistan, frappé par les pires inondations depuis plus de 100 ans. [6]

    Partout dans le monde, les citoyens se mobilisent pour le climat. Partout, les jeunes descendent dans la rue pour exiger que les gouvernements agissent pour le climat et que les entreprises cessent de détruire la planète.

    De nombreuses entreprises ont répondu par des engagements à s’aligner sur l’Accord de Paris,par le biais des plans de transition et d’engagements de neutralité carbone (“net zero”). Mais ces promesses vides ne sont bien souvent que du greenwashing. [7] Les engagements net zero reposent largement sur la compensation des émissions par des pratiques telles que la restauration des forêts ou les technologies de capture du carbone, alors que ce sont de fausses solution. [8]

    Il est évident que les entreprises sont déterminées à repousser le plus longtemps possible l’adoption de véritables mesures en faveur du climat.



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  • Journée internationale des forêts

    Suite à l’Année Internationale des Forêts en 2011, l’Organisation des Nations Unies a souhaité instaurer une journée mettant les forêts à l’honneur : le 21 mars a donc été proclamé Journée internationale des forêts. Partout dans le monde sont organisés des événements pour protéger, valoriser et célébrer les forêts.

    En France, la Journée internationale des forêts est une occasion de célébrer la forêt, l’arbre et le bois, et sensibiliser à la multifonctionnalité des forêts. En effet, elles rendent de nombreux services, tant pour l’environnement, l’économie ou la société ce qui en fait une ressource essentielle pour le développement durable.
    Du 18 au 26 mars 2023, des centaines d’activités auront lieu partout en France métropolitaine et ultramarine pour emmener le grand public à la (re)découverte des arbres et des forêts, pour des moments conviviaux et éducatifs.

    Collectivités, associations, établissements publics, professionnels de la filière forêt-bois, propriétaires forestiers ou particuliers, vous pouvez participer à la Journée internationale des forêts en organisant une ou plusieurs activités ou en participant à celles organisées près de chez vous.

    A l'occasion de la Journée Internationale des Forêts, la Maison de la Nature de Boult-aux-Bois vous propose d'en apprendre plus le thème de l'arbre et de ses habitants. Une tenue adaptée aux conditions météo est recommandée (bottes, bouteille d'eau, chapeau...). Inscription obligatoire, gratuit, à partir de 5 ans.

    Org. Maison de la Nature 

    Infos pratiques

    Lieu de rendez-vous :
     
    Maison de la Nature
    5 rue de la héronnière
    08240 Boult-aux-bois
     
    Date : le  22 mars 2023
    Horaires 14h-17h

    Téléphone :  03 24 30 24 98
    Email   tourisme.maisonnatureboult@gmail.com

     

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  • Ukraine : l'environnement également victime de la guerre


    Greenpeace Europe centrale et de l’Est (Greenpeace CEE), en collaboration avec l’ONG ukrainienne Ecoaction, publient aujourd’hui une « Carte des dommages environnementaux » illustrant les différentes atteintes à l’environnement causées par la guerre que mène la Russie en Ukraine.
    Ces dommages, qui viennent s’ajouter au terrible drame humain de cette guerre que Greenpeace ne cesse de condamner, devraient être pris en compte par le gouvernement ukrainien et par la plateforme de coordination des donateurs de la Commission européenne, afin de planifier et financer les futurs travaux de restauration de l’environnement en Ukraine.

    Les informations sur ces dommages ont été recueillies sur le terrain par Ecoaction, puis recoupées par des images satellites et cartographiées par Greenpeace. Sur près de 900 cas identifiés, 30 parmi les plus graves figurent sur cette carte ; ils sont classés par type de dommage et s’accompagnent d’une brève description. La guerre n’étant pas terminée, les experts ukrainiens poursuivent leur travail de surveillance.

    « Il est compliqué de cartographier les dégâts causés par la guerre en Ukraine : une grande partie du territoire libéré est sans doute truffé de mines et d’autres explosifs, tandis que les forces russes occupent toujours certaines régions du pays, ce qui rend difficile la collecte de données dans ces zones, déclare Denys Tsutsaiev, chargé de campagne de Greenpeace CEE, depuis Kiev. Cependant, nous devons attirer l’attention sur les dommages environnementaux de cette guerre afin que la restauration de l’environnement soit aussi prise en compte dans les discussions sur l’avenir de l’Ukraine. Ce travail nécessitera des outils, une expertise et un engagement, ainsi que des fonds importants. Ces fonds devraient être alloués dès maintenant, et non une fois la guerre terminée ».

    Selon les informations officielles, depuis le 24 février 2022, 1,24 million d’hectares de réserve naturelle ont été touchés par la guerre sur le territoire ukrainien. Trois millions d’hectares de forêts ont également été affectés, dont 450 000 se trouvent sous occupation ou dans des zones de combat.

    « La guerre affecte la nature, pas uniquement les populations et les infrastructures. Cependant, ces dommages restent invisibles et le plus souvent ignorés, car l’environnement est une victime silencieuse. Nous voulons être sa voix afin que tout le monde ait conscience des atteintes infligées à l’environnement par la guerre russe, et que la restauration de la nature soit partie intégrante des plans de reconstruction, explique Yevheniia Zasiadko, de l’ONG Ecoaction. Après la fin de la guerre, nous pâtirons longtemps de ses répercussions sur l’environnement. Le gouvernement ukrainien promet de reconstruire notre patrie – et l’environnement fait partie de ce qui doit être reconstruit ».

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  • Appel de la haie : mobilisons-nous pour préserver nos campagnes !

    Communiqué de FNE,publié le 13 février 2023

    Ombrage pour les animaux, prévention de l’érosion des sols et du ruissellement, régulation naturelle des ravageurs des cultures, les bienfaits des haies pour la production agricole, le climat et la biodiversité sont innombrables !

    Malheureusement, et malgré les opérations de plantation, 11 500 km de haies disparaissent chaque année de nos espaces agricoles par vieillissement, mauvais entretien, arrachage ou pillage. Cela n’est plus tolérable ! Une haie replantée n’a pas du tout les mêmes fonctions écologiques qu’une haie ancienne : il faut absolument préserver d’abord les haies existantes !

    France Nature Environnement et ses associations membres agissent depuis des décennies pour préserver et développer les haies. C’est pourquoi nous nous mobilisons aujourd’hui aux côtés de l’AFAC-Agroforesteries pour relayer son Appel de la haie. Ensemble, nous demandons un grand plan national pour les haies.

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  • Conseil de planification écologique : réaction de Greenpeace France à la vidéo d’E. Macron


    Pour Greenpeace France, cette vidéo remplie d’autosatisfaction sonne creux, désolant mélange de procrastination et techno solutionnisme.

    Avec cet énième point d’étape, alors que 2030 est tout proche, le Président ne fait que retarder encore des mesures qui sont connues et qui devraient être appliquées immédiatement, comme s’il n’était pas au pouvoir lors des conclusions de la Convention citoyenne sur le climat et des alertes des rapports du GIEC et du HCC. Sans parler du lancement de la procédure de l’Affaire du Siècle qui a abouti à la condamnation de France pour inaction climatique.

    Si un nouveau plan de sobriété est plutôt une bonne chose sur le papier, dans la mesure où il intègrerait enfin une juste répartition des efforts demandés, les affirmations du Président se heurtent au réel :

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